La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 397)

L'esclave e73700MDE au Château - (suite de l’épisode N°389) -

Je reste ainsi en position, à quatre pattes pendant que les deux compères devisent comme si de rien n'était, moi nu en position ridicule et humilié profondément. Quand j’entends la cuisinière parler au Majordome :

- Je te laisse Walter, je suis attendue ! (puis s’adressant à moi) Passe une bonne nuit petite chienne soumise, mais reste dans la pensée Du Maitre, il doit être présent en permanence dans ton esprit ainsi que ton état de ce que tu es pour Lui…

Je me doute alors que ma nuit ne sera pas aussi tranquille que je l'espérais. Monsieur Walter tire brusquement sur mon collier et me pousse vers la couche qui va me servir de lit ou plutôt de litière car elle est recouverte de paille à même les dalles grises et froides … Je suis vraiment maintenant dans les conditions d'une véritable chienne. Le Majordome allait sans doute me laisser seul à méditer dans ce cachot quand je suis soudain saisi par une envie urgente d’uriner. Je n'ose l'exprimer, mais manifestement cela se voit à mes gestes pour me retenir. J'entends un grand éclat de rire suivi d'une injonction ironique :

- Te gêne pas, c'est prévu. Accroupis-toi sur cette dalle comme une femelle que tu es et pisse ! Car il t’est désormais strictement interdit d’uriner comme un mâle, tu devras donc toujours t’accroupir et cela pour toujours…

Là c'est plutôt un choc. J'ai subi des assauts répétés, car le puissant désir de soumission est assez puissant en moi pour supporter ces assauts bestiaux. Mais uriner accroupi devant un valet est au-dessous de mes forces. Je ne peux m'empêcher de lui dire :

- Ne me regardez pas !

Erreur ! Plusieurs magistrales gifles s'abattent sur mes joues qui rougissent à vue d’oeil

- Quelle impudence, Notre mademoiselle se rebellerait elle ? Tu dois savoir que désormais que tu n’as plus droit à la pudeur, elle t’est strictement interdite ! Une chienne de ton espèce doit apprendre à ignorer ce mot ‘’pudeur’’ comme le mot ‘’intimit钒 d’ailleurs.

.. Car ton corps, ton intimité ne t’appartiennent plus. Et Le Maître en dispose comme bon Lui semble…

Je sens les bras musclés du Majordome me saisir et me forcer à m'accroupir.

- Pisse ou tu reçois la dérouillée de ta vie ! espèce de chienne !

L'envie avait été coupée, mais j'ai mal à la vessie et c’est accroupi que je libère de ma nouille pendante mon liquide coloré qui gicle très fort sur la dalle. Je sens le regard sévère de Monsieur Walter qui regarde le jet sortir de ma nouille de façon insistante. J'ai très honte et j'aimerais être à cent lieues de là, car c'est un des gestes que j'ai le plus de mal à faire devant quelqu’un, malgré mon désir de soumission… Je me mets en position de femelle assise pour uriner dans mes toilettes sans problème, mais en public, c'est autre chose. Comble de la honte, j'entends une voix moqueuse qui crie en se rapprochant :

- Mais c'est que c'est pudique ces petites chiennes !

La cuisinière peut voir les dernières gouttes tomber sur la dalle qui brille maintenant. On peut y voir le reflet de ma croupe ce qui met ma honte à son paroxysme. J'allais me relever un peu de ma position accroupie qui me fait mal aux cuisses quand Marie se met à crier:

- Qui t'a dit de te lever? reste accroupie, femelle !

C'est dans cette position accroupie inconfortable et humiliante que je vois le Majordome s'approcher face à moi et c’est debout bien proche de mon visage qu’il se débraguette en un éclair et exhibe son énorme queue velue au gland turgescent et violacé gonflé de désir. Il enfourne son membre dans ma bouche sans préambule:

- Il n'y a pas que toi qui aies des envies. Aller suce-moi bien, espèce de chienne bonne à baiser …

J'essaye de maintenir un équilibre dans cette position humiliante accroupie et je suce et masturbe le vit qui emplit ma bouche comme je l'ai fait souvent depuis que je suis soumis en essayant de donner le maximum de plaisir, ce qui ne tarde pas comme je le constate, après quelques minutes où j’ai pompé avidement ce phallus en de rapides vas et viens, en recevant les abondantes giclées de sperme visqueux jusqu'au fond de ma gorge, tandis que le Majordome laisse échapper de longs râles de jouissance.
Visiblement satisfait, l'homme lance à Marie :

- C'est bien, cette petite chienne s'est rattrapée. Laissons-la récupérer un peu.

Je les entends s'éloigner. Ils laissent la porte entrebâillée, ce qui me fait un peu peur, n'importe qui peut entrer. Mais je suis trop fatigué pour m'en inquiéter. Je m'étends alors nu sur la paille qui me tient lieu de duvet. Je n'ai pas besoin d'autre couverture, la température est incroyablement très douce. A part mon collier, rien ne me gêne et je peux enfin m'endormir et tomber dans les bras de Morphée qui évoquent pour moi les récits merveilleux de l'Odysée de la belle Hélène que Monsieur le Marquis d’Evans a rédigé avec une si grande maîtrise et talent. Je suis en train de rêver d'Endymion : "Le Dieu Héphaïstos allait et venait en lui avec une sorte de force mécanique. Le sexe extrêmement épais emplissait son cul et lui déchirait l'anus. L’homme s'activait, poussait des grognements, allait et venait, accélérait, ralentissait son rythme en ahanant... Le forgeron transpirait et bavait même, supposait l'esclave qui sentait une sécrétion épaisse couler sur son dos cambré... Tout en l'enculant, le forgeron commença à claquer la croupe de l'esclave. Des coups appuyés, qui suivaient le rythme des coups de boutoirs qui lui emplissaient le cul. Un cul qui lui semblait habité d'un véritable incendie, tandis que ses fesses lui brûlaient maintenant...’’

Voilà à quoi j’ai rêvé, cette nuit-là !… Ce que j'ai vécu depuis mon arrivée au Château en n'est guère éloigné. Je revis dans mon rêve cette magistrale enculade, cette douleur intense qui m'excite énormément en ressentant le plaisir monter en moi à me faire sodomiser de la sorte comme une chienne en chaleur… Quand soudain, le rêve s'interrompe, les images sublimes sont remplacées par un bruit qui se précise dans le silence du cachot. Des bruits de pas se précisent. Je me réveille en sursaut avec le regret de quitter les belles images du rêve. La porte qui était restée entr'ouverte grince en s'ouvrant franchement.
Comme il n'y a pas de lumière, je ne distingue qu'une ombre qui se rapproche de ma couche. Je ne bouge pas et je distingue maintenant un homme silencieux qui me semble gros et aux des odeurs corporelles fortes. Je suis plutôt effrayé par cette apparition qui trouble mon repos que je croyais avoir mérité. Mais je me souviens alors de la phrase de la cuisinière Marie:

- Reste dans la pensée du Maître, il doit être présent en permanence pour toi …

Je suis soumis, je dois satisfaire Le Maitre, mon corps et mon âme lui appartiennent, il peut en disposer comme bon lui semble… Contre toute attente, le corps de l'homme s'allonge sur moi et toujours sans un mot, il m'embrasse sur la bouche goulument ...

(A suivre...)

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