La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 405)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°404 -
Walter donne encore quelques coups de cravache bien cinglants sur la croupe de la chienne Florès MDE qui commence à prendre la couleur des roses. Puis il sort de la Petite Bibliothèque et se dirige dun pas lest vers le grand escalier central, content dy croiser Firmin, ce qui lui évite davoir à le chercher ou à le faire biper par la salle des Gardes.
- Ah, Firmin, ce matin, jai oublié de vous dire quil fallait aussi veiller à ce que plusieurs chambres dinvités soient en état pour le retour de Monsieur le Marquis. Je ne sais pas encore précisément combien de personnes, la chienne-secrétaire émeline MDE ma appelé pour me donner une fourchette de 2 à 4 chambres.
- Pas de souci, Monsieur Walter. Vous savez bien quen théorie toutes les chambres du Château sont propres et pratiquement opérationnelles à tout moment. Il y a déjà deux grandes chambres que javais fait nettoyer de neuf ce matin à tout hasard. Je vais donc en faire préparer deux supplémentaires, avec bouquets, linge de toilette, boissons fraîches, enfin tout ce quil faut pour recevoir correctement les invités professionnels de Monsieur le Marquis.
- Je nai aucune information supplémentaire, donc à priori, ce seront des chambres « neutres » dans laile Ouest du Château que nous mettrons à disposition, et non pas les pièces de laile Est spécialement aménagées en « chambre-donjon » que Monsieur le Marquis réserve à ses Amis qui sont membres de la communauté BDSM et adeptes de pratiques D/s. Je compte sur vous pour que tout soit impeccable demain. Nhésitez pas à réquisitionner des esclaves du cheptel si vous en avez besoin pour le ménage et lentretien des pièces dapparat et de réception du rez-de-chaussée. Les travaux éventuels dans les dépendances et en extérieur peuvent bien être différés de deux jours si besoin, surtout en cette saison hivernale.
- Oui, Monsieur Walter.
- Je vous laisse car je dois retourner dans la Petite Bibliothèque où il y a eu quelque souci avec ce maladroit cabot de6934MDE qui a renversé un seau deau sur le parquet. Mais je tiens à men occuper personnellement, un petit compte à régler avec notre « remplisseuse de vases » qui a aussi dérapé verbalement et a besoin dun sérieux recadrage. Avant que je vous laisse, je vous précise que Maître Domisol, enfin je devrais dire laccordeur de pianos, est avec lesclave fadiese MDE dans le petit Salon Bleu. Veillez à ne pas les déranger, ordre de Monsieur le Marquis en personne.
- Javais été prévenu juste après son arrivée par Didier, le garde en fonction, qui ma indiqué que vous aviez été contraint de laccueillir en personne à son arrivée car lesclave fadiese MDE avait oublié de prévenir de cette intervention pourtant programmée. Jespère que vous avez lintention de le réprimander sérieusement, car si les esclaves se mettent maintenant à prendre des initiatives et des rendez-vous de leur propre-chef sans faire passer linformation, cela ne va plus être gérable.
Walter acquiesce et le quitte en le saluant et retourne dans la Petite Bibliothèque assez inquiet pour létat du parquet. Il entre en ouvrant sèchement la porte pour trouver les trois esclaves qui sont en train de terminer déponger, mais malheureusement leau qui a stagné pendant plusieurs minutes à un peu délavé les lamelles de parquet cirées à lancienne qui ont été mouillées et une immense auréole blanchâtre sest déjà formée.
- AsterMDE, file sans tarder, tu devrais encore trouver Monsieur Firmin dans le Grand Hall. Demande lui quil taccompagne jusquau local dentretien pour récupérer tous les produits nécessaires pour rénover au mieux le parquet qui a été souillé par simplement de leau. Il faut intervenir sans tarder, car je ne peux pas laisser la pièce dans cet état avec Monsieur le Marquis qui revient demain après-midi, en compagnie dinvités professionnels de surcroît.
Walter se met à donner des coups de cravache sur la couenne de6934MDE qui soffre sans retenue malgré la douleur qui lui cingle les fesses, conscient de sa faute et ne sachant pas très bien comment remonter en grâce, se mettant à craindre tout dun coup que Monsieur le Marquis dEvans ne décide de le chasser sil arrivait et constatait létat déplorable de son parquet hautement légendaire. Il sen veut terriblement de ne pas avoir été plus précautionneux dans la tâche qui lui a été assignée. Il se sent vraiment désireux de vivre sa soumission au service du Maître Vénéré à qui il a fait vu dobéissance, trouvant dans sa condition de chien-esclave ce quil recherche dexcitation et dhumiliation mélangée de devoir obéir sans sourciller et dêtre et utilisé sexuellement pour le plaisir du Maître en personne ou de ceux entre les mains de qui il est remis par Le Maître, sans pouvoir discuter ni qui, ni quand, ni comment, il sera transformé en simple esclave-objet à deux trous, ce quil recherchait au fond de lui, aimant tous les plaisirs charnels et également les petites joies des pratiques D/s cinglantes et excitantes.
