Marion+Pierrot
Jaime mon mari dun amour fou. Jaime mon amie Marion aussi, autant que Pierrot mon chéri.
Au début jétais en ménage avec Marion, depuis plusieurs années de vie commune notre amour était le plus fort. Je laimais comme maintenant, jadorais son corps divin, ses seins, son bas ventre, surtout son bas ventre.
Je ne parle pas de ses mains actives sur mon corps jusquà me faire souvent connaitre le 7° ciel. Jai encore en tête le soir où sous la pluie nous nous sommes aimées :
Nous étions sur le point dentrer chez nous quand nous nous sommes embrasées en pleine rue, juste devant la porte. Je lavais collée contre le mur, ses bras en lair, jétais contre elle : elle me parlait.
- Je taime, Tu maimes ?
- Non du tout, mon amour.
- Embrasse-moi.
Ma bouche venait sur la sienne, nos langues se bataillaient.
Jen profitais pour passer une cuisse entre ses jambes pour quelle puisse sexciter encore plus en frottant sa chatte contre moi. Cest à ce moment là qua éclaté un orage violent, très violent : il nous a totalement mouillé toutes les deux. Nous sommes vite entrées pour nous changer. Dans lappartement, nous nous sommes séparées de nos robes et sous vêtements jetés nimporte où, mais le désir que nous avions lune pour lautre a fait que nous nous sommes aimées dès notre nudité.
Cest Marion qui ma attaqué la première en me caressant les seins. Sa façon de faire me donnait des frissons. Elle en profitait pour continuer ses caresses bien plus bas, sur mon ventre rapidement et enfin là où jaime quelle me touche sur ma chatte. Elle commence à me masturber, jécarte les jambes. Mais voilà, je naime pas trop quon me donne du plaisir quand je suis debout. Elle le sait pourtant la garce, elle en profite pour continuer ses caresses sur le bouton sensible. Je suis mouillée déjà depuis que nous nous sommes embrassées dehors, même sous la pluie.
Elle narrête pas malgré ma demande, elle continue ses va-et-vient sur le clitoris.
- Merci de me donner tous ses plaisirs, tu me comble.
- Ne dis pas de sottises quand tu me caresse tu me fais jouir autant. Je taime trop pour ne pas te faire jouir quand tu en as envie, comme souvent. Baise-moi maintenant.
Nous allons dans la chambre où nous sommes vite couchées enlacées. Il est près de 2 heures de la nuit nous nous en fichons : jai envie comme elle. Nous nous embrassons longuement profondément sur la bouche. Nos mains ne restent pas immobiles : nous nous caressons encore les nichons. Ce nest pas suffisant, même si pour elle en insistant, elle arrive à lorgasme rien quen lui faisant sortir les tétons.
Je me souviens encore que cest moi la première qui a caressé son entrejambe : jétais directement sur son bouton. Elle était trempée quand je suis arrivé elle a jouit trop vite. Je lai doigté avec deux doigts seulement. Jarrive enfin à mon étape favorite comme pour elle : je pose un seul doigt sur le rectum. Je ne rentre pas encore, je ne fais que le caresser. Par contre dès quelle le demande jentre tout mon doigts : elle se tortille dans tous les sens en jouissant sans cesse.
Je laisse mon doigt là où il est. Je me tourne complètement : je redeviens la dominante. Je pose ma couche sur sa chatte en lui donnant la mienne. Je lèche toute sa moule. Je me délecte de sa cyprine comme Marion le fait de la mienne. On dirait nos mouvements coordonnés : quand je suis sur son bouton sa langue est sur le mien, quand je lui mets deux doigts dans sa caverne elle men fait autant. Nous nous faisons jouir sans complexe ; cest tellement bon.
Pourtant un jour jai eu envie dune vraie bite dans le ventre : je venais de rencontrer un bel homme, grand, sympathique, baisable en un mot. Jai eu envie de lui : chacun sait que ce que femme veut
Jai agit instinctivement en moffrant comme une trainée. Jai fait parler ses glandes il ma emmené dans un hôtel.
