La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 410)
Vanessa au Château (suite de l'épisode N°407) -
Le commandant, tel un pressé de jouer avec un nouveau jouet, sexclame avec gourmandise :
- Puis-je, demande-t-il en désignant Vanessa
- Evidemment, je vous loffre pour le weekend, auriez-vous oublié.
- Merci cher Edouard, japprécie la valeur de ce cadeau
. Approche, ordonne-t-il à Vanessa.
La jeune femme savance donc à quatre pattes jusquà son commandant puis, sagenouille face à lui, la tête baissée, les mains derrière le dos.
- Mets les mains derrière la tête.
Sans le faire attendre la jeune femme obtempère, dressant sa poitrine vers lavant. Il pose le coffret sur le sol afin quelle en découvre le contenu.
- Tu vas apprendre que certains objets de la vie quotidienne peuvent être détournés à des fins D/s, annonce-t-il alors que la jeune femme découvre une multitude de simples pinces à linge en bois.
Sans en dire davantage il effleure le sexe de la jeune femme avant de se saisir dune pince. Il la pose délicatement sur ses lèvres intimes, puis recommence avec une autre, et encore une autre. Après avoir posé 10 pinces sur le sexe de la jeune femme il la regarde un instant. Vanessa se sent ridicule avec ces pinces qui pendent à son sexe, elle sent leur morsure, mais bizarrement lexcitation quelle ressent dêtre ainsi humiliée par son ami devant son Maître inhibe la douleur. Lhomme caresse maintenant avec douceur la poitrine de la jeune femme, puis avec la même délicatesse, il pose une pince sur chacun de ses tétons. Malgré lexcitation, cette fois-ci la jeune femme ressent réellement la douleur et doit se mordre la lèvre inférieure pour ne pas crier. Le commandant sen rend compte et sourit, satisfait de cette réaction.
- Tire la langue ! lui ordonne-t-il.
La jeune femme obtempère, sans vraiment comprendre cet ordre, mais elle comprend rapidement lorsquelle ressent la morsure de la pince sur le bout de sa langue.
- Cela vous convient-il ? demande-t-il au Marquis.
- Le spectacle est satisfaisant, vous navez rien perdu de votre savoir-faire.
- Merci.
- Je vais me régaler du spectacle du retrait.
Vanessa qui ne connait pas encore la douleur que peut procurer le retrait de ces pinces attend avec hâte le moment où elle ne ressentira plus leur morsure.
- Souhaites-tu que je les retire ? demande-t-il dun air malicieux à Vanessa.
- Oui Monsieur, articule-t-elle tant bien que mal avec la pince posée sur sa langue.
Sans attendre il pose ses mains sur les deux pinces qui mordent ses tétons et les retirent dans un même temps. Vanessa sent la douleur irradier ses tétons par lafflux de sang qui revient immédiatement, dans sa surprise elle laisse échapper un cri.
- Silence ! lui dit-il sèchement tout en la giflant.
Il a retenu sa main et la gifle na fait queffleurer sa joue, mais ce geste, le fait de la recevoir de son commandant et de devoir ravaler son orgueil, lhumilie au plus haut point.
- A chaque son sortant de ta bouche, je reposerai les pinces retirées dit-il en posant de nouveau les deux pinces sur ses tétons déjà meurtris.
La jeune femme respire profondément pour accepter cette épreuve malgré lhumiliation de la recevoir de son ami. Le commandant attend quelques minutes, observant ses réactions, puis retire la pince sur sa langue. Vanessa qui sattendait cette fois ci à la douleur se contrôle pour ne pas esquisser un seul geste.
- Très cher, auriez-vous une cravache à me confier ? interroge le commandant.
- Oui, évidemment, dans le placard derrière vous, lui répond dun sourire entendu le Noble curieux de voir la suite des évènements.
Lhomme se lève et revient muni dune fine cravache noire de cuir tressé. Il en caresse le corps de la jeune femme, passant entre ses chairs intimes et remontant entre ses seins jusquà relever son menton de la large spatule. Il plonge son regard dans le sien pour savourer lhumiliation de la jeune femme, puis retire la cravache la laissant instantanément plonger son regard au sol. La jeune femme sent un esprit de rébellion lenvahir, elle peine à supporter lhumiliation dun de ses amis, et doit serrer les dents pour ne rien laisser paraitre. Mais son Maître placé derrière elle, voit ses doigts se serrer lun contre lautre fortement et comprend quelle lutte contre son caractère. Il sourit, satisfait de la voir ainsi résister, persuadé quIl prendra un grand plaisir à la faire plier.
- Je vais retirer chacune de ces pinces avec la cravache, à chaque coup tu me remercieras, ordonne le commandant à Vanessa.
