Week-End Hivernal Entre Couple - Ma Version
J'ai une amie qui est aussi ma maîtresse. J'ai trompée presque toutes mes petites amies que je la connais. Donc elle est un peu secrète dans mon entourage. Je suis un garçon qui assume peu en fait. Elle c'est le contraire, je connais bien ses amis, ses mecs même, elle cache son jeu à la perfection. Elle c'est Pauline. J'ai co-écris ce récit avec elle.
Pauline est blonde, aux yeux bleus, visage doux et lèvres charnues et a de belles formes généreuses et fermes... (pour motiver votre imagination, ça fonctionne ?)
Je partage tout avec elle; c'est mon amie, amante et confidente et réciproquement.
Voici donc le récit d'un long week-end passé entre amis (les siens bien sûr).
L'idée vient de Pauline. Elle connaît deux mecs qui lui plaisent. Elle les veut. Elle est comme ça (elle lit ses lignes et y adhère). Seulement ces hommes ont chacun une petite amie. Cette inaccessibilité, comme beaucoup d'entre nous, l'excite énormément. Elle organise un week end avec ces deux couples et m'y invite pour être son complice et occuper les concubines... Je n'étais pas super chaud au départ mais il n'a pas fallu longtemps pour me convaincre. Elle aime les challenge et moi aussi.
Les couples :
Jérôme (40 ans) et Lina (32 ans). Pauline connaît Jérôme par sa colloque. Pierre (28 ans) et Priscile (28 ans). Récemment mariés. Bon ça se corse, d'autant que Pierre est un ami du frère de Pauline. Long week end dans une maison immense, de famille (la mienne) avec deux niveaux au bord de la mer (manche) en Bretagne, isolée... Voilà les bases de ce récit en deux parties : la première ce sera ma version, la seconde sera la version de Pauline à qui je prêterai mon pseudo et vous livrera j'espère le plus de détails.
Ma version.
Premier jour
Nous arrivons jeudi soir avec Pauline. La maison est immense. Une salle de séjour très grande, ambiance XIXe siècle. Vieux piano droit mal accordé, grande cheminée, des fenêtres qui donnent sur la mer.
Nous attendons nos invités pour le lendemain. Nous avons donc notre soirée pour nous. J'allume d'abord un feu car il fait froid et parce que c'est un plaisir. Nous dînons paisiblement pendant qu'elle met en place ses plans.
Elle m'en parle. Distribution des chambres : nous prendrons celle d'en bas car isolée et qu'il sera probablement plus simple d'y emmener quelqu'un discrètement... Les deux autres couples en haut, logique. J'émets des doutes depuis le début, cette fois je les manifeste : comment séparer DEUX couples même le temps de faire l'affaire en 4 jours et trois nuits ? Ils arrivent vendredi (quand ils peuvent) et rentre lundi (a priori). Pauline est complètement surexcitée par ce week end alors que je suis plus raisonnable, sceptique même. Il faut dire que je n'ai jamais rencontré les filles, j'ai rencontré Jérôme, je l'ai trouvé sympa c'est déjà ça...
Pauline me dis qu'ils pensent qu'on est en couple, il était plus simple d'organiser ce week end si le postulat de départ était « entre couples ». Je lui donne raison.
Moi je pense qu'il faut tabler sur une tendance échangiste d'au moins un des deux couples sinon « ça va pas le faire ». Et puis le couple jeunes mariés depuis 6 mois... Pauline navigue entre projection et fuite totale. Elle veut tout organiser au millimètre et dès que j'émets un doute elle s'abrite derrière un « t'es pessimiste ». En fait la soirée ne se passe pas super. Elle part se coucher assez tôt, agacée et moi, ben je reste un moment à méditer auprès du feu...
Je me suis endormi devant les quelques braises encore incandescentes... Pauline me réveille, il est tard, je ne sais pas quelle heure il est au juste. Elle veut que je la rejoigne, visiblement elle m'en veut moins et a déjà fait une bonne partie de sa nuit tout comme moi.
