La Caméra Espion 3. La Partie Filmée

La caméra espion 3. La partie filmée

Il est 15 h quand je quitte le bureau. J’envoie un SMS à Chantal. « Ma chérie, une merde, je dois accompagner un client à Niort ce soir. J’ai bien peur de ne pas rentrer de la nuit. Je suis désolé. Bonne nuit. »
Elle me répond aussi sec « Salaud, tu pars avec une nana ! Si tu me trompes, tu peux être sûr que je te quitte ! »
La salope, quel aplomb ! Et je suis sûr qu’elle pense ce qu’elle dit.
Et d’un seul coup me revient Philippe en mémoire. Ce salaud qu’elle déteste aussi. Elle se serait laissée sauter par lui aussi, en même temps que Jacques. Je ne sais plus si je l’aime encore. Pourtant c’est de la voir baiser que je souhaite le plus en cet instant. J’ai envie d’assouvir mes envies de mateur. Il n’y a rien de plus excitant que de voir la femme aimée, adorée prendre du plaisir dans les bras d’un autre homme. Je l’aime encore. Quand je ne l’aimerai plus, je ne banderai plus dans cette siruation.

Philippe est le type même du macho pédant, sûr de lui, toujours à vouloir se mettre en valeur. Il faut dire qu’il est beau mec et beaucoup de femmes stupides se laissent avoir par un tel coureur de jupon. Chantal le méprise de bien des façons.
Il fume beaucoup, même chez nous, pas gêné du tout, même si Chantal lui en fait le reproche. C’est tout juste s’il ne la traite pas d’emmerdeuse. Il est paresseux, inscrit au chômage, il profite à fond du système sans se soucier qu’il vit aux crochets de la société. Il est toujours bien fringué avec des chaussures à la mode à la pointe très longues et un pantalon serré. Il porte toujours des chemises ouvertes sur sa poitrine, exhibant un belle chaine en or au milieu de poils noirs très denses. Tout ce que nous n’aimons pas Chantal et moi. Un fanfaron !
Je me demande ce que Jacques a préparé pour cette soirée. Je cache mon auto dans un parking et rejoins ma maison avec les transports en commun.
Notre salon et notre chambre attenante donnent sur un petit jardin discret par deux grandes baies vitrées.

Je me cache dans une remise pour les outils de jardinage. J’ai une vue imprenable sur le salon et sur la chambre. J’espère qu’ils vont laisser les volets roulants ouverts avec la lumière.
17h. Chantal arrive la première. Elle passe dans la chambre. Elle commence à se déshabiller pour se changer. Elle est belle, bon dieu ! En sous vêtements, elle passe dans la salle de bain, se coiffe devant le miroir. Elle se maquille et je ne peux refreiner une pointe de jalousie comprenant qu’elle se fait belle pour un autre. Elle revient dans la chambre et merde ! Elle ferme le volet roulant. Aveugle. Deux minutes passent, elle réapparaît dans le salon. Elle a visiblement passé des bas noirs. Je sens que je bande déjà maintenant, en imaginant qu’elle s’est préparée pour son amant.
Soudain elle se tourne vers la porte d’entrée qui s’ouvre sur Jacques souriant. Il est suivi de ce merdeux de Philippe. Puis une jeune femme apparaît. Je ne la connais pas. Elle est très belle et habillée sexy. Je confirme, une partouze est programmée. Jacques prend Chantal dans ses bras et l’embrasse tendrement. Il la repousse et se retourne vers les deux autres arrivants. Le visage de Chantal s’assombrit. Elle n’apprécie pas et le montre sans se cacher. Mais ce con de Philippe s’approche d’elle, la saisit aux épaules et sans hésiter l’embrasse pleine bouche à son tour. Et elle ne se dérobe pas ! Je n’en reviens pas, elle semble même apprécier ce baiser. Les deux autres regardent avec un sourire amusé, l’air de dire : « il est bon ce Philippe ! Elle ne peut pas lui résister ». Je vois même Chantal passer ses bras autour du cou de notre ami pour appuyer son baiser. La salope ! Je bande.
Au bout de plusieurs minutes, ils se séparent et d’après leurs gestes je devine, car je n’entends pas ce qu’ils se disent, que Philippe présente la donzelle. C’est elle que Chantal n’a pas envie de voir ici. Elle lui fait carrément la gueule, mais Jacques et Philippe semblent s’arranger pour détendre l’atmosphère.
J’intègre alors la raison de ce baiser appuyé, contre nature. La fourbe, elle voulait en remontrer à la jeune fille !
Lentement la nuit tombe. Ils allument la lumière dans le salon tandis qu’ils s’installent pour prendre l’apéritif. C’est Jacques qui se charge d’aller chercher MON whisky.
Les conversations vont bon train.
D’un seul coup je réalise que je peux entendre ce qu’ils disent avec ma caméra espion ! Comment ne pas y avoir pensé plus tôt. J’allume mon téléphone et j’enclenche la caméra. Aussitôt leurs voix me parviennent claires et nettes. En plus l’image me montre le salon suivant un autre angle car elle est placée face à moi. C’est Philippe qui parle.
- Charlotte est assistante de rédaction dans une revue médicale et voudrait que tu lui donnes quelques conseils.
- Oui et quels conseils ? Répond Chantal dans un ton qui marque son manque d’enthousiasme.
- Je voudrais pouvoir évoluer vers l’écriture et la rédaction d’articles de vulgarisation de certaines disciplines de la médecine.
- Il y a des écoles pour ça !
Je devine que Jacques voit que la soirée risque de tourner vinaigre. Il se lève, s’approche de la chaine et met de la musique. Le comble, il invite Charlotte à danser laissant Chantal folle de rage dans son fauteuil. C’est bien sûr Philippe qui s’empresse de venir l’inviter.
Les deux couples dansent langoureusement sur une musique lente tournant sur place. Ils offrent à mon regard libidineux le dos de mon épouse et celui de Charlotte. Cette dernière se love carrément sur son cavalier, tandis que Philippe presse Chantal contre lui. Quand le couple montre son dos, je vois les mains de l’homme collées sur les fesses de ma femme qui ne fait rien pour s’échapper.
Soudain il soulève la jupe, et découvre comme moi qu’elle ne porte pas de culotte. Quel cul ! Mon dieu quel cul ! Ma femme a un cul de déesse grecque. Toutes les rondeurs sont en équilibre, aucun faux plat. Tout est rond chez elles, il faut tout emporter.

