L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 27) -
L'Odyssée de La Belle Hélène La Divinité Invisible -
Cela faisait environ un bon quart dheure que La Belle Hélène toujours aussi excitée regardait Procuste occupé à vider la biche de ses entrailles pour ensuite découper lanimal en de bons morceaux de viande à fumer, ce qui lui constiai des excellents repas pour plusieurs jours. La Femme au corps parfait, nue et attachée à larbre était en pleine observation de la forte musculature du brigand. Elle était presque fascinée par les biceps impressionnants, le torse du colosse aux muscles saillis et arrondis, les cuisses développées tels des poteaux, mais aussi la virilité de lhomme, qui nétant nullement mise en doute par tout ce qui avait été précédés comme ébats sexuels. Elle avait encore envie de lui, et encore beaucoup plus intensément depuis quil lui refusa tantôt de la baiser, afin de soccuper de son gibier ramené de sa chasse. Elle ne perdit donc aucuns de ses faits et gestes, scrutant le moindre mouvement de sa tête, espérant quil lui jetterait au moins un regard, mais rien ! Procuste était affairé à son gibier et semblait avoir oublié Hélène
Tout était calme, quand soudain, elle fronça ses sourcils afin de mieux percevoir ce qui était en train de se passer sous ses grands yeux ébahis. Le chef des brigands se figea subitement, stoppant tout mouvement et sans signe avant-coureur, le bras dont la main portant son glaive et prêt à découper une cuisse de la biche était en position levée et ne bougeait plus, comme pétrifié. Tout le corps de Procuste devenant immobile telle une statue
Puis son corps figé se mit à tourner sur lui-même et sur place, sur son propre axe comme une toupie, dabord doucement pour ensuite aller de plus en plus vite telle une incroyable toupie pour enfin atteindre une vitesse si vertigineuse quon ne pouvait plus distinguer sa silhouette. Cela dura environ une trentaine de seconde quand la forme de Procuste se distinguait enfin de nouveau suite au ralentissement progressif de la vitesse de rotation, pour enfin simmobiliser net dans la même position figée de départ.
- Quel prodige encore ?... Seule une quelconque Divinité peut faire cela
» se dit-elle tout en regardant de tous les côtés que sa position attachée lui permettait de distinguer.
Mais rien ! Personne, aucune apparition Divine laquelle, elle sattendait à voir surgir
non rien !
aucun bruits
rien
le grand silence tout autour dElle et de la statue transparente de Procuste, mise à part la petite brise discrète qui se faisait entendre sans fracas par moment. La Femme avait pourtant cette sensation de ne pas être seule quand Elle perçut un petit souffle chaud sur son sexe comme si une personne lui soufflait dessus. Cela se renouvela plusieurs fois et ses lèvres intimes appréciaient cet air chaud et agréable car elles étaient si gonflées dexcitation, que ce petit souffle ne pouvait quémoustiller encore mieux son sexe en demande dêtre possédé, rempli, baisé
Quand Hélène sentit en même temps quon lui pelotait maintenant les seins, oui des mains invisibles venues de nulle part étaient en train de lui malaxer sa poitrine
Toujours sans aucune présence visible, Elle voyait en revanche ses tétons bouger, se rétracter, et sentit pleinement quon lui pressait, pinçait ceux-ci par des doigts quelle ne pouvait pas voir. Puis ce fut des multiples caresses sur tout son corps en chaleur
Aucune zone de celui-ci ne fut épargnée par des mains baladeuses et invisibles qui sattardèrent sur son fessiers, la courbe de ses reins, son entre jambes, son ventre, etc
Des doucereuses caresses passèrent sur son visage, sa chevelure, ses épaules, sa poitrine pour redescendre vers son intimité
Hélène, qui attachée ne pouvait que se laisser faire, et Elle comprit très vite quon ne lui voulait aucun de mal alors, elle se détendit et se laissa emmener dans les délices de ces longs préliminaires si excitants
Peu lui importait à qui appartenaient ces mains invisibles, tant quelles lui procuraient autant de plaisirs, de sensations si jouissives
Tout son corps répondait à ces sublimes caresses, Hélène en avait des frissons de bien-être, et cest par des gémissements de plaisirs quElle se tortillait pour mien savourer chaque passage de mains lesquels, elle ignorait la provenance.
