Cougar, Et Alors !
Être une gougar semble gêner mes semblable. Je revendique ce titre depuis que mes désirs sont plus forts que la morale bourgeoise. J'avais un mari, un beau et bel amant. Je m'étais donné à lui vers mes 16 ans. Mon premier corps d'homme nu : il me semblait costaud surtout quand je voyais sa queue raide près de moi. Il était gentil pour ne pas me baiser la première fois. Il m'a fait écarter les jambes, est venue coller sa tête sur la chatte. C'était excitant de le sentir. Il me tenait avec les mains sur les cuisses. Son souffle tiède sur mon abricot me faisait déjà prévoir l'orgasme qui allait venir. Son nez est venu sur le vagin quand sa langue touchait le bouton. Je me souviens avoir sursauté de plaisir.
Le lendemain seulement, après que l'en ai prié, il est venu sur moi. Je me sentais un peu écrasée. Il m'a tournée pour que je sois sur lui. Empotée je me laissais faire. Je ne connaissais pas tellement la suite. Il prenait sa queue en main, la posait sur la figue.
Il m'a fait mal, un mal qui m'obligeait à attendre une autre pénétration. J'aurais pu me refuser....
N'empêche qu'il a continué. J'ai eu un drôle de plaisir quand il m'a faite jouir. J'étais inquiète qu'il s'arrête de bander après. En l'embrassant seulement il a bandé encore. Il m'a appris comment lui faire du bien avec la bouche. J'étais encore une oie blanche. Je refusais presque de la lécher. Il ne m'a pas . J'ai compris qu'il y tenait, alors pour lui, j'ai léché la queue et l'ai prise dans la bouche.
Recevoir son sperme chaud et un peu gland m'étonnais. ¨Prise dans la tourmente j'ai avalé son jus.
Plus tard, bien plus tard, après avoir bavardé avec une copine qui affirmais que la chose était très agréable, je lui donnais mon cul. En fait d'agréable je trouvais la chose déplaisante, surtout cette première fois. J'étais mal mise, lui à coté de moi. La queue presque tordue pour entrer. Et puis, à l'usage j'ai commencé à aimer. Je ne me fais pas enculer souvent, j'apprécie des fois.
Je refusais les moyens anticonceptionnels. Je me suis retrouvée enceinte. Cet accident a fait que nous nous sommes mariés, que nous avons baisé au moins une fois par jour.
Par la suite il m' appris des « détails » entre nous, avec une autre fille, j'adore à trois avec une autre. J'ai même eu une copine attitrée. Je ne compte pas les parties de jambes en l'air avec elle, plus portée encore que moi que la gaudriole. A son propos je me souvient de sa lèvres pulpeuse qui aspiraient mon sexe, de ses doigts dans le cul.
Plus tard, à l'occasion de descentes à Pais, nous fréquentions un club libertin. C'est là que j'ai eu affaire à deux hommes à la fois. Je ne voulais pas me faire prendre par deux queues. Mon mari insistait tant que j'ai donné et mon con et mon cul pour mon plus grand bonheur.
Des fois, en temps normal je me satisfais avec deux godes. Je les ai encore. C'est dans l'eau que j'aime me faire reluire avec les deux : mon cul s'ouvre mieux d'après moi.
Un jour, suite à un accident, il a disparu. Ce qui manquait, outre son absence devenait le manque de bite vivante. La quarantaine pèse quand on est seule. Ma chatte demande une présence active.
J'ai trouvé chaussure à mon pied si on peut dire. Une simple épicier me fait monter la tête. Il me semble qu'il a une belle paire de couilles sous un morceau de choix. Il faut que j'en ai le cur net, le cur et le reste. Je m'arrange pour être juste à l'heure de fermeture. Nous sommes seuls dans la boutique. En me tortillant un peu je fais ressortir mes fesses. Il me regarde quand je passe une main rapide sur la chatte.
J'ai raison, il est bien muni. Je m'en sers pour décrasser et le con et le cul. Presque tous les soirs, je le rejoins. Je suis encore baisable, j'ai pas mal d'expérience, alors que demande un homme sinon une nana qui sait les baiser. J'aime comme il me prend, sans se soucier de moi, seul son plaisir compte.
C'était au début de mes activités de veuvage.
J'ai trouvé un autre homme aussi bien dur, sinon plus que le premier. Ça se passait chez moi. J'étais presque nue pour lui offrir un café. Il voulait plus que la boisson. Je lui en donnais une autre : de la cyprine d'origine garantie. Il me buvait quand j'étais penchée en avant, que le tenais le dossier d'une chaise. Je finissais juste de jouir quand il est venu derrière moi sa queue raidie pour la poser sur la foufoune. Mon impatient a été vaincue quand j'ai donné un grand coup de reins. Il me la mise profond, presque au point de me défoncer.
Il ne me suffisait pas. J'en faisait venir un autre, avec lui. Je n'étais toujours pas très présentable à peine avec un string et un soutif transparent. Je suis restée debout, les lèvres d'en bas apparentes. J'attendais lautre amant, c'est le premier qui est venu. Il me la mise quand je regardais. C'était excitant de le voir entrer. Le mieux était quand l'autre est venu la bite bandée se planter dans le cul du premier. Ils avaient l'air de pratiquer la sodomie depuis longtemps. J'aurais bien pris la queue dans l'anus. Si un autre avait été là, je lui aurais donné mes fesses.
Je me demande pourquoi j'ai envie à mon âge de baiser. Je baise c'est tout.
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