La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 409)

La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans – Suite de l'épisode précédent N°408 -

reica est affublée d’une ossature de métal qui ressemble à ces grands jupons que l’on pouvait trouver sous les jupes à crinoline des femmes de l’ancien temps sauf qu’elle est rigide faite d’une tubulure préformée en acier creux à cause du poids. Plusieurs arceaux de tailles différentes lui entourent la taille, les hanches et les cuisses, les genoux, les mollets, les chevilles Par-dessus, ce qui tient lieu de « jupe » en métal, une sorte de « cape » faite de grandes tubulures en forme de J inversés se développe tout autour d’un large collier en acier qui entoure le cou de la soumise reica. Cette cape en acier qui repose sur le sol peut se dérouler presque comme un accordéon en rond, elle est réglable en hauteur au niveau du bas, ce qui permet aussi de s’ajuster à la taille des chaussures que porte la soumise pour la circonstance. Pour compléter la tenue entièrement faite de métal, car la soumise est nue à l’intérieur de sa cage qui lui enveloppe le corps, reica porte autour de la tête une armature de métal qui a la forme d’un lampion qui se termine par un collier de métal qui est fermé autour de son cou, ce qui l’empêche également de bouger la tête, rendu solidaire du reste du corps, lui laissant juste la capacité de tourner son regard légèrement de chaque côté, voire de regarder au sol en baissant les yeux. Le Marquis d’Evans ayant bien détaillé l’ensemble de la carapace d’acier qui enserre reica qui a en outre les mains menottés sous la cape, ajoute :

- Vous me surprendrez toujours cher Ami. Votre soumise est véritablement époustouflante dans sa prison de métal. Je me contente pour ma part de cages plus standard du commerce pour les esclaves de Mon cheptel car je tiens malgré tout à utiliser du matériel fiable et garantie question sécurité, moi qui n’ai pas votre savoir-faire professionnel de spécialiste des tubulures et des filins d’acier.

Je n’ai pas oublié la toile d’araignée en chaine que vous m’aviez fait fabriquer et que j’ai installée à demeure dans le Grand Donjon du Château.

Pendant tout le temps où les deux Dominants parlaient, la soumise reica, mais également l’esclave N°14MDE, sont restées silencieuses, les yeux baissés. Monsieur le Marquis d’Evans a bien remarqué cependant que l’une comme l’autre ont l’entrecuisse qui luit, mais comme rien de plus n’était visible, il a mis cela sur l’excitation de la nuitée orgiaque dans cette ambiance D/s et aussi le fait d’être l’une comme l’autre enfermée dans des cages étroites à la totale merci de Maître Steel. C’est reica qui la première se met à haleter avant même de commencer à gémir de plus en plus fort ce qui attire le regard intrigué du Châtelain qui aperçoit à ce moment là deux télécommandes dans les mains de Maître Steel, et identifie les soupirs haletants et les nombreux « Ahhh, ahhh, ahhh » comme ceux d’une jouissance féminine si caractéristique. La soumise reica ne peut plus tenir et l’œuf vibrant qui lui a mis la chatte en feu la pousse vers un orgasme fulgurant qu’elle ne peut plus retenir, ni contrecarrer. L’esclave N°14MDE a également d’enserré dans sa chatte le même œuf vibrant qui a été mis en route au même moment, mais une plus grande expérience du contrôle de ses plaisirs d’une part, et surtout la peur de faillir sous l’œil même du Maître Vénéré alors qu’elle n’a pas reçu l’autorisation de jouir a suffit à lui faire sceller ses lèvres essayant de contenir la montée du plaisir qui lui dévore tout autant le bas-ventre. Maître Steel prend la parole pour expliquer au Châtelain intrigué ce qui se passe.

- Pardonnez-moi, Monsieur le Marquis d’Evans, je n’avais pas encore eu le temps de Vous préciser que j’avais lancé un petit défi entre ma soumise et Votre esclave. Elles ont été garnies toutes les deux du même œuf vibrant que je venais de mettre en position maximum juste avant Votre arrivée. La première qui parlerait, jouirait, ou même demanderait à être sortie de la cage ne pouvant plus en supporter les contraintes, aurait perdue et recevrait en gage une trentaine de coups de cravache.
J’aurais bien aimé par fierté personnelle que ce soit ma soumise qui l’emporte, mais je sais combien Vos esclaves sont soucieuses de Vous satisfaire et reçoivent une éducation à toute épreuve digne du Grand Maître Dominant que Vous êtes, je me doutais, même si je ne voulais pas l’admettre, qu’il en serait ainsi.

- Ne soyez pas affligé, ce n’est qu’un jeu après tout. Je ne vais pas vous cacher que je suis bien content que Mon esclave N°14MDE n’ait pas flanché, surtout en ma présence, car je pense qu’elle aurait reçu un châtiment exemplaire si j’avais dû apprendre qu’elle avait déméritée sous mes propres yeux. Mais je suis persuadé que votre soumise reica vous est très dévouée et très méritante également. Sa prison de métal doit être particulièrement contraignante et difficile à supporter. La cage de la chienne qui est à vos pieds me semble beaucoup plus confortable, Mon esclave était donc en meilleure situation pour gagner ce petit défi jouissif.

