Une Ménagère

Il y a 2 ans, j’ai eu une période de chômage de quelques mois. Un pote, qui fait des réparations en tous genres pour des particuliers, m’a embauché « au black » pour lui donner de petits coups de mains occasionnels étant donné que je suis, ce qu’on peut dire, un bon bricoleur. Un matin, j’arrive dans son petit entrepôt. Je me sers un café, le boit tranquillement et il me dit :
- Ce matin, il faudrait que tu ailles chez Madame S. Elle m’a appelé hier soir car, à ce que j’ai compris, un robinet fuit dans la salle de bain ou la cuisine, je sais plus trop. Il faut aller voir le problème et si tu peux réparer, tant mieux sinon on fait appel à un installateur sanitaire.
- Ok ! Je lui fais. Je prends la caisse de matériel et je la ramène après. Ca marche comme ça ?
- Ok ! Pas de problème. Tiens, voilà l’adresse.
Il me tend un bout de papier que je fourre dans ma poche après l’avoir consulté, empoigne la caisse de matériel sanitaire et la balance dans le coffre de ma voiture. Je démarre en direction de l’adresse indiquée qui se trouve dans un petit quartier résidentiel. Je trouve la maison et gare ma voiture devant le garage. Je sors et regarde la maison : c’est coquet, un poil bourge, un petit jardin fait le tour de la bâtisse, c’est encore assez sympa. Je m’approche de la porte d’entrée et pose mon doigt sur la sonnette. Un carillon me répond une petite musique aigrelette. Quelques secondes après je distingue, à travers le verre opaque de la porte, une forme qui s’avance vers moi. Une clé tourne dans la serrure et la porte s’ouvre. Une femme se tient devant moi, vêtue d’un peignoir bleu en éponge. Environ 40-45 ans, elle est grande, une longue chevelure rousse tombe sur ses épaules. Sa silhouette est massive sous le peignoir, elle a les épaules et les hanches larges, ce qui ne me déplaît de loin pas. Un regard furtif sur sa poitrine serrée dans le peignoir me dit que ses seins doivent être gros, lourds. Elle me dit :
- Oui ? C’est pour quoi ?
En la regardant je réponds :
- Bonjour m’dame.

Excusez du dérangement matinal. Je viens de la part de L. pour la fuite d’eau.
- Ah ! Oui, bonjour. Merci de vous être déplacé aussi rapidement. Suivez- moi, je vais vous montrer.
Je pénètre dans le hall. Elle ferme la porte derrière moi, me passe devant et je la suis. Je mate ce beau gros cul qui se dandine devant moi. La ceinture qui tient son peignoir fermé fait ressortir la largeur de ses hanches. J’aime ce genre de femelle. Là, il y a de quoi t’agripper quand tu ramones. Il y a de la matière, du nichon, du cul, pas comme ces squelettes de magazine qui sont de véritables tas d’os. On arrive à la cuisine et me montre l’évier. Le meuble en dessous est ouvert et une bassine en plastique rose est posée au sol. De l’eau tombe dedans au goutte à goutte.
- Ca doit pas être bien grave, je lui fait. Un joint n’est plus étanche.
Je me baisse et constate qu’effectivement, un joint en caoutchouc noir laisse passer l’eau. Je me relève et lui dit :
- Faut que j’aille chercher mon matos dans la voiture.
- D’accord, me dit-elle. Je vous prépare un petit café en attendant ?
- Avec plaisir ma p’tite dame.
Je retourne à moi voiture récupérer la caisse et fait demi-tour. En arrivant dans la cuisine, elle est en train de préparer deux cafés. La ceinture de son peignoir s’est un peu relâchée car l’échancrure est plus grande qu’avant et je vois la naissance de ses nichons. « Putain, je me dis. Elle est bandante la mamie. Elle doit être vachement bonne. Doit y avoir de la tempête dans les voiles avec une donzelle pareille au lit ». Je sors de mes pensées salaces quand elle me tend une tasse de café.
- Merci beaucoup, je lui fais. Je le bois et je me mets au boulot
- Prenez votre temps, me répond-elle. On n’est pas à cinq minutes près.
- Non, vous avez raison. Et votre mari, il ne pouvait pas le changer lui-même ce malheureux petit joint ? C’est pourtant un boulot tout simple.
