Une Ménagère 2

Quelques jours après mon aventure avec ma ménagère surexcitée, un vendredi soir, je suis à l’apéro avec mes potes quand mon portable vibre. Je l’ouvre et vois qu’un message est arrivé. C’est elle :
« Suis libre demain matin de 8h30 à 10h30. Envie de toi »
Je réfléchis un moment et me dis que demain c’est samedi donc je n’ai pas grand-chose à faire. De plus, ça me ferait plaisir de revoir cette enragée du cul. Je lui renvoie :
« Avec plaisir. Passe quand tu veux. Aussi envie de ton Q »
Re-vibration de mon portable :
« Prépare ta keu »
La soirée se passe bien et je rentre vers 22h30. Après une dernière cigarette, je règle mon réveil à 8h00 et vais me jeter dans les bras de Morphée. J’ai de la peine à la rejoindre car j’imagine le beau cul bien large qui m’attend pour le petit déj’ demain matin. Je finis quand même par m’endormir en me retenant de me branler tellement je bande. Le lendemain, j’ouvre les yeux à 7h55. Ma bite est dure, comme tous les matins et je file prendre une douche. Vivant seul chez moi, je me balade à poil, saute dans la douche et fait couler l’eau. Le robinet à peine fermé, la sonnette retentit « Elle est déjà là ? » Je me sèche rapidement, enroule ma serviette autour de ma taille et vais vers la porte d’entrée. Un rapide coup d’œil à travers le Juda me confirme qu’elle est derrière ma porte. Je tourne la clef dans la serrure et ouvre la porte en me cachant derrière. J’ai pas envie que les voisins me voient à moitié à poil. Je lui fais signe d’entrer et referme la porte derrière elle. Elle me plaque contre le mur, appuyant ses gros seins contre ma poitrine et me souffle :
- Enfin !
On s’embrasse longuement. Son ventre est collé au miens. Elle porte une veste en laine noire et le tissu gratte sur ma peau. De plus, le crépi du mur derrière moi me rentre dans le dos. Je me dégage et lui dit :
- Ta veste pique. Allez, viens, entre.
Je lui fais signe de passer au salon.

Elle est devant moi et je la détaille. Mis à part sa veste, elle porte une jupe en nylon noire à pois blancs qui lui arrive à mi-cuisses, des bas couleurs chair et des bottines noires à talons. Sa veste est serrée à la taille par une ceinture qui fait ressortir la largeur de ses hanches. Arrivés au salon, elle se débarrasse de sa veste et la pose sur une chaise. Dessous elle porte un fin pull en laine écrue. A travers les mailles je m’aperçois qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Je parie ma main qu’elle ne porte pas de culotte non plus. Elle se retourne, me fait face, lève les deux bras et me fait ?
- Alors ? Comment tu me trouve ? Je te plais ?
Je l’examine de la tête aux pieds. Ses cheveux roux sont roulés en chignon retenu par une pince en plastique noir, ses paupières sont fardées d’un vert léger, ses cils passés abondamment au mascara et sa bouche est soulignée d’un rouge discret. Elle a mis un coup de crayon noir sur le tour des lèvres pour les faire ressortir. Effectivement elle ne porte pas de soutien-gorge car un de ses tétons passe à travers une maille de son pull. Son petit ventre fait une bosse sur le devant et ses hanches larges sont parfaitement dessinées par sa jupe.
- Putain ! Je lui fais. T’es nettement plus bandante que dans ton peignoir en éponge.
Elle jette la tête en arrière et part d’un grand éclat de rire et me dis :
- Fini le peignoir en éponge. Maintenant, c’est nuisette en soie et lingerie fine.
- Ca a redonné de la vigueur à ton mari ?
Elle baisse les bras et prend un air de chien abattu :
- Attend ! A propos de mon mari, j’en ai appris une bien bonne. Maintenant je comprends pourquoi il ne me touche plus. Je n’ai pas de preuve mais je cherche.
- Ah bon ? Explique.
- Monsieur aurait une liaison.
- Mouais. Rien de spectaculaire il me semble.
- Mais quand on me raconte que Monsieur me trompe avec un homme, c’est assez spectaculaire il me semble. Non ?
Je n’arrive pas à me retenir et pars d’un grand éclat de rire.
Me reprenant difficilement :
- Oh merde ! Mais tes sources sont sures ?
- A 90% oui. Mais faut que je trouve des preuves.
- Comme quoi ! On croit connaître les personnes avec qui on vit et souvent on remarque qu’on s’est planté. Suis sincèrement désolé pour toi.
