Leslie So19

Leslie SO19 – Souvenirs
Carla, la petite transsexuelle du bois

Ce n’est pas l’envie, ni le désir qui me bloquait dans mon projet de rencontrer Clara dans l’intimité de mon appartement, mon hésitation de l’inviter à passer un moment d’intimité avec moi, relevait plus d’un éventuel refus de sa part.
Je mourais d’envie de la sentir en moi et de lui faire l’amour aussi, un moment de complicité où aucun tabou ne nous retiendrait, c’était devenu un fantasme qui me mettait dans tous mes états quand j’y pensais, mais voulait-elle seulement de moi ?

C’est Clara qui a devancé mes désirs, un soir, alors que nous attendions les clients, elle s’est approchée de moi et m’a dit :
- Je te trouve très belle, nous pourrions passer un bon moment ensemble, tu me plais, enfin si cela ne te dérange pas !
Mon cœur s’est emballé, et je lui ai répondu :
- Cela me ferait tant plaisir.
- Alors, demain soir ? Chez toi ?
- Je t’attendrais, lui ai-je dis.
- Dix heures, fais-toi belle !

Le lendemain, la fébrilité qui entoure mes préparatifs est à peine descriptible, je me demande toutes les cinq minutes comment cela va se passer, c’est une professionnelle et moi pas, va-t-elle se donner sans retenue ou fera-t-elle semblant comme avec un client.
Je me prépare, juste ce qu’il faut pour être désirable et lui plaire.
Un shorty en dentelle transparent et un soutien-gorge seins nus assorti, une paire de bas auto-fixant et mes escarpins à hauts-talons, et me voilà prête à recevoir Clara.
Elle doit avoir l’habitude de se rendre chez des conquêtes malgré son jeune âge, car quand elle se présente à la porte d’entrée de mon appartement, je la découvre en cuissardes, short en jean et un blouson ouvert sur sa poitrine nue.
Je sens à cet instant mon cœur battre à toute vitesse, en pensant au fond de moi : « Enfin elle est là ».
La porte à peine fermée, brusquement elle me saisit la taille et me colle contre elle sans un mot, je sens aussitôt le désir monter en moi et mon sexe réagir.

Alors que ses lèvres s’emparent des miennes, je sens une main glisser dans mon dos jusqu’à mes reins, tandis que l’autre se pose sur mes fesses.
Sa main sur mes reins me presse vers elle et son ventre se colle au mien, elle me fait sentir combien elle me désire, car je sens son sexe déjà bandé contre le mien à peine protégé par la fine dentelle du shorty.

Elle se penche sur le bout de mes seins que le soutien-gorge laisse libre et commence à les sucer avec douceur.
Je sens que je vais être incapable de lui résister très longtemps, d’autant que ses mains se mettent à explorer mon corps avec une douceur incroyable.
J’ouvre complètement son blouson pour découvrir sa petite poitrine nue, puis sans un mot, sentant certainement que je la désire, elle me fait comprendre son désir d’être sucée par une légère pression sur mes épaules, Clara n’a même pas besoin de me parler pour m’exprimer ses désirs…

Je m’agenouille sur la moquette, et je frotte d’abord ma joue sur son short tendu par l’érection, telle que je la connais elle ne doit même pas avoir mis de culotte
Puis lentement je défais les boutons métalliques de son short en jean, laissant apparaitre son beau sexe dont j’ai envie depuis le premier jour où j’ai rencontré Clara, je baisse lentement le short et commence de petits coups de langue de bas en haut sur le membre bandé.
J’entends Clara soupirer d’aise, alors je gobe un de ses testicules et tout son corps se tend. Je remonte à nouveau avec de petits coups de langue et embouche d’un coup ce sexe maintenant tendu, et dans un souffle, j’entends Clara dire :
- C’est trop bon, ma chérie !
Je ralentis un peu le rythme et joue à ce jeu que les femmes adorent quand elles sucent une queue, accélérer, ralentir, changer de caresses…
Soudain, je suis saisie aux épaules et remise debout par Clara, ses mains courent à nouveau sur moi et me débarrassent de mes sous-vêtements, à l’exception de mes bas et de mes escarpins, elle aussi est nue, juste en cuissardes, j’adore car avec son sexe dressé, elle est vraiment désirable.