- Oh lui, vous savez ! Il ne sait même pas utiliser un tournevis.
Alors changer un joint, vous pensez.
A ce moment je me dis « J’espère au moins qu’il sait utiliser sa queue pour te faire reluire ». Je rigole et lui réponds :
- Ah ça ! La bricole n’est pas donnée à tout le monde.
- Il n’y a pas que pour la bricole qu’il n’est pas doué, croyez-moi.
Elle me jette un regard bas, me fait un clin d’œil et baisse la tête dans son café. Oh putain de putain. Elle me cherche, la gueuze. L’échancrure de son peignoir s’est encore agrandie et je peux pratiquement voir le lobe de ses seins. Je finis mon café, pose la tasse sur la table et dis :
- Bon, je me mets au boulot.
En 10 minutes le joint est changé et l’étanchéité est parfaite. Je sors de sous l’évier, essuie mes outils et les range dans la caisse. Je me retourne mais la maîtresse de maison n’est plus dans la cuisine. Je mets un coup de chiffon parterre, ferme ma caisse, me relève, ferme la porte du meuble et je dis en parlant fort :
- Voilà ma p’tite dame, c’est réparé.
J’entends ses pieds nus claquer sur le carrelage et elle apparaît dans l’encadrement de la porte. Elle est un peu essoufflée et ses joues sont roses. Son peignoir est maintenant échancré pratiquement jusqu’à son nombril. Je peux voir sa peau blanche. Ses gros seins montent et descendent au rythme de sa respiration. En la regardant, je sens ma queue gonfler dans mon jean. Je me mets à bander grave. J’ai envie de cette gonzesse.
- Déjà ? Me demande-t-elle dans un souffle. Vous avez vite fait, dites-moi.
- Eh oui ! Travail vite fait, bien fait. Plus aucune fuite.
- C’est génial. Venez, suivez-moi.
On sort de la cuisine et je la suis jusqu’au salon. C’est assez spacieux et bien meublé. Elle va prendre son portefeuille dans son sac qui est posé sur la table, se retourne et me demande :
- Maintenant, dites-moi combien je vous dois ?
Je la regarde de la tête aux pieds, lentement. Ma queue est dure dans mon jean et elle part sur le côté droit en formant une grosse bosse.
J’ai envie de cette grosse garce. Je plaque ma main sur la bosse de mon jean, lui jette un sourire de défi et réponds :
- Vous êtes prête à mettre combien ?
Un peu interloquée, elle ouvre grand les yeux et me regarde. Visiblement elle n’a pas compris mon allusion.
- Pardon ? Me demande-t-elle.
- Vous avez bien entendu. Combien êtes-vous prête à mettre pour cette petite réparation ?
Elle baisse les yeux vers ma main qui enserre ma bite, les relèves vers moi et me regarde dans les yeux.
- Ah ! J’ai compris. Tu veux me sauter, c’est ça ?
- On pourrait déjà commencer par une pipe, non ? Mais ça urge car je commence à avoir mal, là. C’est un peu serré.
Elle tend son bras en arrière, repose son portefeuille sur la table, défait le nœud de la ceinture de son peignoir et s’avance vers moi. Le peignoir largement ouvert me permet d’admirer son énorme poitrine. Ses nibards sont gros et fermes. Les tétons pointent comme des boutons de sonnette. Son ventre rebondi est lisse et aucun poil n’est visible au niveau de sa chatte. Elle est entièrement épilée, comme j’en raffole. Bouffer la chatte d’une gonzesse et avoir des poils entre les dents n’a jamais été ma tasse de thé. Elle se colle contre moi, sa main remplace la mienne sur ma bite et elle me masse doucement. Elle me regarde et me dit :
- Je te fais de l’effet, on dirait. Et tu m’a l’air bien monté, mon salaud. Toi aussi tu me fais de l’effet. Quand tu faisais ta petite réparation je suis venue ici et j’ai commencé à me branler. Ma chatte est encore trempée.
De ma main gauche, je prends une de ses grosses mamelles, me baisse un peu et commence à faire rouler le téton avec ma langue. Elle se cambre légèrement en arrière pour me faire de la place et j’en profite pour passer ma main droite entre ses cuisses. Effectivement, son con est tout mouillé et brûlant. J’introduis lentement le majeur dans sa chair et son jus coule sur ma main. Elle pousse un petit gémissement de plaisir en écartant plus les cuisses.