Elle s’approche de moi en ondulant du bassin, me fixant dans les yeux. Tout près de mon visage, elle murmure :
- Moi aussi je t’ai trompé.
- Raconte !
Elle se met à rire, pliée en deux, une main devant sa bouche, l’autre sur son ventre :
- Un Italien. Grand, sec, bel homme, bien mis sur lui. Il m’a fait un baratin incroyable, je me suis laissé faire. Mais une fois au lit…
Elle part d’un fou rire, reprenant difficilement son souffle.
- Le mec portait un string léopard…
Elle hoquette, cherchant sa respiration.
- Et sa bite… ! En érection, aussi longue qu’un tortellini et aussi fine qu’un spaghetti.
J’arrive pas à me retenir et pars du même fou rire qu’elle.
- Et alors ? Je lui fais.
- Mais rien ! Je me suis sauvée, je l’ai laissé en berne avec sa nouille. Il m’a traité de tous les noms. Oh merde !
On rigole encore un bon moment puis reprenant mes esprits, je lui fais :
- Bon, sur ces bonnes paroles, un café te tente ?
Elle se colle à moi et me fait :
- T’es vraiment con toi. Tu crois que je suis venue ici pour prendre le café ? Je m’en fous de ton café, c’est toi que je veux.
D’un geste brusque, elle arrache ma serviette et l’envoie voler. Elle prend ma queue dans une main et de l’autre me repousse lentement contre le divan. Je bute dedans et m’affale dans les coussins en cuir. Elle reste plantée devant moi, les mains sur les hanches et me dit :
- Voilà comment j’aime un homme : à poil, douché et la bite en action.
Elle relève sa jupe sur ses hanches et se met à califourchon sur moi. On dirait que ma petite ménagère timide reprend du poil de la bête. Elle enlève son pull, prend un de ses gros nichon dans une main et me le colle contre la bouche.
Elle feule :
- Suce, mord, lèche… Je te veux...
Je prends ce téton entre mes lèvres et le mordille doucement, le fais rouler avec ma langue. Je remonte les mains sur ses cuisses et lui saisit les fesses. Je me mets à les pétrir, attirant son bassin contre moi. Effectivement, cette gerce ne porte pas de culotte. Elle frotte son bassin contre ma queue, je sens sa mouille couler sur moi. Je bande comme un âne, ma bite frotte contre son clitoris. Elle noue ses bras sur ma nuque et approche sa bouche de mon oreille. Elle me mordille le lobe et chuchote :
- Enfile-moi un doigt dans le cul… Vas-y !
Je ne me fais pas prier. En me tortillant sur le côté, j’arrive à enrouler mon bras autour de ses reins larges, atteins la raie de son cul et trouve son petit trou. Elle m’aide en plaquant son bassin contre mon ventre et je rentre lentement mon majeur, phalange après phalange. Elle gémit, se tord, ondule du cul sur moi et murmure :
- Oh c’est bon… Ouiiiiiiiiiii…
A force de tortillements, ma queue se retrouve à l’entrée de sa chatte, je sens son jus chaud couler sur mon gland. Je lève légèrement les reins et ma bite rentre en elle. Elle essaye de se retirer mais de mon doigt toujours fiché dans son cul je la retiens fermement. Elle me regarde et me dit :
- Non, pas maintenant. Je veux d’abord te sucer.
- Tu me suceras plus tard, je lui réponds.
- T’es vraiment un cochon, toi.
- Ca tombe bien. Un cochon avec une cochonne, ça va bien ensemble, non ?
Je sors mon doigt de son petit trou, me redresse, pose mes mains sur ses hanches et la pousse sèchement en arrière tout en donnant un grand coup de rein qui la soulève, ce qui a pour effet de l’empaler profondément sur ma bite. Elle ouvre la bouche, écarquille les yeux et pousse un long :
- Aaaaaaaaaaaaaaaah !!!
Ses muscles se contractent autour de ma bite, son jus coule le long de mes couilles et me mouille le cul. Elle reprend son souffle :
- Oh putain ! T’es encore plus gros que la dernière fois.
Oh merde ! T’as une bite en acier ou quoi ?
- Non, c’est toi qui me fais bander comme ça. Ca te plait pas ?
- Oh que si. J’adore même. Mais tu sais ce qui me plairait ?
- Non, dis-moi.
- En avoir une autre dans le cul.