J'ai froid et je remet une buche dans le feu. Je me rassoit sur le fauteuil monoplace qui est tout près du feu. Pauline enlève sa couette qu'elle avait emmené avec elle pour s'assoir en nuisette rose qui dévoile sa culotte bleue et un très joli décolleté et s'assoit près de moi par terre. « Tu ne viens pas ? », j'ai envie de rester près du feu alors je lui répond que j'arrive... Elle déboutonne alors mon pantalon pour en sortir ma queue et m'offre une fellation. Je perd un peu mes repères, je sens la chaleur sur mes parties et sa bouche coulisser autour de moi, et bien sûr sa langue sur mon gland. Ma main repose sur son épaule et l'autre sur ses cheveux que je sens désordonnés... Je m'abandonne sans savoir trop le temps que cela a pris et je jouis dans sa bouche. Elle continue dans une sorte de caresse buccale et se lève pour aller se coucher. Je reste un instant hagard puis je la rejoins mais elle dormait déjà.
Deuxième jour.
Nos amis arrivent le soir, il y a donc beaucoup de choses à faire. Je me réveille et Pauline n'est pas à mes côtés. Je me lève et constate qu'il est déjà assez tard, Pauline est au coin du feu qu'elle a allumé le matin... bref il fait assez chaud dans la maison. Nous allons faire des courses pour ne manquer de rien.
En rentrant sur les coups de 14h. Pauline se déshabille sur une pulsion et se retrouve nue dans le grand salon. Elle va devant la fenêtre qui est face à la mer. Devant cette fenêtre il y a un bureau, elle pose les mains sur ce bureau et sans me regarder me demande de la prendre face à la mer.
Enfin ils arrivent :
Jérôme et Lina. Lui est un beau mec (bien sûr) sportif grisonnant et extrêmement sympathique, souriant, Lina est une grande femme aux cheveux noirs et à la peau mâte. Ses jambes font des kilomètres et la poitrine que dissimule son pull épais semble être quelque chose je ne tien pas à regretter de ne pas avoir vu... ou mieux.
Pierre et Priscile. Très différent. Pierre et Pauline sont déjà familiers, il est plus chétif et semble un peu réservé, je dirais qu'il est roux mais Pauline préfère "blond vénitien", assez grand. Priscile est elle aussi bien réservée et présente le charme de sa timidité, elle est châtain clair, cheveux frisés et longs, des jolies yeux bruns et une corpulence assez fines, elle sourit facilement, autant qu'elle rougit. Pauline leur montre leur chambre et moi je prépare notre premier dîner.
J'épargne le menu et les banalités échangées durant ce repas. Puis petit moment au coin du feu où nous faisons connaissance. Pierre et Priscile partent se coucher assez tôt.
Pauline en profite pour aborder les sujets qui nous intéressent.
Troisième jour
Je me lève alors que Pauline dort encore et je me retrouve à la cuisine avec Jérôme, lui aussi levé de bonne heure. Banalités, bla bla
et puis autour du café, Jérôme me demande si on fait ça fréquemment, comme il est tôt
enfin comme je ne suis pas encore réveillé je ne comprends pas de quoi il parle, mais bien entendu sans dire mot et sans quil nait à se reprendre je réagis : « Ah oui pardon, et bien non pas vraiment, en fait jamais
et vous ? ». Non eux non plus, ce que je savais, pourtant il avait lair assez sûr de lui hier. Il mexplique ce que je savais déjà, cest-à-dire que Lina est assez en demande de ces pratiques mais que depuis quils sont ensembles, ils nont jamais essayés car ça leffraie. En fait cela me rendrait nerveux si Pauline était ma petite amie ce quelle nest pas, ce quil ne sait pas et je continue à jouer le jeu car je crois que cest aussi ça qui les branche. En fait je nen sais rien mais bon comme vous lavez compris, je ne tire pas les ficelles ici
Cette discussion nous met à laise mais il me pose une question que je nai pas pensé à lui poser : « Cela ne te fait rien que je
avec ta copine ? »
Ok là je sèche un peu, je ne sais pas trop quoi répondre, je men tire en disant : « Cest un échange, jai donc une contrepartie » je souris. Il rit assez nerveusement
oups
Plus tard quand tout le monde est levé, nous partons en balade à pieds, tous ensembles. Les bords de mers sublimes de ce coin de la Bretagne sont des gros cailloux noirs et lunaires, il ne faut penser à rien pour sy aventurer et moi jaime cette sensation, sauf que très vite je me retrouve un peu seul devant les autres pour la simple et bonne raison queux se parlent et font connaissances donc marchent plus lentement. Je les attends
Puis Pauline me ratt et me demande : « quy a-t-il à voir dans le coin ? ». Je lui réponds puis je constate que Pierre et Priscille sont très enthousiasmés mais pas autant que Lina et Pauline. En gros Pierre et Priscille partent en balade dans laprès-midi jusquaprès le dîner et nous sommes tous les quatre à la maison. « Vous ne voulez pas venir avec nous ?! ». Tu penses
Bien sûr que non, nous nous satisferons très bien dans cette maison.
