22 Jérém Et Moi, Dernière Ligne Droite Avant Le Bac
Et ce fut cela pendant toute la semaine avant le bac. Des après-midi de révision et de baise. Le plus souvent, il se laissait sucer avant même de se mettre au travail : jarrivais, la porte était décrochée, il me suffisait de la pousser pour rentrer dans sa chambre ; je le retrouvais affalé sur son canapé, avec un débardeur moulant ou même torse nu
son bassin moulé dans un petit short très mec mettant en relief une bite déjà raide sous leffet des caresses que sa main lui avait prodiguées dans lattente de mon arrivée
ce short qui était posé directement sur sa peau, ce short doù on voyait dépasser sa chute de reins si bandante
Jérém était là, les jambes écartées, une étincelle lubrique dans le regard
prêt pour se laisser faire une bonne gâterie
Viens me faire jouir, sinon je ne vais pas pouvoir me concentrer
Explications.
Le mois de juin avançait et le beau temps persistant donnait à ces derniers jours de cours une allure de vacances avant lheure. Dans la cour du lycée, dans les couloirs, dans les classes, ça sentait la fin de lannée scolaire ; tout le monde semblait suivre le mouvement, y compris les profs. Lheure nétait plus au travail mais à la détente: cétait la fin de lannée, les jeux étaient faits, ce qui était fait était fait et qui ne létait pas ne le sera jamais. On sentait flotter dans lair une sorte de relâchement général.
Le repas de classe de samedi dernier semblait avoir accéléré les choses, comme si à partir de ce moment là on était tous projetés vers le bac, et même déjà après le bac, en train de nous dire au revoir, de nous dire adieu, de partir chacun de notre coté.
Tout le monde semblait excité à lidée den découdre avec ce foutu bac, tout le monde semblait pressé que tout cela se termine. Pas moi. Depuis quelques temps déjà javais commencé à redouter cette échéance après laquelle ma vie allait être chamboulée
Jai toujours eu du mal à madapter à un nouveau groupe
il ma fallu presque la moitié des années du lycée pour trouver ma place, pour me sentir à laise ; et maintenant que jy arrivais à peu près, que javais mes repères, que javais quelques potes, voilà que tout cela se terminait, ma vie allait changer du tout au tout et jaurai à nouveau à chercher mes marques ; à madapter, non sans mal, à un nouveau quotidien, à une nouvelle vie.
Encore cela neut pas été si grave
ce qui mangoissait le plus dans léchéance du bac, cest quelle enlevait toute raison dêtre aux « révisions » avec Jérém
car je savais bien que si on se voyait, si on se voyait pour baiser, cétait sous couvert de révisions
on nétait rien lun pour lautre
on était tout juste potes, potes de baise
on nétait même pas copains, encore moins amis
je commençais à connaître sa sexualité par cur mais je ne savais rien de lui, jamais il ne sétait ouvert de quoiquil soit avec moi
lui non plus il ne connaissait rien de moi, mais lui il sen foutait pas mal
en fait entre nous il ny avait que la baise
fallait bien regarder les choses en face
certes je ressentais des trucs, des sentiments de dingue pour ce petit con
mais je savais bien que ça ne servirait à rien de lui montrer, à part le faire fuir en courant
les quelques câlins que javais pu lui faire accepter la dernière fois navaient été possibles que sous couvert de son épuisement, de sa prostration passagère
je me disais quil devait men vouloir à présent, une fois revenu à lui
Je réalisais quaprès le bac il y aurait un long été avant ma rentrée à la fac à Bordeaux
quest ce que jallais faire pendant tout cet été ? Partir à létranger, comme avait été mon rêve depuis longtemps ? Faut dire que depuis le printemps, mes priorités avaient un brin changé
Jérém était rentré dans ma vie et mes jours, mes nuits, ma vie toute entière étaient désormais réglés suivant le bon vouloir de ce petit con danthologie
je vivais dans lattente quil me propose ou quil mimpose une révision et je réagissais au quart de tour dès quil claquait des doigts
Alors, est ce que jaurai eu le cran de partir quand même plusieurs semaines ou alors, est ce que jaurai passé lété sur place en attendant de voir Jérém, à essayer de voir Jérém, à essayer de prolonger une histoire sans issue ? Sans compter que je navais absolument aucune idée de ce quallait faire Jérém de son été
je lignorais, mais une chose était sure, cest quil aurait poursuivi ses projets sans tenir compte de moi
Déjà
est ce quil allait lavoir, son bac ? Ses notes nétaient franchement pas folichonnes
et nos révisions qui nen étaient pas, ne lavaient pas fait avancer
je regrettais un peu de ne pas lavoir vraiment aidé, mais putain, cest lui qui mavait entraîné dans ces plans de dingue
je commençais à espérer quil avait su trouver le temps de réviser tout seul entre deux baises, il fallait vraiment quil ait son bac car je savais que je men voudrais en cas contraire
Oui, ça sentait vraiment la fin des cours, lété arrivant à grand pas
ça mattristait de penser quaprès le bac on allait partir chacun de son côté, se perdre de vue, séloigner comme si de rien nétait, comme si on navait pas vécu tous ces moments de dingue entre nous
après le bac il y avait lété
mais après lété il y avait bien pire
cétait la rentrée
ma rentrée à moi allait se faire à la fac de Bordeaux, dans un cursus de Sciences de la Terre et de lEnvironnement.
Bordeaux-Toulouse, deux bonnes heures
je reviendrais sur Toulouse les week-ends, et encore
est ce que Jérém resterait dans la région ? il me semblait lavoir entendu dire une fois que sil avait le bac, il arrêterait les études pour gagner sa vie
apparemment il avait vraiment envie de prendre son indépendance, de sassumer entièrement et de ne plus dépendre de son père
est ce quil naurait pas eu envie de mettre aussi de la distance physique avec sa famille ? où est ce que sa vie professionnelle laurait amené ? là encore jétais certain quil aurait fait ses plans sans my inclure dedans
Quant à Jérémie, il ne semblait pas du tout affecté par lapproche du bac et du grand inconnu qui se profilait après
en effet, tout ce dont il semblait avoir envie cétait que tout cela se passe vite et de se tirer ensuite
jamais il ne men parlait ouvertement, mais ses attitudes et certaines petites réflexions captées au détour dun phrase, dune conversation, le montraient plutôt clairement
il lui tardait de sextirper de ce lycée dans lequel il se sentait trop à létroit pour se lancer dans la vie
Je ne disais rien, mais jen étais meurtri
je sentais très bien que notre relation nétait quun détail de son existence alors quen quelques semaines seulement, elle était devenue le pilier central de la mienne
une simple question me taraudait lesprit à lapproche du bac : quest ce quallait devenir mon rapport avec Jérém par la suite ? Est ce que le futur nous réservait tout juste loption « se perdre de vue » ? Ca me paraissait bien cruelle comme unique perspective
En attendant, voilà que pendant la semaine entre la fin des cours et la première épreuve du bac, Jérém décréta quon allait se voir tous les après midi pour réviser. Vraiment pour réviser
il décréta donc qu'il fallait moins baiser pour se pencher sur sa remise à niveau avant le bac.