Mon doigt à maintenant tout le loisir de fouiller cette chatte. Elle passe sa main derrière ma tête et écrase ma bouche sur son téton. Son souffle s’accélère alors je ralentis mes caresses. J’ai pas envie qu’elle parte maintenant. Je me dégage de son con, échappe à sa main derrière ma tête et me redresse. Ses yeux sont fermés et sa bouche entrouverte. Son souffle est court. Je la prends par la main et l’entraine vers le divan. Je me plante devant elle et lui intime :
- Allez, c’est l’heure de la pipe. A genoux !
Elle se laisse tomber devant moi. Je dégrafe ma ceinture et déboutonne mon jean. Elle prend le relais en faisant descendre le coton rugueux le long de mes cuisses en même temps que mon boxer. Ma bite retrouve de l’espace et jaillit devant son nez. Elle écarquille les yeux, me regarde et souffle :
- Elle est énorme. Magnifique !
Elle la saisit d’une main et me décalotte le gland. Celui-ci est rouge et gonflé. Mon jus a commencé à perler et une goutte est figée au bord du trou. Elle la récupère avec sa langue et se met à me lécher tout le long, jusqu’aux couilles, lentement, puis sa langue fait le chemin inverse, remonte jusqu’au gland. Sa caresse est délicieuse. Elle ouvre la bouche et engloutit ma queue. Sa langue prodigue toujours sa caresse sur mon gland et elle me pompe avec application. Elle sait y faire, la garce. Une suceuse de première. Je lui fais :
- Ton vieux à une sacrée chance d’avoir une bouffeuse de bite comme toi à la maison. Il ne doit pas s’embêter, le veinard.
Elle sort ma bite de sa bouche, continue de me branler, lève les yeux vers moi et me répond :
- La dernière fois que je l’ai sucé, ça doit remonter à 8 ans. Et la dernière fois qu’il m’a baisée remonte en gros à 5 ans. J’ai mes petits jouets alors je me fais plaisir toute seule.
- Quel con ! Et toi, tu le trompe au moins ?
Elle secoue la tête de gauche à droite en guise de non.
- Quoi ? Ca fait 5 ans la dernière fois qu’un mec t’a touchée ?
Cette fois, acquiescement de haut en bas.
- Oh putain !
C’est quand même assez flatteur : une femme mariée, qui n’a plus été touchée par un homme depuis 5 ans, décide de fauter moi. Je me dis qu’elle doit avoir du temps à rattr alors on va le rattr. Elle replonge ma bite dans sa bouche et continue son travail de pompage. Sa pipe est magnifique mais moi je veux son cul, son beau gros cul. Je veux l’enfiler et cracher tout mon foutre bien au fond. Je repousse sa tête un peu en arrière pour lui faire comprendre qu’elle peut arrêter de me sucer. Elle me lâche et lève un regard interrogateur vers moi.
- Relève-toi, je lui fais.
Elle obtempère et se tient plantée devant moi. Je mets les mains sur ses épaules et fait tomber le peignoir à terre. En désignant le divan :
- Met-toi à genoux.