Toujours dans le silence de la chambre, ses mains qui me parcourent me jettent en travers du lit, agrippent mes jambes et écartent largement mes cuisses, m’offrant ainsi à ses envies.
Et aussitôt, sa tête plonge entre mes cuisses et mon sexe dressé est entre ses lèvres, sa bouche s’active et joue avec mon gland, et je me cambre en gémissant de plaisir. Deux doigts me fouillent mon anus et je pousse de petits cris pour l’encourager, elle se relève
Et me fait mettre à quatre pattes sur le lit et je la sens disposer sa queue à l’entrée de mon cul, caresser les bords de mon anneau avec son gland, et tout à coup elle me pénètre brutalement tandis que ses mains saisissent mes hanches.
La surprise et une légère douleur quand son gland vient buter au fond de mon ventre me font pousser un petit cri, avant de m’asséner de grands coups de boutoir.

A quatre pattes sur un lit, avec juste mes bas et de mes escarpins, je lui dis :
- Ohhh oui ! Vas-y !
Ma main se glisse sous mon ventre et je caresse ses testicules, Clara me sodomise ainsi un long moment avant de me retourner, pour me coucher sur le dos, elle s’allonge sur moi, relève mes jambes sur ses épaules et me pénètre fort, puis.
Je hurle de plus belle en la regardant dans les yeux, tout en m’enculant elle me branle d’une main, avant d’exploser au fond de mon ventre dans un râle de plaisir.

Sur son visage, je peux lire le bonheur, mais Clara après m’avoir libérée me regarde et me dit :
- J’ai envie, baise-moi.
Elle se met sur le dos et écarte ses jambes en signe d’invitation en rajoutant :
- Comme ça ! Je pourrais te voir et te sentir !
Je présente mon sexe à l’entrée de mon intimité, elle s’écarte grand en passant ses jambes autour de ma taille, ses cuissardes sur mes hanches et ses pieds dans mon dos, elle m’attire à elle pour que je la pénètre d’un coup de reins. Je renverse ma tête en arrière en poussant un soupir rauque et commence à m’activer en elle.
Elle s’agrippe à moi en murmurant :
- J’adore ton sexe, il me remplit bien, j’adore…
Elle m’accompagne dans mes mouvements, même quand je change de rythme, ne laissant que mon gland en elle, pour repartir d’un grand coup, cherchant à aller au fond de son ventre, pour ralentir à nouveau.
Le rythme s’accélère, je contracte tout son muscle sur mon sexe, ses jambes me serrent et elle s’accroche de plus en plus fort ses mains à mes épaules.
Son souffle se fait alors court, elle pousse un long cri rauque, tout son corps se tend, se cabre et, dans un ultime et violent coup de reins, je lui dis :
- Je jouis en toi !

Elle sent les spasmes de mon plaisir à l’intérieur d’elle, sa tête bat de gauche à droite tandis qu’elle râle de plaisir, ses mains parcourent mon dos, et elle m’attire pour que ma bouche viennent sur ses lèvres pour un long baiser.
Puis, le souffle encore court, elle me dit en gémissant :
- Allons dans ton lit, nous y serons mieux.
Dans la chambre sur la couette, Clara me regarde et se positionne en levrette pour que je la prenne à nouveau, elle guide ma queue vers l’entrée de mon anus et d’un grand coup de reins, je la prends.
Elle hurle juste avant que je la pilonne avec ardeur tandis que mes mains s’agrippent à ses hanches. Elle ondule du bassin, m’accompagnant dans mes mouvements et je sens un de ses doigts me masser l’anus.
Le doigt se fait insistant, et parfois me pénètre le cul, et je l’entends me dire :
- J’ai encore envie de t’enculer, ma chérie !

Nous changeons de position et à genoux à mon tour sur le lit, la tête dans l’oreiller, je creuse mon dos au maximum, je sens son gland s’aplatir sur mon anus, je tends mes bras en arrière attrapant mes fesses à pleines mains pour lui faciliter le passage.
Même si je suis préparée suite à la précédente sodomie, elle me pénètre millimètre par millimètre, j’ai l’impression d’être distendue.
Un long gémissement s’échappe de ma bouche, lorsque Clara est complètement en moi et je l’entends me dire :
- J’adore ton petit cul…
Et elle commence ses mouvements, ses mains sur mes hanches, Clara devient une furie, elle ne tiendra pas bien longtemps à ce rythme, je contracte mon muscle pour la serrée encore plus et son souffle se fait court, ses mouvements sont de plus en plus saccadés, et elle jouit à nouveau en moi…
Lorsqu’elle se retire, je suis couchée sur le ventre me laissant le trou béant, mes fesses légèrement écartées laissent certainement entrevoir mon anus entrouvert d’où s’échappe lentement sa jouissance, je ne bouge pas.
Alors la voix pleine d’émotion, elle me dit :
- C’était divin…

A suivre…