Cétait dur de réviser laprès midi car il faisait déjà vraiment très chaud
jaurais préféré le matin mais je savais que Jérém sortait le soir avec ses potes du rugby et quil dormait jusquà midi ou presque
oui, le printemps se terminait et à lapproche de lété la température montait
et tout le monde sait quavec la chaleur, cest léveil des sens qui arrive
Faut dire quavec un mec comme Jérémie, mes sens auraient été éveillées par des températures polaires
et les siens au même titre, le mec était chaud comme la braise
Evidemment, on narrivait jamais à se passer dune ou plusieurs petites gâteries par séance
Et ce fut cela pendant toute cette semaine là. Des après-midi de révision et de baise. Le plus souvent, il se laissait sucer avant même de se mettre au travail : jarrivais, la porte était décrochée, il me suffisait de la pousser pour rentrer dans sa chambre ; je le retrouvais affalé sur son canapé, avec un débardeur moulant ou même torse nu
son bassin moulé dans un petit short très mec mettant en relief une bite déjà raide sous leffet des caresses que sa main lui avait prodiguées dans lattente de mon arrivée
ce short qui était posé directement sur sa peau, ce short doù on voyait dépasser sa chute de reins si bandante
Jérém était là, les jambes écartées, une étincelle lubrique dans le regard
prêt pour se laisser faire une bonne gâterie
Viens me faire jouir, sinon je ne vais pas pouvoir me concentrer
Cétait devenu le leit motiv de cette semaine de révisions. Putain que cest faible un mec
il prend de bonnes résolutions mais à la fin cest sa queue qui gouverne sa conduite
cétait bien lui qui avait décrété quil fallait consacrer moins de temps à baiser et plus de temps aux révisions
et maintenant il ne pensait quà se faire sucer
Moi non plus je nétais pas vraiment raccord avec mes résolutions : à chaque fois je me disais que coucher avec lui pendant ces dernières révisions allait me perturber et me ralentir
je me disais quil fallait que jévite ça
et puis je le voyais, bandant comme toujours
je voyais également que Jérém avait une envie débordante de jouir dans ma bouche ou de me prendre
alors, jamais je naurais pu lui dire non
jamais
car déjà moi aussi jen avais très très envie
et puis faut être réaliste
on ne peut pas dire non à un canon pareil quand il est partant pour te laisser accéder à sa virilité
Alors, devant ce mec souvent torse nu, nattendant autre chose que je vienne poser mes lèvres et ma langue sur sa queue, devant cette invitation silencieuse mais oh combien explicite et excitante, je mexécutais avec le plus grand bonheur : je fermais la porte derrière moi, je laissais tomber mon sac au sol, jenlevais mon t-shirt ; je me mettais à genoux entre ses jambes, je caressais sa queue raide à travers le tissu léger de son short
je finissais par extraire son manche viril, je baissais son short et je commençais à le sucer comme si ma vie en dépendait
Une fois son sexe bien calé dans ma bouche, je sentais illico tomber toutes mes réticences à ce genre de faiblesse
tant pis pour les révisions
quand on a une queue aussi bien foutue et un corps aussi bien gaulé à disposition, on ne peut pas faire autre chose que de céder à la tentation, saisir la chance
je me disais ainsi, sans être chatouillé par le moindre scrupule, que bien sur, à ce moment là ma bouche toute entière nagissait que dans lintérêt exclusif de lefficacité de nos révisions
pour que Jérém, lesprit enfin libéré de ses envies de jeune mâle, soit disponible pour se concentrer sur le travail
je comprenais bien largument avancé dans son leit motiv
et jadorais my aligner
jadmettais facilement que si je ne lavais pas fait jouir dans ma bouche avant de commencer à travailler, il naurait pas pu se concentrer, les couilles pleines
Mais mon beau Jérém
faudrait aussi que tu admettes une autre vérité
est ce que timagines un seul instant comment est-ce que je vais pouvoir me concentrer, moi, avec ton goût dans la bouche, le goût de ce nectar délicieux
comment est-ce que je vais pouvoir me concentrer avec le parfum de ton déo qui émane de ton torse dénudé ou tout juste couvert dun fin débardeur
ou tout simplement en étant là à coté de toi, de tes débardeurs moulants et de tes short sexy laissant entrevoir de façon trop explicite tes envie précises en matière de révisions particulières
Oui, je cédais très volontiers à largument imparable inscrit dans son leit motiv.
Javais bien compris que cétait dans cette position quil prenait le plus son pied, la position qui lui permettait de doser son plaisir suivant son envie
dans cette position il pouvait faire durer la montée de son plaisir aussi longtemps quil le souhaitait, mais il avait également la latitude den finir plus rapidement, avec de coups de reins plus puissants
Javais envie de lui faire plaisir, de lui donner le plus de plaisir possible
javais envie de le laisser décider de la durée de son plaisir, du temps quon allait retirer à non révisions pour nous adonner à ces galipettes
en attendant quil vienne prendre possession de mon intimité, en attendant de sentir passer son manche viril entre mes fesses, je menduisais mon ti trou avec de la salive; je préparais son arrivée, son assaut, frémissant denvie ; je sentais son regard sur moi, le regard du mâle dominant qui observe sa proie, qui savoure cette attente de linstant où il va prendre son pied
qui sent monter sa fierté de mâle en voyant sa femelle frémir dans lattente dune bonne saillie
Je devinais que Jérém aimait ça
me voir complètement dingue de lui, de sa queue, de me savoir impatient quil rentre en moi, quil se vide en moi
et quand je sentais enfin le bout du matelas sous mes pieds plier sur le poids de son corps sapprochant de mon intimité, un frisson puissant parcourait mon ventre, mon sexe, mon anus
et je mouillais comme un malade
Je le sentais sapprocher encore, écarter mes jambes, se pencher sur moi, écarter mes fesses avec ses mains puissantes, viser directement mon ti trou avec son gland, ce ti trou dont il connaissait désormais lemplacement exact sans possibilité derreur
je sentais son gland appuyer sur le relief de ma rondelle et pendant que sa queue glissait en moi, je voyais ses bras prendre appui sur ses mains quil plantait dune part et dautre de mon dos
je sentais sa queue glisser en moi millimètre après millimètre et je la sentais disparaître en moi sous la puissance de son érection et de la pression de son bassin
Putain il était en moi et comme dhab il marquait une pause avant de commence à me besogner
un instant plus tard je sentais ses castagnettes percuter lourdement mes fesses pendant que sa queue glissait en moi par des amples allées venues
quel délice que de sentir ses râles virils, de sentir le changement dallure de ses coups de reins annonçant quil était en train de se vider en moi
il allait bientôt jouir et jallais partir fourré par sa semence
Il lui arrivait aussi de se décharger en moi lorsque notre révision butait sur une difficulté particulièrement tenace; devant la difficulté, il renonçait plutôt facilement, il me laissait men sortir tout seul, mâcher le travail pour lui
il partait fumer sa clope
Cinq minutes après javais trouvé
je me retournais et je le voyais allongé sur le lit, une main posée sur sa queue raide
il me lançait alors un sourire bien coquin et me lançait :
Viens me sucer
j'ai envie de me vider dans ta bouche de salope
Je mexécutais à chaque fois avec un plaisir renouvelé.
