Un Si Bel Été, Et Ses Suites (13)
(Où Cécile présente Nicolas à une de ses amies et ce qui advient ensuite)
Rachida passe la tête dans lembrasure de la porte :
« Sophie est partie à lécole et Marc va trainer au lit comme dhabitude. Moi je file au lycée, vous pouvez prendre votre temps. Il y a du café et du thé à la cuisine. A plus
»
Elle disparait. Nous avons eu ce quil fallait de sexe cette nuit ; nous décidons dêtre sages et de descendre boire un café au bistrot.
En fin daprès-midi, il était convenu que je passe chez Cécile. En my rendant, je me dis que le petit cul de Juliette et la chatte étroite de Rachida mont été très agréables, mais que japprécie toujours les femmes plus âgées, Agnès, Tatili, Cécile
Cest donc avec impatience que je mapprête à la retrouver.
Quand jentre dans le salon, cest la déception : Alors que jespérais profiter dune soirée à lui faire lamour, je trouve Cécile en compagnie dune femme. Assise sur le canapé, celle-ci me regarde avec sérieux. Même assise, elle me parait grande, ses jambes surtout, prise dans un étroit pantalon de cuir marron semblent très longues. Sous un gilet de même matière son pull blanc moule une poitrine haute et de belle taille. Les cheveux châtains tirés en chignon, avec une mèche savamment laissée libre, mettent en valeur son visage sans doute bronzé par des séances régulières dUV. Une cinquantaine dannées sans doute. Elle me scrute, je me sens gêné et je maudis une fois de plus la timidité dont je narrive pas complètement à me départir.
Cécile fait les présentations : Sonia est une de ses collègues et amie de longue date, chargée dune rubrique Bien Etre. Moi, elle me présente comme « Nicolas, le garçon dont je tai parlé ».
Puis elle ajoute :
« Bon, jai une course à faire. Je vous laisse faire connaissance. Si vous avez besoin de quoi que ce soit, vous connaissez les lieux. A tout-à-lheure. »
Me voici donc avec cette femme qui me pose des questions sur mes goûts, mes centres dintérêt, mes projets
Je mefforce de répondre avec naturel mais je me sens maladroit.
« Il me semble que je tintimide. Je timpressionne donc tant que ça ? Il faut te détendre, mon chou. Cécile ma vanté tes qualités, il faut en tirer parti. »
De laccoudoir, elle glisse sur mes genoux et pose sa bouche sur la mienne.
« Tu vas voir, je suis très gentille, mon chou ».
Jai compris que tout cela a été arrangé avec Cécile et je retrouve de lassurance. Nous nous levons et nous dirigeons vers la chambre. Je remarque au passage quelle en connait le chemin et quil y a sans doute une grande intimité entre elles.
Comme je la regarde se déshabiller et, assise au bord du lit, faire glisser le pantalon de cuir, elle rit :
« Tu nes pas à un spectacle de strip-tease, non chou. Je tattends. »
Je me ressaisi, mempresse de me dévêtir à mon tour et de la rejoindre sur le lit. Elle se défait de sa lingerie, soutien-gorge et string noirs, et je la découvre entièrement nue. Sous son ventre à peine un peu rond, un petit buisson châtain surmonte le reste de sa motte épilée. De sa fente débordent des lèvres charnues, froissement de chair ocre rose. Ses seins sont un peu lourds ainsi livrés à eux-mêmes, mais se tiennent encore bien. Leur forme, leur volume, leur tenue me donnent aussitôt lenvie dune possible branlette espagnole. Comme si elle avait lu mes pensées, Sonia sempare de ma verge et lemprisonne entre ses seins quelle presse lun contre lautre. Je vois apparaitre et disparaitre mon gland au rythme lent quimpose Sonia.
Je sens monter le plaisir mais constate avec satisfaction les progrès survenus depuis cet été : jéjacule moins vite et me contrôle mieux. Dailleurs Sonia, qui doit être douée dun sixième sens, libère ma bite le temps de changer de position, vient me chevaucher et le guide jusquà sa vulve où elle me fait pénétrer en douceur. Je sens ma bite glisser entre les parois humides et chaudes de sa vulve et atteindre le fond de son vagin.
