La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 400)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode précédent N°399 -
La soumise regarde avec stupeur, partagée entre le plaisir de pouvoir enfin lever les yeux et de découvrir une partie de la salle aménagée en Donjon D/s avec en particulier cette belle pièce de collection effectivement magnifique et symboliquement érotisée. Mais en même temps, elle est tétanisée par ce quelle aperçoit après ce quelle a entendu des propos échangés par les deux Dominants. La corne particulièrement dressée à la verticale de cette tête de licorne est dune longueur inhumaine et elle imagine mal quelle pourrait trouver à se loger dans son anus et son rectum. Ses yeux shumidifient de terreur à lidée davoir cet appendice « cérébral » planté en son fondement comme un pieu. Malgré la confiance absolue quelle a envers MagisterDU, elle se met à douter et à saffoler même, se demandant si lexcitation de cette soirée prestigieuse où les passions sont librement exacerbées dans ce contexte très D/s ne lui a pas fait un peu perdre la tête, et même sil na pas abusé de lalcool qui en excès enlève un peu trop certaines inhibitions. Elle nose pas cependant ouvrir la bouche pour faire part de ses craintes quelle estime fondées, intimidée en premier par la présence du Marquis Edouard dEvans qui ne semble pas le moins du monde perturbé par lidée dune enculade qui lui serait fatale vu la longueur de lengin phallique qui lui semble en outre pointu et dur comme du métal. La soumise dont plusieurs larmes coulent déjà sur sa joue, espérant un revirement de situation, regarde avec insistance celui entre les mains de qui elle sest remise pour vivre ses plaisirs masochistes certes et ses pulsions de soumission, mais pour en jouir avant tout, avec la ferme intention dy survivre et non pas de se laisser entraîner par la part dombre quils cultivent ensemble. La réaction ne se fait pas attendre.
- Baisse les yeux, insolente chose ! Et puis, tu peux mexpliquer à quoi correspondent ces larmes que je vois couler sur tes joues.
La soumise honteuse baisse la tête en se mettant à rougir, frissonnante et tremblante, constatant que la peur qui lavait fait paniquer sest dissipée et transformée aussi sec en une excitation qui maintenant lui dévore le bas-ventre, faisant se contracter et se relâcher son anus de manière presque inconsciente, avec un désir qui lui parcoure léchine avant de se fondre entre ses lèvres intimes qui sont encore plus onctueuses, gonflées et soyeuses, tant elle mouille denvie de se faire pénétrer et posséder par celui quelle sert et quelle Aime aussi profondément. Le Châtelain assiste sans rien dire à la mise au point quIL ne peut quapprouver du Dominant MagisterDU. Pour ajouter à la réassurance, IL se permet de proposer néamoins.
- Souhaitez-vous, cher MagisterDU que jappelle une esclave-femelle inoccupée pour vous faire la démonstration de cet engin original. Car bien évidemment, il y a un réglage qui permet de limiter la pénétration à ce qui est humainement possible. Il est certes possibles dutiliser tous les orifices dune femelle à des fins éjaculatoires ou masturbatoires avec des godes surdimensionnés, mais la nature a ses limites que même les soumises les plus obéissantes ne peuvent pas dépasser.
MagisterDU se retourne vers sa chose qui est de plus en plus confuse et honteuse, tête basse, sachant très bien quelle a dû froisser le Dominant envers qui elle aurait dû avoir une confiance aveugle, dautant plus quelle connaît les sentiments sincères dAmour quils éprouvent lun pour lautre, même sils le vivent pour linstant dans un contexte particulier gothique et D/s mélangés, ce qui ne les empêche pas parfois de parler de leur avenir vanille et du temps où ils se sentiront prêt à fonder une famille, sachant tout ce que cela impliquera dans leur vie à trois ou plus qui ne pourra rester la même que celle quils saccordent encore de vivre en ce moment, laissant libre cours à tous leurs désirs, leurs fantasmes, et leurs ombres.
- Quel dommage, ma darkchose, de constater que Monsieur le Marquis dEvans en soit venu à songer que tu nas pas confiance en moi, et qui plus est quIL envisage dappeler lune de ses esclaves-femelles pour me faire la démonstration de son invention. Je nai plus quà remettre en Ses mains Son esclave N°22 MDE qui est encore entre mes cuisses, et tu prendras sa place sous ma redingote, ce qui te privera du spectacle et du plaisir par la même occasion.