Je mexécutais, tout en ayant limpression quil me narguait, quil profitait de moi pour me laisser faire tout le boulot et en plus mutiliser comme vide couilles dès que lenvie lui en prenait
mais cétait tellement excitant de lui rendre service et de me faire payer en nature
Cétait dautant plus excitant que, si cétait bien vrai que jétais payé en nature, je ne létais pas de la façon dont un mec se ferait payer généralement
c'est-à-dire en exigeant sa propre jouissance en échange dun service rendu
Au contraire, ma récompense à moi cétait de le voir jouir lui
nos révisions, le travail que je faisais à sa place, cétait le prix que je payais pour avoir accès à sa queue
en fait je ne payais pas pour baiser comme le font la plupart des mecs
en réalité je payais pour me faire baiser
Parfois, toujours fidèle au leit motiv de Jérém (Viens me faire jouir, sinon je ne vais pas pouvoir me concentrer
), je me laissais sodomiser juste avant de partir, pour le faire décompresser
cétait beau au point que cétait devenu une entente tacite entre nous
Je commençais à disposer mes affaires pendant quil fumait sa cigarette en terrasse
je faisais traîner mon rangement jusquà que je le voyais jeter son mégot
javais remarqué que ces cigarettes de fin daprès midi étaient particulièrement rapides
il rentrait, il savançait dans la salle de bain, la porte ouverte
il navait pas fini denlever son short que moi aussi jétais à poil
Je le rejoignais et je minstallais devant le miroir, le cul cambré, offert à sa queue déjà bien raide que je ne tardais pas à sentir parcourir ma raie de haut en bas pour me faire languir
je lentendais alors cracher dans sa main, enduire sa queue, son doigt chercher lentrée de mon intimité, la titiller pendant un petit moment, la faire frémir denvie, la préparer à lassaut de sa queue
et puis, magique, il était en moi
le réflexe dans le miroir me ramenait limage de ce beau mec, bien foutu, viril, en train de prendre son pied en moi
jétais fou de cette image
de son torse en V, de sa chaînette, de son brassard, de sa peau mate, de son regard viril
je me sentais complètement offert à lui
je navais quune envie
quil se décharge en moi
Il le fit une première fois le mardi
il recommença le jeudi mais en changent le final
le jeudi il commença par me baiser devant le miroir
mais à un certain moment il sortit de moi, il recula, il prit à se branler tout doucement et je lentendis me lancer, la voix cassée par lexcitation :
A genoux
Je mexécutai, conquis par ce que je comprenais quil me réservait. Je regardais sa main coulisser lentement sur sa queue, ma bouche pile à bonne hauteur, à 30 centimètres de mon nez
Il savança et posa son gland sur mes lèvres qui souvrirent tout naturellement sous la pression exercée par son bassin
sa queue glissait dans ma bouche et rencontrait laccueil dévoué de ma langue bien intentionnée
Jimaginais quil allait me pilonner la bouche pour se finir et jattendais ça avec impatience
ses mains se posèrent délicatement sur ma nuque pour maintenir ma tête pendant sa pénétration et sa queue avança tout doucement dans ma bouche, son gland allant se caler à lentrée de ma gorge
je sentis que grâce à cette douceur, je lavais toute avalée, jusquà la garde
je sentais ses couilles chaudes chatouiller mon menton, je sentais les poils courts au dessus de sa bite titiller ma lèvre supérieure
je lavais complètement en bouche et cétait une sensation de plénitude jouissive
ça sétait fait tout en douceur, naturellement, cétait le bonheur
je navais même pas de haut le cur, je me sentais complètement soumis à sa virilité dont cette queue bien tendue était le symbole le plus visible et tangible
ses deux mains puissantes toujours fermement posées sur ma nuque, symbole de domination masculine
Je le sentais frissonner de bonheur, sa queue bien au chaud en moi
il y resta un instant
jarrivais tout juste à respirer, mais javais envie quil y reste longtemps, je sentais quil aimait ça, et javais envie de le sentir frissonner tant que ça lui chantait
au bout dun instant, il remua légèrement son gland au fond de mon palais et je sentis ses jets jaillir bien chauds et denses et couler lentement à lentrée de ma gorge. Ses couilles posées sur son menton étaient en train de se vider dans ma bouche bien accueillante.
Le mercredi il navait vraiment pas la tête aux révisions
il avait juste envie de baiser
Dès mon arrivé je dus le sucer, plaisante contrainte, le laisser jouir dans ma bouche et, évidemment, tout avaler. On se mit alors aux révisions, mais je voyais bien quil nen avait pas franchement envie
on le voyait à son attitude, à sa tenue
le mec il navait quune envie, cétait de baiser
Déjà, à mon arrivée, il était torse nu avec un boxer blanc Athena moulant son bassin et son paquet
et il moulait tellement bien que je voyais tout ce qui sy passait à lintérieur
dailleurs sa main narrêtait pas de tripoter le paquet, et javais même limpression quil se touchait pour entretenir une érection qui navait dailleurs pas besoin de ça pour se maintenir
Depuis mon arrivée, je le sentais surexcité et je sentais son odeur de mec flotter dans la petite pièce
je sentais franchement lodeur de son sexe, lodeur de son jus passer à travers le lycra du boxer
javais trop envie de lui et lui aussi
de plus il ne regardait même pas les cours, son regard était braqué sur moi
je le croisai plusieurs fois, cherchant à éviter son sourire coquin qui me rappelait celui de notre première révision
Il essayait de me faire craquer, jessayais de résister, de lui montrer un minimum damour propre, un minimum de détachement de sa sexualité
bataille perdue davance, plus les minutes avançaient, plus son attitude charmeuse, son envie, sa queue déjà raide frémissant sous la caresse de sa main, son torse nu magnifique, sa petite chaîne, son sourire ravageur avaient raison de ma volonté de travailler
je narrivais plus à me concentrer, les chiffres se mélangeaient devant mes yeux
ces yeux dont le coin dabord, et le regard tout entier bientôt, allaient être entièrement accaparé par le désir que minspirait ce mec
Sentant que jétais prêt à craquer, comme un fruit bien mur prêt à tomber, comme une citadelle assiégée prête à capituler, Jérém lança lassaut final, sur de lui, sur de ma réaction, sur de sa victoire. Je déteste ce mec, putain !!!!!!!!!!!!!!! il peut faire de moi ce que je veux
.
