Laveur De Vitres À Domicile, Chez Marie

Je suis Thomas, et je suis toujours laveur de vitres à domicile, j'effectue aussi cette prestation dans des bureaux d'avocats, dans des salons de coiffure ou dans des magasins de vêtements du centre-ville.
Quelques fois, il m'arrive de faire des prestations au domicile de mes clients.

Il y a deux jours, j'ai fait la connaissance de trois dames, Géraldine, Marie et Louise, ce sont des quadragénaires, elles sont toutes ravissantes, chacune à sa petite particularité, je les ai rencontrées alors que je faisais les vitres d'un magasin.

Je suis allé dans un premier temps chez Géraldine, elle a eu la particularité de me demander un massage à la sortie de sa douche, j'avouerais que cet instant ne m'a pas laissé de marbre, mais je n'ai pas osé aller plus loin, je ne veux pas trop mélanger les clients et le sexe. En général, cela ne se fait pas. Mais qui sait, quelques fois, peut être que joindre l'agréable à l'utile peut permettre de passer un moment sympa.

Toujours est-il que dans deux jours, je dois faire les vitres de la maison de Marie, elle habite dans une commune un peu éloignée de la périphérie, un mixage entre campagne et petite ville.
Ce sont généralement des maisons classiques, avec une ou deux vérandas et quelques fenêtres classiques.

Nous sommes mardi, en passant par le village, j'en profite pour laisser des cartes de visite à la pharmacie, à la boucherie, au coiffeur, et au buraliste puis j'arrive aux alentours de dix heures chez cette quadragénaire qui me plaît beaucoup. C'est le genre de femme fatale, elle n'est pas très grande, elle a les cheveux noirs, les yeux marron clair d'une transparence exceptionnelle, j'y perçois même une pointe de caractère assez fort.

Je sonne à son portail, il s'ouvre automatiquement, je rentre avec mon seau et mon matériel, elle me propose de boire un café, ce que je ne peux pas refuser, elle me propose du sucre roux, son accueil est très convivial, nous discutons de tout et de rien.

J'apprends qu'elle est divorcée, qu'elle travaille dans les assurances, et qu'elle a une fille de vingt ans. Après avoir fait connaissance, je me prépare à effec ma prestation. Je commence par effec les vitres à l'extérieur, puis je rentre dans la maison.

Marie de son côté fait la vaisselle, puis passe l'aspirateur dans le salon, elle bouge les meubles et les canapés, je lui propose un coup de main qu'elle accepte volontiers, je continue de faire mes vitres. Je passe partout, et je rentre dans ce qui semble être sa chambre, et je vois sur un étendoir des sous-vêtements magnifiques, il y a un ensemble rouge en dentelle de toute beauté. Je suis tout émoustillé. Mais je ne peux pas m'empêcher de l'imaginer en petite tenue. Je rêve, mon esprit s'absente quand soudain, j'entends le grincement de la porte, ce qui ne manque pas de me faire sursauter.

Elle me demande ce qu'il m'arrive, et détourne le regard en direction de l'étendoir, et me fait un grand sourire.

Ayant finit mon travail, je pars en direction de la cuisine, laissant Marie derrière moi. Je vais poser le matériel dans mon véhicule, et je prends mon carnet de facture. Puis je reviens dans la pièce principale de la maison. La main tremblante, j'écris la prestation et le prix, quand tout à coup, je sens une présence derrière moi. Je me retourne, et je vois ma cliente, en peignoir, je lui explique que ça fera trente euros, puis elle met son doigt sur ma bouche.
Elle ouvre son linge de laine, et puis me dit avec une voix coquine, « cadeau ».

Je la vois dans son ensemble rouge, je ne peux me contenir, je la prends par la taille, et je la colle contre moi. Je cherche sa bouche que j'embrasse avec douceur et plaisir. Le goût de ses lèvres est légèrement sucré, elles sont savoureuses, je prends ses fesses dans mes mains, elles sont fermes puis je la pousse petit à petit en direction de son canapé. Elle se laisse tomber sur le sofa, je me mets à genou entre ses jambes, je lui caresse les seins, que je fais sortir du soutien-gorge, ils sont d'une douceur extrême, puis petit à petit, je pars à la recherche de son entre-jambes.


Je soulève légèrement ses fesses, afin de lui enlever son string, puis je plonge la tête la première en direction de sa vulve afin de boire le jus du plaisir. Elle ne tarde pas à trembler de plaisir, elle est très humide, puis je me lève et Marie s'assoit sur le bord du canapé. Je baisse mon pantalon, et je suis dans une forme olympique. Elle commence par me faire une fellation, cet instant est puissant, je suis incontrôlable, mes pulsions sont tellement fortes que je la prends par le dessous des bras puis je la mets à quatre pattes pour matraquer son puits d'amour avec vigueur. Au bout de dix minutes d'échange intense, j'explose de plaisir, je ne peux pas me retenir, et je sens trois longs jets se répandre dans la chaleur de son puits.
Elle aussi pousse un cri de plaisir.

Puis un bruit étrange nous coupe net, c'est sa fille qui vient de rentrer dans la maison, et qui reste statique en nous voyant ainsi. Puis qui part en direction de sa chambre. De mon côté, je ne fais pas payer ma prestation à Marie, qui me dit au revoir en me faisant un bisou sur la bouche.

Et voilà, je viens de craquer, je viens de mélanger le business avec le sexe, j'espère que ça ne me portera pas de tort à l'avenir.

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