Deux Dévoreuses
Dans leur salle de sport habituelle, Nadia et Sophia poireautaient devant la porte du sauna féminin, en attendant que celui-ci ait atteint la chaleur minimale. Le responsable de permanence avait tout simplement oublié de l'allumer et elles en étaient quittes à s'asseoir sur un banc, à poil sous leur peignoir, en attendant que la lumière verte s'allume. C'est alors que deux lascars firent leur apparition pour le sauna masculin mitoyen. Deux gars qu'elles avaient aperçus sous les appareils de , le genre musclés mais pas trop, plutôt grandes gueules et déconneurs. Ils se fondaient dans la masse des clients et n'attiraient pas plus leur attention qu'elles-mêmes attiraient la leur. Egalement nus sous leur peignoir, ils s'assirent face à elles pour patienter, discutant entre eux comme si elles n'étaient pas là, puis finirent par s'intéresser à elles pour les chambrer :
- Alors, on veut perdre du poids ? Préparer l'été ?
- Et vous alors ? répliqua Sophia, piquée, car c'était précisément son cas. Au contraire de Nadia, grande fille un peu sèche qui ne prenait jamais un gramme à force de courir tous les jours en plus des exercices en salle, Sophia souffrait de ses rondeurs aux fesses et aux cuisses, sans parler de son abdomen. Elle avait trop tendance à se laisser aller à table et prenait le taureau par les cornes lorsqu'il était déjà trop tard.
- Ah nous, on vient pour éliminer les toxines. On fait du foot, répliqua fièrement le grand frisé au nez en trompette.
- Du foot ? Je déteste le foot, asséna Sophia.
- Ah bon, pourquoi ?
- Vous êtes toujours en train de vous rouler par terre à la moindre pichenette. Moi, c'est le rugby. Voilà de vrais hommes.
- Hou la vilaine ! répondit l'autre gars, un petit râblé dont les mollets poilus étaient aussi gros que les cuisses de Nadia. Et il se pencha pour écarter le peignoir de Sophia au niveau des genoux, laquelle riposta par une gifle tout en refermant le vêtement.
- Holà, vous vous prenez pour qui ? cria Nadia.
En réponse, l'autre ouvrit grand son peignoir et exhiba une paire de couilles pesantes surmontées par un chibre épais :
- Voilà pour qui on se prend ! ricana-t-il.
Les deux filles allaient causer un scandale quand miraculeusement, la lumière verte apparut sur le cabine du sauna féminin. Et elles y entrèrent en engueulant les deux lascars, écroulés de rire.
Dans la cabine, Sophia et Nadia commentèrent l'incident :
- Tu as vu ces deux cons ? Tu as bien fait de lui mettre une mandale, au frisé, clama Nadia en enlevant son peignoir.
- Et l'autre qui montre ses couilles ! Quelle vulgarité !
C'est alors qu'on frappa à la vitre du sauna et les deux filles virent apparaitre la bouille du frisé, toujours rigolard. Nadia se couvrit les seins d'un bras en tapant sur la vitre :
- Foutez le camp, sinon j'appelle la direction.
Peu probable, vu l'isolation, qu'elle ait été entendue mais son expression était claire...
Sous l'effet de la chaleur, Sophia et Nadia finirent par se calmer. Allongées sur le banc, dégoulinant de sueur, elles évoquèrent leur rapport compliqués avec la gent masculine.
A ce point du récit, il convient de s'attarder sur la personnalité de nos deux héroïnes. Agées toutes deux d'une trentaine d'années, elles sont physiquement très dissemblables. Sophia, à moitié beurette, brune à queue de cheval, petite et rondelette mais bien proportionnée avec des seins ronds et fermes, est le type même de la Méditerranéenne. Nadia en revanche a hollandais et présente les caractéristiques bataves : grande, osseuse, visage un peu anguleux, blonde et des seins petits et pointus. En revanche, leur vie privée est assez semblable. Elles se disent toutes les deux "déçues des hommes" mais n'aspirent néanmoins qu'à une chose : en trouver enfin un qui leur convienne.
- Je vais te faire un aveu, lâcha Sophia : je n'ai pas baisé depuis un an. Un an, tu te rends compte ? Je n'ai pas vu une paire de couilles en direct live avant celles de tout à l'heure depuis un an.