Tas envie que je te baise
Son regard était tellement lourd de sensualité, de sexualité que ça en devenait vraiment affolant. Je me sentais à sa merci. Je me sentais mis à nu, percé à jour. Une proie pris au piège. Ce nétait même pas une question. Cétait un constat. Une évidence à ses yeux, comme pour les miens.
Oui, Jérém, jen ai envie
Taimerais que je rentre dans ton cul et je le baise bien à fond
Oui, pile ça
Cest baloo
moi je nai pas envie de te baiser aujourdhui
jai envie que tu me suces encore
que tu me vides les couilles avec ta bouche
Et ce disant, il alla sinstaller sur le lit, exit le boxer, sa queue magnifique dévoilée au grand jour, tendue, droite comme un I en direction de son nombril, posée sur cette petite ligne de poils bruns qui me font tant deffet, le chemin du bonheur
Viens sucer, mec, aujourd'hui ta chatte va serrer la ceinture mais ta bouche va prendre cher
Putain de mec, putain de petit macho à la con, tête de merdeux sexy à gifler, doutant de rien
osant tout en raison de sa virilité renversante
bah, oui, il avait bien raison
jétais tellement subjugué par sa sexualité
et alors
putain
comment lui résister ?
je le regardais allongé sur le lit, appuyé sur ses coudes, dans cette position qui lui permettait de bien me regarder moccuper de sa bite, cette position que je trouvais terriblement excitante et virile
putain dabdos bien dessinés, putain de relief de pecs ressortant dune façon scandaleusement érotique
putain de regard lubrique et tellement masculin
ce mec était une provocation sur pattes, cétait un instrument du Malin
cétait le Fruit Défendu du Jardin dAdam, cétait la Tentation
celle à qui on ne peut vraiment pas résister
Un instant plus tard sa queue était dans ma bouche et mes mains caressaient à tour de rôle la peau douce et soyeuse se ses bourses, jouant délicatement avec ses couilles bien fermes et lourdes
putain de mec, putain de jeune mâle
Vas-y comme ça
Tu vas te faire remplir ta bouche et garder mon goût jusquà demain
Il était vraiment excité et il savait pertinemment de quoi il avait envie. Jai toujours aimé les mecs qui savent de quoi ils ont envie. Surtout au lit. Parfois cest excitant de recevoir des ordres bien précis. Alors que dans dautres occasions cest également excitant damener les garçons en terre inconnue, leur faire découvrir des bonheurs inédits et surprenants
cest beau et divertissant que de savoir varier les plaisirs
Ce jour là je le sentais très directif
ça me plaisait et javais envie de sentir encore son autorité sur moi
je me dis quun bon moyen de le pousser à me montrer son autorité cétait de la défier
cest dans ce but précis que à un moment je délaissai sa queue pour aller sentir ses couilles
je savais quil naimait pas particulièrement ça, que je délaisse sa queue, et il ne tarda pas à me rappeler à lordre
Allez, viens me sucer
Je nattendais que cela, me faire bousculer par la volonté du mâle dominant
jai adoré le ton sur lequel il mordonna, comme si rien de plus naturel, de plus établi, de plus orthodoxe ne soit au monde, comme si jétais en train de contrevenir à une loi naturelle, la loi de sa supériorité virile, cette loi qui prévoyait que lassouvissement de ses envies devait primer sur ma volonté, devait être ma priorité absolue, ma volonté même
Jai tellement frissonné sous leffet du ton autoritaire de ses quelques mots que jai eu envie de men prendre une autre couche
une envie de dingue de provoquer encore et de subir sa putain de réaction de jeune mâle macho
je le regarde dans les yeux, jesquisse un sourire de défi
je fais durer lattente. Et ça ne tarde pas à tomber
je vois son regard se noircir, vois ses pecs se soulever sous leffet dune inspiration en train de saccélérer sous lemportement qui le gagnait face à minsubordination
Putain, tu vas sucer à la fin
Et là, joignant le geste puissant au ton viril et autoritaire, il relève son torse, il avance ses bras et il vient poser lourdement ses mains à larrière de ma tète, exerçant une pression ferme, très ferme, pour que mon buste se plie vers son bassin, dirigeant ma tête pour que ma bouche aille sempaler pile sur sa bite. Les mains désormais serrés dune part et dautre de mon visage, il entreprend alors à diriger le mouvement de ma tête et de ma bouche sur sa tige, dosant le rythme et lampleur des allées et venues suivant son bon vouloir
ses pressions sont tellement puissantes que son gland senfonce dans ma gorge jusquà la limite du haut le cur, surtout lorsquil maintenait lourdement et longuement ma tête au plus bas de son voyage au long de sa queue
Tiens, putain, avale-la bien, avale bien ma queue, vas-y !!
Putain de Jérém, on nest jamais déçus quand on chatouille sa virilité. Cest une réflexion que je me fais à ce moment là, sans savoir à quel point plus tard dans la semaine elle se révélerait exacte. Au bout de quelques bons aller retour, Jérém relâche enfin son étreinte et retrouve cette putain de position accoudé en train de me regarder le sucer qui me fait délirer.