Subitement, elle sentit quon lui forçait la bouche car une masse dure de chair venait buter contre ses lèvres et poussait avec insistance pour pénétrer sa cavité buccale, lui obligeant ainsi à ouvrir en grand ses mâchoires. Elle reconnût une verge dure et épaisse prendre possession de sa bouche et sur le coup, faillit s car cette queue invisible sintroduit profondément pour la pénétrer profondément et tout cela, elle le sentit par la simple sensation du toucher de ses lèvres, de sa langue et de son palais, malgré ses grands yeux ouverts alors quelle ne voyait aucun corps, ni membre viril devant son visage
Elle sentit le membre dur aller et venir en elle avec une cadence lente mais assurée. Durant cette prise de possession buccale, elle se mit à mouiller encore davantage surtout quand la sensation forte dêtre léchée sur ses lèvres intimes se fit sentir. En effet une langue souple, habile et bien entendu invisible était en train de lui prodiguer un savoureux léchage de chatte ! Surtout quand la langue commença à pénétrer son orifice vaginal. Mais cette sublime langue à la fois râpeuse et souple semblait à Hélène être dune longueur anormalement étendue. En effet cet appendice buccal si excitant donnait à La Belle la sensation de se déployer sur toute sa longueur en son con. Comme si cette langue aux dimensions extraordinaires avait été enroulée sur elle-même et se dépliait entièrement à linstar dune langue dun caméléon attrapant un insecte et tout en sétalant profondément dans sa chatte pour aller lécher toutes les parois intimes et profondes de sa cavité trempée ! Cet exquis léchage minutieux, expert, savamment précis sur chaque zone sensible de son sexe nétait que délice. Oui, ce léchage assez particulier dura de très, très longues minutes et ne tarda pas à procurer à Hélène un orgasme foudroyant qui lui traversa telle une décharge électrique tout le corps quand Hélène prise, possédée, pénétrée longuement, par cette entité invisible, de la bouche et de la chatte.
Alors quElle jouissait intensément, elle sentit un goût de sperme invisible jaillir dans sa bouche mais aucun cri de râles jouissifs de La Divinité ne se fit entendre. Juste des flots de semence qui lui semblaient épais et abondants et qui se répandaient dans sa bouche même si Hélène en navait que le goût un peu acre décelé par son sens du toucher de ses papilles, de sa langue et de son palais qui percevaient ce nectar Divin mais effectivement invisible. La dure et épaisse verge se retira car La Belle Hélène sentit ce retrait évident, de sa cavité buccale. Elle ressentit ainsi la sensation du sperme invisible coulant aux commissures de ses lèvres
Il lui fallut plusieurs minutes afin de retrouver une respiration normale mais aussi pour réaliser ce qui venait de se produire et Elle ne comprenait pas comment comme une Entité de lOlympe pouvait lui baiser la bouche par un membre viril et lui lécher la chatte par une langue dune improbable longueur en même temps sauf si cette Entité était renversée sur elle-même et donc devait être positionnée la tête en bas et les pieds en haut ?... Ou alors, Ils étaient deux ? !
Elle neut pas le temps de trop sinterroger sur ce fait étrange car la réponse ne tarda à venir quand elle regarda en face delle, le corps transparent et toujours figé de Procuste. La transparence de celui-ci se changea en miroir amplement grossissant et Elle se vit alors dans son reflet, nue et attachée. Un miroir qui remplissait toute la surface du corps du brigand et qui donnait étrangement limpression de se rapprocher de la Belle. Alors quElle ne percevait rien, personne autour dElle quand Elle regardait ailleurs que dans le miroir, Hélène aperçut uniquement dans celui-ci, enfin, une présence à ses côtés. Elle distingua alors aisément une superbe Femme Divine, nue à la silhouette sublime et à la chevelure de toute beauté en cascade laquelle navait rien à envier à celle dHélène.