Elle pose ses genoux sur le tissu beige et prend appui avec ses coudes sur le dossier. Je passe mes deux mains à l’intérieur de ses cuisses et lui intime de les écarter. J’ai devant moi un spectacle magnifique : un beau cul, large, aux fesses rebondies. Sa chatte entrouverte est luisante et son petit trou, aux bords plus foncés que le reste de sa peau, est tout plissé. Je pose une main sur chacune de ses grosses fesses et je les écarte. Je lâche un filet de salive sur son anus, y pose le bout de ma langue et commence à le lécher. Puis je descends à son con que je me mets à fouiller de ma langue. Elle cabre les reins et gémit. Son jus épais et abondant est délicieux, je me régale. Elle passe une main dans son dos et l’insinue entre ses fesses. Elle pose le majeur sur son petit trou et le fait entrer lentement jusqu’à la deuxième phalange. Cette grosse salope cherche son plaisir par tous les trous, on dirait. Je me relève, le visage barbouillé de sa mouille, me campe derrière elle et dirige ma queue raide contre sa chatte. Je lui agrippe les hanches et la pénètre lentement, jusqu’au fond sans m’arrêter. Ma queue glisse comme dans du beurre. Elle pousse un hurlement de plaisir :
- Ooooooooooooooooooooooooohhhh Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Il reste plus qu’à espérer que les fenêtres soient fermées et bien insonorisées car sinon tout le quartier doit se demander ce qu’il se passe. Je la ramone sauvagement, à la hussarde. A chaque coup de reins, mes couilles viennent taper contre son clito et ses grosses fesses tressautent. Elle crie, hurle de plaisir, dit des trucs incompréhensibles, appelle papa, maman, grogne, miaule… Depuis 5 ans qu’elle n’a pas vu de vraie bite en chair, je la comprends. Tant pis pour les voisins, elle trouvera quelque chose à raconter. Sa respiration s’accélère, les muscles de sa chatte se resserrent autour de mon gourdin, elle pousse son cul contre moi à chaque coup de bélier et soudain arrête net de bouger et de respirer. Elle bombe le dos et le creuse d’un coup sec pour s’empaler le plus profondément possible. Elle enserre ma queue tant qu’elle le peut et hurle son plaisir, d’abord sourdement puis de plus en plus fort jusqu’au hurlement :
- Annnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnnn !!!
Là, c’est sur que les voisins ont entendu tellement son cri est puissant. Je sens sa mouille me tartiner le bas ventre et dégouliner sur mes burnes. Son orgasme est énorme, tout son corps est pris de tremblements. Elle hoquette, cherche sa respiration, s’étouffe, secoue la tête en faisant fouetter ses cheveux roux, mord le tissu du divan et relance un puissant :
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Un nouveau jet de cyprine fuse de son con, butte contre mes couilles et atterrit sur le tapis. Elle est toujours immobile mais tremblante de partout. Ses muscles enserrent ma queue presque à m’en faire mal. Elle les relâche un court instant pour aussitôt les resserrer de plus belle et ceci plusieurs fois de suite. Je profite d’un relâchement pour me dégager de ce con brûlant. Immédiatement elle hurle, au bord de l’hystérie :
- Nonnnnnnnnnnnn ! Reste, reviens, enfile-moi, baise-moi ! J’en veux encoooooooooore.
Houlà ! Les voisins… Décidément, qu’est-ce qu’ils doivent se dire. Je l’intime de se calmer en lui caressant le dos, comme pour apaiser un chien qui a peur.
- Doucement, je lui murmure. Calme-toi. Tu ameutes tout le quartier.
- Je m’en fous, hurle-t-elle. J’emmerde mes voisins. Je veux me faire baiser et ils peuvent aller se faire foutre.
- Calmos, ma belle, calmos.
La tête appuyée sur ses avants bras elle sanglote doucement. Entre deux reniflements elle me dit :
- 5 ans que je ne me suis pas faite troncher. Même mon con de mari n’a jamais réussi à me faire jouir. Et là, c’est juste fabuleux. Je veux qu’on me baise comme ça tous les jours. Même si il faut faire la pute, je m’en fous. Mais qu’on me baise.
- Ne dis pas de conneries. Tu n’as pas besoin de faire la pute pour te faire sauter. La preuve ? Je suis là. Tu es bandante et tu suces divinement. Tu vas t’envoyer d’autres mecs, tu verras. Faut juste sortir de ta petite routine.
- Oui, surement que tu as raison. Mais dis-moi, tu as joui toi ?
- Eh non ! Pas encore. Regarde ma bite est toujours raide et mes couilles toujours pleines.
- Oh non ! Zut ! Comment veux-tu que je te finisse ?
- Reste comme ça, ne bouge pas. Je m’en occupe.
Maintenant qu’elle est calmée, je retourne à la cuisine, ouvre le frigo et trouve ce que je cherche : une plaque de beurre. Je retourne au salon etelle me voit revenir avec le beurre. Elle lève les yeux vers moi et bafouille :
- Que… ? Tu fais quoi ?
- Je vais te lubrifier le cul pour ensuite y enfiler ma queue. Tout simplement.
- Mais… Non. Euh ! Je sais pas. Je suis vierge du cul. Des fois je m’enfile un doigt mais personne ne me l’a jamais mise par là.