Ses mains sétaient dégagées, mais javais limpression que la présence, la prise puissante de ses mains sur mes oreilles et sur mes joues navait pas cessé
cest ça un mec
laisser son souvenir de son passage dans le corps ou dans lesprit. Ou les deux. Oui, je sentait toujours ses mains appuyer fermement sur ma tête : alors, suivant le mouvement précédemment imprimé, je reprends à le pomper avec un entrain renouvelé, comme pour me faire pardonner mon petit égarement
Tu laimes, l'odeur de ma bite et de mes couilles
taime mon odeur de mec
vas-y, dis le
Je me fis violence pour quitter un instant son gland et lui répondre, plein dexcitation
Oui, oui, oui
Suces, putain
tu laimes mon jus, tu aimes mon goût
tes une vraie salope, je te le dis depuis le début
Waaaa
douce musique pour mes oreilles. Je sentais que ça montait et quil allait bientôt me rincer la bouche avec son éjaculation
je ne pouvais me résoudre à quitter sa bite, javais trop peur de rater son orgasme, de rater sa première giclée, en général la plus copieuse
je me limitai à couiner plusieurs fois pour lui signifier mon assentiment à ses considérations que je partageais à fond, évidemment
Suces bien, vas y, je viens, plus vite, plus vite
Je sentais que son orgasme venait
jallais de plus en plus vite, pendant mes allées et venues sa queue disparaissait presque entièrement dans ma bouche, son gland percutait violemment mon palais surtout depuis quil avait pris à mettre des coups de reins à son tour
ce qui eut dabord pour effet pervers de couper le rythme de mes allées venues, de gâcher la mélodie de ma fellation
oui, ses coups mis avec une violence aveugle sopposaient aux mouvements de mes lèvres
ma bouche me faisait mal tellement ses assauts étaient violents et de sens contraire à mon allure
alors, narrivant pas à trouver le moyen de reprendre le rythme pour lamener à lorgasme, je quittai sa queue
Jérém dut comprendre mon malaise car je le vis arrêter ses mouvements de bassin, poser ses fesses sur le matelas et mintimer de finir le travail
Dépêches, viens sucer
Ma bouche avala sa queue dun seul trait et je recommençais à le pomper avec des va-et-vient de plus en plus rapides
Jérém reprit ses coups de reins, mais cette fois ci on arriva, certainement par pur hasard, à nous synchroniser
pendant un court instant jarrivais à seconder son rythme
à le sucer pendant quil me défonçait la bouche avec ses coups de reins
nos mouvements se complétaient, se donnaient de lampleur réciproquement
et il jouit enfin
Oui, oui, oui, prend ça, prend ça, encore, oui, oui, encore
aaaaahhhhh
putain
.
Ma langue était couverte de sa jouissance de jeune mâle. Ainsi, les révisions de math ne furent que théoriques ce jour là
Après mavoir rempli la bouche, il resta allongé sur le lit et alluma la télé sur la quotidienne de cette nouvelle émission à la con nommée Loft Story. Eté 2001, la télé réalité était née.
Je sentais que la journée était foutue, et je tentai de me concentrer sur mes notes pour essayer de repérer les sujets les plus importants à traiter dès le lendemain. Aujourdhui Jérém navait pas du tout la tête à ça et je me disais quil ne nous restait que deux jours pour revoir tout un tas de choses
Jessayais de me concentrer mais je finis par me faire happer par le histoires passionnantes de ces pionniers de la niaiserie télévisuelle moderne
oui, le loft, cette sublime bouse télévisuelle, pour citer le grand Carlier, mère de tous les émissions de ce genre qui abrutissent chaque année un peu plus les écrans télé depuis une quinzaine dannées ; des émissions qui ne présentent de mon point de vue qu'un intérêt très spécifique mais de taille, celui de montrer des beaux gosses, des petits cons tellement sexe à en faire pleurer.
Hélas, cette année là la prod n'était quà ses balbutiements, il n'y avait pas de vrais canons, mis à part peut être un charmant Christophe, un sexy petit con nommé Jean Edouard qui aura le mérite dêtre le premier mec qu'on verra baiser en vrai à la télé
bien avant les exploits du bien plus charmant Cyril Paglino dans Secret Story
on aura droit également à Jean Pascal, le petit con (petit con tout court) de service ; à Steevy, le premier pd, hélas un peut trop folasse, affiché dans une émission télé avec son Bourriquet ; à Aziz, pris pour laffichage du quota reubeu ; à Loana, pour le coté « Pamela Anderson » de lémission ; on aura droit à Lauren, à Delfine, à Akima, des nanas pas encore trop putes comparées à leur jeunes surs sévissant de nos jours, ainsi quà tout un tas dautres mecs franchement pas beaux mais censés représenter la jeunesse française.
Depuis, des rejeton bien plus cul-turels de ces émissions pionnières ont fait leur apparition sur les écrans, nous amenant chaque année un bon lot de petits cons sexy à pleurer
Dilemme
Secret story
Les princes de lamour, Lîle de la tentation
Les marseillais
Hollywood Girls
tout un tas démissions de merde débordantes de mecs le plus souvent cons comme pas permis mais gaulés et sexy à se damner, des masses de muscles tatouées
avec une queue quon ne verra jamais mais que lon devine (ou quon fantasme) bien frétillante, tout juste deux neurones pour faire marcher tout cela et voilà, le tour est joué
on est devant lécran en train de se demander quel bonheur on éprouverait à devenir les salopes de ce genre de bourrins
des bourrins pour qui la maîtrise de deux expressions type « viens me sucer » et « je vais te baiser, salope » leur seraient suffisantes pour jouer le rôle de leur vie.
Ce soir là, après la fin de la quotidienne, je ne me tirerai pas de la chambre de Jérém sans lavoir eu une dernière fois dans ma bouche, sans lavoir sucé à genoux, lui débout près de la porte dentrée, avant quil décide de finir tout seul la quête de son plaisir en coinçant ma tête contre le mur comme lors de notre première révision
son éjaculation arriva au bout dun petit moment et je sentis, de par le volume, bien moins important, la consistance, bien moins dense, le goût, franchement moins fort, que le mec sétait carrément vidé les couilles
Je pense que ce jour là jai bien fait mon boulot de petite pute soumise
vider mon homme
le faire jouir jusquà que la queue lui en tombe
jéprouvais une certaine fierté devant ma performance et je ressentais une certaine satisfaction en pensent que peut être ce soir là Jérém naurait eu besoin de rien de plus pour trouver son sommeil, ni dune nana à baiser, ni même dune petite branlette
Quand il se dégagea de moi, le mec avait franchement lair repu
sa respiration était profonde et lourde, son regard perdu dans le vide
il remonta son boxer et partit fumer en terrasse
La semaine passa ainsi, rythmée par la baise
pas un jour sans quil ne jouisse au moins une fois dans ma bouche, pas un jour sans quil ne trempe sa queue dans la chaleur accueillante de mon intimité
je sortais de nos révisions rempli de son jus, son goût dans ma bouche, le cul démonté par le passage de son magnifique gourdin
jétait un mec heureux
heureux de cette débauche de plaisir que je prenais en le laissant jouir en moi sans retenue, suivant ses envies
Vers la fin de la semaine, je dut admettre que mon corps était près datteindre ses limites
son goût ne quittait plus ma bouche, mon petit cul nen pouvait plus de ses assauts
je finissais par mavouer que après cette semaine de marathon sexuel, mon corps réclamait répit
cependant, comme à dautres occasions, si mon corps nen pouvait plus, mon désir était toujours là, impossible à étancher, inépuisable
je finissais pas comprendre que le plaisir ne calme en rien le désir
bien au contraire, le plaisir entretient le désir, tout comme le désir entretient le plaisir : cest un cercle vertueux, cest un cercle vicieux, un cercle qui commence quand même par le désir
oui, le désir, tant quil dure
le plaisir et le désir, voilà deux potes qui marchent main dans la main
Oui, jétais un mec heureux
du moins je létais heureux tant que jétais avec lui, tant que je lavais en moi, tant que jattendais de me faire baiser
je létais beaucoup moins une fois la porte de sa chambre passée
me retrouvant une fois de plus dans le couloir sombre du dortoir
me disant que jour après jour la date fatidique du bac approchait et que, après le bac, cétait le grand saut vers linconnu
Putain de mec
vraiment je lavais dans la peau
javais envie de lui tout le temps
javais envie de sentir le contact de sa peau, de humer son parfum, son odeur de mec
jaurais voulu être le t-shirt ou le débardeur qui caressait ton torse, qui simbibe de ta transpiration, la chaînette qui se baladait autour de ton cou, le boxer qui serrait sa queue et qui retenait ses couilles.
