La Caille Et Les Deux Rapaces
ELSA, SANDY ET CHANTAL
CE RECIT EST UN TRAVAIL COMMUN ENTRE "EFFRONTEE" ET "FLORENCE27". ELLES ESPERENT QUE VOUS PRENDREZ AUTANT DE PLAISIR A LE LIRE QU'ELLES EN ONT EU A L'ECRIRE.
Elsa a trente ans, mince, une petite poitrine qui la dispense de se ruiner en soutien gorge, les cheveux mi-longs une teinture blonde méchée tellement bien faite que la couleur semble naturelle.
Un chemisier largement déboutonné laissant voir le globe de ses petits seins. Un jeans cache ses jambes qui semblent fines et longues.
Elsa est de mauvaise humeur, son voisin de droite ronflait et dans ces Mercure d'Air Inter on est serré comme des sardines. Pour se distraire elle s'est intéressée à la vue par le hublot et fatalement à sa voisine de gauche.
Presque une jeune femme et plus tout à fait une jeune fille. Les cheveux, d'un blond roux, tirés en queue de cheval. Elle a les yeux clairs, rivés sur des guides concernant la Provence, tant en Français qu'en Anglais.
- Vous allez visiter la Provence ?
- Oui, je ne connais pas encore, répondit-elle en Français avec un accent américain à couper au couteau. Je viens de terminer l'université pour être professeur de Français et j'ai pris une année sabbatique pour visiter chaque région de France.
- Vous verrez la Provence est une des plus belles. Prenez le temps d'aller flâner dans les petits villages ils sont tous très pittoresques.
- Je vous remercie, je suivrai votre conseil.
L'avion allait atterrir et la conversation en resta là. En son fort intérieur Elsa se dit que cette jeune américaine avait beaucoup de charme avec ses petites taches de rousseur et son sourire éclatant.
En quittant le hall des arrivées Elsa a rencontré des connaissances et ils échangèrent quelques banalités, tant et si bien qu'elle a retrouvé la jeune Américaine au bureau des locations de voitures. En habituée l'hôtesse lui dit que sa voiture était prête.
- Je vais passer une dizaine de jours dans ma maison du Lubéron, si vous voulez je vous offre l'hospitalité et je pense que mon voisin acceptera de vous faire visiter la région car moi-même je vais être assez occupée; je dois surveiller des travaux que nous faisons faire dans la maison.
- Vous êtes vraiment trop gentille, mais j'accepte bien volontiers car je n'ai, malheureusement, aucune solution à mon problème et serais très déçue de devoir renoncer à cette visite dont j'ai très envie.
- Bien la cause est entendue, mettez votre valise dans la voiture. Au fait quel est votre nom ? Moi c'est Elsa.
- Et moi Sandy.
Elles prirent donc la route pour un trajet d'une heure environ jusqu'au village au pied du versant sud du Lubéron où se trouvait la maison d'Elsa.
La route serpente à flanc de côteau. En bas on aperçoit par endroits la Durance et sa large valllée. Le fleuve a lair de paresser, alangui sous la chaleur de ce milieu daprès midi. Elsa regarde sa voisine qui a lair de boire le paysage si chaud en couleur. Elle semble rêver. Cette image a quelque chose de sesuel qui néchappe pas à la jeune femme. Des pensées lubriques se bousculent en elle. Mais aussitôt elle sefforce de les refouler. « Cette petite nest pas encore dans mon lit, du calme Elsa ». Pourtant elle a bien saisi une ou deux fois le regard de la jeune américaine plonger dans son décolleté, laissé nonchalemment débraillé !
- Dis-moi Sandy, tu nas pas trop chaud avec ce pull ?
- Oh oui madame et jai hâte de pouvoir me changer.
Elle dit cela avec une telle innocence quElsa se remet à fantasmer.
- Tu peux mappeler Elsa et on peut se tutoyer non ?
- Vraiment ? Jai du mal à tutoyer vous savez, mais je vais essayer. Vous, pardon, tu sais tellement me mettre à laise. Cest comme ça quon dit en français, non ?
- Tout à fait. On peut aussi le dire quand on enfile des vêtements légers lorsquil fait chaud comme maintenant.
- Ah Ok ! Je vais me mettre à laise alors.
Il fallut en réalité plus dune heure pour arriver à la propriété.
