Une Vie De Délices - 1Ére Partie - La Cousine
"La mémoire a beau être capricieuse à mon âge, certains souvenirs sont indélébiles " se dit le vieil homme allongé dans son lit. Les journées sont longues à présent que l'âge et la maladie le contraignent à rester couché la plupart du temps, et revivre en pensées les meilleurs moments de sa vie est devenu sa principale occupation.
Le voilà donc revenu à ses quatorze ans dans sa chambre d'adolescent chez ses parents. C'est dimanche et la clarté qui filtre a travers les rideaux laisse présumé que la journée s'annonce magnifique, mais à ce moment là c'est la dernière de ses préoccupations. Ses mains s'affairent lentement sous la couette à caresser son membre tendu et humide.
A cette époque ce ne sont que ses premiers émois , il est toujours à la recherche de nouvelles sources d'excitation et hier soir la providence lui en a apporté une magnifique sur un plateau. Son oncle et sa tante très éloignés, qu'il n'avait d'ailleurs jamais vus, était de passage à la maison pour de touchantes retrouvailles et ils étaient arrivés avec leur fille , qui était de par le fait sa cousine.
Même en sachant qu'elle faisait partie de sa famille , il n'avait pu s'empêcher d'être très attiré par cette jeune fille , d'à peine un an son aînée et que la nature avait doté d'un charme indéniable. Il avait dû se forcer à détourner le regard pour ne pas qu'on le remarque en train d'épier ce visage au traits fins et doux surmontant un corps ,certes en cours de formation , mais déjà très féminin et augurant de très belles choses pour l'avenir.
En plus de cela ses yeux étaient emplis d'une lueur despièglerie qui ne le laissait pas indifférent. Les premiers échanges avec elle avaient été maladroit de sa part et empreints de timidité, mais la nature joviale et ouverte de sa cousine l'avait vite détendu et il s'était laissé prendre au jeu de la séduction en espérant encore une fois que personne ne le remarquerait.
C'est ainsi qu'elle l'accompagne en pensées ce matin là alors qu'il fait aller et venir lentement ses doigts le long de sa hampe gorgée de désir par les images qui hantent son esprit depuis qu'il s'est couché la veille, et par le fait de savoir qu'elle dort dans la chambre à côté de la sienne, pensant peut être elle aussi à lui.
Il y va très lentement car à cette époque il ne maîtrise encore pas grand chose et qu'il veut que cette agréable sensation dure un peu. Malgré cela il sent que sa jouissance monte et qu'il doit se rendre à la salle de bain pour terminer , sous peine de devoir changer ses draps et de risquer d'être démasquer.
Il se lève donc de son lit, son érection tendant son caleçon au point qu'il baille et que de toutes façons il lui est impossible de la cacher. Il ouvre doucement la porte et se glisse à l'extérieur en direction de la porte de la salle de bains, lorsque la porte de la chambre attenante à la sienne s'ouvre et qu'elle est là , debout devant lui dans une chemise de nuit qui lui tombe aux genoux, les cheveux en bataille et le teint un peu cireux mais toujours aussi belle, voir plus. Elle le regarde et sourit, jusqu'à ce que son regard descende vers son entrejambe et là son sourire se transforme en une expression de surprise amusée . Lui est incapable de bouger ou d'articuler quoi que ce soit. Il reste là où il est comme une cruche en caleçon dans le couloir, ne sachant qu'elle option choisir, la fuite en avant vers la salle de bains ou la retraite vers sa chambre. C'est elle qui coupe court à ses hésitations lorsqu'elle l'att par le bras et l'attire dans sa chambre avant d'en claquer la porte.
Le voilà dans une situation encore plus gênante, et alors qu'on aurait pu croire que son érection s'envolerait en telle posture, celle ci se trouvait rene malgré lui par l'excitation .
" montre moi la, j'en ai jamais vu une en vrai " lui dit elle, l'étincelle de malice dans ces yeux ayant décuplée. Après tout pourquoi pas, il aura du mal à être plus ridicule qu'il ne l'est et puis jusqu'ici elle n'a pas rit et ne s'est pas moquée. Au contraire elle a l'air plutôt assez impressionnée et intéressée par la "chose".