Oui, se réincarner dans le slip dun beau mec
Cest Boy Georges qui a lépoque avait déclaré dans une interview quil voulait se réincarner en slip de Matt Dillon, mec qui a lépoque ou la phrase a été dite était en effet a hurler !!! Boy Georges, on se comprend. Tu es mon héros
tapes cinq
Ou bien, être un ptit chat, un petit chat tout mignon et innocent qui irait se cacher dans le panier de linge sale, au milieu des t-shirts et des slips porté en attente de passer à la machine
Le vendredi soir on révisa tard, tellement tard quon décida de se faire livrer une pizza
immanquablement on tomba sur le prime de Loft Story et on goba ça jusquà la lie
cétait plus de 11 heures lorsque le générique à la con retentit dans la télé
je voyais dans le regard de Jérém quil avait encore envie de se faire soulager
Le voilà qui sallonge sur le lit, me voilà en train de le sucer une fois de plus
et voilà se présenter à mon esprit lenvie de réessayer ce truc « à la main » que javais trouvé une semaine plus tôt et qui avait eu lair de le faire délirer
je voulais vraiment lui faire plaisir pour la fin de nos révisions, lui faire retrouver cet orgasme de dingue quil avait vécu la dernière fois et que, à en croire à ses mots, avait été remarquable
lui laisser un souvenir incroyable de mes talents
je voulais quil se souvienne de moi, je voulais quil se souvienne que jétais capable de le faire jouir comme personne dautre
javais envie quil ait envie de me revoir et de me baiser après le bac, pendant lété
Il était allongé sur le lit, jétais en train de le sucer, tranquille, comme samedi dernier
je sentais son excitation monter et sa jouissance approcher
ma bouche quitta alors sa queue laissant le mouvement lent de sa main entretenir comme en suspension lexcitation du beau mâle
je commençais à goûter au bonheur de faire monter petit à petit son plaisir et de lui offrir une nouvelle jouissance délirante quand je le sentis se relever, dégager sa main, me repousser violemment, me plaquer contre le matelas, essayer de descendre mon pantalon en force, presque rageusement, pendant que jessayais de défaire ma ceinture... et comme dans la précipitation je ny arrivais pas, il finit par me plaquer à nouveau contre le matelas ; et pendant que jessayais de comprendre ce qui était en train de se passer, quelle mouche lavait piqué, je sentis quil se branlait vigoureusement
je mattendais à quil veuille se lâcher dans ma bouche, alors je fus très surpris quand je sentis plusieurs jets sabattre lourdement sur mon short et sur mon t-shirt
putain de Jérém
jallais avoir lair propre de me balader dans la rue dans cet état là
Je le sentis sessuyer la queue sur mon short et il partit fumer en terrasse, sans un mot.
Me voilà allongé sur le lit, les vêtements souillés de son jus, de questions plein la tête
quest ce qui sétait bien passé ? putain, il avait lair carrément énervé quand il ma repoussé
carrément enragé quand il a essayé de marracher le short
est ce quil navait pas apprécié que jenlève ma bouche de sa queue et je commence à le branler? pourtant il avait aimé la dernière fois
jai fait quelque chose de travers ? je my suis mal pris ?
Hélas, je ne connaissais rien des considération qui sétaient déjà amorcées dans sa tête une semaine plus tôt quand javais pris le contrôle de sa jouissance ; et encore moins je pouvais me douter des réflexions qui allaient le secouer après mon départ ce soir là : non, cétait pour moi inconcevable que lon puisse en vouloir, et à fortiori imaginer de punir quelquun qui nous donne du plaisir
autant de plaisir
Pourtant
cest si mystérieux et con la sexualité dun mec hétéro
, surtout celle de lhétéro qui se sent partir vers lautre bord et qui ne sait pas laccepter
Dérouté, presque choqué par sa réaction, jeus un peu de mal à trouver la force de vaincre lhumiliation quil venait de minfliger et qui me semblait gratuite vis-à-vis de lentente sexuelle parfaite que javais ressenti cette semaine
depuis le début de notre relation, et cela était dautant plus marqué dans la débauche sexuelle de la semaine quon venait de passer, jacceptais de me laisser dominer par ses envies et tout semblait rouler comme sur des roulettes
mais ce soir quelque chose sétait enrayé et putain, vraiment je narrivais pas à comprendre quoi
jaurais bien voulu être dans sa putain de tête de mec pour voir ce qui sy passait
Je pris sur moi pour trouver enfin la force de me relever, jattrapai du Sopalin et je passai à la salle de bain pour essayer dessuyer mes vêtements
peine perdue car son jus avait pénétré les fibres et des traînées bien marquées étaient imprimées sur les tissus
putain de petit con !
Quand je sortis de la salle de bain, il était toujours en terrasse, dans le noir
je commençai à rassembler mes affaires en prenant mon temps, au fond de moi jattendais quil revienne pour voir son état desprit
pour essayer de comprendre
hélas, lorsque je lentendis allumer une deuxième cigarette, je compris quil attendait juste que je me tire
Cétait vendredi soir
le week-end arrivait
on ne serait pas vu jusquà mardi, jour du bac philo
peut être que cétait carrément la dernière fois quon baisait
et ce petit merdeux me traitait de cette façon, après tout ce quon avait vécu ensemble au pieu
il fait chier ce mec !
Jétais tellement contrarié par son comportement inexplicable, par son attitude à la con
je décidai de me tirer sans rien dire non plus. Je passais la porte en la faisant légèrement claquer derrière moi. Pas claquer assez fort. Cest lhistoire de ma vie. Ne pas écouter mon raz le bol et ne pas savoir claquer les portes assez vigoureusement.