Celle-ci se composait de deux corps de bâtiment, dont l'un était réservé aux amis, mais Elsa n'avait pas envie de l'ouvrir. Elle installerait Sandy dans une des chambres de la maison principale et elles s'organiseraient pour partager la salle de bains. Sans arrière pensée ?
- Sandy tu t'installes comme tu veux, la salle de bains est en face, promène toi dans le jardin, moi je vais faire le planning de mes journées à venir. Je suis dans mon bureau au rez-de- chaussée n'hésite pas à venir me trouver si tu as besoin de quelque chose. Nous irons à pied prendre l'apéritif au village pour te le faire découvrir et irons dîner dans une crêperie très sympa !
- Parfait Elsa et merci encore
Je vais me mettre dabord de laise.
Elsa sourit :
- Non, me mettre A laise Sandy, pas DE laise !
Amusée, Elsa est allée faire le planning de ce quelle devait faire dans les prochains jours et a constaté, avec plaisir, qu'elle devrait se déplacer chez différents artisans disséminés dans les villages de la région ce qui lui permettrait d'amener Sandy avec elle.
Par la fenêtre de son bureau, elle aperçut Sandy se promener dans son jardin. Quelle était belle ! Elle avait passé un short style colonial assez large en coton blanc qui lui découvrait largement les jambes quelle avait nues. Dessus elle avait un teeshirt vert émeraude avec de fines bretelles qui laissaient ses épaules nues. « elle a vraiment de lallure », se dit Elsa, de plus en plus intéressée par la jeune fille.
Vers 19 heures elles allèrent au village pour l'apéritif dans l'un des deux cafés de la place centrale. Elsa connaissait beaucoup de gens et a présenté Sandy comme une amie américaine. Tout en parlant avec ses amis Elsa détaillait, mine de rien Sandy, et la trouvait de plus en plus à son goût. Mais Sandy aimait-elle aussi les amours saphiques ? « Laissons les choses venir » se dit Elsa. Après avoir bien refait le monde avec les amis, elles se dirigèrent vers la crêperie qui tenait plus du restaurant, avec sa cheminée centrale pour la cuisson des grillades. Elsa fut accueillie chaleureusement par Babeth qui officiait en salle tandis que son mari s'occupait des fourneaux.
- Je vous mets à une grande table au calme tu auras peut être des amis qui viendront et seront heureux de se joindre à vous.
- Tu as parfaitement raison, je serais étonnée de ne pas rencontrer des têtes connues ton restaurant est un des plus agréables du village avec sa jolie vue sur le château éclairé la nuit.
- Un pichet de rosé pendant que vous regardez le menu ?
- Excellente idée Babeth.
- Il faut que je fasse attention dit Sandy, je n'ai pas l'habitude de boire deux Ricard comme apéritif et du vin en plus, je vais être "pompette" comme vous dites en français.
- N'aie pas peur au pire j'irai chercher la voiture et je te mettrai au lit
A peine le pichet sur la table et les verres remplis, la porte s'ouvrait sur une jolie jeune femme aux cheveux sombres mi-longs, vêtue d'un chemisier suffisamment transparent pour voir qu'elle ne portait pas de soutien gorge, ce dont sa poitrine n'avait nul besoin. Un pantalon blanc très moulant laissait voir qu'au mieux, elle avait un string au pire, rien du tout. Elle avait des yeux verts qui subjuguaient qui croisait son regard.
Un rapide coup d'il à la salle et elle se dirigea vers notre table.
- Chantal ! Quel plaisir de te voir dit Elsa et se levant pour l'embrasser.
- Moi aussi je suis heureuse, je ne savais pas que tu étais ici.
- Je suis venue pour les travaux que nous allons faire. Je te présente Sandy, nous nous sommes rencontrées dans l'avion et comme Sandy ne sait pas utiliser une boite mécanique je lui ai proposé de l'héberger et de lui faire visiter la région au cours de mes déplacements.
- Seulement ? Cela m'étonne de toi, jolie comme elle est je ne crois pas que tu lui feras uniquement visiter la région.
- Arrête tes bêtises Chantal, lui dit Elsa d'un ton ferme mais en posant sa main sur celle de son amie et en la caressant doucement. Le geste n'avait pas échappé à Sandy dont le regard devenait rêveur tout autant qu'interrogateur.
Tout de suite Chantal fût troublée par la présence de cette jolie femme avec Elsa. Elle ne laissa pourtant pas transparaître une pointe de jalousie.
- Bienvenue Sandy. Beau programme. Naturellement vous pouvez compter sur moi pour vous emmener. Je ne travaille pas alors
- Assieds toi, Chantal, coupa Elsa, visiblement pour reprendre la main.