- Eh ben tu vois. Heureusement que je suis venu aujourd’hui. Tu as pris ton pied, le premier depuis pas mal d’année et tu vas avoir droit à ta toute première sodomie. Je ne serai pas venu pour rien. En plus, la fuite de ton évier est réparée. C’est une magnifique journée, tu ne trouves pas ?
- Mais tu y vas doucement, d’accord ?
- Promis. Mais il faut que tu m’aide. Pose les 2 mains sur tes fesses et écarte les le plus possible. Je n’arrive pas à te graisser le fion et à écarter tes fesses en même temps.
Elle obtempère et s’ouvre le cul largement. Les plis de son trou sont tendus. Je frotte mon majeur sur le beurre en le faisant tourner pour en enduire toute la longueur et tout le pourtour de matière grasse. Etant donné qu’elle ne s’est jamais fait enculer auparavant, je vais y aller mollo. Je frotte mon doigt à l’entrée de son cul et l’enfonce lentement. Elle ne bronche pas car de ça, elle a l’habitude. Je fais quelques va et viens et ressort mon doigt. Je joins l’index et appuie sur son anus.
- Détend-toi, je lui fais. Ne te crispe pas.
Je fais entrer mes deux doigts dans son cul, lentement. Là, elle commence à réagir en couinant mais elle arrive à se décrisper et mes deux doigts finissent au fond de son anus sans problème. Je fais quelques rotations du poignet pour bien la dilater. Sa respiration s’accélère et elle gémit.
- Alors ? Comment tu trouves ?
- C’est trop bonnnnnn… Continue. Oui, comme ça… C’est bonnnnn ! Oh mon Dieu ce que c’est bon.
- Alors maintenant, je vais t’enfiler ma bite. C’est meilleur, tu verras. Garde les fesses bien écartées.
Je me tartine la bite de beurre, en redépose un peu au bord de son orifice et dirige mon gland contre l’entrée. J’appuie légèrement, son fion s’ouvre sous la poussée et soudain mon gland entier pénètre à l’intérieur, comme si il était aspiré. Elle pousse un grognement sourd :
- Ca va ? Je lui demande. Je te fais mal ?
- Non, souffle-t-elle. C’est vraiment bon, continue. Enfonce-moi ta pioche. Vas-y, encule-moi. Tu me rends folle. Bordel ce que c’est bon.
Je m’enfonce un peu plus dans ses entrailles. Son sphincter est étroit et serré.
- Tu peux lâcher tes fesses. Je m’occupe de les tenir ouvertes. Je dois y aller doucement car ton cul est vraiment serré.
- Alors ouvre-le, défonce-le.
Je ne me fais pas prier et met un bon coup de rein. J’atterris au fond de son boyau. Mes couilles rebondissent contre sa moule. Elle redresse la tête en arrière et pousse un hurlement :
- Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaah !
Je reste immobile, fiché au fond de son cul. Sa tête est renversée en arrière, ses yeux sont grands ouverts ainsi que sa bouche dont plus aucun son ne sort. J’ose un timide :
- Ca va toujours ?
Pour toute réponse, je reçois un jet de liquide chaud sur les cuisses. Pour sa première sodomie, elle prend ça du bon côté. Je reste toujours immobile. Elle retrouve sa respiration et me hurle au bord de la crise de nerf :
- Tu attends quoi ? Ramone-moi le cul. Vas-yyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyyy !!!
Madre de Dios ! Les voisins… Pourvu qu’ils n’appellent pas les flics. Je lui mets deux énormes claques sur les fesses, met mes mains sur ses hanches et dis :
- A vos ordres, mon Capitaine. C’est parti !
Je commence par la ramoner lentement afin qu’elle s’habitue à la sensation puis j’accélère le mouvement. Elle gémit, couine, tousse, crie, hurle, me traite de salaud, d’enculé. Je décide de passer à la vitesse supérieure. Je m’agrippe à ses épaules et l’attire contre moi à chaque coup de pilon. Je lui martèle le cul comme un fou. Elle secoue la tête dans tous les sens, ses longs cheveux volent partout, ses fesses rebondissent à chaque coup de bélier, ses gros seins se balancent au rythme que j’impose. A présent son intestin est dilaté et ma bite coulisse dans son cul sans problème. Enfin, je sens ses muscles se resserrer, présageant un orgasme. Cette morue va jouir du cul ! Je sens mon foutre monter, j’arrive au bord de l’explosion, je ne peux plus me retenir et crache mon jus à longs jets au fond son intestin. Cette nouvelle sensation déclenche chez elle un orgasme tempétueux. Elle hurle encore plus fort qu’avant :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !!!