Mais, il sent bien quil nest pas particulièrement adroit et performant dans les tâches ménagères quotidiennes destinées à lentretien du merveilleux Château, et qui lui sont imposées comme aux autres, entre des temps plus charnels, sexuels et « jouissifs » physiquement ou mentalement. Dailleurs du temps où il était marié, il était de ceux « machos » qui ont bien tendance à tout laisser faire à leur épouse qui doit être capable de combiner activité professionnelle, entretien de la maison et gestion des s, tandis quil préférait se reposer affalé dans le fauteuil devant la télé une fois rentré à la maison. Son désir de soumission, à forte dominance sexuelle, ne la pas transformé en « homme de ménage ». Cest donc plus la crainte du renvoi définitif qui le dérange que les coups de cravache quil reçoit qui ont pour effet de lui mettre le feu aux fesses et de lexciter, sauf quétant encagé, il est dans lincapacité de bander.
- Monsieur Walter, je me suis permis de venir voir ce quil en était et de vous emmener soumise AnnaMDE. Elle est notre « spécialiste » question entretien ménager, une vrai « magicienne » des produits miracles et je crois quon peut lui faire confiance pour trouver le meilleur remède à ce fâcheux incident.
- Très bien, Firmin. Je vous remercie. Vous pouvez disposer car vous avez-vous aussi pas mal à faire de vos journées.
Soumise AnnaMDE qui suivait à un mètre derrière en retrait sest approché et sest agenouillé aux pieds du Majordome comme elle en a lhabitude, prête à sincliner, malgré tous les produits quelle porte dans les bras.
- Cest bon, la chienne, je te dispense des courbettes aujourdhui. Il faut faire vite quelque chose, regarde cette immense tache. Débrouille-toi comme tu veux, mais fais la disparaître
je te dirais bien « utilise la magie, si tu en es capable » puisque Monsieur Firmin te donne presque de tels pouvoirs, presque comme dans certaines publicités clichés quon voit à la télé avec « bobonne » à la maison ravie car elle a le bon produit X en mains qui lui permet de rendre tout propre instantanément. Dans tous les cas, ne me déçois pas, cest tout ce que jattends de toi. Et si tu as besoin de petites mains pour taider à frotter, tu as les pattes de ces deux chiennes qui ont lair de sennuyer à ne rien faire de mieux.
En deux temps, trois mouvements, soumise AnnaMDE a sorti des chiffons, plusieurs produits quelle a répandu sur la tâche et elle commence à frotter, ayant fait comprendre dun simple regard appuyé à soumise AsterMDE et soumise FlorèsMDE quelles devaient aussi sactiver en suivant son exemple, pour se répartir à elle trois lensemble de la grande tâche. Tandis que les trois femelles nues et à quatre pattes sactivent pour redonner de la couleur et de la brillance au parquet ciré détérioré, Walter a repris les coups de cravache quil dispense sur la croupe de la chienne Florès MDE qui essaye malgré tout de supporter sans rien dire et tout en sactivant comme ses deux surs de soumission.
- Voilà, je navais pas eu le temps de terminer ce que javais prévu de te donner comme « mise en bouche ». Laisse-moi voir si tes fesses ont atteint la couleur des roses du bouquet que tu devais préparer.
Le Majordome se penche pour récupérer un pétale de rose qui sest détaché et qui est resté dans la corbeille de fleurs. Il le pose sur lune des deux fesses de soumise Florès MDE qui sinquiète largement, car elle sait quelle préparait un bouquet avec des roses violacées, presque clématite virant sur le pourpre, car cela reprenaient le ton des plumes des deux oiseaux de paradis en verre spécial Daum quelle sapprêtait à garnir. Elle imagine mal ses fesses marquées à ce point et elle doit se maîtriser pour ne pas en vouloir intérieurement à son frère de soumission e6934MDE à cause de qui tout est arrivé. Walter pose le pétale juste à lendroit de la raie des fesses, non sans avoir profité au passage de lui administrer deux bonnes fessées qui ont laissé lempreinte de sa grosse main ferme habituée à sabattre avec énergie quand cela est nécessaire. Pour terminer, il glisse lun de ses doigts dans la fente quil sent frissonnante lorsquil sapproche de la petite corolle étroite et sensible de lanus de la chienne pluguée qui ne peut sempêcher de se sentir excitée de se voir ainsi frôlée et caressée. Mais Walter sinterrompt aussi sec, car lheure nest pas au plaisir charnel daucune sorte et il rajoute :
- Ce nest pas du tout la bonne couleur ! Tes deux petites fesses ont à peine rosies
. Mais tu nes pas au bout de ta punition ! Je suppose que tu en es consciente ?...