La soumise sagenouille aux pieds des deux Dominants et joint les mains devant elle tout en gardant la tête baissée. Elle nose pas parler avant dy avoir été invitée. Monsieur le Marquis dEvans, même sIL comprend que la supplique lui est en partie adressée ne bouge pas, estimant quIL na pas à interférer dans la relation D/s entre MagisterDU et sa darkchose.
- Tu as quelque chose à dire, ma chose
. Je técoute.
- Maître MagisterDU, daignez écouter la supplique de votre si petite chose, qui se sent honteuse et repentante davoir manqué de confiance envers celui qui a toujours été pour elle un sage Dominant digne de confiance. Je viens implorer sans tarder votre pardon. Je sais quil ne mappartient pas de demander quoique ce soit, mais permettez-moi, si cela vous agrée, de réparer mon erreur en acceptant moi-même de tester lappareil, car je sais que ce soit entre vos mains ou celles du très réputé Monsieur le Marquis dEvans, je nai rien à craindre dautre que de jouir des plaisirs D/s que jaffectionne et de bénéficier de tout ce que vous mimposerez, sachant que vous agissez toujours pour mon bien autant que pour N/nos plaisirs partagés. Mais cest à vous, Maître, de décider dans tous les cas.
- Darkchose, tu comprends aisément quon ne peut pas effacer aussi vite une faute sans une punition adaptée. Monsieur le Marquis dEvans décidera lui-même sIL accepte dentendre ta supplique, après ta démonstration larmoyante qui nest pas de mon goût et qui ma fait offense, car elle nest digne dune soumise aguerrie avec qui jai partagé tant de bons moments D/s. La sagesse du Maître des Lieux est telle que je men remets à Son appréciation.
Les mains jointes au dessus de la tête quelle garde baissée, darchose agenouillée attend de savoir quel sera son sort, sachant très bien que sa punition ne sera jamais physique ou cinglante car MagisterDU connaissant son tempérament masochiste aurait le sentiment de lui faire cadeau au lieu de la punir. Le Châtelain à ce moment-là intervient.
- Darkchose, la confiance en D/s est une chose sacrée, importante autant pour les Dominant(e)s que pour les dominé(e)s, car beaucoup de nos pratiques peuvent être à risques si elles ne sont pas pratiquées avec sérénité en parfaite connaissance de lautre. Le risque nest pas que pour celle qui se remet aveuglément entre les mains dun pseudo-maître inconscient ou dangereux et peut en payer lourdement le prix physiquement et psychiquement.
La soumise en guise de remerciements sincline jusquà terre et dépose de nouveaux baisers sur les pieds du Marquis dEvans mais également sur ceux de MagisterDU. Le Noble reprend.
- Alors debout, darchose ! Tu vas commencer à caresser avec tes mains cette corne torsadée et tâche de nous montrer combien tu la désires. Tu pourras même la lécher et saliver dessus pour la rendre encore plus glissante.
Darkchose se lève et sapproche de lanimal dont la tête, disons plutôt lencolure, est posée sur un socle assez large pour pouvoir monter dessus. La corne est faite dun métal dur de couleur doré qui reflète la lumière dans tous les sens. Elle est torsadée en colimaçon sur toute la hauteur, chaque torsade faisant un petit renflement de bosses et creux qui senroulent jusquà la base du métal qui sort de la tête sculptée dans le bois. Prenant des positions suggestives plus que lascives, la soumise se met à caresser sur toute la longueur la corne comme elle laurait fait dun vit bien dressé quelle allait pouvoir senfiler, puis elle le lèche, langue bien sortie au maximum, de bas en haut ou de haut en bas, pour finir par se pencher dessus pour en avaler le petit bout, regrettant un peu que ce ne soit pas le vrai sexe du Dominant quelle affectionne particulièrement lorsque le Maître cède la place à lAmant.
