Leslie Rf10

Leslie RF09 – Rêves et fantasmes.
Rêve de démon ou la bête sexuelle

« Il fait froid, dans cet hiver glacial, je me promène dans les rues sombres d’une ville inconnue…
Une fièvre en moi me dévore, la fièvre de la femelle en chaleur cherchant un mâle pour assouvir ses envies. Les jours de pleine lune c’est toujours pareil, je suis comme dans un état second, ma soif de sexe est à son apogée et je ne peux m’empêcher de succomber au vice.
Malgré la froid qui m’enveloppe, je déambule nue juste recouverte de ce manteau en fourrure et des cuissardes montantes jusqu'à mi-cuisses.
Je sais pourquoi je suis là, cette envie de sexe tord mon ventre et affole mon intimité affamé, alors que mes orifices n’attendent que d’être pénétrés.

J’avance dans ces rues mal éclairées, juste le halo de la pleine lune éclaire mon chemin, sans savoir où je vais, j’avance guidée par mon seul instinct de prédatrice sexuelle…
Soudain j’entends au loin le bruit de chevaux tirant un carrosse, alors je me plaque contre le mur d’une maison pour le laisser passer, mais le carrosse attelé de deux chevaux s’arrête à ma hauteur, la porte s’ouvre me laissant entrevoir dans la pénombre de la cabine deux grands yeux rouges et c’est à cet instant que tout devint flou, un nuage m’enveloppe et je perds connaissance…

Je ne sais pas depuis combien de temps je suis dans cette pièce, une heure, deux, peut-être plus, je ne sais vraiment pas, alors que je reprends connaissance, je prends conscience que je suis prisonnière, mais de qui et pourquoi ?
Je suis entravée, des liens me retiennent sur ce lit, les bras et les chevilles attachés aux montants du lit, m’empêchent de bouger, je ne peux que relever un petit peu ma tête et c’est là que je m’aperçois que je suis nue.
La fenêtre grande ouverte sur la nuit étoilée, laisse entrer le froid de la nuit, un rayon de lune éclaire dans la nuit une cheminée où brule un feu, répandant dans la pièce une lueur venue de l’au-delà.

Je ne cherche plus d’explications à tout cela, il n’y a rien de logique depuis ma perte de connaissance à maintenant, je sens que ma vie est passée de l’autre côté de la raison, il ne me reste qu’à attendre…

Allongée nue, je n’ai plus froid, une chaleur venue de mon bas-ventre monte en moi et m’envahit. D’abord concentrée autour de mon clitoris, elle à humidifier mes chairs intimes, pour remonter ensuite dans mon ventre et se propager jusqu’à mes seins qui se sont durcis, pour laisser ériger les pointes de façon indécente, mais qui puis-je envahit par cette vague d’excitation.
Plus rien ne m’étonne, je ne contrôle plus mon corps, le plaisir m’envahit et, les yeux fermés, j’apprécie ce plaisir en attendant.

Le bruit d’une porte qui s’ouvre, et deux silhouettes apparaissent, et me contemple nue allongée sur ce lit.
Les deux silhouettes se penchent sur moi, elles sont nues, ce sont deux hommes car la cape qui les enveloppe ne masque pas leur virilité érigée, des membres prêts, longs et épais.
Ils se penchent sur moi, leurs visages est masqués par la capuche de la cape et pose leurs mains froides sur mon corps qui frémit.
L’excitation ne m’a pas donné de répit et ma vulve doit être trempée…
Un des hommes insère deux puis trois doigts dans ma fente, effectivement je suis trempée et il les enfonce en moi sans peine, je suis survoltée par cette pénétration et le plaisir se propage dans tout mon corps.
L’homme me donne ses doigts à sucer, pendant que l’autre le remplace en moi, des doigts me pénètrent de nouveau, tandis que je lèche les doigts du premier, goutant mon propre jus.
Je n’en peux plus, je ne suis plus que sexe et mon corps réclame…

C’est à cet instant que je sentis une présence, une silhouette dans la pénombre de la pièce et deux grands yeux rouges qui me contemplaient. Il était là pour moi, démon ou créature d’un autre monde, alors aussitôt mon excitation redoubla, me faisant tremper la couche.
A cet instant je sus que je ne pourrais m’opposer à sa volonté, à ses désirs, quels qu’ils soient...
Alors, j’ai levé la tête pour tenter d’en découvrir plus, mais je ne vois que ces deux yeux rouge sang et une silhouette imposante que je soupçonne nue, mais humaine semble-t-il.
Là où son regard se pose, je sens comme une caresse, il passe sur mes seins dont les tétons se redressent encore plus, sur ma nuque où un frisson nait, sur mes cuisses découvertes et grandes ouvertes, pour terminer sur son sexe qui coule de désir.

