Isabelle Va Finir Par Se Venger De Son Mari
Épisode 4
27 juillet : Jean-Joseph
Isabelle sétait dit quelle allait devoir se donner une nouvelle fois. Elle avait déjà eu à le subir une première fois. Elle a tout raconté à son mari. Cest elle qui payait de sa personne pour éteindre les dettes de jeu de son mari. Tout dire en détails à Bertrand, son mari, était une façon dun peu se venger car ça allait ne pas lui plaire.
« Il mattendait dans le lit. Il était à poils. Je me suis mise en soutien-gorge et jai gardé ma culotte. Autant te dire quil a eu vite fait de me mettre à poils. Il ma aspiré les seins. Il sest mis à quatre pattes à côté de moi. Comme il navait pas éteint, jai pu lui voir le boudin. Il avait la trique. Il ma à peine tripoté la chatte. Il sest mis à genou près de moi. Il était fier de mexhiber son engin. « Vous savez ce quil faut faire. Le travail bouche-poignet. Mais attention, faut aller doucement. Jai plein de jus prêt à sortir. » Je voyais son morceau bien vertical. Je me suis dit quil nallait pas éteindre pour et que jallais le voir gicler. Grace à ton copain Noël, je me suis rendu compte que je ne détestais pas voir le sperme sortir dune queue.
- Cest nouveau ça. Tu es vraiment devenue lubrique ; tu me fais honte, ronchonna Bertrand, le mari dIsabelle.
- Cest toi qui devrais avoir honte de mavoir obligé à me donner à tes soi-disant copains qui se servent de moi pour assouvir leurs désirs sexuels.
- Mais je vois que tu ny vas pas la boule au ventre.
- Tu crois ça ; cest pas toi qui leur sert de jouet sexuel. En tout cas, il a pris son temps. Il me donnait des ordres, gentiment, heureusement. Il me vouvoyait : « Allez-y,
, la bouche,
à la main,
les couilles aussi, le gland ! » Il ne sest pas beaucoup occupé de moi. Par moment il ma sucé les seins à pleine bouche. Un peu la chatte aussi. Mais il ny avait quune chose qui lintéressait ; cétait sa queue. Puis, il a commencé à sexciter : « Jen ai plein les couilles ; ça va juter fort
.
-Je narrive pas à timaginer comme ça.
-Ça ne va pas te plaire mais à ce moment, javais envie de me toucher où il faut pour avoir un orgasme au moment où il allait partir. Je ne voulais pas quil me voit. Alors je nai pas lâché son affaire. Jai serré les jambes pour essayer de jouir mais ça na pas marché. Il aurait fallu que je remue mais javais peur de passer pour une cochonne qui se masturbe en regardant un homme gicler.
- Mais, cest la réalité, tu es devenue une vraie chaudasse. Arrête de raconter.
-Surement pas. Il faut bien que ça te fasse mal, au moins un peu, de savoir ce que jai dû faire à cause de toi. Alors écoute la suite. Deux gouttes sont apparues au bout de son gros gland « Jen ai plein les couilles ! » Il me regardait. Il ma pris un sein et la malaxé.
- Cest dégoûtant
- Je nattendais quune chose ; quil me fasse jouir. Il sest remis en forme assez vite et ma demandé de me tourner ; il a recommencé à me peloter les fesses. « Vous avez des joues bien tendres. » Je me suis installée pour offrir ma chatte. Je me suis bien fait peloter. Jétais allongée sur le côté et il ma enfilé. Et il a bourré lentement mais surement. Je savais que jallais jouir ; il fallait que moi aussi je fasse durer. Il sexcitait en me disant des cochonneries : « Cest bon davoir un beau cul bien mou au bout de sa queue. En plus Isabelle me lubrifie le manche. Je pense quelle va profiter de ma queue pour jouir. » Il pensait tout haut, cétait marrant. Il avait raison ; jaillais jouir et pas quun peu. Ça me tiraillait le ventre. Je sentais son gros truc me remplir. Il me touchait le fond. Je me suis un peu courbée pour quil frotte au bon endroit. « Magnifique comme ça. Vous me mettez votre cul à disposition ; merci, jen profite. Je vais encore mieux bourrer ! » Avec ses coups de boutoir lents mais puissants et ses paroles je suis partie. Jai parlé : « Je viens, cest bon. Elle est grosse ! Elle me fait jouir ! Oh oui ! Oui ! Oui ! » Jai été secouée de spasmes violents dans lorgasme. « Vous marrosez, madame, vous marrosez ! Votre chatte me coule dessus.
- Tu cherches à mhumilier Isabelle.
- Et toi, cest bien ce que tu as fait. Tu mas offerte en paiement de tes dettes. Tant pis pour toi si je prends ça bien et que jen profite. Le matin, il ma demandé une pipe. Je lui ai donné satisfaction. Je lui ai bien caressé les boules et frotté là où ça lui fait du bien. Il ma félicité et ma récompensé avec une belle jutée dans les draps. Jai regardé son sperme sortir et couler sur le drap. Alors aujourdhui, je suis fatiguée, je me repose et tu me fous la paix. Je vais me mettre un plug pour mélargir lanus parce que dans 10 jours je vais en prendre une grosse, longue et super dure. Noël ma bien dit que si je ne voulais pas endurer le martyr il fallait que je mentraîne. Ton soi-disant copain Albert, cest un dur. Il est dur de partout. Il va falloir que je lui caresse les poils et tout le reste ; il aime bien ça. Et puis, il ne va pas me faire de cadeaux.
-Je suis désolé Isabelle ; tout est de ma faute.
-Tas raison dêtre désolé. Peut-être que je ne vais pas rigoler quand Albert va me sodomiser mais je suis certaine quil va me récompenser et quil va me faire jouir.
- Cest horrible ce que tu dis. Ça me fait mal.
-Tant mieux. Maintenant je vais dormir.
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