Je le vois glisser un doigt entre les deux superbes globes que je ne me lasse pas de contempler. Puis je comprends qu’il presse son doigt entre les fesses pour lui doigter le cul. Chantal se cabre, déplace ses fesses pour échapper à l’enculage. Mais ce salaud insiste et la plaque contre lui. Je vois Chantal qui rouspète et essaie de fuir.
Elle se contorsionne pour se dégager de ce viol de son cul.
- Arrête salaud, je n’aime pas ça !
- Comment tu n’aimes pas, hier pourtant tu as bien aimé non ? Laisse toi faire salope, je vais te faire reluire.
Ces mots sont vulgaires, pas pour plaire à ma femme si attachée au langage correct. Je n’ai jamais réussi à lui faire prononcer des mots crus pendant nos ébats. Chantal est une femme délicate qui n’aime pas l’ordinaire, le vulgaire. Et là elle s’adonne à cette soirée comme une pute ! Je ne reconnais plus cette femme élégante remplie de classe.
Elle avait l’air d’aimer danser avec Philippe mais maintenant je comprends que c’est à contre cœur pour rendre jaloux Jacques et la donzelle. En même temps, ce salaud essaie de lui voler un baiser qu’elle refuse également. Le couple se déplace, tourne sur lui même, je me rends alors compte que Jacques et Charlotte assistent en ricanant. Hilare, cette dernière à l’air de bien aimer voir traiter ma femme de salope.
Mais Chantal finit par se dégager et voit comment la soirée dé.
Elle va se servir un second whisky. Bien tassé. Je sais qu’elle est très sensible à la prise d’alcool fort. Pendant qu’elle porte son verre à la bouche, elle s’aperçoit que Philippe a rejoint l’autre couple et pelote la jeune Charlotte. Elle est rouge, furieuse.
- Mais ne vous gênez pas tous les deux. Baisez-la devant moi. Je tiendrai la chandelle !
C’est dit avec tant de colère que le trio se sépare. Tout le gentil monde regagne les fauteuils. On se ressert de MON whisky. C’est Philippe qui remplit le verre de Chantal et je remarque, pas elle, qu’il y va de bon cœur.
D’ailleurs, ma femme commence à avoir des signes d’excès d’alcool. Je la connais bien, elle rit très facilement et regarde les gens droit dans les yeux, comme pour les provoquer, les braver. Ses joues son rouges, ses paroles un peu décousues.
- Tu veux voir mes fesses ?
Elle s’adresse à Philippe. Je la trouve vulgaire d’un seul coup.
- Oui, bien sûr, elles sont si belles et douces au toucher. Alors, le regard droit, elle se lève, elle titube légèrement, se met au milieu du salon et après avoir posé son verre, elle se tourne dos vers eux et lentement, elle relève le bas de sa jupe dévoilant ses fesses callipyges. Puis dans un mouvement langoureux elle fait onduler ses hanches donnant à sa croupe une sensualité torride.
Autour, ils matent le souffle coupé.
Alors, c’est Jacques qui se lève et vient la prendre dans ses bras. Il se colle contre son ventre et à son tour, il lui malaxe les deux globes sans ménagements. Cette fois Chantal à l’air d’apprécier, elle se laisse aller contre son amant. Il plaque une main entre ses lobes et je vois très nettement qu’il glisse un doigt dans la raie en direction de son petit trou. Chantal ne bouge pas. Simplement un petit mouvement qui doit être provoqué par le doigt qui vient de l’enculer. Puis on voit nettement le doigt entreprendre des va et vient s’activant à lui branler le cul. Et elle se laisse faire. Elle montre même des signes de plaisir. Puis sans douceur, il la pousse contre le dossier d’un fauteuil, la retourne et lui fait mettre les mains devant elle sur le dossier pour exposer sa croupe nue. Il relève très haut la jupe et exhibe aux deux autres le cul nu. Chantal tient la position tandis que Jacques lui doigte le cul de plus en plus vite et de plus en plus profond.