Une fois les commandes prises, les trois femmes dînèrent dans la joie et la bonne humeur, bombardant de questions la jeune Sandy qui, au fil des verres, devenait de plus en plus volubile.
Elle semblait autant séduite par chacune des deux femmes devant elle. Dans la salle, même si elles étaient un peu à lécart des autres tables, elles faisaient lobjet de lintérêt de tous les clients.
De temps en temps Elsa croisait le regard de Chantal et petit à petit un langage codé sinstallait entre les deux femmes. En clair, toutes les deux convoitaient la jeune caille, et toutes les deux allaient de concert rassembler leurs armes pour la conquérir. Un trio devenait de plus en plus probable.
Les yeux des trois copines brillaient ce qui les rendait encore plus belles au milieu du restaurant. Cette beauté faisait bien sûr des jaloux parmi les clients du restaurant.
Cest Elsa qui donna le signe du départ. Elle dit que comme le lendemain était un samedi, elles iraient au marché d'Apt et qu'elle ferait découvrir à Sandy les fruits confits.
- Si vous m'acceptez je viens avec vous, dit Chantal
- Bien sûr ma chérie on rit plus à trois qu'à deux et il n'y a pas que pour rire que ce soit très agréable.
Sandy eut un regard interrogateur mais ne posa aucune question sur cette réplique ambiguë.
Chantal lui fit une double bise si près de la commissure des lèvres quelles étaient presque des baisers. Sandy, indolente reçut le baiser en souriant sans que vraiment elle sente le sens caché de ce geste. Cela navait pas échappé à Elsa qui, complice, fit un clin dil à son amie.
Durant le dîner, les deux amies avaient appris que Sandy était de Boston que ses parents avaient une maison de vacances à Martha's Vineyard. Cela prouvait qu'elle était d'un milieu aisé, puisque la moindre bicoque de cette île vallait plusieurs millions de dollars. Elle n'avait pas de petit ami en titre mais aimait-elle les femmes ? Mystère !
Après ce dîner des plus agréable elles partirent à pied pour rejoindre la maison et Chantal continuerait seule pour atteindre la sienne un kilomètre plus loin.
Chantal et Elsa, sans aucune gêne, se tenaient par la taille, la jeune américaine les regardant d'un air goguenard. Arrivées devant chez Elsa cette dernière embrassa Chantal d'une façon qui ne laissait aucun doute sur leur relation.
- Sandy, dit Chantal, nous sommes toutes les deux mariées mais nous aimons aussi les femmes. Mais tu es peut être choquée ?
- Nullement je me demandais quand vous le diriez clairement car depuis le début du dîner je m'en doutais un peu.
Une bise sage sur les joues aux taches de rousseur et Chantal a continué son chemin, Elsa devant venir la prendre le lendemain vers neuf heures pour aller à Apt .
Elsa a souhaité une bonne nuit à Sandy et s'est dirigée vers son bureau pour étudier encore les plans du portail qu'elle souhaitait faire fabriquer par le ferronnier. Une heure plus tard elle est montée se coucher et passant devant la chambre de Sandy elle a entendu des soupirs qui ne laissaient aucun doute sur l'activité solitaire de la jeune américaine.
Il faudra que je passe un coup de fil à Chantal demain matin pour lui raconter. Fatiguée du voyage et de sa journée elle est tombée dans un profond sommeil plein de nymphes rousses avec des taches de rousseur
."
Le samedi matin, Sandy apparaît. Elle est sublime. Elle a laissé ses cheveux libres sur ses épaules. Ils paraissent encore plus roux à la lumière du matin. Un fin chemisier en soie bleue nuit laisse ses épaules nues. Elle a passé un nouveau short encore plus collant et court que celui de la veille. Elle a des jambes divines. Elle a un cou fin et long. Le chemisier est négligemment mal fermé. Ou volontairement ouvert ? Elsa imagine et déjà un frisson lui parcourt le corps.
Le lendemain, à peine réveillée Elsa téléphona à Chantal.
- As-tu bien dormi ma chérie ?
- Comme un bébé, mais avec plein de rêves où Sandy était présente.