- Ah ouais... Moi remarque, c'est six mois, depuis que j'ai viré mon ex. J'ai fait une cure sans mec et ça m'a fait du bien. Mais maintenant, ça me travaille.
- Moi, c'est après un voyage à Berlin où je me suis fait un videur de boite. Un coup en or, faut dire, mais plus rien depuis. Le désert. J'en peux plus...
- Moi pareil. Mon gode est usé à force. J'ai l'impression que je vais finir vieille fille. Et plus le temps passe, plus je deviens difficile. C'est un cercle vicieux. Je me sens tellement moche que je perds totalement confiance en moi.
- Idem. Dès que je rencontre un mec, il est trop ceci ou pas assez cela. Du coup, je bouffe, je grossis, et voilà... Je ne m'aime plus.
******
On l'aura compris, le moral de nos deux sportives en salle n'était pas au top. En sortant, elles décidèrent d'aller prendre un pot à la terrasse d'un café, histoire de se remonter le moral en même temps qu'elles se réhydrateraient. A peine avaient-elles été servies que deux grosses motos vinrent se garer juste devant la terrasse, tout près de leur table. Les motards ôtèrent leur casque : c'étaient les deux footballeurs du sauna. Ils s'avancèrent nonchalamment le casque à la main vers la table des deux filles. Le frisé prit la parole :
- Salut les nanas. Bon, on vient s'excuser pour tout à l'heure. On vous offre à boire pour nous faire pardonner, si vous le voulez bien.
Sophia et Nadia se regardèrent. Après tout, pourquoi pas.
- Mais si c'est encore pour nous chambrer, pas la peine hein ?
- Non non, n'ayez crainte.
Et la conversation s'engagea. L'atmosphère se détendit très vite car les deux gars avaient la plaisanterie facile. Le râblé se prénommait Gregory, le plus grand Timothée. Le fait qu'ils aient dix ans de moins que Sophia et Nadia donnaient l'impression à celles-ci de rajeunir. Au bout d'une heure, la glace était définitivement rompue et ils décidèrent d'aller dîner ensemble.
- Demain, on est remplaçants, on ne joue pas donc on peut sortir ce soir.
- Il faut qu'on passe d'abord se changer, précisa Nadia.
- Pas de problème, on se retrouve au resto.
Les deux filles quittèrent les lieux passablement excitées. Sur le chemin de leur domicile, elles échangèrent quelques considérations :
- Finalement, ils sont sympas ces deux mecs. Un peu jeunes peut-être mais ils sont rafraîchissants, constata Nadia.
- Oui, ils sont marrants, pleins de vie, ça me change de ces tristes figures vieilles avant l'âge qui me draguent habituellement.
- J'aime bien les yeux du petit, ils sont doux, j'avais pas remarqué tout à l'heure quand il a fait le con.
- Moi c'est plutôt le grand qui me plait, il est à ma taille, pour une fois...
Aucune des deux n'abordait franchement la question mais elles avaient toutes les deux en tête la même chose : allaient-elles coucher ou pas ? Elles avaient encore en mémoire la plantureuse paire de couilles de Gregory et une forte envie d'aller y voir de plus près, mais il ne fallait surtout pas que ça se voie des intéressés. Question de dignité.
Elles se firent belles et sexy pour la première fois depuis des lunes. Sophia avait sorti son bustier qui lui faisait remonter les seins, Nadia sa mini-jupe qui mettait ses gambettes fines et musclées en valeur, et pas de soutien-gorge. Ses petits seins pouvaient se le permettre. Le repas fut conforme à leurs espérances, en ce sens que Tim et Greg (elles ne les appelaient plus que par leur diminutif) n'arrêtaient pas de les faire rire. Sophia força un peu sur l'alcool, son péché mignon, ce qui eut pour principal effet de lever ses inhibitions. Alors que les deux filles s'étaient rendues aux toilettes pour se refaire une beauté avant d'aller en boite, la petite brune lâcha à la grande blonde devant le lavabo :
- Je ne sais pas toi mais j'ai une grosse envie de baiser dès ce soir. Si l'un des deux me fait une proposition malhonnête, c'est oui tout de suite.
- Me too.
- Peu importe. Celui qui est le plus dur (elle glousse).
- Je crois qu'ils sont aussi durs l'un que l'autre. Ils ont une belle vitalité. C'est l'avantage de la jeunesse. J'en frissonne déjà...
- Il faut qu'on pense à prendre des capotes, pas sûr qu'ils en aient.