Sans attendre il frappe ses flancs faisant tomber une pince et entendant la jeune femme souffler « Merci Monsieur ». Il continue jusquà retirer toutes les pinces, laissant seulement celles qui ornent ses tétons et son sexe. Il lobserve un instant, les marques rouges des différentes morsures tranchent agréablement avec le blanc de sa peau.
- Tu vas retirer toi-même celles de tes tétons, en même temps, tu as dix secondes.
Vanessa retire les mains de derrière sa tête et les pose délicatement sur les pinces, elle respire un grand coup sachant que la douleur de lafflux sanguin va irradier dans les pointes de ses seins, puis en soufflant profondément elle les retire, serrant les dents et les tendant tremblante à son commandant.
- Eh bien, tu sembles aimer ce traitement nest-ce pas, dit-il souriant.
Vanessa ne répond pas, elle a honte déprouver du plaisir dans cette situation. Elle sent bien que son corps est excité, et malgré les nombreuses jouissances quelle a ressenties plus tôt, elle aimerait jouir en ce moment. Mais la douleur des pinces est bien présente et elle ne comprend pas quelle puisse prendre du plaisir dans de telles circonstances.
- Alors, dit-il sèchement pour la réveiller de ses pensées, tu aimes nest-ce pas ?
- Non Monsieur, ose-t-elle timidement, refusant davouer ce que son corps trahit.
Il la gifle une nouvelle fois, la jeune femme prend sur elle pour ne pas se rebeller, décidemment elle ne supporte pas ses gifles, ce geste est une humiliation de plus pour elle. Le Noble toujours derrière elle la voit contracter ses muscles pour son orgueil, cela lamuse, Il prend plaisir à voir la jeune femme lutter intérieurement.
- Tu mens, ton corps trahit ton plaisir, annonce le commandant en passant un doigt dans son sexe avant de lenfoncer dans sa bouche.
La jeune femme le nettoie sans rien dire, honteuse de se montrer ainsi soumise devant son propre chef.
- Alors tu aimes nest-ce pas ?
- Oui Monsieur, avoue finalement la jeune femme
- Donc on va laisser ces dernières pinces, allonge-toi sur le dos, genoux pliés, les jambes écartés en me présentant ta chatte.
Vanessa a bien compris lordre, mais lidée de sexposer ainsi, de shumilier devant lui est difficile et elle reste figée à genoux, sans réussir à obéir.
- Voilà qui est mieux. Tu vas te caresser et à chaque orgasme tu pourras retirer une pince, il en reste huit, donc commence sans attendre.
La jeune femme reste une fois de plus figée, elle réalise quun geste quelle fait naturellement dans lintimité de sa maison lui est très difficile dans le cadre de sa soumission. Elle se pensait soumise, elle croyait quil ne lui faudrait pas beaucoup defforts pour vivre sa soumission, que tout serait naturel pour elle, mais elle réalise soudain que son orgueil sera un frein à son obéissance. Elle sait que son Maître la regarde, elle ne veut pas le décevoir, elle veut quIl la juge digne de faire partie de son cheptel, alors dans une grande inspiration elle pose une de ses mains sur son sexe et dun doigt commence à tourner autour de son clitoris. Les deux hommes ont vu lhésitation de la jeune femme, et linspiration quelle a dû prendre pour répondre à cet ordre, ils se regardent dun sourire entendu, comme deux amis complices conscients des opportunités qui soffrent à eux dans le dressage de la belle. La jeune femme a fermé les yeux pour se concentrer sur son plaisir, elle pense à son Maître, au regard quIl doit porter en ce moment sur son corps offert, impudique, cette pensée lexcite. Elle se concentre sur cette idée pour faire monter son orgasme puis le sent se libérer. Elle ne crie pas, trop fière encore de soffrir librement, mais son corps prit de spasmes trahit cette première jouissance.
- Cest bien, tu peux retirer une pinces, mais nettoie la avant de la poser.
Vanessa retire une pince et la porte à sa bouche, de sa langue elle en nettoie chaque parcelle afin de retirer toute trace de son plaisir, puis la pose au sol. Elle respire profondément pour récupérer de ce premier orgasme.
- Tu peux reprendre, dit simplement le commandant.
La jeune femme pose à nouveau sa main sur son sexe, et tente de se concentrer sur son appartenance à son Maître pour obtenir rapidement le deuxième orgasme. Mais les deux hommes ne comptent pas lui faciliter la tâche et entament une discussion banale faisant mine de ne plus observer la jeune femme. Elle sent soudain sa libido diminuer, elle est là au sol du salon privé de son Maître, délaissée, obligée de se donner du plaisir devant des hommes qui ne la regardent pas. La banalité de leur conversation la bloque, elle ne parvient pas à monter plus en excitation et malgré les différentes images quelle tente de mettre dans sa tête, elle se caresse en vain. Ses forces labandonnent, la fatigue de la journée, des différents orgasmes, de la situation quelle ne parvient pas à maitriser, même si elle continue de se caresser elle y met moins dentrain et ne sait pas comment se défaire de cette situation. Les deux amis qui ne lont pas quitté des yeux discrètement se regardent et sourient et échanges des regards comme pour sentendre à la suite à donner. Vanessa est perdue, elle espère un revirement de situation, que son Maître mette fin à cette épreuve quelle ne parvient pas à surmonter.