Un nouveau jet de cyprine me trempe les cuisses, son gros cul ondule et elle le pousse en arrière pour s’empaler au plus profond sur ma gaule. Je lâche encore un petit jet de foutre et je m’immobilise, haletant et en sueur. Les ondulations de son bassin se calment. La tête dans ses bras croisés, son corps est parcouru de tressautements. Cette fois-ci, elle chiale, j’en suis sur. Ma bite est en train de ramollir alors je me retire lentement de son cul. Un filet de sperme suit ma retraite et coule sur sa chatte pour atterrir sur le tissu du divan. Celui-ci n’est pas très reluisant : il est trempé, ainsi que le tapis au sol. Ses orgasmes ont laissé des traces. Je délaisse ce cul béant, fais le tour du divan et soulève délicatement sa tête. Ses yeux sont rouges et de grosses larmes coulent sur ses joues. Je pose un léger baiser sur ses lèvres et lui demande :
- Ca va ? Je t’ai fait mal ?
Elle cherche son souffle et entre deux sanglots et me réponds :
- Non, tu ne m’a pas fait mal. Tu m’as seulement fait prendre le plus grand pied de ma vie. C’est la première fois que je jouis aussi fort.
Je suis soulagé. Je lui souris, l’embrasse de nouveau et lui fait :
- J’ai aussi pris un pied d’enfer. Je vais me rafraîchir et je reviens.
Je trouve la salle de bain, fais couler l’eau et me lave le visage, les cuisses ainsi que la queue. Je m’essuie avec une serviette éponge pendue sur le bord du lavabo et reviens au salon. Je la retrouve assise sur le divan. Elle a enfilé son peignoir sans en nouer la ceinture. Elle a les yeux perdus dans le vague. Je mets la main sur mon jean, mon boxer, mes baskets et me rhabille. Je retourne m’asseoir à côté d’elle, sur un accoudoir et pose ma main sur sa nuque.
- Il va falloir que j’y aille. Mon boss m’attend.
Elle sort de sa torpeur, tourne la tête vers moi.
- Oui, je comprends. Et moi je dois préparer le repas de midi pour mon mari.
Je me lève, elle en fait de même et nous nous dirigeons vers la cuisine. Là, elle passe ses bras autour de ma taille et me serre contre elle. Nos bouches se rencontrent et on se roule une pelle baveuse. Je passe une main sous son peignoir et lui met une petite claque sur une fesse. Nos bouches se séparent et elle me demande avec un sourire canaille :
- Tu reviens demain matin ?
- C’est risqué car avec le ramdam que tu as mis, les voisins se posent des questions alors si ils revoient ma voiture devant le garage demain matin, ça va vite jaser dans le quartier.
- Oui, tu as raison. Alors on fait comment pour se revoir ?
- Je te laisse mon numéro de portable. Envoie-moi un SMS pour que je puisse enregistrer le tiens et on trouvera une solution.
- D’accord, bonne idée. Mais pas dans six mois, d’accord ?
Je rigole et note mon numéro de portable sur le papier que j’ai dans la poche.
- Non, promis. Un cul comme le tiens, je tiens à m’en resservir le plus vite possible.
- Coquin !
Je ramasse ma caisse et me dirige vers la sortie. Elle me suit et arrivés vers la porte, elle me demande :
- Dis-moi, je te plais vraiment ?
- Arrête de me demander ça, je recommence à bander.
Je dépose un baiser sur sa bouche, ouvre la porte et sors. Elle la referme derrière moi et je me dirige vers ma voiture. Au passage je jette un œil aux alentours et je vois quelques rideaux bouger aux fenêtres. Ah ! Les voisins… L’après midi je reçois un SMS. Il s’agit d’un message photo. Elle montre le superbe cul de ma folle de sexe, un vibro argenté planté dedans. Miam !

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