- Je vais te faire rire. Quand nous sommes rentrées Sandy est allée direct dans sa chambre et moi dans mon bureau pour vérifier les plans pour le ferronnier. En montant me coucher je suis passée devant sa chambre où j'ai clairement entendu qu'elle se donnait du plaisir. Pour ma part, fatiguée du voyage je me suis endormie comme une souche, mais à voir l'auréole sur mon drap ce matin je n'ai pas dû faire des rêves très sages !!!. Bon pour le moment prépare toi nous passons te prendre dans une heure.
- Ok je serai prête.
Elsa se mit à préparer le petit déjeuner en attendant sa jeune invitée.
- Bonjour Elsa.
- Bonjour ma chérie, nous avons passé une soirée formidable. Je crois que Chantal mon amie a été séduite par ta beauté.
A ces mots, Elsa voit nettement les joues de Sandy rosir et même rougir. La petite est troublée.
- Tu sais Sandy, mon amie aime beaucoup les jolies filles et elle ne sait pas le cacher. Viens donc, je tai préparé un petit déjeuner « continental » mais avec tous les produits de la région.
- Hummm, que cest joli toutes ces couleurs et ces odeurs. Ce sont des images de la Provence que je mattendais à rencontrer.
La jeune fille sinstalle et elle dévore goulûment les mets délicieux proposés par son hôtesse. Elsa la regarde dévorer avec un plaisir non feint. Toutes les deux goûtent en cet instant le plaisir du moment présent.
Elsa avait sorti son cabriolet MG, cadeau de son père lors de sa dernière année d'études en Angleterre, il présentait l'avantage que l'on pouvait rouler en profitant du vent de la route en revanche il avait une conduite à droite ce qui n'était pas des plus pratiques sur les routes françaises, mais Elsa avait sa petite idée pour tirer avantage de cet inconvénient. La route jusqu'à Apt traverse le Lubéron du sud au nord, elle est assez sinueuse. Chantal s'est installée sur tout le long de la petite banquette arrière, la tête derrière celle de Sandy.
Elsa roulait vite mais la conduite à droite l'obligeait fréquemment à se pencher pour voir ce qu'il y avait devant elle. Elle s'appuyait sur la cuisse bronzée de Sandy et y laissait sa main plus que nécessaire.
Chantal dit sadressant à Sandy :
- Alors ma chérie tu aimes le paysage ?
- Oui beaucoup, c'est superbe !
- Et la main d'Elsa sur ta cuisse, tu aimes aussi ?
- Oh ! Oui elle est si douce.
- La mienne aussi peut être douce tu sais ?
- Je n'en doute pas. Tu me le prouveras je l'espère.
Elles arrivèrent à Apt, le samedi étant jour de marché, elles se garèrent assez loin du centre pour continuer à pied. Sandy s'était mise entre ses deux amies et leur entourait la taille de ses bras. Chantal et Elsa aimaient le contact de ces mains et prirent Sandy par le cou. Les courses furent vites faites, le charcutier, pour faire provision de saucissons divers, d'andouillettes et de merguez pour la barbecue du soir, le tout complété par des fromages de Banon vendus par un producteur.
Elles allèrent ensuite au magasin de fruits confits où Elsa était très connue.
- Bonjour Marguerite, je vous amène de nouvelles clientes.
- Bonjour Madame Elsa, je suis heureuse de vous voir.
- Marguerite je vous ai dit cent fois de me dire Elsa tout court, Madame Elsa fait trop tenancière de bordel.
- J'y penserai Madame Elsa.
- Je voudrais que mes amies goûtent le melon confit, une pure merveille.
La vendeuse a donné une tranche à Chantal attendant son verdict.
- Effectivement une pure merveille, viens goûter Sandy.
Gardant un morceau entre ses dents hors de sa bouche elle dit à Sandy de venir le prendre. Cette dernière s'est avancée et tout naturellement elle a collé ses lèvres à celles de Chantal pour se partager la tranche de la douceur, mais leurs lèvres sont restées jointes bien plus que nécessaire.
- Les filles vous dégustez quoi vos lèvres ou le melon ? Il me semble urgent de rentrer chez Chantal pour profiter de sa piscine et des bains de soleil. Vous ne voyez pas que la pauvre Marguerite est rouge de confusion devant votre conduite ?
Le retour fut rapide, Sandy passait pensivement une main dans son chemisier largement échancré.
Arrivées chez Chantal l'unanimité se fît pour un bain de soleil.
- Mais je n'ai pas de maillot s'exclama Sandy
- Crois-tu que nous en ayons un rétorqua Chantal tout en enlevant son mini-short dévoilant ainsi sa jolie toison brune.