Nous parlons de leur rencontre, je reviendrais là-dessus
Le déjeuner passe et notre couple néo-marié sabsente comme prévu. Je crois quà ce moment, je me suis dit « ça y est, cest parti » et puis laprès-midi se passe dans une torpeur assez gênante, je mattends à ce que Pauline trépigne dimpatience, je veux dire
on ne peut pas laisser passer loccasion, pourtant quand je croise son regard, je vois bien quelle garde toute sa confiance et son sang-froid. Quant aux deux autres, ils sévitent et sont assez taciturne. En bref, lecture au coin du feu, jeu de cartes pour ceux qui veulent, un peu ennuyeux je vous laccorde.
Puis sur les coups de 18h nous nous asseyons tous au coin du feu, un grand canapé, sur lequel je suis avec Pauline et un fauteuil simple, où se trouve Jérôme et assise sur laccoudoir la sublime Lina, pulpeuse et sûre delle. Lina : « Vous savez comment on sest rencontré avec Jérôme ? ». Ils se sont retrouvés à une soirée, il la abordé et ils sont rentrés chez lui sauf quelle ne sait pas pourquoi, elle lui a tout de suite parlé de ces penchants, que ça ne lempêchait pas de prendre du plaisir en monogame mais que tout de même, cest une chose quelle adore faire. Lui était un peu effrayé et ce soir-là il nont fait que parler. Ils se sont revus et retrouvés plusieurs fois comme ça, fait connaissance en profondeur et Lina lui a promis quentre eux ce ne serait que monogame. Ils ont bien sûr fini par sortir et ainsi de suite en toute confiance. Jérôme paraissait beau et noble je dois dire. Pauline et moi étions en train de mentir sur notre véritable relation, et Pauline fantasmait littéralement sur Jérôme et, sans scrupule aucun, se rendait coupable de manipulation. Pour Lina cest autre chose, elle connaît ça et il ne se passera rien sans le consentement de son mec. Jérôme lui a fait confiance à Lina et lui ferait un cadeau énorme. Pauline le dévisageait, je crois quelle le trouvait aussi dautant plus séduisant.
