L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 25) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Hélène, seule avec Procuste -
Le cul dégoulinant de sperme, le visage souillé de terre, Hélène gisait sur le sol tandis que Procuste se relevait, satisfait du plaisir qu'il venait de prendre dans l'anus de sa prisonnière. Le brigand avait fait durer la saillie en enculade aussi longtemps qu'il l'avait pu, retenant sa jouissance au-delà des limites qu'il pensait pouvoir éprouver. Car il tenait à marquer l'esprit de cette Femme livrées à ses caprices, dont il voulait briser toute fierté, toute pudeur, jusqu'à en faire une chienne toute dévolue à sa volonté. Et pour briser l'esprit, il était convaincu qu'il lui fallait d'abord asservir totalement le corps... Une conviction qui de plus, lui offrait l'occasion de satisfaire tous les désirs que lui inspirait la perfection plastique de cette belle créature qui se tenait recroquevillée sur le sol... Procuste contemplait Celle qu'il venait d'enculer de si gaillarde façon à la hussarde. Il vint à Elle et se pencha pour se saisir de la corde qui pendait au cou de la Femme, la défaisant... Pour s'en servir afin de lier les chevilles ensembles, avant de jeter la corde par-dessus la même branche que la veille et de hisser la captive, mais cette fois la tête en bas... Il fit en sorte de placer ainsi le visage de Hélène à bonne hauteur afin que sa bouche fut utilisable sans effort... Et dès la corde fixée, ne tarda pas à tester la position en enfonçant son sexe toujours enduit de leurs sécrétions communes entre les lèvres entre ouvertes. Encore épuisée, cherchant son souffle, Hélène avait ouvert la bouche pour aspirer une grande bouffée d'air et ne sentit que l'énorme tige de chair poisseuse qui forçait ses lèvres et investissait totalement sa bouche, poussant jusqu'au plus profond de sa gorge offerte. Tandis qu'elle luttait pour respirer, le brigand ne lui laissait aucun répit, allant et venant dans sa bouche et sa gorge, son sexe retrouvant déjà toute sa vigueur pour baiser ce nouvel orifice livré à son désir exacerbé.
Le brigand à l'épaisse barbe noire ne voulait rien épargner à sa prisonnière. Il aurait voulu la remplir de sa semence jusqu'à ce qu'elle dégouline de lui... Cette fois, il n'eut pas longtemps à attendre pour dégorger un épais flot de son plaisir, Hélène suffoquant lorsque la semence coula dans sa gorge renversée... Elle pleurait, du sperme s'échappait de sa bouche, et de son nez coulant... En riant, celui qui venait de se vider en Elle, la poussa doucement, provoquant un balancement du corps suspendu par les chevilles... L'abondante chevelure aux reflets d'or faisait comme une cascade s'échappant de la Femme dont il lia aussi les poignets dans le dos avant de l'abandonner pour aller se reposer un peu. Hélène sentait le sang affluer dans son crâne, ainsi suspendue la tête en bas, comme une vulgaire pièce de boucherie ! C'est bien ainsi que la brute la traitait, comme un bout de viande, de chair consommable selon sa volonté à lui et à lui seul. Et force lui était d'avouer, dans cette situation si difficile, qu'Elle prenait un profond et avilissant plaisir à être ainsi manipulée, besognée, baisée, possédée... L'homme était viril, puissant et sur de sa force... Il ne la considérait que comme une frêle proie qu'il allait façonner, dresser, avilir jusqu'à ce qu'Elle accepte totalement son pouvoir à disposer d'Elle. Et lorsqu'il l'aurait brisée, il s'en lasserait et la vendrait, comme une simple esclave...
Toute cette perversion excitait Hélène, même après ce qu'Elle venait de subir, Elle sentait encore ses sens aiguisés par la pensée de ce que ce mâle brutal et stupide allait lui infliger. Son désir était attisé par cette position avilissante dont Elle était bien décidée à jouir, jusqu'au moment où Elle déciderait d'y mettre fin. Mais le moment n'était pas encore venu ! Déjà, d'ailleurs, Procuste s'approchait à nouveau avec la verge dressée. "Quels appétits !" pensa Hélène tandis qu'il venait tout contre elle et, une fois encore, emplissait la bouche de sa prisonnière d'un épais bâillon de chair tendue.
Il la trouvait tellement Belle et tellement chienne ! Il voulait souiller cette beauté pour la rendre plus accessible, pour avoir le sentiment qu'elle devenait à sa hauteur. Car ce qu'il supportait si mal, c'était cette étrange sensation, que même au plus profond de l'humiliation, cette Femelle demeurait hautaine et supérieure. Elle n'esquissait portant pas la moindre résistance et subissait avec une docilité totale tout ce qu'il lui imposait. Lorsqu'il Lui parlait, Elle répondait humblement, approuvant docilement toutes ses paroles. Pourtant, il ne se sentait pas vraiment maître de la situation ! Cela l'énervait et l'excitait, exacerbait son besoin de traiter sa prisonnière de la plus perverse des façons. Il l'avait ainsi laissée pendue la tête en bas, se vidant en Elle avant, enfin, de la détacher en la laissant chuter sur le sol tout en veillant de ne pas la blesser car il ne voulait pas abîmer une si belle esclave qui lui assurerait une petite fortune par sa valeur marchande ! Il la laissa gigoter un instant, avant de poser son pied sur le visage dHélène qui s'immobilisa...