- Tu aimes ça hein salope ! Quand c’est moi qui t’encule hein ? Dis-le.
- …
- Dis-le salope où j’arrête. Regardez-moi cette truie comme elle aime mon doigt dans son fondement. Plus il disait des mots crus et plus je voyais Chantal remuer son cul pour l’aider dans son œuvre. Il savait y faire le salaud car elle prenait de plus en plus de plaisir à se donner en spectacle devant des gens que par ailleurs elle détestait. A ce moment je crois qu’elle ne rendait plus compte de rien et qu’elle abandonnait toute dignité. Et Jacques jubilait en montrant son doigt à Philippe qui ricanait. C’est à ce moment qu’il lui fit un petit geste de venir. Il se leva sans hésiter et s’approcha.
- Alors salope, tu veux dire que tu l’aimes mon doigt dans ton cul.
- …
- Alors ?
Il arrêta son mouvement et ressorti son doigt tout souillé.
- Alors ?
- Oui.
- Oui quoi ?
- Je t’en supplie continue.
- Ok !
Mais c’est le doigt de Philipe qui s’introduit cette fois dans le fondement de son anus maintenant bien dilaté et sans qu’elle s’en rende compte. Derrière, Charlotte jubilait. Elle avait relevé le bas de sa robe et se branlait le con, les yeux braqués sur la scène. De mon repère je voyais tout. Le cul dressé, le doigt qui entrait sortait. J’entendais les gémissements de ma femme abandonnée aux plaisirs de se faire enculer. Je comprenais alors pourquoi le soir elle ne voulait plus faire l’amour avec moi.
Petit à petit Philippe enfonçait son doigt de plus en plus profond.
C’est alors que Charlotte entre en scène. Elle se lève, prend le verre de Chantal, le remplit et lui fait boire entre deux secousses. Chantal boit, boit perdant de plus en plus pied.
Soudain, elle s’affaisse sur le fauteuil, comme inconsciente. Lentement, Philippe enlève son pantalon, sort sa queue raide et la présente entre les fesses offertes. Jacques a pris Chantal et l’a relevée, croupe en haut. Dans cette position, la queue se présente sans difficulté devant le trou foncé que j’imagine assez dilaté pour la recevoir, après le traitement qu’il vient de subir. Et c’est vrai, la bite énorme de Philippe n’a aucun mal à perforer les sphincters dilatés de ma femme. Surprise elle sursaute et se retourne pour se rendre compte, le regard voilé par l’alcool, que son enculeur n’est autre que notre détestable ami. Mais elle semble résignée, car elle se laisse faire et pilonner par la bite raide et dure. Le violeur accélère son mouvement.
- Alors salope, cette fois tu l’aimes ma bite dans ton cul, hein ? Elle te fait reluire. Allez, donne toi ma salope, aide moi à t’enculer.
Et je vois ma femme remuer son bassin pour donner du plaisir à cet homme qu’elle déteste.
Pendant ce temps, ce qu’ils ne savent pas, c’est mon espion filme toute cette scène et que j’entrevois ce que je vais pouvoir en tirer. En attendant, je jouis dans mon froc sans même avoir à me toucher. Ce spectacle de ma femme jouissant sous les coups de pine de Philippe, encouragé par son amant, m’excite au plus haut point. Soudain, l’enculeur se raidit, tourne sa tête au plafond et se met à crier.
- Merde, qu’elle est trop bonne cette salope, je vais lui remplir les intestins. Ouuiiii
- Ouiii, crie aussi ma femme se délivrant de toute retenue.
Et elle jouit alors que la queue qui lui perfore le cul se vide en elle de son foutre chaud et gluant.
Tous les deux repus, fatigués, ils se laissent tomber sur le fauteuil. L’homme s’écarte et laisse à voir le sperme s’écouler lentement des entrailles de la femme enculée et souillée. C’est Charlotte qui s’approche.
- Dis-moi petite chienne, il y a aussi des écoles pour apprendre à bien se tenir en société !

(à suivre. La vengeance)

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