Pour le mettre en confiance, Pauline va sassoir sur lautre accoudoir du fauteuil. Elles lui caressent toutes deux la poitrine, Lina lui caresse les cheveux. Il reste encore très nerveux. Je me sens moi-même un peu con mais je prends mon mal en patience, tant quil naura pas lui-même accepté la situation, puis une chose se passe qui mexcite énormément : Pauline et Lina échange un regard, de beaux yeux bleus dans de grands yeux noirs, puis léchange de sourire enfin Lina embrasse son homme avec beaucoup de retenu puis sécarte et Pauline lui offre le plus sensuel des baisers. Je vois les mains de Jérôme ceinturer la taille de Pauline avec beaucoup de conviction, je me lève et me rend utile, en mettant de la musique pour détendre tout le monde. Puis debout devant la chaîne hifi Lina me rejoint, elle me lance un sourire complice que je lui rends, elle est euphorique. Elle me regarde dun air qui devient franchement sexuel. Elle est très excitée. Je finis de mettre la musique sans faire attention à elle, je garde mon calme, je sais quelle mobserve. Puis je me retourne, je ne sais pas pourquoi sa coiffure est en bataille, elle habillée en jean classique et en pull bleu marine à col en « v ». Je lui passe une main dans les cheveux et lautre autour de la taille et lembrasse langoureusement. Elle a déjà posé sa main sur mon sexe à travers mon jean. Tandis que nos langues sentremêlent avec vigueur, je sens ma chemise se déboutonner, et ma braguette sabaisser. Je sens sur ma queue les doigts de Lina qui matt et me caresse. Nous ne décollons pas nos lèvres.
Enfin nous nous détachons un instant, dans un même réflexe regardons nos compagnons, ils sétaient éclipsés. Puis elle enlève son pull pour découvrir un débardeur, quelle enlève de suite. Elle dévoile son soutif qui maintient fermement sa magnifique poitrine. Elle se retourne pour que je lui saisisse la poitrine ce je fais et elle garde une main derrière le dos pour me tenir le sexe bien dure et bien droit. Ses seins dans mes mains sont dune exquise texture : merveilleusement fermes et tendres. Jen profite pour défaire la fermeture de son pantalon, elle sécarte de moi et me pousse sur le canapé, elle enlève son jean en me dévisageant, lair de dire quelle a faim. Jenlève ainsi le reste de mes habits alors quelle me fait découvrir sa petite tenue assortie, dentelle bleu profond à travers laquelle on devine ses tétons foncés et son pubis nappé dun duvet noir. Une taille superbe et des hanches de rêve, elle se met à quatre pattes et sapproche, moi je me masturbe en ne la quittant pas du regard. Puis elle att ma bite et me serre très fort et dépose sa langue sur mon gland. Je me dis à ce moment que cette même langue se tenait tout contre la mienne et maintenant elle me frotte le bout, ça mexcite et je ferme les yeux et me laisse aller. Je sens sa langue et rapidement, me voilà pris dune grande chaleur autour de moi, je devine alors quelle me tient dans sa bouche. Elle pousse quelques gémissements, cest primaire, je veux la voir. Ses mains me caressent le corps, ses longs cheveux noirs mempêchent dapprécier laction mais je distingue ses épaules. Je distingue également quelle se tient parfaitement cambrée, je me concentre sur ce quelle me fait et jatt ses cheveux, les réunis dans ma main, ainsi je vois comment ses lèvres pulpeuses ceinturent mon sexe, je voix également la salive sécouler à sa base, puis sa main vient me branler pendant quelle suce parfaitement et délicatement ma protubérance.
Elle se lève enfin et enlève sa culotte mais pas son soutif, elle me tient la queue à la verticale, place un genou à ma droite, lautre à ma gauche, et soulève son bassin au-dessus de moi, jy passe un doigt et je la sens humide mais vraiment beaucoup. En me tenant par la queue, elle sassoit sur moi et se pénètre elle-même de ma verge. Je sens sa chair superbe autour de moi, je la prends par la taille mais je la laisse faire. Je suis aux anges, elle reste un peu plus réservée mais continue et accélère en gardant les yeux fermés, moi je la dévisage et je rugis. Cela dure un peu, cest beau mais plus doux et plus gentil que ce que jespérais, que ce quelle espérait également.