Lentement, elle fait onduler son bassin puis continue par de légers va et viens sur ma queue. Ses yeux sont clos, ses narines dilatées et ses lèvres serrées. Mes mains toujours sur ses hanches, je lui impose le rythme de son va et viens, la faisant monter toujours plus haut le long de mon manche puis redescendre toujours plus sèchement. Ses seins tressautent et se balancent dans tous les sens. Elle secoue la tête de gauche à droite et la pince retenant son chignon finit par voler dans la pièce. Elle lâche des petits « Oui… oui… oui… » D’abord doucement puis de plus en plus fort. Ses cuisses se mettent à trembler, ses muscles se resserrent toujours plus, elle est au bord de l’orgasme. Celui-ci arrive, violent, puissant. Elle met de grands coups de reins d’avant en arrière et soudain s’immobilise, la tête rejetée en arrière et hurle :
- Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii…
Son bassin tremble sur moi, ses épaules se tendent en arrière, ses gros seins dressés contre mon visage. Je sens son jus qui coule abondamment entre mes fesses, inondant le coussin sur lequel je suis assis. Son orgasme se calme, elle se détend et s’affale contre moi, la tête dans mon épaule. En cherchant sa respiration, elle murmure :
- Oh mon Dieu ! T’es fou de me faire jouir comme ça. Tu vas me …
- C’est moi qui vais bientôt mourir, je lui réponds. Mourir noyé. J’ai déjà le cul qui baigne.
On rigole et elle se redresse, passe une main dans ses cheveux pour les remettre en arrière, me regarde et dit :
- Je sais que j’ai tendance à me répandre quand je jouis, j’y peux rien. Ca sort tout seul.
- Pas grave, je lui réponds. Ca s’essuie.
Lentement, elle se dégage de moi et se relève. Sa jupe est toute froissée et un de ses bas est déchiré. Elle baisse son regard vers mon entrejambes avec envie et dit :
- T’ es vachement bien monté. Ca c’est de la bite comme je les aime.
Elle se retourne, ramasse la serviette de bain et essuie le liquide entre mes cuisses. Au passage, elle prend mes couilles dans sa main et me murmure :
- J’espère qu’elles sont pleines. Il me faut ma ration de protéines.
Elle plie la serviette et m’ordonne :
- Lève tes fesses
Je m’exécute et elle passe la serviette sous moi. Je me repose et elle saisit ma bite d’une main et commence à me masturber. En me regardant dans les yeux :
- Comme ça tu es au sec pour que je puisse te sucer.
- Ne te gêne pas, je lui fais. En plus tu es une suceuse d’exception.
Elle se redresse, descend la fermeture Eclair de sa jupe qui glisse au sol et vient se mettre à genoux sur le divan à côté de moi. Elle se penche en avant, saisit ma bite et commence par la lécher sur toute la longueur. Sa langue s’enroule autour, vient titiller le bout du gland, descend jusqu’aux couilles, remonte lentement. Cette sensation est merveilleuse, un pur délice. Je prends un sein dans une main sous elle et le masse doucement. Son téton durcit dans ma paume. Je le lâche et pars en exploration du côté de sa croupe tendue. Maintenant, elle gobe ma queue, l’enfonçant toujours plus profondément dans sa gorge. De sa main, elle me pétrit les couilles, doucement. Son pompage est fabuleux. Si elle continue comme ça, je vais pas tarder à cracher mon foutre. Elle doit s’en rendre compte car elle me relâche, lève les yeux vers moi et me demande, taquine :
- Tu aimes comme je te suce ?
- C’est tout simplement merveilleux, je lui réponds. Si tu continues, je vais pas tenir très longtemps.
- Mmmmmmm ! Noooooooon, tu vas pas venir tout de suite. Tu vas me prendre par le cul avant.
- On dirait que tu y as pris goût depuis la dernière fois.
- J’ai trouvé fabuleux. Mais cette fois, ne te lâche pas dans mon cul. Je veux ton jus dans ma bouche.
- Tes désirs sont des ordres. Allonge-toi sur le dos.
- Mais…
- Ne discute pas. Allonge-toi.
Elle s’exécute et une fois en position, je lui dis :
- Relève les cuisses le plus haut possible et écarte-les. Passe les bras dans le creux de tes genoux. Voilà, comme ça. Tu vois, je peux aussi t’enculer comme ça. Et surtout je peux te voir, ce qui est très excitant.
Le spectacle est magnifique. Sa chatte est béante, son clito turgescent pointe sous mon nez. Les plis de son petit trou sont tendus. Ses genoux reposent sur ses seins et son ventre forme deux petits bourrelets au niveau de son nombril. Dans cette position écartelée, ses hanches me paraissent encore plus larges. Cette femelle est faite pour le sexe, elle est terriblement excitante. Je trouve son regard :
- Bordel ! T’es bandante comme c’est pas permis.