- Lèche mon pied! lança le brigand
Il prit un air victorieux, debout le torse bombé, la tête haute, et un pied sur le visage de la belle. Il avait lallure dun chasseur posant avec son gibier abattu sous son pied. Le bandit sentit instantanément la douce caresse d'une langue humide sur la base sale du dessous de ses orteils. L'homme fit ensuite promener son pied sur le corps nu étendu sur le sol.
Il déposa Hélène sur celle-ci avec une délicatesse inattendue, toujours pour ne pas la blesser afin quelle soit présentable au bordel le plus offrant. Puis, il se saisit d'un couteau à large lame. Il frôla de la lame froide le visage de sa captive, puis lentement, promena le fil de cette lame sur le corps entravé et vulnérable. Il stoppait soudain, appuyant un peu plus la pointe, sans toutefois faire jaillir une goutte de sang. Cette sensation était grisante pour Hélène, le froid de la lame sur sa peau... En Elle se mêlaient une onde de désir et le frisson de l'angoisse, Elle s'appliquait à demeurer immobile alors qu'elle n'avait qu'une envie... onduler au gré des gestes de son tourmenteur, se lover telle un serpent pour l'envoûter et qu'il lui accorde encore les bestiaux assauts de sa grosse queue... Procuste ne comprenait pas vraiment, mais il ressentait le trouble qui gagnait sa captive. Il avait le sentiment d'être en train de prendre l'ascendant sur Elle qui, malgré ses airs farouches et ses talents de combattante, n'était finalement qu'une de ces femelles dont il était tant de fois venu à bout.
D'un coup rapide et précis, sa lame trancha les liens des chevilles dHélène qui se cambra. Puis, il lui saisit les poignets et fit de même avant de planter d'un coup brutal son couteau dans le sol. Saisissant ses poignets, le barbu vint sur Elle, pesant de tout son poids lourd et volumineux. Il lui maintenait les bras écartés et s'imposait entre ses cuisses, le sexe tendu investissant la vulve lubrifiée du désir sans retenue de La Belle Hélène qui gémissait déjà... Cette fois, le brigand baisa sa prisonnière avec une frénésie qui dépassait son but de possession. Il laissait libre cours à un désir plus profond, au-delà des statuts de captive et de mâle dominant. Leurs deux corps ne faisaient qu'un, une masse de chairs palpitantes, de membres emmêlés, de halètements partagés
Une seule et même créature emportée par un flot ininterrompu de désirs et de plaisirs, de possession et de jouissance... La luxure totale de perversité entre ce viril mâle en rut et la Belle en chaleur. Cétait un accouplement pervers de
la Belle et de la bête... de sexe ! Il pilonnait comme rarement il avait pilonné un sexe de femme, Celle quil considérait comme une chienne, à grands coups de reins dune puissance inouïe ! Rarement la cadence, le rythme des vas et viens profonds nont été aussi rapides, puissants
Elle était possédée sauvagement, profondément par ce phallus qui venait buter contre le fond de son vagin pour se retirer et revenir aussi vite tel un piston mécanique
Limpressionnante corpulence de Procuste pesant sur le corps possédé de la Belle Hélène, nempêchait pas au brigand de mouvoir ses bras tout en continuant ses virils assauts. Il lâcha donc ceux écartés de la Femme pour mieux se pencher sur Elle et ainsi poser sa tête contre celle dHélène, son torse velu venant écraser les seins. La Belle mit alors ses bras autour du cou du bandit afin denlacer aussi celui-ci et faciliter ainsi encore plus laccouplement bestial. Elle déplia et releva chacune de ses jambes autour de la taille du rustre mâle qui enfonçait ses ongles dans le dos de la femelle. Puis elle fut fermement maintenue à son tour sous les fesses quand Elle se sentit soudainement soulevée pour se retrouver à la verticale. En effet le brigand avait décidé de la baiser aussi en position debout. Accouplée, toujours jambes repliées autour de la taille de Procuste, elle paraissait être une bien légère plume alors quil la maintenait fermement de ses grosses mains afin de la soulever à son aise pour la faire empaler sur son vit dressé en lui imposant des allers et venues tout aussi fougueux que le pilonnage quelle venait de délicieusement subir en position couchée. Il la baissa ainsi encore de longues minutes, chaque saut imposé sur la bite raide et verticale du mâle en rut provoquait chez Hélène des petits cris de plaisir jouissif, des ahanements qui la faisaient encore plus couler de cyprine et venait ainsi encore mieux lubrifier la grosse queue qui sactivait toujours puissamment en Elle
Quand au bout dun moment le brigand décida de continuer à forniquer de nouveau en position couchée, alors le couple se retrouva une nouvelle fois sur la couverture où les assauts reprirent de plus belle
Hélène ne cachait pas son plaisir jouissif à se sentir besognée de la sorte. Sur cette couche de peau de bête, Elle écartait les cuisses le plus possible pour encore mieux favoriser les folles et interminables pénétrations frénétiques, essayant même de pousser en avant le bassin pour aller encore plus à la rencontre de lénorme verge, pour se sentir encore plus remplie
Sa respiration semballait, ses gémissements devenaient de plus en plus forts. Hélène transpirait à grosses gouttes, tout son corps était en transe elle sentait un immense, un extraordinaire et énième orgasme poindre
(A suivre
)
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