Elle se lève et sassoit à mes côté en me branlant et en membrassant. Je me lève à mon tour et la prend par la main, je lemmène à la chambre où lon dort avec Pauline, où je la soupçonne dêtre allé avec Jérôme. Bien sûr javais vu juste. Je la laisse les mater un peu, elle se tient sur le pas de la porte, debout et sérieusement excitée par le spectacle, Jérôme en train de baiser Pauline en levrette dune grande intensité, Pauline est très expressive et Jérôme la tient par les cheveux. Moi je me tiens derrière Lina, je lui dégrafe son soutien-gorge, je passe une main sur sa chatte, lautre sur ses seins et je cale ma queue entre ses fesses et en profite pour me masturber entre elles. Lina aime ça, elle se cambre dailleurs un peu pour que ce soit plus facile pour moi. Lorsque mes caresses se font plus intenses, elle remue les hanches et cest exquis, Lina commence à jouir, nous fixons notre attention sur les deux autres. Quant à eux, ils ne nous regardent pas, Jérôme ne semble pas se fatiguer en tout cas.
Lodeur me frappe, je navais jamais senti une telle odeur de sexe, brut et bestial. Je prends une chaise qui se tient près du lit. Un instant Pauline me regarde et att ma queue en souriant puis me lâche et explose un autre orgasme. Je retourne près de Lina, dispose la chaise devant elle. Elle reste complètement hagard, je lui pose les mains sur le dossier, et je présente mon sexe à sa fente, je la pénètre alors en levrette debout, je tien son superbe cul entre mes mains. Je la baise de plus en plus fort et Lina commence à se lâcher. Je passe mon pouce sur son anus, elle me dit dans un souffle « oui vas-y », jappuie mon doigt sur son petit trou et y plonge bientôt une phalange. Soudain Pauline se retrouve derrière moi à menlacer en passant une main sous moi pour me caresser les testicules et Jérôme se tient devant Lina en se branlant, puis en sembrassant, je continu de plus en plus fort, et Pauline me sert encore plus et me presse les couilles. Lina ne peut plus embrasser Jérôme car elle a le plus bel orgasme : incontrôlable elle se tient aux épaules de son homme qui semble ravi et lembrasse ou il peut, son bassin tremble et je me retrouve hors delle, elle se touche alors pour terminer sa jouissance puis sagenouille et prend la queue de Jérôme alors en bouche.
Cétait tellement beau que Pauline et moi restons là à les regarder puis nous les laissons. Nous sortons et nous allongeons sur le canapé. Moi je suis surexcité, je prends Pauline et la met sur le ventre et je plonge mon nez dans son cul et ma langue dans sa chatte déjà trempée bien sûr. Je remonte et lui lèche lanus, elle jouit déjà, je me lève et dépose ma bite sur son trou de balle et menfonce doucement
doucement. Une fois « installé », je massure que ses jambes son jointes, je tiens ses fesses, elle ferme les yeux en mordant le canapé, elle pousse de petits cris rauques étouffés. Chaque va et vient, je gagne un peu en profondeur. Ce que jaime dans cette position cest quand on a pénétré suffisamment profond, on peut sentir toute la chair des fesses envelopper la verge, et là je pénètre de plus en plus aisément et les cris rauques sont devenu des cris de jouissance. Je sens ma semence traverser ma tige, je jouis alors en elle, son anus me serre et mon orgasme est très intense. Je mallonge un instant sur elle et elle continu de jouir doucement à chaque petit jet qui suit léjaculation. Elle me dit en souriant : « Jai ton sperme dans mon petit cul ». Jadore entendre ce genre de chose. Puis je me retire
Douche puis dîner tous les quatre. Nous sommes assez silencieux, la situation est extrêmement excitante, mais ce qui est sûr cest que nous sentons bien. Nous allons dormir et notre couple marié revient assez tard et nous empêche de dormir une bonne partie de la nuit. Nous les écoutons sébattre enlacés et cest très agréables, nous nous endormons émoustillés
Quatrième jour
Il me faut parler pour commencer le récit de ce jour, de la rencontre entre Priscile et Pierre. Priscile est aux ressources humaines d'une boîte et elle a rencontrer Pierre en lui faisant passer un entretien. C'est ce qu'ils nous avaient dit la veille...
