La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 398)

Vanessa au Château - Suite de l'épisode N°393 -

L’homme, lequel Vanessa ne sait pas encore si c’est son Maître s’avance vers elle, et d’une main lente caresse et s’attarde sur le galbe de ses fesses striées par la badine, toujours sans rien dire Il fait glisser un doigt entre ses jambes pour la découvrir dégoulinante, Il sourit.

- Eh bien, il semble que tu aies appréciée la sanction, dit-il calmement en brisant ainsi le silence.

Vanessa est heureuse de se savoir enfin près de Lui, mais honteuse que son corps ait éprouvé autant de plaisir d’un châtiment qu’elle n’a pas aimé.

- N’est-ce pas soumise ? insiste-t-il pour avoir une réponse des plus prompte
- Non Maître, je n’ai pas aimé, mais c’était un passage nécessaire pour me faire pardonner et en cela je suis heureuse de l’avoir subi.
- Ce n’est pas ce que ton corps dit, répond-t-il ironiquement tout en détachant ses liens. Assieds-toi sur le bord de la table.

Vanessa obtempère, ses fesses douloureuses sur le bois de la table, les jambes pendantes, elle patiente le bon vouloir de son Maître. Elle sent soudain une main sur son visage, persuadée qu’Il va la gifler, elle sursaute ce qui le fait sourire. Mais au lieu de cela, il caresse doucement sa joue droite.

- Bien, aujourd’hui je vais te livrer à un ami qui m’est très cher, j’espère que tu seras à la hauteur de la confiance que je te donne. Toutefois, avant de te livrer à lui, je vais user de ton corps en ces lieux, afin que je sois le premier à pénétrer chacun de tes orifices depuis que tu m’es soumise.

Le visage de Vanessa se ferme, elle est heureuse qu’Il daigne enfin la prendre, mais elle n’a pas eu le temps de jouir depuis longtemps et craint de ne pas respecter cette interdiction s’Il l’honore de son noble et viril membre.

- Ne t’inquiètes pas autant, tu vas avoir le droit de jouir, autant de fois que tu le veux, mais pour chaque fois tu devras me demander l’autorisation et attendre mon accord, ce sont les seules fois où tu pourras parler.

As-tu bien compris ?
- Oui Maitre, merci Maitre, dit-elle soulagée d’un ton qui respire la sincérité.

Le Noble sourit, amusé de voir la jeune femme comblée de savoir qu’elle va pouvoir enfin jouir. Sans dire un mot, il se saisit d’une barre d’écartement accrochée au mur, puis attache les chevilles de Vanessa à chaque extrémité par les anneaux des bracelets de cuir. Il la pousse doucement pour qu’elle s’allonge sur le dos, puis il prend ses bras pour attacher chacun de ses poignets à côté des chevilles. Vanessa comprend qu’ainsi ses orifices sont offerts au bon vouloir de son Maître, et qu’Il va la prendre à même la table. Mais elle entend un bruit de chaîne qui descend du plafond par un mécanisme d’un palan électrique. Son Maître se saisit de l’extrémité de la chaîne puis à l’aide d’un gros mousqueton l’attache au centre de la barre. Le mécanisme se réenclenche et Vanessa se sent quitter la table pour être soulevée à gauche de celle-ci, son corps est ainsi suspendu dans les airs, les mains de son Maître sur ses fesses la guident pour réduire le balancement le temps du déplacement latéral. Puis Il la lâche et réenclenche le mécanisme pour régler la hauteur. Le Marquis d’Evans la regarde, ses deux orifices à portée de Son sexe, ses bras et ses jambes écartés. Ce corps ainsi offert est un appel à la luxure, Il ressent même l’envie de la cravacher, mais ne souhaite pas la marquer d’avantage, Walter ayant un peu trop appuyé à son goût, avec la badine. Alors, Il défait la ceinture de son pantalon, l’ouvre et en sort son sexe déjà tendu et gonflé. Sans dire un mot, il s’enfonce dans les chairs humides de la jeune femme. Elle sent son intimité se serrer autour de cet intrus, et le lent mouvement de va et vient qu’imprime son Maître a vite fait de la faire monter en plaisirs. Ainsi elle ne tarde pas de s’écrier :

