Prof De Sport Et De Sexe

Je suis une belle plante de trente ans, prof de sport dans un lycée, se faire draguer par les élèves n’est pas un mythe, quelques élèves s’exhibent même en douce, prétextant une envie de pisser lorsque nous somment dans la nature, ils font en sorte que je voie leur queue qu’ils caressent lentement, certains me font pouffer en arborant une véritable nouille, quelques uns sortent du lot, je ne peux m’empêcher de soupirer d’envie lorsqu’ils brandissent une verge que beaucoup d’adultes aimeraient posséder

Je joue le jeu en leur indiquant discrètement par un pouce levé ou baissé, soit ils redressent fièrement le torse soit ils se sauvent la tête basse, il se trouve que cette année j’ai Frédérique, un redoublant, un mâle dominant qui évidement joue au dur devant les plus jeunes, il pense plus au sexe qu’a ses études, j’ai eu occasion de voir sa queue l’an dernier… il peut en être fier, a l’époque il était déjà mieux monté que mon mari …je suppose que le temps a joué en sa faveur …je n’allais pas tarder à le vérifier lors d’un après midi piscine …

Les élèves sont arrivés par bus, je les ais réceptionnés sur le parking et expédiés aux vestiaires, dés le début Frédérique s’est montré indiscipliné en restant en arrière de ses camarades

- M’dame, j’ai oublié mon maillot
- Ce n’est pas grave tu nageras en slip
- Mais il va se détendre et mes couilles et ma queue vont sortir sur le coté !
- Ne parles pas aussi grossièrement si tu ne veux pas d’heures de colle
- Si je les passe avec vous j’en veux bien quatre ! vous aller vous mettre le maillot brésilien bien échancré que vous portiez a la plage cet été ?? il vous va super bien, rien à voir avec les gringalettes du lycée !
- File rejoindre tes camarades et le maitre nageur, sinon je vais me fâcher pour de bon !

La réflexion de ce petit salaud m’a mise en émoi, ainsi il m’a vue avec le maillot qui contient a peine mes seins et qui dessine si bien mes formes, toutes mes formes, celles de mes fesses menues qui cachent la ficelle du maillot et dessine parfaitement les contours de ma chatte, laissant même dépasser quelques poils bruns
Comme je le pensais Frédérique a été odieux envers le maitre nageur, ce qui lui a valu l’expulsion du groupe, peut-être l’à-t-il fait intentionnellement pour me rejoindre alors que je fais des longueurs dans un autre bassin en attendant la fin du stage

- Vous faites bien la grenouille madame ! Je peux vous rejoindre ?

Avant que j’aie le temps de refuser il plonge pour se retrouver quasiment entre mes cuisses, instinctivement mes yeux se portent sur son slip de bain, l’eau fait effet de loupe, le tissu colle à sa peau moulant parfaitement l’imposant ‘service trois pièces’

- Déçue ? J’ai menti, je n’ai pas oublié mon maillot de bain ! Ici nous somment seuls ? Je peux l’ôter ….

- ARRÊTE ! remonte ça tout de suite, ne recommence pas tes âneries Frédérique, et sort d’ici, les autres vont bientôt reprendre le bus, d’ailleurs je vais sortir pour prendre ma douche et contrôler l’embarquement des élèves, tu ferais bien d’en faire autant !
- Ne me comptez pas, ont vient me chercher
- Ce n’est pas très réglementaire, c’est vrai au moins ?
- Craché juré

Faisant abstraction de mon interdiction il a baissé son slip j’ai eu le temps d’apercevoir la queue gonflée et la touffe de poils qui flottaient au gré des remous, je n’ai pus retenir une contraction de mes muscles vaginaux qui s’est concrétisée par quelques gouttes expulsées dans mon maillot, sans me retourner je me suis dirigée vers le bloc sanitaire

- HA ! madame G. je vous cherchais pour le contrôle des élèves
- Excusez moi je suis en retard
- Prenez votre temps, je vais le faire pour vous
- Merci Bertrand ! ne comptez pas Frédérique M. ses parents viennent le chercher
- Bien, j’en prends note, bonne soirée madame G., ha, le gardien passera fermer d’ici une heure

Je réalise que je suis seule dans l’établissement, j’ai une heure pour pouvoir me ‘détendre’ sous la douche, dans le couloir j’entends siffler et l’eau couler …je marque un temps d’arrêt, les sifflements cessent pour faire place a des onomatopées genre : HA….. HHHHOOOO… HAAAAA HOOOO ?