Ce matin, seuls encore au lit, Lina et Jérôme, sinon nous sommes tous levés. L'idée me prend de faire du sport. La veille a été d'une telle légèreté que j'ai une énergie débordante. Je vais courir. Priscile veut m'accompagner. Cool. Nous partons tous les deux, visiblement c'est une sportive. Les premières minutes sont meurtrières mais au bout d'un temps ça va mieux, nos langues se délient. Je lui parle de leur rencontre, je trouve ça... disons « mignon ». Elle rit à cette remarque, elle perd un peu son rythme. Je l'interroge sur cet éclat soudain : elle ne veut rien dire et garde un sourire assez généreux. Je ne lâche pas le morceau, c'est pas mon genre puis enfin elle m'explique. Leur rencontre s'est passé de la manière suivante : Pierre se présente à l'entretien, elle l'interroge sur son parcours mais rapidement elle se rend compte que quelque chose se passe. Elle finit par le draguer puis lui, flatté, rentre dans son jeu, je ne sais pas exactement en détail comment cela a-t'il pu bien se passer mais... ils ont fait l'amour dans le bureau pendant l'entretien. Cette histoire contée succinctement éveille chez moi une très TRES grande excitation. Elle semble un peu gênée de sa révélation, j'en joue un peu, je ne la pensais pas capable d'autant d'audace. On parle de moi également puis j'aborde le sujet de la veille, leur balade puis je lui dis assez naturellement ce qui s'est passé dans la maison pendant leur absence. Je crois que la conversation précédente m'a détendu, un poil trop surement. Je ne suis pas sûr qu'elle l'ai pris avec autant de légèreté que ce que je pensais. En tout cas elle n'a eu aucune réaction. Bref... Nous rentrons et dans la maison un calme absolu. Je réfléchis cinq secondes et je me dis, pour Pauline, c'était le moment parfait pour « s'occuper » de Pierre. Il y a deux douches, une en haut, l'autre en bas. Celle du haut est située à côté de la chambre de Priscile et Pierre. Je monte rapidement m'assurer de ce que je savais déjà. J'entends Pauline se donner à ce qu'elle aime : l'orgasme. Elle jouit assez timidement mais je l'entend au travers de la porte de cette fameuse porte, elle a dû m'entendre. Je redescend immédiatement histoire de garder Priscile à distance. Je lui dis que la douche en haut est prise. Elle doit utiliser celle du bas. Mais elle veut ses affaires... ça se complique... Je lui propose de lui descendre pendant sa douche. « Tu va m'apporter mes sous-vêtements ? » elle est dubitative de toute évidence, je la comprend et je reste sans voix... elle est d'accord finalement. Elle va se doucher. Je comprend assez mal qu'elle ait accepter que je lui apporte ses affaires en me laissant décider de sa tenue... c'est moi qui suis dubitatif... Ok maintenant je doit pénétrer dans la chambre en haut... je monte, j'entend rien. Je pousse la porte de la chambre... personne. C'est bizarre mais tant mieux, je trouve le sac de Priscile, j'en sors ses sous-vêtements que je trouve assez « sex » par ailleurs et lui trouve une tenue de saison. Je redescend lui apporter, j'entre dans la salle de bain et la distingue dans la douche, elle semble ne pas me voir, je dépose ses affaires et essaie de ne pas regarder... sans succès. Je sors.
La maison est calme, je ne comprend pas. J'ouvre la porte de notre chambre (celle d'en bas)... personne. Je prends quelques affaires pour prendre une douche puis je ne résiste pas, j'entre dans la salle de bain du bas. Je pose mes affaires, je me déshabille, Priscile ne remarque pas ma présence. Je la regarde et je commence à bander, elle se lave doucement, ses mains parcourent son corps. Je commence à me branler, j'ouvre la porte de la douche et Priscile est visiblement très surprise reste stupéfaite, elle regarde mon sexe, cet instant me paraît très long, puis je reçois une gifle, je veux dire une très grande gifle. J'ai eu un excès de confiance, je m'excuse, me rhabille et sort. Je suis un peu humilié puis je ressens une gêne immense. Je monte pour prendre une douche. Je croise Pauline qui en sort avec un grand sourire, je reste discret mais son sourire me dit tout, elle est satisfaite visiblement. Puis Jérôme me double dans la douche.