- Debout, lui ordonne la voit libératrice de son commandant.
Sans perdre une seconde, elle se redresse, et attend plantée entre les deux amis, faisant face au commandant, les mains dans le dos, le regard fixé au sol.
- Approche.
Elle avance doucement jusquà sa hauteur, perdue dans ses pensées, en colère de ne pas avoir su répondre à son ordre, davoir échoué, elle ne supporte pas léchec. Lhomme passe une main entre ses cuisses, touche doucement son clitoris gonflé de trop dexcitation qui visiblement ne réagit plus, il lève les yeux sur son ami et lui sourit. Le Noble observe la scène en silence, scrutant les moindres réactions de sa soumise, satisfait de la tournure que prend les évènements.
- Aurais-tu besoin daide ? linterroge moqueur le commandant.
- Oui Monsieur, avoue Vanessa comprenant que cette question nen est pas vraiment une et quil nattend quune seule réponse.
- Bien, bien, alors demande-le moi, lui ordonne-t-il pour pousser le vice plus loin.
Vanessa peste, elle a envie de le gifler, comment peut-il oser profiter ainsi de la situation, comment peut-il oser lhumilier de la sorte. Elle sert les dents, prend une grande inspiration pour ravaler son orgueil et dans un effort qui lui semble surhumain elle sentend lui demander :
- Monsieur, je vous prie de bien vouloir accepter de maider.
- Taider pour ? interroge le commandant forçant la jeune femme à aller plus loin dans sa soumission.
- A maider pour atteindre lorgasme répond Vanessa luttant contre sa rébellion montante.
Le commandant regarde son ami, ils se sourient, le Noble acquiesce de la tête pour lautoriser à continuer. Sans douceur, il enfonce deux doigts dans le sexe de Vanessa, il effectue des va-et-vient rapides, tout en pinçant son téton droit de lautre main. La jeune femme se sent humiliée au plus haut point dêtre traitée de la sorte par son supérieur, mais le résultat ne se fait pas attendre, elle sent son orgasme monter et doit contracter son corps quand les spasmes de jouissance la submerge, pour ne pas tomber. Il retire sa main et sans douceur retire une pince des lèvres intimes de la jeune femme, il la présente devant sa bouche et sans attendre elle la nettoie docilement, tremblant encore de sa jouissance. Le commandant renouvèle lopération, sans lui laisser le temps de récupérer, et à chaque nouvel orgasme il lui présente une pince à nettoyer. La dernière pince est enfin retirée, la jeune femme se sent vaciller elle ferme les yeux pour garder le contrôle de son corps.
- Je nai rien entendu, accuse le commandant dune voix autoritaire.
- Merci Monsieur, de mavoir aidée pour atteindre ces orgasmes, dit Vanessa qui comprend ce quil attendait.
- Bien, bien, finalement tu es peut-être faite pour servir, en tout cas le début nest pas si catastrophique, dit-il moqueur. Allez, vas remercier ton Maître.
La jeune femme prend cet ordre comme un soulagement, enfin elle nest plus obligée de lui obéir, enfin elle va sen remettre à son Maître, celui quelle a choisi pour la diriger, le seul à ses yeux qui a tous les pouvoirs sur elle. Elle sait quelle doit obéir à tous les hommes auxquels Il la livre, mais elle ne parvient pas encore à le faire naturellement, et cest une lutte intérieure quelle livre pour y parvenir. Elle se met à quatre pattes et se dirige vers son Maître pour sarrêter devant Lui. Sans parler Il lui tend un pied, et elle comprend quelle doit lécher sa luxueuse chaussure dun cuir noir brillant. Elle ne se fait pas attendre et sexécute jusquà ce quIl retire son pied. Puis Il la prend par les cheveux et la tourne pour atteindre le plug toujours figé en elle quIl retire sans ménagement.
- Cest bien, tu es une bonne chienne, mais la soirée nest pas terminée, toutefois je vais toctroyer un peu de repos, vas te coucher sur la couverture.
La jeune femme se place sur la couverture posée à côté du fauteuil de son Maître, près du feu de la grande cheminée qui réchauffe son corps, elle sallonge en boule et bercée par la discussion des deux amis, Vanessa somnole doucement
(A suivre
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!