Elsa ne resta pas en reste et prestement se retrouva nue en même temps que Chantal. Voyant que Sandy regardait partout à la ronde pour sassurer quil ny avait personne, les deux complices se jetèrent sur elle et en quelques secondes elle se retrouva nue à son tour.
Elles éclatèrent de rire toutes les trois tant cette situation les rendait heureuses.
Elles allèrent sasseoir sur le bord de la piscine, laissant leurs pieds prendre un peu de fraîcheur dans leau.
Elsa et Chantal encadraient la belle Sandy.
- Vous savez que je suis troublée ? Je nai pas lhabitude de me trouver nue devant des filles, et même des graçons ! Si mes parents me voyaient, eux si puritains !
- Tu ne dois pas être gênée avec nous Sandy, on a lhabitude de se retrouver nues toutes les deux.
- Je peux vous demander une chose ?
- Oui bien sûr répondirent les deux amies de concert.
- Jai envie que vous membrassiez toutes les deux.
- Comment ça, toutes les deux ?
- je veux goûter votre bouche à toutes les deux.
A ces mots, elle se pencha vers Elsa et colla ses lèvres aux siennes. Chantal avança une main et se saisit d'un sein, à l'aréole claire, près delle. Elle le caressait tout en regardant ses voisines échanger un baiser de feu. Elle voyait leurs langues jouer, rouler, séchanger leurs salives.
Ce baiser dura plusieurs minutes avant que Sandy se tourne vers Chantal pour se saisir maintenant de la bouche déjà ouverte. Elle lui caressait encore les seins et Sandy gémissait sous le coup des caresses et du baiser. Elsa ne se contentait pas de regarder. Elle avait glissé une main entre les cuisses de la jeune américaine qui sétaient ouvertes spontanément. Elle sétait emparée de son petit bouton avec lequel elle jouait pour le plaisir de la belle. La chatte de la jeune femme était cachée sous une toison rousse aux poils soyeux. Elsa aimait les pubis naturels et elle avait déjà envie dy plonger sa langue. Chantal gémissait, Sandy respirait de plus en plus fort oubliant toute pudeur.
Elles la firent mettre sur le dos, Chantal toujours accrochée à sa bouche. Allongée de lautre côté Elsa avait entrepris de soccuper de ses cuisses. Elle les ouvrit largement offrant le minou de la jeune femme aux caresses du soleil et de ses doigts.
Elles étaient belles toutes les trois nues au soleil. La jeune caille encadrée de ses deux vautours qui sacharnaient sur son corps.
Un fin duvet de soie cachait les lèvres du sexe de la jeune femme. Elsa qui adorait les chattes velues, le contempla quelques instants avant dy avancer timidement la main pour commencer à le caresser en faisant glisser les poils de la toison rousse entre ses doigts comme pour les peigner.
Chantal sétait quant à elle emparée des seins fermes et hauts plantés. Dans cette position allongée de leur propriétaire, ils semblaient tout petits comme ceux dune adolescente impubère. Cette image devait exciter Chantal au plus haut point. Elle en avait sucé des seins, des tétons mais en cet instant elle tenait entre ses lèvres dune part et ses doigts dautre part, la plus belle poitrine de sa vie.
Sandy gémissait de plus en plus fort maintenant. Oubliées son éducation puritaine et sa pudeur. Elle sabandonnait entre ces mains et lèvres expertes.
Toutes les trois profitaient pleinement du corps et des caresses des deux autres. Elles voulaient jouir ensemble. Nul besoin de parler, elles vivaient leur messe. Les deux louves soffraient la jeune caille sur lautel de leur jouissance. Mais cette dernière ne semblait pas être sacrifiée, elle sabandonnait alors quelle sentait monter en elle un plaisir jamais ressenti.
Elsa avait collé sa tête entre les cuisses ouvertes et ses lèvres lutinaient les liqueurs délivrées par le sexe béant de la jouvencelle. Car elle mouillait la belle, sous les touchers redoublés des deux prêtresses.
Au bout de trente minutes de ce traitement, elles sentirent que lextase montait et allait se transformer en une seule et unique jouissance des trois corps enchevêtrés. Alors elles libérèrent leurs gémissements pour en faire des cris quand elles se sentirent submergées par un orgasme divin.
A bout de souffle, les soupirs remplacèrent les cris. Repues elles se lovèrent en un seul et même corps pour recouvrer une lucidité qui leur éveilla un sentiment connu. Elles avaient faim.
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