L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 30) -

L'Odyssée de La Belle Hélène : Clytia et le marché aux esclaves -

Le spectacle de Clytia se faisant enfiler de multiples façons par l’impressionnant mastodonte, ce colosse de muscles venu de Rhôdes dura un long moment. De quoi susciter l'excitation des spectateurs, particulièrement nombreux et le désespoir de Patnos à la vue de sa bien-aimée livrée en pâture aux appétits démesurés du géant esclave et exhibée aux yeux de tous dans une intimité que le brigand Patnos rêvait réservée à lui-même... Clytia, tout en se faisant maintenant enculer, misait justement sur la jalousie qui devait maintenant dévorer le brigand que sa beauté dénudée avait séduit et dont elle espérait tirer le meilleur parti afin d'échapper à ce marché, pour rejoindre enfin sa Divine Maîtresse, La Belle Hélène. La bouche ouverte sur des gémissements obscènes, les lèvres humides et les yeux mi-clos, elle offrait un spectacle totalement impudique à la foule qui se pressait autour des ébats organisés par le marchand d'esclaves. Plus d’un quidam spectateur, excité à la vue de ces lascives copulations, avait extirpé une verge bandée d’un dessous d’une chlamyde de laine et se masturbait sans aucune gêne. Appuyée à une barrière, ses seins ballottant sous les regards enfiévrés au rythme des coups de boutoir du colosse, elle captivait tous ces hommes qui exhibaient indignement leur sexe bandé à la masturbation. Quelle sensation que d'être ainsi possédée à la vue de tous ces mâles voyeurs et au coeur même de ce véritable chaudron humain où des milliers d'hommes pouvaient la découvrir et la désirer ! La jeune et belle esclave jouissait plus encore d'être ainsi l'objet de l'attention de cette foule, que de l'énorme queue qui allait et venait si puissamment entre ses fesses. Elle gémissait bruyamment chaque fois qu'un coup de rein l'empalait sur la verge aussi dure que pierre et la soulevait carrément du sol…

Et à ce moment-là, elle était consciente des centaines de paires d'yeux qui l'admiraient et des centaines de poitrines qui retenaient leur souffle, fascinés par son corps nu, offert, pénétré, exhibé et plus que tout.

.. désiré ! … Quand, enfin, elle sentit le flot épais et incroyablement abondant de la semence du colosse qui se répandait en elle et coulait de son cul à l'intérieur de ses cuisses... Malgré la multiplicité de leurs ébats, l'esclave de Rhôdes aux incroyables mensurations, ne cessait ainsi de l'arroser de son sperme, dont la source paraissait inépuisable et dans des râles puissants de jouissance à n’en plus finir ... Quand, enfin, il eut terminé d’éjaculer, le colosse se retira, la saisit par les hanches et la souleva comme une poupée de chiffon, afin que même les plus éloignés puissent voir et admirer ce corps de femme aux proportions parfaites, luisant de transpiration et de semence répandue. Clytia se laissait faire, manipulée comme un pantin désarticulé. Elle avait compris le jeu du marchand qui en l'exhibant ainsi, en montrant à tous sa docilité et sa résistance, faisait en toute discrétion monter les futures enchères. "Habile" pensa-t-elle tandis que des mains se tendaient pour effleurer ses seins, son ventre, ses cuisses, alors que le colosse la promenait à travers la foule, à bout de bras, telle un trophée. Elle n'opposait bien sûr aucune résistance, épuisée, dégoulinante, remplie et repue ! Du coin de l'œil, elle aperçut Patnos qui rongeait son frein. Il avait les poings serrés et le regard sombre... Dévoré de souffrance de voir ainsi celle qu'il voulait sienne offerte à tous les regards et promise à une vente des plus lucratives…