- On va chez moi, j'ai un paquet en réserve, je me l'étais acheté un jour d'optimisme, il est à peine entamé, j'espère qu'il n'est pas périmé.
- Tu as deux chambres ?
- Non, une seule et un canapé. On s'arrangera.
- Oui, enfin, espérons-le. Il ne faudrait pas qu'ils se dégonflent. J'en ai marre de prendre des râteaux.
********
Tout le monde embarqua dans la voiture de Nadia, direction une boite à la mode. La musique, la danse, encore un peu l'alcool finirent par mettre chacun en condition. Quand Nadia annonça "on va chez moi ?", aucune objection n'apparut. Un silence lourd de tension sexuelle régnait dans la voiture. La mini jupe haut relevée de Nadia attira la main de Timothée et l'absence de réaction de la fille confirma le garçon dans son pronostic : ils étaient tombés sur deux chaudes. Pas des canons, pas des mochetés non plus, des filles ordinaires, vivantes, sympas aspirant à une bonne partie de baise à quatre. Tout ce qu'il fallait pour être heureux.
Les deux motards footballeurs pensaient être tombées sur deux "chaudes" mais ils étaient très en-dessous de la vérité, ils allaient s'en rendre compte. Sophia et Nadia n'étaient même pas des gourmandes. C'étaient des dévoreuses. A peine le quatuor était-il arrivé dans l'appartement de Nadia et s'étaient-ils mis à leur aise que les deux filles leur mirent le grappin dessus en leur sautant au cou et en les embrassant à bouche que veux tu, une main sur leur entrejambes. Puis elles descendirent d'un même mouvement au niveau de leur ceinturon et de leur braguette, s'accroupissant pour libérer leur matériel et le gober avec appétit, couilles comprises. Les deux mecs n'en revenaient pas et en auraient presqu'oublié de bander si la conviction des deux nanas n'avait fini par provoquer la réaction idoine. Puis le bustier voltigea, la mini-jupe idem et tout le reste à l'avenant, si bien qu'un duo, Sophia-Gregory, se retrouva à poil sur le canapé et l'autre dans la même tenue sur le lit de Nadia.
Force est de reconnaître que les préliminaires furent vite expédiés. Aussi vite que la boite à capote fut ouverte, sans vérification de la date de péremption. Sophia poussa Gregory sur le canapé et s'empala sur lui en lui mettant ses seins dans la figure tandis que Nadia chevaucha le damier de Timothée dont elle se régala. Jamais elle n'avait vu un ventre pareil. Et ce torse ! Un régal pour les yeux. L'appartement se remplit de bruits de baise, essentiellement féminins, l'une et l'autre fille tenant à se faire mutuellement savoir qu'elles étaient remplies par une bite de rêve. Peu importait désormais l'âge du capitaine. Seul comptait ce qu'il avait entre les jambes. Les deux gars avaient du mal à suivre l'emballement de leur cavalière, surtout Timothée le frisé face à une Nadia aussi déchaînée sur lui qu'une Walkyrie. Comme il voulait quand même se montrer à la hauteur de l'enjeu, il réclama une petite pause, histoire de ne pas remplir prématurément sa capote en surchauffe. Nadia protesta car elle entendait les clameurs de Sophia dans la pièce d'à côté et ne voulait pas être en reste. Timothée s'échappa néanmoins pour boire un verre d'eau et tomba nez à nez, si l'on ose dire, avec le cul poilu de Gregory, en train de percuter en levrette celui de Sophia sur le canapé. Les "oui oui oui !" de la demi beurette témoignaient de son approbation vis à vis de la prestation du footballeur aux fesses contractées par l'effort. Timothée faillit offrir à la brunette sa bite à sucer mais sa ravisa, estimant plus judicieux de ne pas se disperser afin de satisfaire la grande bringue qui l'attendait impatiemment sur le lit. De fait, à peine eut-il assouvi sa soif et rejoint la chambre que Nadia, qui se tripotait sa chatte poilue en l'attendant, l'emprisonna entre ses longues jambes et le somma de reprendre son ouvrage. Le spectacle de ce beau corps en attente et de cette toison bouclée eut tôt fait de raviver l'ardeur de Timothée. Ah, elle voulait de la bite ? Elle allait en avoir. Il lui glissa les bras sous les genoux, l'écartela, s'enfonça en elle jusqu'à la garde et la besogna longuement, de plus en plus durement et profondément tant et si bien qu'il la conduisit à un orgasme ravageur qui le laissa à moitié assourdi par les clameurs de sa partenaire d'un soir. Un peu alarmés, Sophia et Gregory, qui venaient à peine d'en terminer, vinrent aux nouvelles. Non, Nadia était bien vivante, seulement anéantie de jouissance après des mois d'abstinence. Pas peu fier, le footballeur regarda sa bite encore gaillarde.