« Cécile avait raison, mon chou. Tu es très bien »
Et cest à ce moment justement que Cécile apparaît à la porte de la chambre.
« Je vois que vous avez sympathisé, cest parfait. Jespère ne pas vous déranger si je me joins à vous ».
Ce que disant, elle se met en devoir de se débarrasser de ses vêtements et nous rejoint.
« Laissons à Nicolas le temps de reprendre des forces. »
Cécile présente sa chatte à Sonia qui sempresse de la lécher mais Cécile se ravise :
« Attend, je vais chercher de quoi préparer ton petit trou du cul à sa queue. »
Elle va chercher le gode-ceinture que je connais et sen harnache. Sonia sest mise en position, en levrette, fesses en lair. Cécile lubrifie lengin et sagenouille derrière Sonia qui, des deux mains, écarte les fesses. Jassiste en spectateur à lintroduction progressive du gode, que Sonia facilite en reculant delle-même le postérieur. Cécile commence un mouvement de va-et-vient régulier, sortant presque complètement lappareil puis le rentrant à fond. Quand Sonia commence à gémir, Cécile me jette un coup dil pour sassurer de mon degré dérection et, satisfaite, dit à son amie :
« Bon, je crois que tu es prête pour une vraie bite, je laisse la place à Nicolas.
-Viens vite, mon chou », me prie Sonia en se tournant sur le dos. Genoux relevés, cuisses écartées, elle offre à ma vue sa chatte grande ouverte et son anus encore partiellement dilaté. Au comble de lexcitation je mallonge sur elle, en appui sur les mains, et mon gland trouve immédiatement le contact du petit trou où il sintroduit sans peine. Alors que je pousse plus avant, je sens soudain une pression sur ma propre rondelle.
« Cécile, tu sais bien que
-Tais-toi, tu vas vor que je vais te faire aimer ça, moi. »
Sans tenir compte de mes réticences elle fait lentement entre le gode. Après une légère douleur initiale je le sens glisser à lintérieur de moi et je découvre que ce nest pas désagréable. Très rapidement nos mouvements se coordonnent, Cécile dans mon cul, moi dans celui de Sonia qui recommence à geindre et à répéter « oui
oui
oui » sur un ton de plus en plus haut. Je ne sais plus si mon plaisir vient de mon cul pilonné ou de ma verge qui pilonne, je suis submergé, je jouis en lâchant sporadiquement mon sperme. Sonia, prise de quasi convulsions, râle de plus en plus fort pour terminer dans un cri, les jambes tendues vers le ciel, avant de se relâcher comme une poupée de chiffon, moite, la sueur perlant sur son front. Je me laisse aller à mon tour.
« Oh, mon chou, quel orgasme !
-Jai bien fait de te le présenter, non ?
Et toi, petit salaud, ça ne te plaît toujours pas, la sodomie ?
Vous navez pas soif, vous ? »
Nous repassons au salon et ce doit être un curieux spectacle de nous voir tous les trois nus, buvant un whisky en reprenant notre souffle.
 
Un si bel été, et ses suites (14)
(Comment Nicolas rencontre le petit chaperon rouge et revisite le conte)
Cette nuit, dans mon lit, jessaie de faire le point. Agnès, Cécile, mes tantes Julie et Aline, Stoyanka, Edith de B., Juliette, Rachida, Sonia
toutes ces femmes avec lesquelles jai fait lamour depuis ces derniers mois, ce sont toujours elles qui ont pris linitiative. Mon manque de confiance en moi ma interdit de prendre linitiative. Je décide quil est temps de prendre de lassurance et de choisir moi-même ma partenaire. Mais qui ? Je passe en revue les femmes de mon entourage susceptibles de répondre à mes avances.
