La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 403)
Vanessa au Château (suite de l'épisode précédent N°402)
Le Noble Châtelain se lève pour accueillir son ami et dune voix enjouée :
- Ah très cher, soyez le bienvenu, je ne Vous attendais plus !
- Merci Edouard, oui je suis désolé de vous avoir fait attendre, le travail ma retenu, mais merci de mavoir envoyé votre chauffeur, répond lhomme.
Vanessa reconnait immédiatement la voix de son Commandant et son cur se met à battre très fort dappréhension et de surprise à savoir la présence de son chef de corps aux côtés de son Maître. Elle comprend soudain pourquoi son Maître a souhaité lui laisser le choix de se dévoiler ou non. Elle commence à appréhender la soirée, lidée quil puisse enfin découvrir sa véritable nature la stresse, et lespace dun instant elle envisage la possibilité que lui offre son Maître de reprendre sa liberté. Mais Il lui en a trop fait découvert, Il lui a mît leau à la bouche, et elle a soif den découvrir davantage, elle ne peut quitter sa condition. Elle savait quils étaient amis, son Maître ne layant jamais caché à ses yeux, elle savait donc que son commandant devrait la découvrir ainsi, cela devait arriver un jour, et finalement plus vite ce sera fait, plus vite elle cessera de craindre sa réaction.
- Voyons cest tout naturel, mais vous semblez contrarié, rien de grave jespère.
- Je ne pense pas, je narrive simplement pas à joindre une personne de mon équipe et cest quelquun qui reste toujours joignable donc je minquiète un peu.
- Ah, même en repos vos hommes doivent être joignables ? interroge le Noble, tout en lui désignant le fauteuil face au sien.
- Ce nest pas une obligation, mais parfois jai besoin de certaines personnes qui ont des qualifications particulières, répond-t-il tout en sasseyant.
- Et cet homme possède quelle qualification ?
- Cette femme reprend le commandant, celle denquêteur post-incendie.
- Je comprends mieux votre inquiétude, dit le Marquis dun sourire entendu.
- Non, non, cest simplement une amie, se défend le commandant, et une excellente professionnelle en tant que soldat du feu
- Voyons Laurent, vous pouvez faire illusion au sein de votre équipe, mais pas avec moi, on se connait trop pour cela. Et pourquoi aviez-vous besoin delle ?
- Un incendie avec une cause qui nous semble suspecte, la police nous a demandé denquêter.
- Et vous navez pas dautres enquêteurs ?
- Cette qualification est assez récente en France, on est formés directement par les canadiens. Nous sommes donc peu à lavoir. Je lai également cette qualification et donc voilà la cause de mon retard, jai dû faire les premières constatations et les premiers prélèvements afin quelle puisse continuer le travail dès son retour.
- Eh bien, ce travail semble bien long vu votre retard.
- Jai pris le temps de passer chez elle pour massurer quelle navait pas un problème, avoue le commandant en rougissant tel un adolescent surpris à embrasser son premier amour.
- Et ? questionne amusé le Marquis dEvans.
- Son voisin ma dit quelle était partie en weekend.
- Vous voilà donc rassuré.
- Quen partie, elle na pas emmené son chien, et elle ne part jamais sans lui, donc jespère quelle répondra à mes messages
- Je suis certain que vous aurez de ses nouvelles avant la fin de la soirée et même certainement plus tôt que vous ne le pensez, sexclame dun air malicieux le Châtelain.
- Je lespère, je lespère répond le commandant nayant pas saisi lallusion de son ami.
Vanessa est gênée dentendre cette conversation à linsu de son commandant, elle sen veut également de ne pas avoir pensé quil pourrait avoir besoin delle et de ne pas lavoir prévenu de son absence afin quil ne sinquiète pas. Et malgré le fait quelle craigne sa réaction, elle se surprend à désirer voir la fin de la soirée arriver afin de le rassurer
Après quelques paroles anodines, on frappe à la porte, et sur ordre du Maître des lieux, une jeune femme portant un collier au cou mais entièrement nue entre un plateau à la main.