- T'as pas éjaculé ? lui demanda Gregory.
- Euh non, pas eu le temps.
- On va remédier à ça, décida Sophia, qui retira la capote du chibre et se mit à le sucer avec conviction tout en jouant avec ses couilles. L'effet fut radical et Timothée lui éclaboussa la figure de longues giclées d'un sperme épais.
- Oh la vache ! s'exclama le footeux en regardant les trainées blanches sur les joues de la suceuse.
Puis les deux filles partirent sous la douche et revinrent sommairement vêtues d'une serviette nouée autour des seins. Les deux footballeurs commençaient à se rhabiller quand Nadia lança :
- Allez les gars, soyez sympas, restez dormir avec nous, on ne va pas se quitter comme ça ?
- Et où ça ? Il n'y a qu'un lit.
- Eh ben, tous dans le même, il est assez grand. Allez, poussez-vous.
Et c'est ainsi que les deux couples s'entassèrent dans le plumard de Nadia, ce qui n'empêcha pas les deux footballeurs de sombrer rapidement dans le sommeil, car il était tard et ils avaient pas mal donné.
Mais le jour ne s'était pas encore levé que Gregory sentit une main s'affairer entre ses jambes. Il l'attrapa et remonta jusqu'à la source : l'épaule de Nadia. Visiblement, celle-ci avait encore faim et sa branlette était particulièrement habile parce qu'insistant sur le gland. Celui-ci prit rapidement de la consistance et la main de Nadia fut remplacée par sa bouche. Elle était à genoux à la tête du lit alors que Gregory était flanqué de Sophia, qui ronflait au milieu. Timothée était à l'autre bout du plumard, lui aussi endormi. Nadia chuchota à l'oreille de Greg :
- Ne bouge pas, je vais venir sur toi...
- Mais...
- Chuuut !
Dans la lumière du jour naissant, Greg vit Nadia s'avancer vers lui, genoux de chaque côté de ses hanches, lui saisir la queue et s'empaler lentement sur lui, sans même avoir pris la précaution de le coiffer de latex. Les mains sur son buste, les yeux clos, elle allait et venait lentement, savourant le moment présent. Lui ne bougeait pas une oreille, de peur d'agiter le lit alors qu'à côté, Sophia et Timothée ronflaient de concert. Mais insensiblement, le rythme de Nadia s'accéléra et elle se mit à haleter. Son plaisir prenait le pas sur la prudence et le lit commença à grincer. Ce qui devait arriver arriva : Sophia arrêta de ronfler et ouvrit un oeil avant de se dresser sur son séant :
- Mais... mais... vous baisez ! Vous pourriez aller sur le canapé, merde !
- Tais-toi, rendors-toi, chuchota Nadia tout en louvoyant des hanches.
- Ah mais non, ah mais non ! C'est pas juste ! Oh, réveille-toi, dit-elle à Timothée en le secouant. Le footballeur, déjà au bord extrême du lit, se retrouva au sol et jura.
- Regarde, ils baisent et toi tu dors ! l'apostropha Sophia.
Timothée avait eu à peine le temps de reprendre ses esprits et de remonter sur le lit que son gland était déjà dans la bouche de Sophia. Entre temps, son acolyte avait repris les affaires en mains, retourné Nadia, saisi ses cuisses au creux de ses bras et lui assénait de profonds coups de bite qui faisait s'exclamer la grande blonde. Jugeant l'érection de Timothée largement suffisante pour passer à l'étape suivante, Sophia l'avait plaqué sur le lit et le chevauchait maintenant avec ardeur. Les hasards du positionnement des deux couples avaient mis le cul de Sophia pratiquement sous le nez de Gregory pendant qu'il besognait Nadia. Le spectacle de ce copieux fessier en mouvement et de cet anus à demi ouvert renforça sa raideur et Nadia couina de plus belle. Mais Gregory était hypnotisé par ce cul, qu'il avait pourtant honoré quelques heures plus tôt. Alors, il se retira de Nadia et insinua sa bite dans l'entrée de l'orifice intime de Sophia, juste pour tâter le terrain. La brunette se raidit et protesta :
- Non, pas ça !
