Mon Oncle Et Mes Cousins
La semaine annuelle des vacances familiales a lieu depuis toujours. Nous nous retrouvons tous les cousins avec les tantes et oncles. Nous avons presque le même âge, cousins et un oncle. Que nous soyons en couple ou comme moi célibataire impénitente à cause de mon amour des queues, Pour cette semaine nos amis ou amies ne peuvent pas venir, cest « verboten ».
Nous faisons de tout, surtout que les grands parents sont partis pour un monde dit meilleur. Un soir, mon oncle Jean nous propose de nous amuser à touche pipi. Jean est le dernier né des oncles. Il doit avoir 4 ans de plus que moi. Dailleurs il ny a pas si longtemps nous avons passé ensemble une baise fabuleuse. Il doit être champion de monde des déviations amoureuses.
Bien sur Marc et Olivier acceptaient sachant que jallais moi aussi participer à ce jeu à la con. Je me trouvais donc la seule fille à « jouer » avec eux. Je me voyais déjà succomber à trois bites bien grosses : jadore ça. Nous pouvions aller jouer au fond du jardin dans une remise abandonnée. Le soir tard, jallais me mettre toute nue devant la remise. Je ne portais quune couverture au cas où je devrais me coucher sur du foin ou autre végétal. Les autres venait habillés à leur façon, ainsi Jean était en string court : je distinguais sa queue à travers. Mars, plus pudique portait un pantalon et le dernier, Olivier était en slip de bain et maillot de corps.
Ma nudité les incitait à mettre bas ce quils portaient. Je navais jamais fait lamour avec Marc, à peine deux ou trois fois avec Olivier. Cest Jean qui fixait les règles du jeu. En début, je devais en tant que fille les faire bander. Un jeu d pour moi. La lune éclairait nos écarts de conduite.
Jarrivais à donner une belle érection à tous, particulièrement à Marc dont je ne connaissais pas lintimité. Belle et vigoureuse queue que je me promettais de choyer.
Jétais prête à prendre trois queues en moi, comme je lai fais souvent, et surtout comme jaime.
Il venait derrière moi, écartait mes fesses, ce que jacceptais pour la suite que je voyais déjà.
- Mets-toi de ta mouille sur le cul.
- Merci si tu mencule, jaime.
- Tais-toi et laisse toi faire.
Je fais ce quil veut, après tout cest mon oncle. Je sens sur mon anus, le bout de sa bite. Jouvre bien mon anus. Jai envie quil mencule, jai été privé de ça depuis plusieurs semaines. Jen avais des démangeaisons au cul.
Il entre lentement, mes chairs sécartent bien pendant quil me la met. Croyez-moi, il sait bien enculer. Quand il est au fond de mon cul, il me demande de me courber pour sucer Marc. Bonne idée. Jaime le gout de la bite de ce cousin. Jaime aussi sa forme un peu courbée vers le haut. Je ne veux surtout pas quil jute trop vite.
Jean toujours dans mon cul demande à Olivier de lenculer lui aussi. Je ne savais pas quil aimait avoir une queue dans son cul. Je sens quand il a la bite du dernier dans son anus : les mouvements de va-et-vient dans le mien anus sont plus accentués pour mon plaisir qui me fait jouir. La queue de mon enculeur avait grossie quand il se faisait mettre lui aussi.
Je me trouvais donc prise par une queue dans le cul et un autre dans la bouche. Malgré mes maladresses volontaires je faisais jouir Marc.
Je gardais précieusement dans ma bouche tout le sperme de Marc. Je lui trouvais un gout inhabituel. Je pouvais reprendre dans une main la queue devenue molle. Je voulais le faire encore bander pour recommencer à moins quil vienne me la mettre dans le con pendant que celle de Jean était toujours plantée dans mon rectum. Je nai pas pu : Jean jouissait ainsi que celui qui la lui mettait dans le cul.
Je réussissais à faire bander à nouveau Marc que je suçais juste avant. Jean décidais quil fallait changer de façon de jouir.
Jétais étonnée de les voir se baiser comme peuvent le faire des gays. Cétait à la fois sale et excitant. Je narrêtais pas de jouir. Par contre au bon dun moment après un orgasme final, ils sarrêtaient tous. Nous sommes revenus nus à la maison. Pour mamuser je tenais Marc par la queue flasque comme par une laisse. Le temps de monter dans les chambres cette queue bandée encore. Javais le choix entre le laisser ainsi pour quil se branle, à la rigueur devant moi, je laurais accompagné ou venir tirer un coup avec moi. Je navais pas eu ma dose de bite dans le con.
Nous sommes allés nous coucher ensemble. Ca na pas trainé pour baiser. Il est venu sur moi comme un puceau. Par contre une fois dedans il ma bien baisée. Il ma afit mettre en levrette en me demandant de me branler. Jai jouis follement quand il jetait son sperme dans le ventre.
Le lendemain matin, nos parents nous écoutaient sans trop comprendre les allusions entre nous pour le soir. Je ne voulais pas recommencer comme la veille, je suis une femme pas une compagne dinvertis. Quils aiment senculer est une chose, quils me négligent en est une autre.
A lheure de la sieste jallai voir Jean. Il était avec Olivier, sa tête au pied, sa bouche tout près de ma queue de lautre. Jattendais un 69. Cest bien la position choisie. Pourtant, même sils me voyaient ils dépassaient les glands pourtant bien visible pour aller plus bas que les couilles, poser les langues sur les culs. Je ne savais pas que dans leurs habitudes existait ce genre de déviations, lanulingus, pas méchantes.
Je regardais les queues bander plus fort. La jupe relevée, je me branlais sans pudeur.
Le soir, je pensais que les deux hommes auraient la queue basse. Ils étaient en pleine forme dans les deux sens. Je me suis offerte comme une pute, ce que je suis un peu. Je nai pas attendu longtemps pour me faire mettre par les cousins et mon oncle. Cest lui qui est venu ma la mettre dans le con. Cétait bon de lavoir dans le ventre surtout en pensant à ce quil faisait dans laprès midi. Il ma fait tourner sur moi-même. Jattendais la suite avec impatience. Cest Olivier qui venait sur mon cul. Cette sensation des bites qui se croisent, me faisaient un bien fou. Jen aurais hurlé. Jai la récompense quand Marc est venu me donner sa queue dans la bouche. Je lui tenais la bite à la base, je pouvais mettre deux doigts dans son cul. Ma langue léchait sans cesse, mes lèvres étaient comme mon con pour sa bite.
Nous avons jouis presque ensemble, moi plus que les autres, bien avant, pour recommencer aussitôt.
A moins dévénements imprévus, lan prochain nous recommenceront nos jeux dadultes consentants.
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