Ce matin, dans le métro à lheure daffluence, je me retrouve projeté contre une passagère. Je mécarte de mon mieux en mexcusant. La femme me jette un coup dil, un léger sourire et se tourne légèrement, son regard retrouvant linexpressivité qui convient aux voyageurs des transports parisiens. Nous restons durant plusieurs stations dans cette promiscuité. Je note machinalement quelle a un joli visage, sans doute approximativement lâge de ma tante Julie, mais que ce qui attire lattention cest son béret rouge vif à gros pompon et lécharpe assortie. Elle descend avant moi et disparait sur le quai.
Et voilà que dans laprès-midi, sur le boulevard, alors que je ny pensais plus, japerçois devant moi le béret rouge et lécharpe ! Cest bien ma passagère du métro qui marche à vive allure, chargée de sacs estampillés dun grand magasin. La probabilité dune telle situation était infime et jy vois in signe. Sans réfléchir à ce que je vais faire, jarrive à sa hauteur :
« On respire mieux dans la rue que dans le métro. »
Mon inconnue tourne la tête et me jette un regard noir à travers ses lunettes, mais linstant daprès elle fronce les sourcils, puis me reconnais. Elle esquisse un sourire :
« Oui. Encore que dans les grands magasins avant les fêtes, cest presque pire que le métro !
-Vous permettez que je vous porte quelques sacs.
-Oh, merci mais ils ne sont pas lourds, plutôt encombrants. »
Comme jinsiste, elle men donne deux et nous marchons côte à côte en bavardant. Que dois-je faire à présent ? Comme nous sommes à la hauteur dune brasserie, je me lance et lui propose dentrer faire une pause. Elle a une seconde dhésitation :
« Je vous remercie... Oh, et puis après tout pourquoi pas, javoue que je meurs de soif. »
Attablés devant nos verres, nous parlons de choses et dautres. Elle est fonctionnaire, vit seule et a un petit garçon de cinq ans Entre son fils et son travail, elle a peu de temps pour les loisirs. Jai la présence desprit de prétendre que je fais du baby-sitting, ce qui na jamais été le cas, et que si elle en a besoin
Elle prend mon téléphone, « à tout hasard ».
Quand nous nous quittons devant une bouche de métro, je ne me fais guère dillusions pour la suite. Mais jai la maigre satisfaction davoir osé aborder une inconnue.
Ce nest pas sans surprise que jai reçu ce coup de téléphone, le lendemain, en fin daprès-midi :
« Bonjour, cest Marianne T., vous mavez proposé vos services hier, pour du baby-sitting. Excusez-moi de vous contacter au dernier moment, mais seriez-vous disponible ce soir ?
-Oui, oui, pas de problème.
-Ah, tant mieux ! Alors je peux compter sur vous vers 20h. Je vous donne mon adresse. Encore merci. »
Je me prends à espérer. Peut-être aurai-je ce soir loccasion manquée hier de draguer Marianne. Il ne faut pas semballer : elle fait seulement appel à moi pour garder son gamin.
A 20H je sonne à linterphone et Marianne me prie de monter. Elle me présente Pierrot, son fils de cinq ans, me rassure sur le fait quil est sage, dort sans problème, puis le conduit dans sa chambre.
Quand elle revient, elle sexcuse de nouveau de mavoir appelé au dernier moment :
« Mes amies mont poussées à enfin prendre une soirée de liberté. Nous sortons « entre filles » et ça fait longtemps que ça ne métait pas arrivé.
Si je rentre un peu tard, ne vous inquiétez pas, je vous appellerai un taxi.
-Pas de problème. Bonne soirée. »
Je métais endormi sur le canapé, devant la télé. Je lentend rentrer. Elle ôte son manteau, ses chaussures et se laisse tomber à côté de moi.
« Ouf ! Je suis morte !... Et un peu pompette, je crois.
Pierrot a été sage ?
-Oui, oui. Il ne sest pas réveillé.
-Bon. Eh bien ça ma permis de passer une bonne soirée.