- Alors vas-y ! Ramone-moi le cul. Je veux que tu y ailles franchement. Que tu me défonce.
Je crache dans mes doigts et étale ma salive sur son cul. Je récupère un peu de son jus sur sa chatte et le tartine également. Je recrache dans ma main et enduit mon gland de salive. Elle me regarde faire et me demande :
- Tu ne prends pas de beurre cette fois ?
- Pas besoin. On va y aller comme ça.
- Et tu ne me dilate pas non plus ?
- Non. Plus c’est serré, meilleurs c’est. Tu vas voir.
Accroupi entre ses fesses, je dirige ma bite contre son petit trou. J’appuie légèrement le gland contre l’entrée et son anus s’ouvre sous la poussée. Je continue lentement et soudain mon gland disparait dans son cul. Elle pousse un gémissement. Je continue de pousser lentement, la pénètre de quelques centimètres, m’arrête et lui demande :
- Ca va ?
- Putain ! Et comment que ça va. Vas-y, continue, c’est trop bon.
Je me retire légèrement, lâche un filet de salive sur ma bite et reprend mon entrée. Son sphincter se dilate lentement. Elle a les yeux grands ouverts, perdus au plafond. Sans me regarder, elle me dit :
- Vas-y… Vas-y… Vas-y…
Je prends ses cuisses dans mes mains, assure ma position sur mes genoux et met un furieux coup de reins en avant. Mon pubis bute contre sa chatte, je l’empale complètement. Elle ferme les yeux et pousse un hurlement :
- Hiiiiiiiiiiiiiiaaaaaaaaa… !!!
Je la laisse reprendre son souffle. Elle bat l’air de ses deux bras, me balançant une grande claque sur l’épaule au passage. Elle secoue la tête de gauche à droite, hoquette, râle, gémit, grogne. Son sphincter se resserre, emprisonnant ma bite en elle. Je sens une chaleur humide arriver sur mon ventre et couler sur mes cuisses et mes couilles. Je me retire lentement et replonge dans son intestin de plus belle en accélérant le mouvement puis je ralentis. Je penche ma tête sur son visage et lui murmure :
- Branle-toi pendant que je te ramone le cul.
Elle porte aussitôt une main sur son clitoris qu’elle fait rouler entre ses doigts et je reprends mon pilonnage. Son souffle est épais, sifflant, elle murmure des trucs incompréhensibles, ses yeux roulent dans leurs orbites. A chaque coup de reins, mes couilles tapent contre ses fesses. Soudain elle se cabre, creuse les reins et un jet brûlant m’asperge le ventre. Je sens mon plaisir arriver, mes couilles se rétractent à m’en faire presque mal. Je me dégage de son cul, prend ma bite d’une main, me redresse et vais la diriger contre son visage. Je grogne :
- Ouvre la bouche !
En me masturbant, je déverse tout mon sperme dans sa bouche. Cinq longs jets de foutre finissent au fond de sa gorge et un dernier finit sur sa joue. Elle avale tout, att ma bite et se met à la lécher pour récupérer les derniers restes. Ses lèvres se referment sur mon gland qu’elle suce pour faire sortir les dernières gouttes de mon jus. Cette coquine se régale. Ma bite ramollit et elle me lâche. Je suis en sueur, la transpiration dégouline dans mon dos. Elle replie ses bras au dessus de sa tête, pose ses pieds sur le divan et lâche dans un souffle :
- Ooooooooooooh ! C’est trop bon. Encore meilleur que la première fois. J’ai le cul en compote.
Je prends la serviette sous ses jambes, essuie la coulée de sperme sur sa joue et la passe sur mon ventre et mes cuisses. On reprend notre souffle, je pose ma main sur son ventre et la caresse doucement. Nos respirations se calment et en me regardant, elle me demande :
- Tu sais ce que j’aimerais ?
- Non. Dis-moi…
- Que tu m’organise un gang-bang.
- Hein ?
- Oui. Tu as bien 2 copains qui seraient d’accord, non ? J’ai envie d’essayer avec trois hommes. Une bite dans la chatte, une dans le cul et une dans la bouche. Ca doit être génial. En plus, on filme et je montre ça à mon abruti de mari quand j’aurai la certitude qu’il est pédé.
- Euh ! C’est un peu risqué, tu crois pas ? Si ça finit sur le net…
- On verra. Mais organise deux de tes potes. S’il te plaît.
- Mouais ! Je vais voir ce que je peux faire.
J’ai pas fini d’en voir avec cette donzelle… La suite prochainement.

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