- Maître, j’ai envie de jouir, s’il vous plait, autorisez-moi …
- Si vite petite chienne …? interroge Le Marquis souriant… Attend un peu, c’est trop tôt…

Résignée à obéir, elle sent l’afflux de sang envahir son bas-ventre, elle contrôle son plaisir tant bien que mal, et repousse avec déception cette envie trop longtemps attendue.
Monsieur Le Marquis accélère son mouvement et imprime des coups de plus en plus puissants dans le sexe de la jeune femme qui se sent défaillir. Quand au bout de longs vas et viens, il daigne enfin lui dire :

- Tu peux jouir maintenant.

Vanessa entend Ses paroles comme une bénédiction, elle se relâche et sent le plaisir monter dans un long cri et laisse éclater sa jouissance puissante telle une décharge électrique qui transcende tout son corps, humidifiant d’avantage son entrejambe. Elle tente de se remettre de cette délivrance, mais son Maître continue de la prendre sans ménagement à grands coups de boutoirs.

- Maître, s’il vous plait, je n’en peux plus, j’ai besoin d’une pause, implore-t-elle haletante.
- Hors de question, mais tu peux jouir autant que tu le souhaites. Et tu seras punie pour avoir parlé autrement que pour demander le droit de jouir, répond-t-il calmement.

La jeune femme qui ne parvient pas à se remettre de sa jouissance sent une nouvelle vague envahir son bas-ventre. Et c’est dans des cris de jouissance encore plus forts, qu’elle hurle une nouvelle fois son plaisir au moment où l’orgasme la submerge. Son corps tendu se relâche, elle perd pied, moment où son Maître décide de changer d’orifice… Sans plus de préparation, puisque Son sexe est complètement trempé de la jouissance de la jeune femme, Il s’introduit dans son fondement pour sodomiser Sa soumise. Vanessa aime l’anal, elle l’a toujours su, puisqu’avec ses propres jouets, elle préférait ce chemin. Et alors que son Maître force son anus, et qu’elle ressent avec excitation les mouvements de pénétration dans ses entrailles, elle sent à nouveau le plaisir monter.

- Maître… Maître, s’il vous plait, puis-je jouir, ose-t-elle.
- Décidemment, s’amuse Le Noble heureux d’avoir comme soumise une telle chienne en chaleur. Attend encore !

Il continue ses assauts jusqu’à ce que son cul soit entièrement dilaté, puis il se retire d’un coup.
Vanessa reste pendante, dans l’attente, dans l’espoir de pouvoir encore jouir. Il s’éloigne, ouvre un placard, se saisit d’un plug d’une grande taille puis revient vers elle. Sans ménagement le Marquis d’Evans enfonce l’objet dans son fondement, libérant une nouvelle vague de plaisir chez Vanessa. Puis il se replace face à elle et s’enfonce de sa verge raide et longue comme dans du beurre dans son sexe dégoulinant.

- Tu peux jouir, annonce-t-il.

Cette double pénétration est tellement excitante qu’elle ne tarde pas à partir dans un nouveau cri jouissant longuement sous les assauts virils de son Maître. Exténuée de toutes ces jouissances, elle voudrait lui demander de stopper, mais se retient de faire une nouvelle faute, et chancelante attend qu’Il se retire. Après de longues minutes Le Marquis rempli son intimité de Sa semence par de longs et épais jets et dans des râles de jouissance et la jeune femme sent le sexe de son Maître se contracter par à-coups. Il se retire, Vanessa pense qu’elle va pouvoir avoir un peu de temps pour récupérer, mais Il revient rapidement près d’elle.

- As-tu quelque chose à dire, interroge-t-il faisant comprendre à Vanessa qu’Il attend quelque chose d’elle.
- Oui Maître, merci de m’avoir honorée ainsi, et de m’avoir autorisée plusieurs jouissances.
- Et quoi d’autre, accuse-t-il.
- Et je Vous prie de bien vouloir accepter mes excuses pour avoir parlé sans autorisation.
- Et ? continue-t-Il faisant comprendre qu’Il attend d’avantage.
- Euh…je ne vois pas Maître.
- Et tu ne penses pas mériter une sanction ?
- Si…si Maître.
- Eh bien, tu dois me demander de l’appliquer, lui explique-t-il calmement.
- Oh Maître, je Vous prie de bien vouloir me punir pour ma faute.
- Et que penses-tu mériter ?
- Le…la…la cravache ose-t-elle sans trop savoir ce qu’Il attend comme réponse.
- Combien de coups ?
- Dix, hésite-t-elle
- Je pense que tu ne mesures pas la valeur de tes fautes, je t’ai autorisé la jouissance et tu as désobéis, c’est beaucoup plus grave.
Ce sera donc le double soit vingt coups.