Je vous paye et je vous appelle un taxi. »
Je sens que cest le moment de tenter le tout pour le tout :
« Puisque je suis là, vous pourriez peut-être finir cette soirée agréablement
»
Marianne me regarde avec un air un peu moqueur :
« Dis donc, toi, tu naurais pas une petite idée derrière la tête ? Tu sais que tu pourrais être mon fils ?
-Je préfèrerais être ton amant.
-Eh bien tu ny vas pas par quatre chemins ! »
Elle me regarde en silence avec un petit sourire, le temps me semble sêtre arrêté et je sens que je vais encore rougir ! Mais elle reprend enfin : « Après tout, pourquoi pas ? » et elle laisse aller sa tête sur mon épaule. Mon cur bat la chamade. Jai osé ! Enfin jai osé ! Sans plus tarder, de peur quelle se ravise, je lenlace et pose ma bouche sur la sienne. Nos langues se rejoignent pour un baiser fiévreux et passionné. Marianne a glissé la main sous ma chemise et me caresse la poitrine. Je fais de même et je trouve sous le soutien-gorge un sein rond dont le téton durcit au creux de ma paume.
Brusquement, presque brutalement, elle sécarte, se lève : « Viens ! »
Je la suis dans sa chambre.
« Ne bouge pas, je reviens. »
Elle file à la salle de bain, revient après quelques minutes, nue. Elle est belle, la taille fine, les hanches un peu larges, des seins tout ronds. Jai eu le temps de me déshabiller et elle me rejoint sur le lit. Etroitement serrés, nous nous embrassons de nouveau tandis que nos mains descendent vers notre pubis. Elle caresse doucement mon sexe et mes testicules. Ma main se pose, entre ses cuisses, sur sa toison de poils taillés courts qui couvrent comme une douce fourrure sa motte rebondie. Sous ma paume le clitoris pointe, je le saisis entre deux doigts et je peux le branler comme une petite bite. Marianne réagit aussitôt. Ses « Ah, oui » senchainent tandis quelle serre fermement ma queue et me branle. Elle mattire sur elle et je pénètre sa chatte ouverte et trempée. Ma bite est aussitôt étreinte de contractions ininterrompues tandis que ses « Ah, oui » se font plus bruyants. Nous basculons ensemble et cest moi à présent qui suis sous elle qui me chevauche avec fougue. Ne pouvant me retenir plus longtemps, je lâche mon sperme et son cri de plaisir se joint au mien dans un accord parfait.
« Maman, quest-ce que tu fais ? »
Le petit Pierre, sans doute réveillé par nos cris, se tient à la porte de la chambre, tout ensommeillé.
« Ce nest rien, mon Pierrot, maman joue avec Nicolas.
-Je veux jouer aussi.
-Non, cest des jeux de grands. Allez, il faut retourner faire dodo. »
Elle se lève et me jette : « Ne bouge pas, je reviens ». Elle raccompagne son fils dans sa chambre et me rejoint sur le lit. Appuyée sur un coude, elle regarde et caresse ma queue :
« Cest quand même drôlement agréable, ce machin-là. Tu te rends compte, je men suis privé pendant plus de deux ans ! »
Elle semble bien décidée à rattr le temps perdu. Elle me décalotte complètement le gland, le lèche à, petits coups de langue, puis labsorbe et le tète comme un biberon. Jai tôt fait de retrouver une complète érection dont elle tire parti. Elle se présente en levrette, et le temps dadmirer ses fesses rebondies je suis de nouveau en elle. Au comble de lexcitation, je réussis à lui procurer une série dorgasmes avant déjaculer de nouveau.
Quand nous retrouvons enfin notre calme, Marianne me dit :
« Ma soirée a été parfaitement réussie grâce à toi. Mais je préfère que Pierre ne te trouve pas ici demain
enfin, ce matin. Je vais tappeler un taxi. Mais jaurai certainement encore besoin dun baby-sitter.
-Jespère bien !
-Oh, Nicolas, tu ne peux pas savoir le plaisir que ça ma fait ! »
Jai failli mendormir dans le taxi.
« On est arrivé, chef. Vous bossez de nuit, je suppose.
-Oui, du baby-sitting
»
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