Une fois sorti de limmeuble, je me retournai pour regarder en direction de sa terrasse
il était toujours appuyé au rebord, torse nu, en train de finir sa clope
dès quil me vit, il éteignit son mégot et disparut dans sa chambre. Un véritable con de mec.
Nico est parti et Jérém se retrouve tout seul dans son lit
ce que Nico a tenté ce soir là la replongé dans le truc qui lui avait fait une semaine plus tôt
un putain dorgasme
tellement puissant quil avait cru que les couilles allaient lui en tomber
tellement bon et tellement
tellement
tellement humiliant à la fois
cétait samedi dernier, le soir de ce putain de repas de classe
avoir bu et oser aller le voir en boite, lui balancer de rentrer ensemble sans autre explication
et malgré ma brutalité de la fois davant, le voir capituler devant moi sans un seul mot, juste sous la vibration de ma voix
il est dans ma voiture, cest grisant de penser que je vais encore le baiser jusquà que la queue men tombe. Sentir que jai tout pouvoir sur lui. Malgré tout ce que je lui fais subir. Sentir que mon impunité est totale. Que son envie de moi est sans limites. Quil ny a que mon plaisir qui compte
Et une fois dans la chambre, le voir en adoration devant ma chemise ouverte, devant mon torse
sursauter dexcitation quand il me mordille les tétons. Et quand il remonte vers mon cou avec sa bouche, remettre les pendules à lheure, poser mes mains sur ses épaules, lobliger à descendre, le faire revenir à mes tétons, pendant que ses doigts, adroits et impatients, partent ouvrir ma ceinture et déboutonner ma braguette
ça cest rudement bon
ma queue gonfle encore dans mon boxer, ça y est, il la presque toute avalée, je pose ma main sur sa tête pour lenfoncer encore davantage
et puis je pars sur le lit : il se précipite pour me sucer, encore et encore. Sans répit, infatigable, inlassable de donner du plaisir à ma queue. Il y met tant de fougue que je sens vite lorgasme approcher.
Je mattends à quil continue droit au but, affamé davaler mon jus comme dhab
et là tout bascule
Nico arrête net de me sucer
je suis chauffé à bloc, tout près de jouir
je suis pris de court, je me demande où il veut en venir... il entreprend alors de me branler tout doucement
jai envie de lui ordonner de me faire venir tout de suite mais au même temps je suis intrigué, je sens mon excitation monter, mon plaisir prendre de lampleur
putain, quest ce quil est en train de me faire, où est ce quil est en train de mamener ?
Et la, au milieu des vagues de plaisir, voilà que dun coup je me rends compte que je suis pris au piège
je suis complètement à la merci du mouvement de sa main
Nico a dans ses mains le pouvoir de me donner du plaisir ou de me le refuser
suivant son bon vouloir
je voudrai, je devrais trouver le cran de me rebeller, de casser le lien invisible qui me retient prisonnier de sa main, de mon propre plaisir mais je nen ai pas la force
cest faible un mec, surtout quand il sagit de sa queue, de son pied
Le rapport de force a changé du tout au tout
cest lui à avoir la main du jeu, au sens propre comme au sens figuré
je nai dautre choix désormais que de le suivre là où il veut mamener ou alors prendre le risque, inacceptable à mes yeux, de rater mon orgasme
Le mouvement de sa main est une véritable ie
il me regarde, sans un mot. Il me regarde languir, il cherche à voir sur mon visage les signes de la venue de mon orgasme
mais je crois bien quil ny a pas que cela
son regard en dit long sur ce qui se passe dans sa tête : en prenant le contrôle de mon plaisir, Nico est en train dassouvir une petite vengeance
je crois bien que ça le fait sacrement bander de me voir dérouté, de deviner en moi cette envie de lui ordonner de conclure juste au bord de ses lèvres, envie qui est retenue justement par ce quil est en train de me faire, ce qui annule ma volonté de mâle impatient
je suis à la merci de Nico comme lui il la été, à ma merci, tant de fois
oui, je suis pris au piège de mon propre plaisir et Nico détient la clef de ce piège invisible mais bien réel
Il tient ma bite fermement dans le creux de sa main et il me branle tout doucement; je sens cette chaleur qui monte dans le bas ventre, ce frisson qui parcourt la queue, les couilles, jusqu'à l'anus, cette attente intolérable de laisser exploser ma jouissance; il suffirait de quelques allées venues un peu plus rapides de sa main pour libérer cette tension qui continue de submerger mon corps et de le faire monter en pression, mais ce petit con fait traîner, encore et encore
Au point où jen suis, je ne peux plus qu'attendre son bon vouloir, attendre cet orgasme que je sens monter à des sommets incroyables, la frustration de lattente me le rendant de plus en plus nécessaire
jai de plus en plus envie de précipiter tout cela
mais je sens que dans lattente ça monte, ça monte encore, jai même limpression que la vague de plaisir qui se prépare à percuter et à traverser mon corps est dun puissance jamais atteinte auparavant
mon cur cogne comme jamais dans ma poitrine, chaque cellule de mon corps est parcourue pas des frissons électriques
Ça ressemble à ces vents déjà puissants qui précèdent larrivée de louragan ravageur
je suis au même temps impatient de voir arriver cet ouragan, cette vague de plaisir suprême, et au même temps jai peur que mon corps, que mon cur ne soient pas assez solides pour y faire face
au fond de moi, je me prépare à partir dans un dernier orgasme dévastateur, je me prépare à partir en venant.
Jen peux plus
mon cur va exploser, mon excitation et ma frustration vont me rendre fou
bordel, il faut que ça vienne
il me faut jouir ! Sil continue encore je vais bientôt avoir mal aux couilles
et voilà que je le sens enfin augmenter légèrement la cadence, je sens tout mon corps se crisper, se raidir, la vague monte, monte, monte, je perds pied, je mévapore, je vais jouir enfin
et puis
.
Et puis, encore une folie
il arrête de me branler et ouvre sa main, coupant ainsi tout contact avec ma bite... il ne va pas me faire ça
couper mon orgasme
se venger ainsi de toutes les humiliations que je lui fais subir
naaaan il ne va pas faire ça
ou bien
je commence à flipper
Tout cela ça ne dure quun instant, un instant qui me parait une éternité
je crois que mon cur sest arrêté de battre
mon orgasme est là, il parcourt mon corps, mais il est momentanément suspendu au bien vouloir de ce petit con de Nico
je suis à un rien de rater lexplosion de mon plaisir quand je sens enfin sa langue se poser sur mon gland, sa main reprendre à branler ma queue avec la cadence la plus parfaite qui soit.