Disant ceci, il att la cravache, se recule et frappe avec une cadence digne d’un métronome le cul et le derrière des cuisses de la jeune femme. Elle sert les dents, décidée à tenir, trop orgueilleuse pour vaciller, décidée à Lui montrer qu’elle est digne de Lui appartenir. Arrivé au vingtième coup Il se retire et attend. Mais Vanessa ne comprend pas qu’Il attend qu’elle parle, aussi Il lui rappelle calmement les règles.

- Après chaque punition, tu dois remercier
- Merci Maître d’avoir daigné prendre de Votre temps pour parfaire mon éducation.

Il se recule, prend un objet dans un tiroir et applique un instrument froid contre le clitoris de Vanessa tout en faisant tenir le manche avec du scotch le long de sa cuisse. Alors qu’elle se demande ce que cela peut bien être, elle sent des vibrations de plus en plus fortes venir de l’objet.

- Bien, je vais te laisser ainsi, ce vibromasseur va se charger de vider les dernières jouissances qu’il te reste à livrer. Jouis autant que tu le veux, je reviendrais lorsque je jugerai que cela suffit.

Pui sans un mot de plus, il quitte les lieux, laissant Vanessa haletante qui se demande désespérée comment elle va faire face à autant de jouissances. Elle a envie de lui crier de ne pas la laisser ainsi, mais accepte sa condition et tente de lutter contre l’objet. Toutefois, elle comprend vite que la lutte ne sera pas possible, l’objet vibre sans discontinuer avec une force bien plus grande que la plupart des vibromasseurs qu’elle a déjà utilisés, et elle ne peut pas y échapper. Elle laisse donc les jouissances venir, et sans s’arrêter, Vanessa jouit dans des cris toujours plus grands. Ce sont encore trois ou quatre orgasmes qui se libèrent, qui explosent en elle et la jeune femme ne sait plus combien en réalité, elle ne parvient plus à les compter, il lui semble qu’elle n’est plus que plaisir. Elle perd pied, commence à sentir son esprit s’embrouiller et plonge dans un état second proche de l’évanouissement. C’est le moment que Le Noble choisit pour revenir, Il est satisfait de la trouver ainsi offerte, ne tentant plus de lutter. Il retire l’objet, fait descendre les chaînes Vanessa est ainsi allongée au sol toujours prisonnière de la barre, libère Vanessa de chacun de ses bracelets, lui retire son bandeau et la prend par la main pour qu’elle se relève. Ses jambes ne la tiennent plus et elle peine à le suivre jusqu’au canapé où Il lui autorise à s’asseoir à Ses côtés. Les yeux toujours baissés, elle reste assise près de Lui, toujours dans un état second. Il l’allonge faisant reposer sa tête sur Sa cuisse, puis doucement lui caresse les cheveux tout en lui souriant avec tendresse. Elle se laisse aller dans cette caresse qui la surprend mais qui la détend. Elle se sent bien… Un bien-être l’envahit …

- Bien, il est 13h, tu vas avoir un peu de temps pour récupérer, et manger, je te veux en forme pour ce soir, comme je te le disais, je reçois un ami qui m’est très cher et à qui je souhaite dévoiler ton visage. Es-tu prête à accepter cela ?
- Oui Maître, dit-elle certaine de Lui faire entièrement confiance.
- Parfait, reste ici, repose-toi, on va venir te chercher pour te préparer.

Puis Il se lève, l’embrasse avec douceur sur ses lèvres. Il la couvre d’une couverture polaire, et quitte la pièce. Elle ferme les yeux et s’endort exténuée par les jouissances à répétitions qu’elle a du subir…

(A suivre …)

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