Mais ce n'était pas un non tout à fait convaincant aux oreilles de Gregory qui insista et il sentit que la beurette se cambrait tout en continuant à chevaucher Timothée. Ce n'était pas exactement une invitation mais ce n'était plus un refus catégorique. En outre, alors qu'il s'attendait à de vives protestations de Nadia pour cause de désertion, celle-ci resta d'abord muette puis affirma :
- Vas-y, encule-là !
Et elle mit le nez au ras de la queue de Gregory pour observer la progression, allant même jusqu'à écarter les fesses de Sophia pour faciliter l'introduction. Cette intervention fut du reste déterminante dans la progression du dard footballistique. La beurette se retrouva bientôt enculée jusqu'à la garde et loin de s'en offusquer, invita le nouveau venu à s'activer en agitant sa croupe aux fesses larges. C'est ainsi qu'à l'aube naissant de cette journée peu ordinaire, la semi beurette qui n'avait pas baisé pendant un an se retrouva prise doublement pour le même prix. Comme c'était pour elle une grande première, elle manifesta crûment son enthousiasme, d'autant que ces deux bites si proches l'une de l'autre dans son tréfonds lui procuraient une sensation inédite. Pourtant à peine réveillé, Timothée se mit à lui faire le coup du marteau piqueur à l'envers, manquant de désarçonner son coéquipier qui se rétablit de justesse pour se maintenir dans la partie supérieure du sandwich. Après avoir un peu peiné à trouver la bonne synchronisation, les deux footballeurs honoraient maintenant la brunette avec vigueur. Mais Nadia en avait un peu assez de sa position d'observatrice et réclama le même traitement. Et c'est ainsi que Timothée vit apparaitre la grande blonde sur sa queue puis son coéquipier dans son champ de vision. L'affaire ne fut pas mal conduite, d'autant que Nadia avait déjà une certaine pratique puisque son ex était un inconditionnel de "l'anal". Et ses "allez, défoncez-moi" n'avaient rien de rebutant. Gregory éjacula le premier dans le rectum de la grande bringue alors que Timothée, ne voulant pas laisser Sophia en plan, lui offrit de la terminer en levrette, ce que l'intéressée accepta sans barguigner.
Le jour était déjà levé depuis un bon moment quand le quatuor émergea de sa torpeur dans une odeur puissante de foutre et de sueur. Le téléphone portable de Timothée sonnait avec insistance.
- Décroche, merde ! bougonna Grégory, qui tentait de refaire surface, le gland meurtri et les couilles en vrac.
Timothée attrapa son téléphone, expulsa un "allo" douloureux, blêmit et raccrocha avec un "bon d'accord" qui n'augurait rien de bon.
- Qu'est-ce qu'il y a ? ânonna Grégory.
- Il y a que le coach vient de m'appeler. Il faut qu'on rejoigne l'équipe dare-dare car deux mecs ne sont pas venus au rendez-vous pour le déplacement. Il manque deux joueurs.
- Oh putain ! Je suis naze.
- Et moi donc. Bon, allez, on prend la douche et on y va, même pas le temps de bouffer.
Et c'est ainsi que les deux filles, à peine réveillées, virent partir leurs amants d'une démarche hésitante après un bisou furtif sur le front et une promesse de retour. Et elles se rendormirent.
Bien entendu, les deux joueurs remplaçants brutalement titularisés se révélèrent hors du coup et jugés responsables de la lourde défaite de leur équipe, d'autant qu'ils évoluaient en défense. Jambes lourdes et la tête ailleurs, ils frôlèrent même le ridicule, à leur grand désespoir car ils comptaient bien devenir titulaires avant la fin de saison, objectif qu'il fallait évidemment oublier. Ils avancèrent pour excuse qu'ils étaient "sortis" la nuit d'avant, faute d'avoir été convoqués, ce qui ne fut pas retenu par le coach. Et ils finirent la saison en réserve.
Quant à Nadia et Sophia, tout en étant satisfaites d'avoir pu "faire la fête à leurs hormones" après une trop longue pénitence, elles jugèrent les deux footballeurs "un peu jeunes" et repartirent à la chasse au compagnon fidèle. Mais ceci est une autre histoire.
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