Mes paupières se sont fermées pour me laisser apprécier ce plaisir intense qui dévore mon corps, sachant que ce n’est que le début d’un plaisir qui va me conduire à un orgasme de folie…
Lorsque je rouvre les yeux, les deux hommes son toujours là, nus, leurs sexes érigés, imposants, dressés, fiers et arrogants, prêts à m’assaillir, me posséder et me remplir de leur jouissance...

L’un d’eux est toujours en train de me caresser et fouiller mon sexe, là où le regard de la créature est posé, j’ai envie de réclamer un sexe en moi, mais seuls des cris de plaisir franchissent ma bouche. Mon vagin dégouline de son jus sur mes cuisses.
Les hommes me disposent à quatre pattes, et je sens le premier qui commence à me lécher l’anus. Ses mains massent mes fesses vigoureusement, un délice. Sa langue passe sur le rebord de mon trou, puis tente de petites incursions à l’intérieur. Je recule un peu pour coller encore plus son visage entre mes fesses.

Pendant ce temps, le deuxième homme a contourné le lit et me présente sa queue. Je la prends dans la bouche et commence à le sucer, j’ai envie de l’avaler entièrement, jusqu’au fond de ma gorge. Je pose ma salive sur chaque centimètre de ce membre et j’insiste sur le gland, le frein, là où je sais que mes caresses auront le plus bel effet. Je ressens les sursauts de plaisir de sa verge. Je suis si heureuse de lui donner autant de plaisir.
On me caresse l’intérieur des cuisses, là où coule un filet de mon jus, on me mord les fesses, des mains me palpent les seins, une main écarte mes lèvres et des doigts plongent en moi, je crie de plaisir, malgré l’énorme sexe au fond de ma gorge.
Je me sens transformée en être de plaisir, je ne suis plus qu’un sexe, une bouche, un sexe et anus prêts à accueillir les membres qui se présenteront à leur entrée.
C’est à cet instant qu’un, puis deux doigts pénètrent mon anus, me faisant hurler de bonheur, et je sais qu’à cet instant tous mes orifices vont être visités…

Dans le plaisir, je distingue la silhouette de la créature qui observe la scène, cela décuple mon plaisir, mais soudain un éclair de plaisir intense traverse mon clitoris, irradie mes cuisses et remonte dans ma colonne. Des frissons accompagnent cette vague qui me submerge et c’est le moment pour l’homme d’éjaculer dans ma bouche.
Les jets de liquide chaud frappent ma gorge, emplissant ma bouche avide et je décide de tout avaler, quelques gouttes s’échappent de ma bouche et échouent sur les draps.
Puis, je lèche le gland gonflé par le désir en passant ma langue sur le petit trou d’où a jailli la semence, insistant pour faire naître des frissons dans la verge de mon inconnu.
Des coups de langue agacent mon clitoris, et cette langue gourmande récupère le jus qui dégouline de mon vagin, chacune de ses caresses sur mon bouton d’amour me fait vibrer toute entière et me fait gémir, mon ventre se contracte de plaisir intense, je ne suis plus que jouissance…
La langue pénètre mon vagin et fouille mon intérieur, atteignant des endroits jusqu’à lors inexplorés, me faisant hurler de plaisir.

