Us3 - Ma Secrétaire
Rappel : mes récits US sont des récits courts vécus. Ils ne sont pas romancés ... J'ai conservé
ma secrétaire pendant longtemps. Confidente, complice .... une perle rare.
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Mon bureau vide
Dans les bureaux personne. Tout est désert ce soir tard. J'attendais ce moment avec avidité, et ma secrétaire aussi. Mamelles tendues sous le chemisier. Croupe de jument. Ses yeux brillent d'une délicieuse concupiscence lubrique. Verge bandée dans le pantalon. Moi d'un côté du bureau, elle de l'autre. Masturbe-toi. Les yeux hagards, elle s'exécute et passe sans réfléchir au-delà d'un carcan de pudeur qui l'emprisonnait jusque-là. Le bouton du jean se libère, et sa petite main passe sous la toile. La motte ne tarde pas à être cajolée par les doigts en coquille. Les hanches se soulèvent du siège pour libérer l'endroit. Les hanches ondulent. Ses yeux me fixent et m'affolent. J'entends le frottement presque imperceptible. Mes mains écartent les pans du chemisier. Le soutien-gorge contient à peine les seins lourds. Je les soulève et les pose sur le bureau. Tétons tirés, doucement triturés. Comme deux interrupteurs qui déclenchent la suite. Elle s'appuie sur un bras, penchée vers moi. Un petit bout de langue rose fait son apparition. Mes lèvres s'en emparent. Les soupirs suivent. Sourire de bien-être, paupières fermées. Exploration sensuelle et méticuleuse, de part et d'autre. Creux de mes mains en panier pour les deux melons soyeux qui se raffermissent. Sa main libre attire ma nuque. Avidité.
Je suis aux anges. J'aperçois ses taches de rousseur juvéniles. Pourtant plus une gamine. Il faut que je la rejoigne. Derrière elle, je contemple la posture. Impudique chute de reins qui commence à se dévoiler. Culotte noire en filigrane, sous deux fossettes affriolantes. Je saisis la poitrine qui est retombée quand son corps s'est reculé vers moi. Mon pubis contacte la rotondité de ses fesses. Son ventre épouse le tabouret de secrétaire, les mains en appui sur le coussin, de chaque côté.
Je sens l'orgasme éclore au fond de ses entrailles. Il s'extirpe de son enveloppe pour parvenir au fond de mon cur qui s'extasie toujours autant à cet instant. Enchantement animal. Cette petite femme irradie et m'inonde. Je m'imprègne de son odeur. Je flatte le velours de sa peau et elle me le rend par la courbure de son dos, l'oscillation de son corps, les contractions de son ventre. Elle ne veut pas me laisser dans cet état. Elle descend du siège, se retourne et me tend la main pour m'inviter à me relever. Bouches et langues à nouveau réunies. Gémissements sourds et respiration altérée. Je me retrouve le bas du corps nu, emprisonné dans la tenaille de ses cuisses relevées. Ses talons joints dans mon dos me plaquent contre son abdomen en sueur. Assise face à moi. Mes bras sous les siens, je la soutiens. Ses mains ainsi libérées me guident en son intérieur, tout entier. L'une d'elle offre un chaud abri aux testicules, l'autre ouvre les portes. La pénétration est liquide et électrique. Moment d'extase. Presque pas besoin de bouger.
Une union longue et serrée. Ma poitrine et mon cou sont assaillis par ses lèvres et sa langue humides. Je trempe deux doigts dans la tasse de café que j'ai à peine entamée, avant. J'en étale sur un de ses tétons, puis le lèche, lentement. Je tète, aspire. Douce amertume que je partage avec elle. Cela se resserre, en bas, dedans. Elle remonte encore plus les cuisses, les écarte. Tu peux venir là, aussi
L'illet est à peine ouvert. Il appelle. Une fois dans ce fourreau, je sais que je vais jouir. Elle le sait aussi. C'est ce qu'elle veut. Quand je sors mon petit sexe, de ses lèvres pulpeuses, un filet de liquide ténu me relie encore à elle. Je force l'anneau, dans un effort dosé. Je savoure chaque millimètre de la soie de ce passage. Je m'enfonce avec délectation. Elle goûte mon intrusion en me dévorant du regard, la bouche sifflante. Cela dure de longues secondes. Je suis au plus profond que je puisse aller. Je ne contrôle plus mes reins. Ils s'activent à espaces réguliers, par petits coups. Elle me glisse son plaisir à l'oreille. Je jouis ! Je jouis ! Je n'en finis plus de jouir
Paroxysme de nos gémissements. J'enfle, je me dilate. Contractions de nos sexes en communion. Et la semence se libère, s'écoule, s'écoule, s'écoule
Tout se brouille, s'accélère en moi. La décharge de nos sens est fulgurante, nous fait approcher l'abîme. Nos peaux fusionnent dans une étreinte sauvage et profonde. Absence.
Je ne veux plus partir
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