- Lheure du repas arrive, si vous le voulez bien, je vous propose de rejoindre la salle à manger, dit le Noble en se levant.
- Volontiers, je vous suis, cher ami, répond le commandant qui se lève également.
Le Marquis claque des doigts et Vanessa se place sans attendre à ses côtés, prête à Le suivre sans laisse comme Il la exigé. Ils arpentent les couloirs du Château, continuant de discuter et continuant dignorer la jeune femme qui pourtant sapplique de son mieux à onduler du bassin telle une panthère, pour contenter son Maître. Cette ignorance la frustre au plus haut point, elle veut à tout prix, prouver à son Maître quelle est digne de Lui appartenir, mais comment faire sIl ne la regarde pas. Ce que Vanessa ignore cest que cela fait partie de son éducation, elle doit accepter de nêtre rien, dêtre insignifiante, et Le Marquis sait que sur ce point elle nest pas encore prête. Il a décelé lorgueil qui anime la jeune femme, cette volonté de toujours plaire, de se montrer toujours la meilleure, elle la certainement développée face aux hommes de sa caserne, mais il est temps quelle apprenne quen ces lieux lorgueil na pas sa place, et Il compte bien sur cette soirée pour commencer à le lui inculquer.
- Edouard, vous savez comme japprécie le plaisir de la chair avec le plaisir gustatif, et la vue de ce magnifique dessert me donne envie duser de la bouche de votre chienne, ose demander le commandant, habitué à user des soumises de son ami, en désignant Vanessa.
- Hum
le plaisir que vous en retireriez serait minime, elle ne sait absolument pas se servir de cet orifice.
- Vous métonnez, ce nest pas dans votre habitude de choisir des soumises incomplètes, pourquoi lavoir prît sous votre joug ?
- Disons quelle est encore à lessai, elle nest pas encore digne de faire partit de Mon cheptel. Mais je compte lui laisser un délai supplémentaire pour lui permettre de travailler ses lacunes. Dailleurs je comptais sur vous pour ce dernier point.
A ces mots la jeune femme sent sa frustration saccroitre, elle sait quelle ne connait rien de lart de la fellation, mais entendre son Maître la juger indigne de lui appartenir, après ce quelle a prouvé aujourdhui, elle a envie de lui crier de la tester davantage, de lui faire subir toutes les humiliations quIl désirera, afin quelle puisse lui montrer sa valeur.
- Vous comptez sur moi ? interroge étonné le commandant.
- Oui, rappelez-vous, vous aviez très bien su éduquer mon soumis à cet art.
- Oui en effet, mais cétait un mâle, avec les femelles cest bien plus compliqué, elles comprennent beaucoup moins bien ce que peut attendre un Maître de leur bouche.
- Mais vous pourriez essayer ?
- Hum
puis-je la tester, pour juger le travail nécessaire ?
- Mais je vous en prie, jallais justement vous le proposer.
- Parfait, alors debout, ordonne le commandant se tournant vers Vanessa.
Cet ordre la sort de ses pensées négatives, et sa frustration laisse place à une excitation montante. Sans attendre elle obéit, se tenant droite face à lui, les mains dans le dos, le regard fixé au sol. Il passe son index sur ses lèvres entrouvertes, puis lui ouvre la bouche quil inspecte comme on le ferait dun cheval. La jeune femme sent de nouveau son orgueil s, mais elle résiste à toutes réactions. Le Noble regarde la scène amusé, Il voit que la jeune femme lutte contre son caractère et cet instinct de se rebeller, Il sent toute la frustration qui lhabite, et Il est ravi de constater que malgré tout, elle résiste. Le commandant abandonne enfin son inspection pour enfoncer deux de ses doigts dans les chairs intimes de la jeune femme. Il découvre avec satisfaction son sexe accueillant et humide à souhait. Il la fouille un court instant, faisant monter le plaisir de la jeune femme.