Je suis un peu confus mais j'ai très envie de sexe, je rentre dans la chambre de Lina où elle dort nue... Je me met nu également. Elle est allongée sur le côté en position ftale, sa croupe est mise en valeur à la perfection. Je m'allonge à ses côté, la caresse sans la réveiller, je touche son corps parfait, elle se dandine dans un demi sommeil. Je lui embrasse les fesses et je passe ma langue entre ses cuisses, elle se réveille et se laisse faire, sans changer de position. Elle se met à mouiller abondamment, je bande du plus dur que je puisse m'élever. J'approche ma queue de sa vulve, je passe mon bout entre ses cuisse histoire de la caresser une dernière fois et je la pénètre, elle n'a pas changer de position, ni ouvert les yeux, elle sourit et je m'enfonce en elle. Puis ouvre les yeux, me regarde en souriant : « vas-y baise moi ! ». Je la baise et j'adore qu'elle me parle, je sens l'odeur du sexe, je sens sa mouille couler le long de ma queue et une douce chaleur me traverse, je tient son cul fermement mais mes allers et venues en elle restent doux, matinales. Elle gémit doucement en souriant puis se tourne, passe une jambe au dessus de moi et écarte largement ses cuisses, je contemple notre coït. Sa chatte me caresse le sexe, je prend ses seins dans mes paumes, elle ferme les yeux et plonge son visage dans son bras qu'elle passe élégamment autour de sa tête. Je me penche sur elle pour jouer le missionnaire aimant. Nous faisons l'amour pendant encore quelques minutes. Mon sperme s'extirpe naturellement dans une grande douceur pour se verser en elle. Elle sent mes contractions et elle veut me regarder jouir, ce qu'elle fait sans que son sourire n'ait quitter son expression. Mon éjaculation est abondante, je fait honneur à sa beauté et à sa luxure. Je reste en elle après encore le temps de perdre un peu mon érection. Elle n'a pas eu d'orgasme, elle s'est offerte simplement à l'animal que je suis. Elle s'est contentée du bonheur qu'elle a à donner du plaisir. Ses formes somptueuses m'apparaissent dans la lumière du jour et c'est magnifique. Je ne m'allonge pas après, je me retire, une fois débarrassée de ma queue entre ses jambes, elle se glisse les phalanges en se replongeant dans sa torpeur matinale. J'aurais pu la regarder pendant des heures se doigter, un moment de poésie pure. Mais je devais sortir de la chambre, prendre cette fameuse douche. Celle du haut est occupée, je descend. Je ne croise personne, je rentre dans la douche récemment libérée.
Je suis propre maintenant et j'ai l'esprit plus calme, plus clair. Je crains un peu de croiser Priscile. Pourtant quand je la croise elle est souriante et très avenante et moins timide que d'habitude. Nous déjeunons. J'aimerai savoir ce que Pauline a fait avec Pierre mais lui semble vraiment gêné. C'est l'heure de la sieste, enfin pour Lina et Jérôme c'est différent, ils sont vraiment en ébullition tout les deux nous entendons leurs ébats. Pierre, Priscile et Pauline eux profitent d'une vraie sieste. Moi je reste dans le séjour.