La vague de plaisir qui secoue mon corps monte encore dun cran, je vis une jouissance tellement extrême que pour un peu ça en serait de la douleur : jai l'impression que ce frisson démesuré va avoir raison de moi, de ma raison et que jamais plus je ne trouverai le calme... mon cerveau est débordé, ma conscience défaillit, emportée par une tempête sensorielle d'une puissance inouïe ; je ne suis plus là, mes yeux ne voient plus, mes oreilles nentendent plus, jai limpression que mon cur ne va pas tenir le choc, que je vais partir à tout jamais
je me sens emporté par la vague, je nessaie même plus de retrouver mes repères, je me laisse aller, je mabandonne, rien ne compte plus, rien nest plus, je perd le contact
Et puis plus rien, le noir, le silence. Lapaisement. La tension est partie et mes sens sont comme éteints. Ma conscience est vide, je ne ressens plus rien. Je nai plus conscience du temps, je ne sais pas si ce moment dabsence a duré une minute, une heure ou une nuit entière. Je ne sais même pas si je suis encore vivant.
Quand je reviens un peu à moi, je me rends compte que je ne suis plus quun corps épuisé. Je nage en sueur. Jai chaud, je narrive pas à respirer, je sens les battements de mon coeur tellement forts et rapprochés que jai limpression quils secouent mon corps tout entier. Je ne peux pas bouger ni parler
je suis un être inerte, sans défenses
je sen la présence de Nico à coté de moi
je suis encore et complètement à sa merci
il aurait voulu me ou me couper les couilles à ce moment là, je naurai pas pu réagir
Je nage encore entre inconscience et lente récupération de mon esprit
je ne comprends pas encore bien ce qui mest arrivé
je crois que jai eu tout simplement
oui, tout simplement lorgasme de ma vie
putain de truc de dingue
c'était puissant et
long, tellement long
je n'ai jamais joui aussi longtemps
putain, jai eu limpression que pendant une fraction de temps infinitésimale, jai été plus proche de lautre côté que de celui-ci
je nai pas vu le tunnel avec la lumière, mais jai vraiment eu limpression quil nétait pas loin
Je me sens sans défense
ces larmes que je sens couler sur mon visage
ce nest pas moi ça
je me sens secoué, triste, impuissants, seul, désarmé
cétait incroyable
ça ma secoué au point de faire ressortir des larmes qui ne sont pas sorties depuis si longtemps
et putain que ça fait du bien de se laisser aller
putain que cet ouragan de plaisir a balayé tout mon esprit en emportant toutes ses tensions
je me sens vidé, ma tête est une page blanche quaucune rature, aucune souillure nont encore terni
Au bout d'un moment, je finis par pousser un premier souffle venant du plus profond de mes poumons, presque un souffle libérateur : comme un bébé qui souvre à la vie, comme un noyé qui revient à la vie
Et là je sens ses doigts glisser dans mes cheveux
putain que cest bon ce contact tendre et rassurant
son autre main parcourir la peau de mon cou, de mon torse
je lai pourri la dernière fois mais là je le laisse faire
certes, je nai pas vraiment le choix
je suis tellement épuisé que je ne peux même pas my opposer
et dailleurs, pourquoi my opposerais-je ? Au bout du compte, ses caresses, me sont plutôt agréables
cest bon de sentir de la tendresse dans un moment comme celui là
Cest fou, je ne devrais pas céder à cette faiblesse, surtout pas avec un mec, mais j'en ai tellement envie
ses doigts sont d'une douceur incroyable, ils caressent ma peau lentement, centimètre après centimètre. Sous la chaleur rassurante de sa main, je sens ma respiration changer, sapaiser. Les battements de mon cur, encore rapides, ralentissent peu à peu
Il me faut de longues minutes avant de récupérer assez la maîtrise de mon corps et trouver le courage d'aller fumer ma clope; je traverse la pièce presque chancelant, et une fois arrivé sur la terrasse, jallume mon briquet avec un geste incertain, je tire la première taffe et je suis obligé de me laisser glisser en position assise tellement mes jambes ne me portent pas. Je n'ai besoin de rien de plus ce soir là. Je me sens vidé, apaisé, calme ; je me sens bien. Nico part sans faire de bruit.
Mais une fois seul dans ma chambre, je sens soudainement mes émotions changer de polarité
je commence à revenir à moi, à retrouver ma fierté de mâle, à la sentir blessée, outragée, je me surprends à détester lidée davoir été livré à son arbitre le plus total et davoir même aimé ça à un moment ; à maudire lidée de lui avoir offert tout pouvoir sur moi, davoir été à sa merci... certes, ça na été que pendant un court instant
mais je men veux terriblement davoir perdu le contrôle de la situation, de lui avoir permis de lusurper, de lui avoir permis te me tenir par la queue, davoir été prisonnier et non pas maître de mon propre plaisir de mec
et surtout je men veux de lui avoir laissé le pouvoir de me priver, sil le voulait, de mon orgasme
Moi qui le plaisir lai toujours pris, dérobé, volé comme, quand et où je le voulais, jai été à la limite de le supplier de me faire jouir
non pas à commander, en male dominant, de mapporter du plaisir, mais à supplier, à quémander
heureusement ma fierté de mec à men a empêché, mais à bien de moments elle a failli ne pas être assez solide pour mempêcher de mhumilier et de perdre définitivement mon panache
Je sens la colère monter en moi, je sens que je commence à lui en vouloir, à men vouloir ; et je sens que plus les minutes vont passer, plus je vais lui en vouloir et plus je vais men vouloir aussi
Oui, Nico est en train de prendre un pouvoir immense sur moi, le plus fort des pouvoirs que lon puisse posséder sur un homme, le pouvoir de me faire jouir au delà de tous mes espoirs les plus fous
à cet instant précis je jure à moi-même que jamais je ne le laisserai recommencer cela
recommencer quoi ? Lorgasme de ma vie ? Peu importe
jamais ne lui laisserai reprendre ce contrôle sur moi
Une fois, ça a déjà été la fois de trop
je ne peux pas laisser passer ça
cest ma fierté et ma réputation de mec qui est en jeu
faut le punir pour avoir voulu me montrer que mon plaisir puisse être pris dans la soumission
ça ce nest pas possible, et ne le sera jamais
faut que je lui montre que cest moi le mec et que cest moi qui dirige le jeu
faut le punir de
oui, faut le punir de mavoir donné autant de plaisir
Cette résolution rassurante pour sa virilité désormais gravée dans son esprit, Jérém sentit monter son orgasme sous les allées et venues bien dosées de sa main. Oui, Jérémie jouit à cet instant précis, son sperme allant une nouvelle fois souiller ses draps
Et le sommeil ne tarda plus à venir
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