Ça me rappelle illico les plaintes que poussent mon mari lorsqu’il … se masturbe …une porte est légèrement ouverte …j’avance lentement, pieds nus pour ne faire aucun bruits
Dans un angle de la cabine je vois l’eau ruisseler sur des pieds, mais surtout c’est une queue manipulée par une main recouverte de mousse, lubrifiés par le gel douche, la paume et les doigts refermés servent de vagin, le gland écarlate émerge a chaque mouvements de poignet, aucun doute c’est Frédérique ! Scotchée par cette scène insolite je reste à mater en serrant les cuisses l’une sur l’autre, chez moi, c’est un moyen radical pour exciter mon clitoris, soudain, de longs jets blancs fusent loin devant lui
Je dois vite assouvir mon envie, je me réfugie dans la douche ‘handicapés ‘, là ou je sais trouver un siège plastique sur lequel je m’assois sur le bord des fesses nues, les jambes largement écartées, la pomme de douche dans une main, mes doigts maintiennent ma chatte ouverte afin de dégager le clitoris ou, les yeux fermés, je dirige le plus fort du jet, en repassant en boucle dans ma tête l’image de cette queue qui décharge abondamment
Dans l’autre cabine l’eau a cessé de couler, je réalise que j’ai oublié de fermer le verrou, trop tard, je ne peux plus stopper le plaisir qui monte, la porte vient de grincer …a mes pieds j’entends un souffle court…soudain des doigts profitent de ce ma chatte soit ouverte pour s’y enfoncer, cette fois l’orgasme éclate, ma jute se mêle a l’eau, je lâche la pomme car mon clitoris est devenu très sensible , les doigts continuent de ramoner mon point G , le plaisir revient sous une autre forme, j’offre totalement mon ventre aux caresses

- Branle-moi petit salaud !
- Je vais faire mieux que ça, je vais te baiser !
- Alors baise-moi !

Je ressens un grand vide lorsque les doigts se retirent…aussitôt remplacés par un bout rond et soyeux qui cherche l’entrée de ma vulve, Frédérique, en bon amant, prend le temps de me pénétrer par petites poussées

- Je savais que ta chatte m’appartiendrait un jour, t’as une bonne tête de salope
- Il y a longtemps que je rêve de prendre ta grosse queue dans la moule
- Prends là toute entière dans le ventre, tu es bien serrée pour une vieille
- Ton membre me comble, tu déploie bien mon vagin, Hooooooooooo va-yyyyyyyy ! défonce-moi !
- Accroche toi a mon cou, je vais m’assoir a ta place, tu va sauter sur ma bite a ta guise
- Ouuuuiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, je vais me défoncer la connasse

J’ai jouis deux fois en trois minutes sans que Frédérique ne décharge, il triture mes seins qui tressautent au gré de mon rodéo sauvage sur sa verge, enfin mon jeune amant affiche tous les signes de la jouissance proche, il se raidit et arrose copieusement mon utérus, mon ventre recrache illico le trop plein, j’ai encore envie de baiser, mais un imprévu vient tout bouleverser …