- Tu viens dêtre baisée, petite beauté humaine, par Moi, Philotès, Déesse de lAmour Sexuel
Ne soit pas surprise par Mon apparence physique car sache que Jai été punie par le Grand Zeus Lui-Même qui ma affublé dun phallus à la place de ma sensuelle bouche et comme Il voulait me laisser la parole, Il a transformé mon vagin en bouche avec cette langue de caméléon me prétextant que javais la langue bien trop pendue à lOlympe pour le discréditer et que mon sexe devait être puni pour avoir fauté
Et tout ça pour me punir davoir couchée avec quelquun que tu connais ! Oui Jai couchée jadis avec Le Grand Apollon. Il a été le Seul à me donner autant de plaisirs et Je sais que tu en eu aussi avec Lui en Son Temple (voir un précédent épisode)... Et quand Zeus a appris Mes ébats sulfureux avec Apollon, Il a pris une colère qui a fait trembler lOlympe
Mais si Je suis là, cest justement parce que Jai voulu baiser celle qui fait tant jaser à lOlympe, celle qui été dans la Couche de Mon Apollon que Jaime encore et que Jaimerai toujours
Oui toi la belle petite humaine, sache que tu suscites tant de discordes entre Les Divinités, entres Celles qui te protègent et Celles qui ne te veulent pas ment du bien
Quant à Moi, Je ne te veux ni bien, ni mal, Je voulais juste posséder ton corps afin que Je sache ce qua pu ressentir Mon Apollon quand Il tavait baisée. Maintenant Je le sais et Javoue que tu es délicieuse
Tu mas fait jouir comme Je jouis désormais tel un Dieu, en éjaculant comme un Divin Mâle
Philotès marqua un temps darrêt, toisa la petite humaine attachée et reprit :
- Je te laisse aux savoureux tourments que tu sembles apprécier de ce piteux brigand
Une fois que je serai partie, tu ne te souviendras absolument pas de ce qui vient de se passer avec Moi, plus aucune trace dans ta mémoire de Mon passage
Adieu, belle petite humaine qui ma donné tant de plaisirs
Hélène voulait lui répondre comme Elle avait apprécié et comme Elle avait été très honorée davoir été prise dans ses orifices par Une telle Divinité mais Elle en neut pas le temps. Le miroir disparu comme il était apparu, subitement pour laisser place à la transparence totale du corps du brigand. Celui-ci se mit à tournoyer doucement puis rapidement, très vite sur lui-même. A linstar de tantôt, le corps se mit à ralentir telle une toupie en fin de course, une trentaine de secondes plus tard et toute transparence avait disparue pour retrouver lapparence complète du brigand aux muscles si développés, puis Procuste simmobilisa. Le corps resta encore figé quelques secondes pour reprendre vie ! Le bras de Procuste se baissant pour découper par le glaive en main un morceau de la biche, comme si rien ne sétait passé. Tandis que le tout cela se déroulait, Hélène fut assoupie dun très court sommeil durant juste quelques secondes à peine, juste le temps que cet épisode sefface de sa mémoire, le temps doublier totalement, lintervention Divine de La Déesse Invisible Philotès, la Déesse au phallus placé sur le visage à la place de la bouche et celle-ci à la place du sexe. Hélène releva la tête, considéra de nouveau le brigand concentré à sa tâche. Sa chatte était de nouveau en feu, toujours excitée mais elle avait la sensation, une impression quelle venait dêtre pénétrée, baisée, alors que personne était sur les lieux, quelle était seule
Alors elle se dit tout naturellement que son excitation la faisait délirer, quElle na pas pu être comblée, honorée, baisée et que le temps lui durait que Procuste vienne de nouveau la prendre par tous ses orifices
(A suivre
)
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