D'un claquement de mains, le marchand rappela son colosse qui, docilement, revint vers lui et déposa la belle esclave à ses pieds. Le marchand la fit mettre droite devant lui, promenant ses mains sur le corps poisseux aux courbes délicieusement harmonieuses. Il vérifia la qualité de sa dentition, la fermeté de ses seins, des tétons qui s'érigèrent à la première pression, vérifia la rondeur de la croupe, la fermeté des cuisses... Satisfait, il parla aux deux autres brigands et tous parvinrent assez rapidement à un accord qui se transforma en une lourde bourse emplie de pièces remise aux complices de Patnos qui s'éloignèrent dans la foule, visiblement contents de leur transaction.
Clytia ignorait ce qu'il était advenu d'Endymion, mais ce n'était pas pour elle une priorité. Pour l'instant, il s'agissait pour elle de se montrer docile, d'être vendue et d'attiser ainsi la jalousie de Patnos afin que celui-ci mette tout en œuvre pour venir la libérer. Et qu'elle puisse ensuite lui échapper afin de rejoindre enfin La Belle Hélène. On mena par une corde enserrant son cou, Clytia à travers l'immense marché aux esclaves, qui évoquait plutôt pour elle, les foires au bétail que l'on organisait parfois aux alentours de Sparte. Les esclaves ici étaient menés en troupeaux, vendus par lots, à l'exception des plus belles "pièces" dont le prix d'achat représentait parfois de véritables fortunes !

L'esclave au crâne rasé fut menée sous une tente, où deux femmes portant un lourd collier d'acier au cou et marquées au fer rouge sur l'épaule de la marque du marchand, s'occupèrent de sa toilette. Celles-ci ne seraient pas vendues. Elles avaient été dressées pour savoir mettre en valeur les esclaves prévus à la vente et qui constituaient l'abondante source de revenus de leur Maître. Elles lavèrent, parfumèrent, maquillèrent Clytia, son visage fardé, mais même ses lèvres intimes firent l'objet d'une toilette attentive et d'une coloration discrète. Elle fut même affublée d'une perruque de cheveux blonds, parfaitement adaptée et qui mettait en valeur la finesse de son visage aristocratique. Une fois apprêtée, on lui servit également via une collation vivifiante, de quoi manger afin qu'elle se présente au mieux de sa forme, tout à l'heure...

Pendant ce temps, les deux brigands avaient rejoint Patnos, radieux de la bonne affaire qu'ils venaient de conclure, même s’ils ne se rendirent pas compte que Clytia valait en réalité, sur le marché, beaucoup plus qu’une simple bourse emplie de pièces ! Ils entraînèrent leur jeune complice vers une des nombreuses tavernes improvisées, sous une vaste tente, bien décidés à dépenser leur part de la bourse en libations, avant de retourner auprès de Procuste, dont ils s'amusaient à l'idée des tous les plaisirs vicieux et pervers qu'il devait être en train de tirer de sa prisonnière à l'allure si noble et au corps si parfait ! Ah ! S’ils savaient ce qui était advenu de leur chef Procuste, ils ne rigoleraient pas comme ils étaient en train de le faire, tant ils étaient joyeux du résultat de la vente.
Seul Patnos remâchait sa rancoeur et son désespoir, mais celui-ci leur fit bonne figure. En effet, Patnos faisant semblant de boire avec eux et simulant l'ivresse lorsqu'enfin lors du sixième pichet d’un vin douteux vidé par les deux autres brigands qui grisés et vacillants, ils décidèrent de prendre le chemin du retour. Ils s'éloignèrent de la folle animation de l'immense marché et prirent la route en titubant fortement, tout en chantant des chansons paillardes entrecoupées de cris joyeux et braillant. Une heure plus tard, épuisés par le vin qui avait pour effet de les assommer de fatigue et par une chaleur qui augmentait leur envie de s’assoupir, les deux brigands ressentirent ce besoin de se reposer un moment avant de poursuivre, s'écroulant rapidement à un endroit ombragé au pied d'un grand arbre. Ils ne tardèrent pas à ronfler profondément afin de cuver leur vinasse ! Patnos sut saisir l'opportunité. Il s'assura de leur immobilité, de peur qu’ils se réveillent, en les assommant d’un bon coup sur la tête avec une grosse branche gisant sur le sol. Puis déchirant leurs vêtements pour en faire des liens, il les attacha aussi fermement qu'il en était capable, les dépouillant de tout et les abandonnant, nus et entravés l'un à l'autre, dans un bosquet isolé, bâillonnés, dans une situation dont ils devraient mettre un très, très, long temps à s'extirper. A moins que, par malchance pour eux, ils ne finissent leur carrière ainsi qu'ils l'avaient imposé à tant de victimes, capturés et vendus à leur tour...