- Que faites-vous là ? Mais ? C’est madame G. ? Avec un élève ? Je rêve ? Arrêtez ça de suite !
- Pardon monsieur, excusez mon élève, c’est ma faute, je me suis trouvée mal sous la douche, heureusement Frédérique passait par là et m’a immédiatement porté secours
- C’est sans doute les gémissements que j’ai entendu ! Vous êtes bien revigorée ! bien que je vous trouve une petite mine, auriez vous besoin d’un homme ? Un vrai ? Je bande comme un âne, avec la trique que j’ai vous allez péter de joie ! Barre-toi de là petit, laisse la place aux adultes
- Si j’accepte, vous ne nous dénoncerait pas ?
- Promis… à condition que nous recommencions à chaque visite du lycée
- Je n’ai pas le choix, finissons-en, allongez vous sur le carrelage car j’ai peur de glisser, je serai plus confortablement assise sur votre gros ventre
- Ça me va, enfilée sur ma queue tu ne risque pas de glisser ! Profite-en pour la prendre aussi petit, chaude comme elle est elle va apprécier nos deux membres

Le gardien baisse son pantalon et s’allonge sur le sol mouillé, il maintient un vrai braquemart à la verticale, le temps que je me positionne au dessus de la queue ma chatte continue à déverser son trop plein de foutre sur ses poils drus, Frédérique nous regarde en se masturbant lentement, la bite du gardien est avalée par ma chatte hyper lubrifiée, l’homme saisit mes épaules pour m’obliger a me coucher sur lui, ainsi positionnée mon cul est offert, sans défense, le garçon l’a compris et vient derrière nous pour commenter ce qu’il voit

- Votre moule est pleine à craquer madame pourtant j’ai envie de voir si je peux trouver une place pour ma bite
- Au lieu de causer enfonce lui un doigt et tire une lèvre vers l’extérieur tu vas t’apercevoir que tu pourras y mettre ta queue
- Vous êtes vous déjà faite sodomisée ?
- Oui mais pas avec une verge en même temps dans le vagin
- Ça vous dit d’essayer ?
- Ce ne sont pas des choses qui se crient sur les toits, il faut agir et tu verras bien si je suis d’accord
- Décide-toi le môme ! j’ai envie de la bourriquer

Des bruits feutrés indiquent qu’il cherche la position adéquate, un doigt inquisiteur s’infiltre a coté du membre qui me bouche le vagin qui est étiré sans ménagements

- Ça va aller …y’a de la place pour deux

Un deuxième gland remplace peu à peu le doigt, la queue déjà présente en moi est repoussée vers le haut venant côtoyer mon clito, ce qui présage une belle sensation lorsqu’ils vont se mettre ‘en branle’, mes chairs sont malmenées, chaque millimètre de mon étui vaginal est étiré a l’extrême
Le gardien donne le signal en soulevant d’un coup sec son bassin, Frédérique y répond en se retirant légèrement, en quelques va-et-vient ils trouvent la bonne cadence, délicieusement coincée entre mes deux amants je n’ai aucuns efforts à produire
Des bruits inconvenants sont crées par l’air absorbé puis refoulé par les cylindres de chair, le jeune homme pousse de feulements de bête féroce

- Hhhhhooooooooooo putain, c’est trop bon de frotter sa bite sur une autre bite !
- Tu devrais changer de trou avant de juter
- NON ! ne faites pas ça je vais avoir mal !
- Ne t’occupe pas de ce qu’elle dit, elle nous remerciera quand elle va grimper aux rideaux

Sa queue sort de mon vagin créant un vide quasi insupportable, mais cela ne dure pas, mon œillet est repoussé avant de s’ouvrir comme une fleur pour avaler la queue, à nouveau remplie il ne m’en faut pas plus pour décoller, les orgasmes se succèdent, le gardien vient de décharger sa semence incandescente, sa queue perd rapidement de volume et glisse de mon vagin qui se vidange sur son ventre, rendue plus autonome, le jeune me saisie par les hanches et me fait subir une chevauchée sauvage avant de succomber a longs jets dans mon fondement, ventre contre fesses , comblé et vidé il se relève me laissant m’effondrer sur le carrelage glacé
Mes amants se tapent dans la main en riant avant de se diriger vers la douche