Mes Amants Se Marient (1)

CE MARIGE…
Quand je reçois l'invitation au mariage d'un cousin, c'es une occasion pour retrouver un peu la famille et pour danser toute la nuit ave une musique populaire… J'aurais hésité à venir si je n'avais pas gardé une petite relation amoureuse avec celle qui est aujourd'hui la mariée. Et puisqu'elle aussi m'avait invitée, je me suis assuré qu'elle ne lui avait pas parlé de nos ébats à trois avec mon amant gardien.
Ils me reçurent tous deux avec des bises familiales respectueuses, mais chaleureuses… Je me suis retrouvée assise à une table où j'étais intruse parmi des couples, sans pouvoir montrer ma gêne… Mais dès qu'une cousine vient me faire la bise, je lui demande du secours, et dès le morceau suivant, une autre cousine m'invite à danser avec l'insistance qu'il faut…
Au moment de nous rassoir, ma place était prise et mes cousines avaient une table de l'autre coté du jardin, ce qui me permit de fumer et de boire un coca… Les cousines fumeuses parlèrent de leurs respectives et l'une d'elles me demanda clairement de ne pas toucher à sa visée… Je leur promis à toutes de rester sage puisque je suis mariée et c'est un éclat de rire, alors que je remarque une caresse un peu suspecte entre les plus jeunes … se rendant compte que je les avais bien vues, elles se confondirent en explications pour me faire comprendre que ce n'était qu'un accident
-un accident peut vite arriver, confirmai-je, et j'aime ça…
-merci, dit Fadwa, qui est une cousine un peu plus proche, m'invitant à oublier l'incident…
-je n'en parlerai jamais Fdiwa, mais comment oublier vos charmes sans les avoir explorés?
-je suis d'accord dit la seconde, me présente comme étant Hjila. Je leur fais des bises assez proches, avant de rejoindre toutes trois la piste de danse…
Quand on joue une danse pour duo, un homme m'invite et elles continuent ensembles…
Quand les vois rejoindre notre table, je demande pardon à mon cavalier pour les rejoindre et fumer une cigarette… Nous prenons os cigarettes et aucune de nous ne retrouve son briquet… Mon cavalier qui m'avait suivie me proposa du feu et me fit une bise et en profita pour faire la on bise aux deux autres qui n'y virent pas d'inconvénients.

Il demanda à prendre place à notre table sans l'attendre, pour prendre place à côté de moi. Les deux petites lui posent une série de questions à propos de son ex-femme, il leur explique qu'il préfère que ce soit ainsi fini…
Pour ma part, ma condition de femme mariée imposait un avis différent, et la rupture devrait être la dernière solution envisageable…
Pour exprimer son accord avec moi, il s'aventura à déposer sa paume sur mon genoux nu que je retire doucement, tout en lui souriant.
Puis, en accord avec les filles, nous reprenons la direction de la piste. Dès que nous arrivons, je me retrouve face à lui, pour une danse assez serrée avec une main indiscrète sur ma fesse.
Au petit matin, un cortège se constitue pour accompagner les mariés sur la côte pur les dernière photos avec le couple, et je suis dans ma voiture avec trois jeunes filles et celui que je commençai à trouver intéressant…
Pendant que je prends une photo avec eux la marié me passe son numéro de tel qu'elle met dans mon soutien et me dit:
"si tu ne devines pas ce qui me manque, appelle-moi chérie".
Nous déposons la troisième fille devant une villa, puis notre "cousin" nous invite à prendre le café matinal chez lui. Les petites sont ravies et je n'ai pas envie de dormir sans me faire tirer…
Une fois chez lui, il fait tout pour nous mettre à l'aise, et au lieu du café, nous recevons une petite collation, puis de la vodka… Les petites se collèrent l'une à l'autre et notre m'invita à l'aider pour les mettre à l'aise. Nous les séparons, les embrassons fougueusement alors qu'elles sont plus que consentantes, pour ne pas dire pressantes…
Puis, laissant les petites à part, il me regarde profondément en disant:
-Tu sais ce qui me hante depuis minuit?
-Oui, ma fesse que tu as allumée depuis…
-Non ma belle, tout ton corps… montre le nous…
J'enlevai ma ceinture mais il me demanda de faire un lent streap-tees bien excitant pour tous…
-je n'ai jamais fait ça, dis-je en jouant l'humiliée
-Il faut toujours une première fois, ma belle, vas-y tranquille…
Il mit une musique douce et me dit:
-Sur ce rythme, ce sera beau… vas-y et imagine que tu as un public de fans… Mets les pans du caftan à coté de tes seins ma belle… Hjila gémit et Fdiwa admirative fait un "ooooh"
-tu vas d'abord ressortir un de tes beaux de son moule…

Et comme je tardais à e faire, Hjila le fis pour moi, me mettant un peu en gêne…
Fadwa posa un petit tabouret devant moi et me dit:
-Mets un pied dessus qu'on puisse se délecter à tes belles cuisses, et quand je relève mon pied, elle prend l'arrière de ma cuisse comme pour la mesurer, et je ne peux rester insensible à la caresse… Notre hôte me déposa une bise sur ma nuque avant de faire couler le caftan le long de mes bras et de mon dos.
Hjila embrassa le sein ressortant de mon soutien-gorge avant que Fdiwa ne le dégrafe enfin pour le laisser tomber à terre…
Notre hôte, qu'elle nommèrent Azzouz, leur attribua à chacune un de me seins, lui s'occupe de l'essentiel comme il dit: mes orifices, je suppose;
Puis elles m'attirent sur un divan ou je me retrouve les jambes bien écartées par les leurs, et Azzouz joua le héro en m'offrant un cunni mémorable… chacune de mes mains trouva de son côté une chatte mouillée à soigner… Azzouz me pénétra facilement et son calibre me fit monter très haut, plus que jamais lui dis-je pour pimenter…
-La première face est super, reste à explorer le verso, n'est-ce pas ma belle?
Je fis semblant de ne pas entendre, et lui le redit en vantant classiquement la sodomie, alors que je la dit douloureuse et dégoutante. Ils s'y mettent à trois pour me renverser doucement alors que je supplie en pleurnichant. Je continue pendant que je suis lubrifié et sucée de partout. Quand je sens un gland sur ma rondelle je le supplie de ne pas m'enculer alors que les petites me rassurent…
Quand il me pénètre, je crie ma feinte douleur et quand il jouit en moi je maudis cette rencontre… Les petites me consolent et m'assurent leur discrétion et celle de Azzouz.
Ce n'est que plus tard que je lui avouerai ce que je suis.