Soumise Florès MDE se demande si cest une question qui lui est posée ou un constat que le Majordome fait. Elle opte pour la deuxième idée et se tait tout en continuant à frotter le parquet comme ses deux surs de soumission, essayant de rattr la maladresse commise par le chien e6934MDE qui quant à lui attend prostré et immobile en se demandant bien ce qui va lui arriver, dautant plus que personne ne semble soccuper de lui pour linstant. Le Majordome a cessé de lui administrer les coups de cravache tandis que lesclave mâle na même pas eu le droit de venir aider ses trois surs de soumission qui saffairent à cirer le parquet pour le remettre dans son état initial. Le silence de la chienne qui na pas répondu à sa dernière question indispose encore plus le Majordome qui laisse sabattre sur les fesses de la soumise sa cravache avec force, lui laissant une belle trace bien rouge de laplat qui est venu la frapper sèchement lui extirpant au passage un cri quelle na pas su retenir.
- chienne, lorsque je te pose une question, tu réponds poliment ! Sinon, cela tombe, cest la règle
Et lorsque cela tombe, tu ne cries pas ! Là encore cest la règle, sinon cela tombe deux fois de plus
.
Soumise Florès MDE se mort les lèvres pour ne pas crier lorsque le Majordome abat à nouveau violemment sa cravache à deux reprises, laissant trois marques bien identifiables et dune bonne couleur rouge foncée. Elle a les larmes qui coulent de son visage et essaye de sessuyer les joues et le menton sur le haut des épaules pour ne pas les laisser tomber sur le parquet. Reprenant son souffle, dune petite voix mal assurée qui ne ressemblent en rien à la voix aigüe et criarde quelle avait eu un peu plus tôt et qui avait attiré le Majordome dans la Petite Bibliothèque, elle se hasarde à ouvrir la bouche.
- Me
. Snif
. Monsieur Walter, je vous prie de bien vouloir excuser mon silence. Oui, je suis pleinement consciente que je ne suis pas au bout de ma punition.
- Et dailleurs, sais-tu bien pourquoi tu es punie ? Et ne sais-tu pas que lorsquune punition est méritée, il est bien que ce soit la soumise elle-même qui reconnaisse ses torts et qui implore Le Maître ou lune des mains exécutantes de ses bras droits dont je mhonore de faire partie, au moins en ce qui concerne lintendance du Château et la gestion au quotidien du cheptel, pour quune juste punition lui soit imposée, ce qui laidera à saméliorer en servant de leçon.
- Monsieur Walter, je suis punie parce que de leau a été renversée et quelle est venue détériorer le merveilleux parquet de la Petite Bibliothèque. Je vous
.
Le Majordome linterrompt aussi sec et dune voix qui sest encore durcit.
- Non, chienne à petite cervelle, tu te trompes lourdement ! Tu es totalement dans lerreur en pensant que tu pourrais être punie pour la faute dun autre qui recevra en temps voulu le châtiment qui simpose, pour lui apprendre à ne plus avoir les mains et les doigts flageolants. Alors réfléchis et réponds plus correctement si tu ne veux pas que je me fâche encore plus que je ne le suis déjà.
- Monsieur Walter, je suis sûrement punie parce que je suis responsable de ce qui se passe lorsque je mactive à préparer les décorations florales du Château et que jaurais dû surveiller e6934MDE mieux et massurer quil était à même de faire convenablement la tâche que je lui avais confiée.
- NON ! NON ET NON ! Tu le fais exprès ou quoi ? Tu te trompes pour la deuxième fois et même la troisième fois
. Tu es effectivement responsable de tes actes, mais personne na prétendu que tu étais responsable des actes de ceux qui sont chargés de taider, dautant plus quil nest pas dans tes attributions desclave de surveiller celui qui est ton frère de soumission MDE. Et de « UNE » erreur
.. Et surtout, ce nest pas toi qui a confié quelque tâche que ce soit à ce soumis-esclave, mais Monsieur le Marquis dEvans, moi-même ou dautres qui sont Ses employés agissant par délégation en son absence
.. Donc
. Et de « UNE » erreur de plus
. Sans compter que tu nas toujours pas compris pourquoi tu vas être punie et ce que je suis en droit de te reprocher précisément
Alors, pourquoi, tu seras punie, espèce de chienne ?...
(A suivre
)
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