- Très Cher Marquis d’Evans, je Vous reconnais bien là avec toute Votre délicatesse, pour essayer de valoriser ma soumise qui doit, je m’en doute, être bien triste au fond de son cœur d’avoir perdu ce challenge et d’avoir céder à des plaisirs si naturels que ceux de la jouissance sexuelle. Mais la règle est la règle, elle recevra son gage comme je l’avais prévu, mais aussi par la suite une vraie récompense car je suis si fier de celle qui se plie avec tant de ferveur à tous mes fantasmes et je pense que je ne vais pas tarder à aller la baiser bien à l’aise dans un lit des plus agréables, car elle doit avoir les muscles tout endoloris à force d’être restée immobile dans sa cage étroite.

- Cher Maître Steel, je vais devoir vous laisser pour continuer le tour de mes invités que je voudrais tant saluer tous individuellement. Je vous souhaite de bien terminer cette soirée et qu’elle vous apporte tout les plaisirs que vous pourrez en retirer qu’il soit charnels ou intellectuels. Un jour, il faudra que vous veniez passer un Week-end au Château que je puisse prendre le temps de vous faire visiter le Grand Donjon qui a été réaménagé de neuf et vous montrer la grande toile d’araignée en chaine qui a été fabriquée dans votre usine.
Elle me sert souvent lorsque je suis en séance avec mes esclaves, aimant bien toujours en suspendre au moins un écartelé pendant que je m’affaire à en fouetter un autre. Cela les change des plus traditionnelles croix de Saint-André.

Le Marquis d’Evans s’éloigne tandis que Maître Steel commence par ouvrir la cage à chien, libérant l’esclave N°14MDE a qui il demande de venir l’aider pour pouvoir sortir sa reica de sa carapace de métal sans trop attendre. La chienne-esclave engourdie par la position à quatre pattes qu’elle a dut endurer pendant bien plus d’une heure doit serrer les dents pour pouvoir se redresser et détendre ses muscles engourdis, ayant les genoux et les paumes des mains tout endoloris malgré la moquette sur laquelle elle reposait. Mais elle sait qu’elle doit résister et qu’elle est aux ordres de Maître Steel pour toute la soirée, devant répondre à toutes ses exigences avant tout. Ayant débarrassé reica de toutes ses armatures de métal, le Dominant demande à l’esclave de bien vouloir ranger sans tarder tout le matériel dans l’entrée avant de revenir vers lui pour qu’elle puisse assister à la correction de sa soumise reica qui a perdu le défi qu’il leur avait imposé. Maître Steel exige de sa soumise reica qu’elle se mette à genoux pour pouvoir être fustigé et il att une cravache sur une des dessertes. La chienne-femelle ayant fini de tout ranger comme cela lui avait été exigé, revient vers le Dominant et se prosterne à ses pieds attendant de nouveaux ordres. Maître Steel lui att le menton pour qu’elle se redresse et qu’il puisse la regarder droit dans les yeux.

- Tu sembles une très bonne esclave-soumise fidèle N°14MDE. Ma reica a perdu et elle va recevoir son gage, mais il serait juste qu’à l’inverse je te récompense en contrepartie. Tu vas choisir ce que tu souhaiterais. Si je trouve que c’est une demande acceptable, je te l’accorderais, tu pourras considérer cela comme un petit plaisir gratifiant. Tu pourrais par exemple demander que je te laisse le droit de te caresser avec l’un des nombreux joujoux que l’on trouve partout dans cette pièce ou encore que je te laisse la télécommande de l’œuf vibrant à ta disposition avec l’autorisation cette fois de jouir librement autant de fois qu’il te plaira.
Mais j’ai décidé que je te laissais choisir, je ne vais donc pas t’imposer mes idées lubriques quand à ce qui te ferait plaisir à toi.

- Monsieur, permettez-moi de vous remercier de vos appréciations et de Votre proposition. Je suis à votre disposition pour vous servir et vous être agréable pour toute la nuitée. Vous satisfaire est déjà gratifiant en soi, puisque j’accomplis en le faisant les ordres du Maître Vénéré auquel j’appartiens. Il m’est difficile de pouvoir oser vous faire la moindre demande en ma faveur, ce n’est pas très habituel compte-tenu de ma condition d’esclave du cheptel juste habituée à obéir et à servir, n’ayant pas la capacité de réclamer quoique ce soit. Il m’est cependant tout aussi difficile de ne pas vous répondre favorablement et ne pas donner suite à votre exigence qui m’impose de choisir ce que je souhaiterai demander. Monsieur le Marquis d’Evans a fait remarquer à juste titre dans sa grande sagesse que ma cage devait être plus confortable et plus facile à supporter que celle dans laquelle était enfermée votre soumise reica. Ne vous serait-il pas possible de considérer si cela vous agrée, que votre soumise n’a pas vraiment perdu son défi, et que, vu le handicap, nous pouvons être considérées toutes les deux comme à égalité ? Je n’aurai d’ailleurs pas tenu très longtemps avant de me laisser emporter par la jouissance si vous n’aviez pas décidé d’arrêter l’œuf vibrant juste après.