Priscile descend et s'assoie en face de moi sans rien dire. Je m'excuse platement en toute intimité. Elle ne me répond pas puis me dit : « mes sous-vêtements te plaisent ? » je répond bêtement que oui. « T'aimerais les voir sur moi ? »... oh que oui. « Je suis dans la salle de bain si tu me cherche ». Je m'exécute. Elle m'attend assise sur un tabouret, elle retire son pull sous lequel elle n'a que son soutient gorge. Il est dentelé et blanc, elle a de petits seins et une peau clair parsemée de grains de beauté, elle enlève son jean dévoile sa culotte. « C'est toi qui m'a habillé ce matin, maintenant tu va me déshabiller ». Je m'exécute et tout doucement je dégrafe son soutient gorge, elle me fixe avec un regard mystérieux, bleu et un peu sombre, je baisse sa culotte et en me penchant, je regarde le duvet roux qui tapisse le bas de son ventre. Une fois nue je la regarde, elle est adossée au mur, quant à moi je me débarrasse de mon pull et déboutonne seulement ma braguette pour en sortir ma bite. Je ne quitte pas son regard et je me masturbe doucement. Elle pose alors son regard sur ma verge. « j'aime te voir t'empoigner ». Elle passe une main sur elle, écarte une jambe pour se laissé caressée. Je m'approche et passe ma queue entre ses cuisses, je masse alors sa petite chatte brulante et enfin sa respiration s'accélère. J'att ses hanches et la porte en l'appuyant contre le mur, ses jambes autour de mon bassin. Je la baise contre le mur, sa poitrine contre moi et les yeux ouverts. Puis j'ai chaud, j'arrête un instant, le repose sur terre. J'enlève mes fringues, elle s'agenouille et m'att la queue dans sa bouche et me suce passionnément en prenant un soin maternelle à me caresser les couilles. Je commence à grogner. Elle se lève et entre dans la cabine de douche, fait couler l'eau bien chaude. Je la rejoint, comme elle me tourne le dos, elle bombe alors son petit cul, je m'avance pour posséder son corps svelte, je la baise alors par derrière et je la tiens fermement afin de pouvoir lui donner les coups de bites qu'elle mérite. Elle commence à crier et me donne des « encore ! », elle commence à jouir, elle devient incontrôlable, elle gesticule et me fait sortir de sa chair. Elle continue de jouir en se touchant, je n'existe plus...
Elle se touche en me tournant le dos. Alors j'approche ma queue de son cul, elle s'appuie contre moi, il ne m'en faut pas plus. Je suis dur et je durcie encore, je tiens ma bite contre son petit trou et je pénètre dans son petit cul. C'est lent et elle aussi maintenant grogne, je l'encule comme la petite chienne qu'elle semble devenir lorsque qu'on la prend par cet orifice. « encule moi! ». C'est intense et animal, et bientôt je pilonne sans me soucier de son confort et elle gémit férocement. Je veux voir mon sperme couler entre ses fesses, je sors et commence à me branler. Elle se retourne rapidement et m'att la queue, me branle frénétiquement quand mon sperme gicle, elle se penche sur moi pour lèche mon gland pendant l'éjaculation puis finalement me prend carrément en bouche et mes dernier jets se font sur sa langue. Je sens les vibrations de ses gémissements étouffés par ma verge. C'est une sensation d'extase.
Nous sortons de la douche et nous ignorons mutuellement pour un temps avant le dîner qui se passera dans la jovialité la plus complète.
Tout le monde au lit et le lendemain, dans le calme, tout le monde quitte la demeure sauf moi et Pauline, le temps de terminer le ménage et autre... Le petit déjeuner est calme et serein et enfin ils nous disent merci. Et voilà... C'est tout...
La veille au soir, sur l'oreiller avec Pauline. Allongés tous les deux sur le dos. J'ai les yeux clos. Elle me parle mais je me sens partir, m'endormir. Elle me dis : "raconte moi ton week end" ce qu'elle veut savoir, je lui raconte. Puis Pauline vient se poser sur mon épaule et je l'enlace et elle me dit : "Moi tu veux savoir ?"."Bien sûr" mais je n'écoute qu'à moitié lorsqu'elle entame le récit d'avec Jérôme mais mon esprit revient quand j'entends ses premiers mots coquins, puis manifestement mon corps réagit à sa conversation, je m'en rend compte quand les doigts de Pauline viennent doucement ceinturer mon pénis, je sens alors mon érection. Elle me serre, me presse et me secoue, doucement, ses doigts enroulés fermement autour de ma queue... elle monte et puis descend. Je suis léthargique et mon esprit me lâche mais je ne perd rien de sa conversation qu'elle me susurre à oreille, chaque détail, elle prendra alors ma semence dans sa main au bout d'un long récit délicieux que vous aurez la chance de lire bientôt.
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