Les Gémissements De Ma Voisine
Au lit depuis près d'une heure, je ne trouve pas le sommeil comme ça m'arrive ces temps-ci. Et comme ça arrive très souvent dans mon appartement mal isolé, j'entends les voisins faire leurs petites affaires. Ma voisine ce soir est accompagnée, il est 2h du matin et elle et son compagnon font tout pour être le plus discret possible. Malheureusement j'entend tout et ne peux faire autrement. Elle commence à gémir lascivement, ça dure un temps.
D'abord ça m'agace, j'ai envie de dormir et je suis seul dans mon lit. Puis ça m'excite, je sens l'érection incontrôlable et cette sensation que toute l'énergie de mon corps est à présent concentrée dans mon pénis, c'est évidement agréable, et sa jolie voix maintenant me remplit de sa sensualité. Comment décrire cette excitation particulière, ce plaisir par procuration ? C'est que je la croise tous les jours, toute habillée et toute en politesse. C'est aussi une amie, on a emménagé ensemble et de temps en temps on prend un café. Et là je partage son intimité. Ses cris se transforment en rire, en fait c'est à ce moment que je la reconnais car je l'ai vu rire et pas jouir. Ils discutent un peu à voix très basse puis elle recommence à crier, une autre forme de cri, plus aigüe et plus court aussi, plus vif et invariablement, elle exprime son plaisir qu'elle ne peut réprimer et je l'en remercie.
Je me laisse alors aller à presser mes doigts contre mon sexe. Je suis tendu, dur et mon esprit vogue alors en même temps que leurs corps exultent. Je repense à une ex qui l'entendait jouir la nuit et le matin lui en voulait pour avoir gâché son sommeil. Il faut dire qu'elle n'aimait pas jouir à haute voix. D'autant que quand on a l'habitude de passer du temps chez moi, on est facilement inhibé par la mauvaise isolation... je trouve ça un peu triste qu'elle n'ose pas déployer sa gorge qu'elle avait pourtant superbe... Les petits cris ont disparus, lui a dû jouir en silence et ils doivent maintenant s'enlacer dans une torpeur satisfaite.
Mais je suis vraiment dur comme de la pierre alors j'imagine la scène et me fabrique les images. Si j'entends si bien sa voix, c'est qu'elle était dans la cuisine car c'est la pièce qui est collée à ma chambre, et mon lit est collé au mur que l'on a en commun. Je connais son appartement, je la vois assise en face de son amant. Leur regard qu'ils s'échangent tous les deux suffit à manifester leurs désirs réciproques. Lui je ne sais pas à quoi il ressemble mais elle, je la voix le fixer de ses yeux noirs, ses cheveux noirs lui tombant nonchalamment sur le visage, se mordillant sa lèvre inférieure pulpeuse et le sourire en coin. Il veut la baiser, elle a très envie qu'il l'a prenne. Il pose sa main sur sa cuisse, je les imagine en petite tenue du soir, elle écarte les jambes et lui s'agenouille pour lui lécher sa petite chatte humide. Elle est inconfortablement assise sur sa chaise, une jambe par dessus l'épaule de son homme et l'autre posée au sol mais elle se laisse aller car il fait ça avec délectation, patience, attentif au plaisir qu'il lui procure. J'aimerai connaître le goût de son entre jambe. Elle pousse ses petits gémissements lents jusqu'à l'orgasme et les derniers coups de langue qu'il lui donne la chatouillent alors elle rit. Puis elle se lève, se dénude et lui aussi, il la prend alors en levrette en un mouvement régulier où chaque fois qu'elle sent sa bite s'enfoncer à son maximum, à chaque claquement de fessier, elle pousse un petit cri vif et aigüe. Mais les cris s'estompent bientôt alors il a dû jouir en elle pendant qu'il lui tenait les fesses fermement considérant cet ébat nocturne comme un peu brutal et qui sort de son ordinaire.
Je suis déçu par ce dénouement et j'imagine comment je lui aurais fait l'amour à sa place. Comment je l'aurais prise en variant mon étreinte, les moments où je l'aurais saisie pour l'embrasser et quand j'aurais senti le sperme monter, je me serai arrêter et l'aurais emmener dans la chambre. Je l'aurais baiser en missionnaire lentement pour pouvoir l'embrasser, me coller à elle et sentir ses seins contre mon torse.
Je dois être de mauvaise langue car je les entends s'affairer : il recommence à bander, elle recommence à gémir, il commence à grogner et je commence à venir aussi. Et oui, c'est cet inconnu qui a le privilège de la faire jouir. Je ravale mon amertume et empoigne ma virilité, je vais éjaculé à leurs santés...
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