- Tu es surprenante chienne N°14MDE, je te propose de jouir et tu viens me demander de reconsidérer la punition que j’entends infliger à une autre, celle qui est la perdante de ce jeu. Est-ce par pur masochisme moral ou physique que tu serais presque prête à te dévouer et à solliciter en ses lieux et place quelques coups de cravache supplémentaires ? Et bien soit, si vous êtes ex-æquo, ce sera donc 15 coups à chacune. A genoux et en position ! Exécution !

L’esclave N°14MDE s’installe sans tarder juste à côté de la soumise reica, creusant les reins pour faire ressortir sa croupe, présentant un postérieur si tentant tout en doré qui ne demande qu’à rougir et à s’échauffer un peu plus. Maître Steel, fait siffler la cravache dans l’air pour les mettre en condition, sachant très bien qu’il augmente en le faisant l’excitation des deux femelles, qui attendent de partager ensemble la « punition-récompense » du petit jeu de mise en cage auquel elles se sont pliées de bonne grâce. Il prend le temps de passer ses deux mains dans les chattes humides et brillantes des deux soumises qui ont toujours en elle l’œuf vibrant qu’il remet en marche sans même les prévenir, ce qui ne manque pas de leur faire faire chacune un petit sursaut, de surprise avant tout. Il fait le tour des deux femelles à quatre pattes et leur temps ses deux mains trempées de mouille en ajoutant

- Quel beau duo de femelles humides, vous faites, toutes les deux ! De vraies chiennes chaleur qui bavent d’en bas. Chacune va pouvoir goûter aux sécrétions de l’autre puisque mes mains se trouvent inversées maintenant que je suis, non plus de dos, mais face à vous. A vos langues de petite chiennes que je veux voir bien sorties et à l’œuvre. Je suis certain que vous sentez bon la femelle qui a envie d’être baisée et possédée par une queue de mâle.

Après s’être fait léché avec volupté et délice les doigts un à un, ainsi que la paume et le dessus de la main, Maître Steel reprend en main la cravache et abat sur la croupe de chacun les 2 fois 15 coups fixés en début du défi. Les deux chiennes en chaleur excitées tant par l’œuf vibrant qui a remis le feu à leurs deux chattes que par leurs fesses qui s’échauffent laissent s’échapper leur cyprine dégoulinante. Pas mécontent de ce petit intermède, le Dominant s’approche de sa reica qu’il embrasse goulument, faisant pénétrer sa langue profondément dans sa bouche pour lui faire comprendre à quel point il la désire. Il lui glisse à l’oreille délicatement

- Suis moi, ma soumise, ma compagne, mon amour, … j’ai envie de toi, j’ai envie d’être en toi, j’ai envie de te savoir à moi.

De manière galante, il att la main de sa reica pour l’aider à se mettre debout et la prendre dans ses bras, tout en même temps que de l’autre main, il dépose la télécommande du deuxième œuf vibrant sur le sol juste devant l’esclave N°14MDE.

- Voilà, c’est pour toi chienne-esclave N°14MDE. Tu pourras l’arrêter quand tu voudras et jouir autant qu’il te plaira. Je te libère de ton engagement pour la soirée. Je pars me coucher avec ma reica dans la chambre qui a été préparée à notre intention dans le Château. Je n’ai plus besoin de tes services, tu peux considérer que tu as quartier-libre avec mon aval pour ce qu’il te reste de la nuit bien avancée. Je te dis merci, car un Dominant peut profiter de celle qui est à sa merci, sans prêter le moindre cas à l’objet-humain qui est là pour le satisfaire et ce pour renforcer le sentiment d’humiliation et d’appartenance servile, mais il peut aussi avoir la délicatesse de savoir reconnaître qu’il a apprécié et de pouvoir remercier celle qui s’est pliée à toutes ses exigences, d’autant plus que tu n’es pas vraiment mienne, mais seulement un présent pour la soirée de Monsieur le Marquis d’Evans que j’apprécie pour Sa générosité et Son immense talent dans l’Art de la Maîtrise D/s.

D’une voix émue et tendre, l’esclave N°14MDE même sans y avoir été invité ose prendre la parole à son tour.

- Monsieur, c’est moi qui très humblement et respectueusement vous remercie pour l’agréable soirée que j’ai pu passer sous votre joug et aux côtés de votre soumise reica. Je vous souhaite beaucoup de bonheur dans la vie et des temps D/s de toute beauté, couleur acier je suppose.

L’esclave se prosterne déposant en toute humilité et avec un profond respect un baiser sur les pieds du Dominant. Attrapant sa soumise reica par la taille, Maitre Steel se dirige vers le Grand Escalier bien décidé à terminer la nuit dans des draps agréables et surtout des bras encore plus agréables.

(A suivre ….)

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