L’homme s’est retiré de ma bouche et je peux librement gémir de tout mon saoul sous les caresse de l’autre, je serre les draps dans mes mains, sentant mes muscles sursauter avec l’orgasme. Mon corps ne m’appartient plus. Les doigts qui continuaient à me fouiller le cul en sortent prestement et je sens alors le sexe de l’homme derrière moi se blottir contre mes fesses.
Il caresse de son gland mon clitoris en feu, et remonte entre mes lèvres tendues puis sur le bord de mon anus. L’odyssée de ce gland sur ma chatte et sur mon œillet me fait jouir de nouveau. Je n’ai jamais été autant excitée et désespérée de ne rien recevoir en moi, alors je recule pour m’empaler, assoiffée de sexe sur ce membre turgescent.
Il est bien plus gros que ce que j’ai connu jusqu’à lors, mais ce membre n’a aucune peine à rentrer dans mon vagin inondé de mon plaisir, car je n’en finis pas de couler. C’est une telle sensation de sentir un membre aussi large et long en moi, que je feule mon plaisir, je ne me suis jamais sentie autant remplie, possédée.
Chacun de ses coups de reins me transportent et je crie mon plaisir, je sens ses mains sur mes hanches qui me tiennent fermement, comme pour m’empêcher de m’échapper à ses assauts.
Soudain, le plaisir m’emporte dans un orgasme gigantesque, mon cœur bat à tout rompre et mon estomac est remplit d’une boule de feu qui dévore mes entrailles, la chaleur envahit mon corps et la bouche grande ouverte, le souffle coupé, je tombe dans l’inconscience…

Lorsque je reviens à moi, je sui allongé sur le dos, les fesses relevées par un coussin sous mes reins et la créature est au-dessus de moi, prête à me chevaucher, et je sens sons membre à l’entrée de mon vagin.
Je ne distingue que des yeux rouges qui me fixent, tandis que je sens le membre de la créature entrée dans mes chairs, forcer mes lèvres intimes. Membre monstrueux qui m’écarte les lèvres et glisse en moi me remplissant encore plus que l’homme précédent.
La pénétration de la créature est inhumaine, mon sexe avide, écartelé par ce membre réclame la pénétration la plus profonde, je m’ouvre au maximum pour l’accueillir…
Le membre de la créature touche par à-coups le fond de mon vagin, il gonfle encore plus au rythme régulier des assauts, je sens ses mains posées sur mes hanches qui m’attient vers lui pour me pénétrer encore plus profondément.
Un frisson parcours mon corps depuis ma nuque, elle parcourt mon dos, pour finir dans mon rectum que je sens s’ouvrir, un nouvel orgasme monte en moi, la vague se forme dans mon vagin tout humide, brûle mes lèvres, part dans mes cuisses et mon clitoris et remonte dans mon ventre et mon corps entier pour finir jusqu’au bout de mes doigts, qui tremblent sous cet ouragan.
Je laisse échapper des gémissements qui se transforment vite en cris. Mes mains prisent de folie massent mes seins aux bouts durs et dressés, mon ventre et l’intérieur de mes cuisses pour attiser la fièvre qui ravage ma raison…

Le sexe de la créature entre et sort en chœur avec mes gémissements, l’odeur de ma mouille me parvient jusqu’à moi, je dois sentir le sexe, ce qui avive l’ardeur de la créature qui me pénètre sans relâche de son membre monstrueux, je hurle ma jouissance dans un orgasme dévastateur.
Inconsciemment, j’ai refermé mes jambes autour des hanches de la créature pour mieux rester ancrée sur son membre. La créature passe ses mains sur ma gorge, mes seins, mon ventre, et mon corps s’agite de spasmes incontrôlables.
Une chaleur prend naissance à l’arrière de ma tête, glisse le long de ma nuque et de mon dos pour envahir mon vagin qui se resserre autour du sexe de la créature.
Sentant un orgasme inhumain me gagner, je m’offre encore plus à la créature, alors son sexe sort de moi, ses mains soulèvent le bas de mon dos et je sens son sexe se poser sur mon anus…
Je n’ai pas le temps d’avoir peur, juste un frisson d’inquiétude parcourt mon corps et le membre de la créature envahit mon anus me faisant hurler comme une bête. Je suis enculée par ce membre qui me vrille le cul et des hurlements sortent de ma bouche, et après un temps infini, la créature se vide en moi alors que je perds progressivement connaissance… »

En me réveillant, je me reconnecte à cet univers plus humain dans lequel je vis, mais je ressens une grande fatigue en moi, je suis épuisée, comme si la créature avait puisé en moi toute l’énergie nécessaire pour sa survie.
Mais bientôt un sommeil calme et reposant me surprend et je me rendors…

A suivre…