Je men voulais presque dêtre nue dans ce lit avec lui. Pourtant je regardais son sexe avec envie. Je lai touché un peu ayant quil me demande de la lâcher.
Il me montre que cest à lui de rendre des décisions. Je reste là un instant immobile, je ne peux mempêcher de lui caresser la poitrine. Lui men fait autant. Il sait que je me donne à lui uniquement parce que javais simplement envie de baiser. Alors il veut en profiter. Ses mains sont partout sur mon corps : ça me change des mains de Marion, surtout quand sa main est dans ma chatte. Il me branle avec succès ce nest toujours pas la même chose quavec mon amour. Je me demande ce que je fais là quand il me donne sa queue à sucer. Je perds tous mes repaires ; une bite est autre chose quun clito. Dabord la grosseur, ensuite le gout un peu durine, pas déplaisant et surtout avoir en entier dans la bouche ce manche de mâle.
Je le lèche partout, même les couilles. Je ne peux mempêcher daller mettre un doigt sur puis dans son cul. Il laccepte facilement. Je le fais aller et venir lentement. Il gémit légèrement, donc je lui fais du bien, comme il me fait du bien avec ses doigts à la fois dans mon puits et mon cul. Il me fait arrêter juste avant de jouir, alors quil ma déjà faite jouir plusieurs fois.
Les choses deviennent sérieuses. Je reste sur le dos, jécarte les jambes pendant quil vient sur moi. Je ne le sens presque pas, il tient sur ses bras. Par contre je sens sa queue venir contre mon entrée. Il entre très lentement dans ce sexe qui na pas vu de bite depuis des années. Que cest bon de se faire mettre, cest meilleur sur le moment quune simple langue ou un gode. Je le sens profondément, il ressort presque avant dentrer à nouveau. Il me possède comme il faut ; je sais que je gémis sans cesse : cest normal je ressens un plaisir presque oublié.
Je jouis encore plus en le sentant autour de mon sexe. Cest bien meilleur que beaucoup de chose. Je sens sa jouissance aux spasmes de sa bite et à la sensation du sperme dans mon puits.
Quand il sort de moi, il membrasse sur la bouche. Jallais le lui demander, quand il me précède :
- On se revoit quand ?
- La semaine prochaine au même endroit ?
- Non, chez moi.
Il me donne son adresse et son téléphone, le demande le mien : puis :
- Tu baises trop bien, je veux recommencer.
- Cest pareil pour toi, tu baise bien.
Voilà les débuts avec Pierrot.
Au fur et à mesure de notre rencontre je commençais à ressentir de la chose dans mon cur quand je pensais à lui. Je devenais midinette.
Et un jour il ma demandé de vivre avec lui
Il a fallu lui dire que je vivais avec une autre fille que jaimais comme lui. Il ne la pas mal prit : il sen doutait simplement. Jai du avouer à Marion que je la trompais avec un homme. Si elle la mal pris quand je lui ai fait lamour en lui disant que je laimais, elle ma crut. Et un jour, pendant que nous faisions lamour, cest elle qui ma demandé de le faire venir à la maison.
Javais peur comme une fille qui présente son futur à ses parents. Les choses se sont merveilleusement passées. Trop peut être. Cest Marion qui a fait le premier pas en allant lembrasser sur la bouche : elle voulait elle aussi baiser avec une queue dans son ventre. Pierrot ma regardé interrogatif, il a vu que mon clin dil dacceptation. Marion la entrainé dans la chambre. Nus ils se sont fait lamour plusieurs fois. Je les regardais en me branlant.
Quand il a jouit, jai pu prendre Marion dans mes bras : nous nous sommes embrassées. Nous nous somme retrouvée en 69 : je goutais le sperme de Pierrot dans la chatte de Marion : délicieusement dégoutant. Je ne sais combien de fois je lui ai dis que je laimais. Nous surveillons Pierrot : il bandait à nouveau de nous voir ensemble. Je me suis précipitée sur sa bite pour le sucer cette fois jusquà ce que son sperme vienne dans ma bouche. Je lai partagé avec Marion. Nous sommes heureux dans ce ménage à trois.
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