Il baisse donc son caleçon et libère par la même un sexe tendu, veiné , décalottée et laissant apparaître un gland violacé semblant prêt à exploser. Ses lèvres s'arrondisses, sûrement de surprise car il est vrai que même sans être prétentieux, il doit admettre que dans cet état il est assez impressionnant, et elle approche sa main avec hésitation. La sensation de sa peau douce et fraîche sur son membre à pour effet immédiat de faire remonter son excitation d'un coup au maximum. Il ferme les yeux,dépassé par son plaisir, renverse la tête en arrière et lui envoi quatre longues giclées chaudes et odorantes sur la main, le bras et sur la chemise de nuit.
Lorsque les spasmes dans ces jambes s'arrête et qu'il reprend ces esprits, il rouvre les yeux en s'attendant à la voir furieuse, mais au contraire elle a l'air amusée et fascinée par les fins filets qui la maculent . Elle le regarde dans les yeux et fait glisser par dessus ses épaules sa robe de chambre, laissant apparaître de petits seins magnifique et tendus à l'horizontale ainsi qu'une petite culotte blanche qu'elle fait glisser à son tour au sol.
Mon dieu ce qu'il a devant les yeux est magnifique, il ne peut détourner ces yeux de son corps finement taillé, ses hanches à peine formées, et surtout la petite toison brune qui pointe entre ses cuisses. Elle n'a nullement l'air gênée par la situation , att sa main et la guide la ou son regard s 'attarde depuis qu'elle est nue devant lui. Elle se plaque contre lui, l'enlace et lui murmure à l'oreille " à ton tour mon cousin, mais pour moi ça risque d'être un peu plus long que pour toi " et lors qu'il commence à l'effleurer timidement elle ajoute " ne va pas trop loin s'il te plaît, je suis vierge et j'aimerais le rester.
Il fait glisser son index le long de ses lèvres gonflées et le fait pénétrer légèrement à l'intérieur, savourant la douceur et la chaleur de son intimité déjà humide. Il explore cette zone d'avant en arrière et légèrement en profondeur, prenant garde à ne pas aller trop loin et à être très doux. Il guide ses caresses selon le rythme de sa respiration, insistant sur les zones où elle commence à haleter, accélérant et ralentissant selon son désir. Il adore le pouvoir qu'il a sur son plaisir à ce moment là, il ralentit jusqu'à l'entendre le supplier d'y aller plus fort dans un gémissement, accélére jusqu'à ce que ses jambes tremblent et qu'elle étouffe un cri dans son épaule. Il l'att alors par les hanches et l'assoit sur la commode afin que tout deux soit plus à l'aise, l'embrasse et reprend ses caresses en se concentrant sur le petit bouton qu'il a découvert et qui a l'air de lui faire beaucoup d'effet. Elle létreint, l'embrasse à son tour et lui murmure à l'oreille que c'est trop bon lorsque d'un coup , il sent son corps se tendre et ses cuisses se resserrer, elle létreint avec plus de force et des spasmes la parcours. Elle étouffe un long râle cette fois en l'embrassant et semble ne jamais devoir s'arrêter de jouir tandis que lui est fasciné par ce spectacle. Après qu'elle ait repris ses esprits, ils restèrent un long moment enlacés, à s'embrasser et se caresser , sachant très bien qu'une fois le moment passé il ne reviendrait pas. Lorsqu'ils se rhabillèrent enfin et descendirent prendre leur petits déjeuner, personne ne pouvait comprendre le sourire qui illuminait leur visages. Il savait bien que la journée s'annonçait magnifique.
Le même sourire illuminait le visage du vieil homme alors qu'il se remémorait ce délicieux souvenir . La famille étaient partie le jour même , emmenant avec elle loin de lui sa cousine qu'il ne revit plus jamais. Elle resterait toujours pour lui celle qui lui avait fait découvrir les plaisirs charnels, et même si cette expérience n'avait pas été très "complète" , il se disait que si il n'avait pas eu celle ci aussi jeune il n'aurait sans doute pas autant goûté les plaisirs qui sétaient offert à lui par la suite.
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