- Mais elle est en chaleur, fait-il remarqué amusé à son ami en retirant ses doigts trempés.
- Effectivement, un appétit insatiable car elle a pourtant joui une bonne partie de laprès-midi.
- A genoux, ordonne le commandant à la jeune femme.
A peine Vanessa a-t-elle prit la pose quil lui enfonce ses doigts souillés dans la bouche.
- Lèche, nettoie ta mouille, et montre-moi ce que ta langue peut faire.
Vanessa sent lhumiliation lenvahir, le fait que son commandant, son ami, la traite ainsi comme une catin est un véritable supplice pour elle, et elle parvient difficilement à laccepter. Mais elle prend sur elle pour ne pas décevoir son Maître et sapplique du mieux quelle peut pour lécher et sucer les doigts quil lui présente.
- Je comprends votre déception très cher, de si jolies lèvres aussi inutiles cest frustrant pour tout Maître, annonce le commandant.
Disant ceci, il prend Vanessa par les cheveux pour la faire passer entre ses cuisses, puis sans lui adresser la parole il appuie sur sa tête pour enfoncer son sexe dans sa bouche. Puis la relâche pour la laisser seule se débrouiller. La jeune femme tente tant bien que mal de lui prodiguer une fellation agréable, mais son inexpérience lui fait cruellement défaut.
- Vous voyez le problème, alors pensez-vous pouvoir dresser cette bouche ?
- Je ne veux pas vous promettre limpossible, mais je veux bien vous promettre dessayer. Même sil ne faut pas se le cacher, la tâche sera longue et compliquée.
- Cest parfait, je connais vos compétences dans ce domaine, je sais que vous saurez faire de cet orifice un écrin bien plus accueillant.
Le Marquis dEvans choisit ses mots avec soin, Il sait que Vanessa na pas encore accepté toute sa condition et Il veut lui faire ressentir sa condition dobjet. Il vise juste, puisque la jeune femme se sent vexée de nêtre jugée que pour sa bouche.
- Elle est vraiment inutile pour le moment, annonce le commandant en la retirant, la menant par les cheveux à reprendre sa place, à genoux à côté de son Maître.
- Oui, souhaitez-vous que je fasse venir une VE-RI-TA-BLE soumise, demande le Noble, insistant longuement sur le mot syllabe par syllabe, pour rabaisser Vanessa.
- Non, cela ira, merci Edouard.
Ils terminent tranquillement le repas, reprenant leurs conversations diverses, ignorant totalement la jeune femme qui bouillonne à côté de son Maître. Vanessa est frustrée, elle se promet de tout faire pour se perfectionner dans chaque domaine qui plaira à son Maître. Elle ne supporte pas léchec et refuse quelle puisse ne pas exceller dans un domaine quelconque. Plongée dans ces pensées, elle ne voit pas le repas toucher à sa fin.
- Bien, nous prendrons le thé dans mon salon privé, cela vous convient-il ? interroge le Noble tout en se levant.
- Cest parfait cher Edouard, je vous suis, répond le commandant en faisant de même.
A ces mots, la jeune femme se rappelle les mots du Majordome :
« Monsieur le Marquis dévoilera ton visage dans son salon privé au moment du thé après le repas. Cependant, Il souhaite te laisser une dernière chance de renoncer à ta condition, si tu ne souhaites pas être dévoilée, il te suffira de ne pas Le suivre lorsquIl quittera la table ».
Elle réfléchit à toute vitesse, accepter lhumiliation de se dévoiler à son ami, ou renoncer à tout. Son Maître fait un premier pas, elle na pas le temps de réfléchir, sa décision doit être prise immédiatement, et elle sera irréversible. Elle respire un grand coup et comme si elle avait déconnecté son esprit, elle se met à suivre docilement son Maître, avec une énorme boule au ventre, craignant les évènements à venir
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!