Monsieur le Marquis dEvans regarde avec attention la démonstration lubrique de celle qui ne ressemble plus à la frêle soumise blafarde quIL avait vu agenouillée au sol. La dépravation et lexcitation semble éveiller toute sa sensualité et lui faire perdre un peu de son côté noir quelle cultive. Malgré un accoutrement gothique qui nest pas du goût de tous, il est indéniable que le charme sensuel et féminin de la soumise agit sur MagisterDU dont la queue sest redressé dès quil a vu sa chose devenir chienne en chaleur, se plaisant à lécher symboliquement dans toute son animalité une simple corne de métal dont elle allait pouvoir profiter comme gode anal. Le Dominant a dailleurs aussi sec écarté les jambes pour attr la soumise qui consciencieusement était toujours sous ses basques en train de lui lécher le cul ; il lattire vers lui en la faisant passer entre ses cuisses, lui faisant faire volte-face pour engouffrer aussi sec sa queue gonflée dans la bouche docile de lesclave N°22 MDE, voulant profiter du spectacle dont il ne perd pas une seconde offert par sa chose impudique, tout autant que du plaisir quil va prendre à voir sa soumise enculée pour la première fois par une corne de licorne.
Monsieur le Marquis dEvans trouvant que le spectacle de ces préliminaires avait été concluants et que la corne devait être suffisamment lubrifiée, IL fait installer la soumise sur deux marchepieds réglables qui se trouvent de part et dautre de lencolure de la licorne quIL a monté suffisamment pour que le bout de la corne se trouve juste à la hauteur de lanus effleurant à peine la corolle qui déjà sémoustille. IL monte une tige en métal coulissante de plus de deux mètres de haut, sur laquelle IL attache les bras de la soumise en lair. IL sangle également la soumise à la barre avec deux ceintures de cuir réglables lune au niveau de la taille et lautre sous les bras.
- Cest pour que tu ne risques pas de tomber en glissant des marchepieds, surtout lorsque je vais mettre la machine en marche ou sil tarriver de te tordre de plaisir anal, ce que je te souhaite.
La soumise droite, les jambes écartées en V inversé, les pieds reposant à plat sur les deux marchepieds, les bras attachés en lair, le corps retenu à une solide barre de métal, sent lappareil se mettre en route et la corne senfoncer doucement dans son fondement, tandis que les marchepieds sur lesquels elle repose redescendent peu à peu. Comme à linverse dun vrai pénis ou dun gode de la même forme, il ny a pas de gland pour forcer la dilatation de sa rondelle, mais juste une forme conique évasée, elle néprouve que du plaisir à se voir ainsi pénétrer et délicatement dilatée à petite vitesse. La sensation du métal froid en contraste avec ses parois rectales internes chaudes la font déjà frémir. Le Marquis dEvans la regarde pour voir dun seul coup dil lorsque la pénétration aura atteint son niveau maximal et supportable, darkchose ayant commencé par froncer les sourcils avant de se mordre les lèvres.
Le Châtelain stoppe net, attend quelque temps pour que le cul de la soumise shabitue à lobjet qui lui pourfend le cul et IL règle la machine qui commence à faire des va-et-vient incessants darrière en avant imitant les coups de butoir dun mâle en rut. La soumise sabandonne au plaisir qui la fait vaciller et même couler de plus en plus, elle crie son plaisir orgasmique dêtre ainsi empalée par une « sex-machine » infernale qui ne sarrête jamais sauf quand on appuie sur le bouton « stop », mais qui varie dans lintensité, la profondeur de pénétration et la rapidité des saccades qui la laboure. Après un premier orgasme spectaculaire qui la laisse déjà éperdue de plaisir, de nouvelles sensations apparaissent, la corne se met à tourner sur elle-même. Les rainures en épaisseur caressent la peau interne déjà très excitée, et elle a limpression dêtre possédée et pénétrée par une roue sans fin qui ravage son cul en feu. Un nouvel orgasme et un troisième ne tardent pas à lemporter vers lacmé, laissant la soumise tremblante de tout son corps, avec de multiples spasmes qui la secouent dans tous les sens (mais comme elle est attachée elle ne risque pas de tomber). Le spectacle est excitant pour MagisterDu qui est si content de voir sa chose débordante de plaisirs et à son tour pour la niemme fois de la soirée, il éjacule déversant tout son sperme dans la bouche de lesclave N°22 MDE qui était en train de le sucer avec volupté et savoir-faire.
(A suivre
.)
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