Patnos repartit vers le marché, lesté de quelques armes et d'une bourse encore bien remplie de la vente de Clytia et avec un seul but, un seul objectif, retrouver celle-ci, la libérer et s'enfuir avec elle, pour qu'elle soit son esclave douce et dévouée à lui seul et pour toujours !... Dans le marché, loin des estrades grossières où l'on vendait le tout venant des esclaves par lots pour les mines ou les champs, une foule plus dense que jamais, se massait autour de l'étal le plus central.
Là, le marchand qui comptait parmi les plus en vue venait de faire monter la jeune Clytia... Elle était vêtue de plusieurs voiles presque transparents, superposés les uns aux autres. Son fin visage maquillé resplendissait, sa bouche chastement fermée, excitant les désirs de ceux qui l'avaient vue si largement ouverte, emplie de la verge démesurée du colosse de Rhodes. Clytia se tenait bien droite, les yeux baissés, les mains jointes dans le dos, simple et presque prude ! La foule exclusivement masculine retenait son souffle en admirant cette créature. Le marchand, tout en vantant les atouts physiques de la belle esclave afin de faire monter les enchères, lui enleva d’abord un premier voile... obtenant un sourd mugissement de la foule... Il continua à valoriser la belle, à parler d’un corps de rêve quand un autre voile tomba, puis un autre, jusqu'à enfin dévoiler les courbes nues de l'esclave dans toute leur juvénile splendeur, provoquant un brouhaha dans la foule excitée...

Le marchand la poussa doucement et la guidant du bout d'une fine badine dont il tapotait légèrement la croupe. Il lui fit faire le tour de l'estrade, afin que tous puissent la contempler. Il faisait marquer à l'esclave de brèves étapes, lui indiquant toujours par les petits coups de badine, la position à prendre afin d'offrir une vision parfaite sur sa croupe, son intimité, ses seins... Il lui fit écarter les jambes, se cambrer en avant, fessier bien exposé à la foule. Il l'exhibait ainsi, lentement, aux yeux de tous, faisant grimper de nouveau l'excitation sous les tuniques et le désir de dépenser sans compter pour acquérir cette magnifique créature. Il lui flattait la croupe, la faisant se cambrer encore plus et saillir sa belle et ferme poitrine... La faisait se pencher de nouveau, sur les côtés cette fois, pour que les spectateurs latéraux profitent aussi de la vue de son entrecuisses, écartant du bout des doigts ses fesses fermes, dévoilant un petit trou coloré et frais comme une rose au matin. Les hommes transpiraient, beaucoup ouvraient leur bourse afin de compter la somme qu'ils pourraient dépenser pour cette esclave si magnifique, prêts à vider une bourse, dans l'espoir plus tard d'en vider deux autres dans le réceptacle de chair dont ils auraient pu se rendre maîtres…

Clytia jouissait de cette mise en scène. Elle ne pensait qu'à sa Divine Maîtresse, La Belle Hélène et lui sacrifiait avec bonheur ce corps qu'elle exhibait sans pudeur, qu'on la contraignait à ouvrir... Elle y prenait même tant de plaisir qu'elle mouillait et que le marchand proposa à un riche et potentiel client, le plaisir de les rejoindre sur l'estrade afin de constater du bout de ses doigts combien cette superbe femelle serait réceptive à tous les désirs de son futur Maître. L'homme ne se fit pas prier, trop excité il grimpa sans tarder, doigta et puis rejoignit la foule en humant ses doigts enduits de cyprine ! Tous applaudirent, guidant aux forts bruits de cette foule, Patnos qui avait rejoint le marché et comprit sans rien voir, que seule sa si belle et douce Clytia pouvait susciter un tel engouement dans cet antre de l'avilissement des créatures les plus vulnérables. Il se précipita, bousculant ceux qui tardaient à lui céder le passage et parvint à proximité de l'estrade où Clytia entamait, ondulant de tout son corps, la plus impudique des danses qu'il n’eut jamais pu admirer...

(A suivre...)

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