L'Apéro Coquin

Assis sur le bord du canapé, un verre de whisky à mes côtés je pianote négligemment sur mon ordinateur en attendant le retour du boulot de Dominique ma petite femme. Sur la table basse à côté les coquilles de pistaches s’amoncellent dans l'assiette, j'adore ces petits fruits secs et, en plus, c'est excellent pour la libido ( taper pistache dans Google, vous verrez).

Bruit caractéristique de la porte d'entrée qui se referme, claquement nerveux de talons sur le carrelage de l'entrée, Dominique mon épouse passe la tête par l’entrebâillement de la porte du salon.
« Salut, Daniel mamour !! Ah je vois que tu ne t'ennuies pas en m'attendant... Tu me sers aussi un verre, je passe aux toilettes et j'arrive. Je trimballe depuis le milieu de l'après midi un besoin de popo, je te dis pas. Je n'ai qu'une hâte c'est de me débarrasser de ça. »
« Tu peux quand même venir jusque là faire un petit bisou à ton homme »
« Vite fait alors, tu peux pas savoir comme je suis mal à l'aise » elle me répond en venant jusqu'à moi me tendant ses lèvres charnues. Elle se penche alors pour m'embrasser comme elle sait si bien le faire.
Entourant sa taille de mes bras je l'emprisonne de façon à ce qu'elle ne puisse plus bouger.
« Qu'est ce que tu fais, veux tu bien me lâcher, j'ai une chose urgente à faire et tu pourras t'amuser avec moi, mais après. Laisse moi partir, je t'en supplie, il faut que j’aille aux toilettes ».
« Tourne toi et fais mon voir ton beau cul ».
« Tu ne penses donc qu'à ça, je te dis que c'est pas le moment »
« Si, c'est le moment, tu sais bien que tu as la plus belle lune qui soit, montre la moi, s'il te plaît.»
« Tortionnaire va. Je te préviens, ça doit pas sentir très bon là dessous, j'ai des flatulences depuis les
artichauts de midi, heureusement que je suis seule en ce moment au bureau, je peux me relâcher sans incommoder mes collègues» me dit elle en se penchant en avant pour me présenter son postérieur.


Dans cette position son fessier tendait le tissu de la jupe à l’extrême. Je la retroussais et ses deux globes, que je connais pourtant bien, m’apparurent dans toute leurs splendeurs enveloppés dans la dentelle de sa petite culotte. C'est à se demander comment ce petit bout d'étoffe pouvait contenir de telles rondeurs.
« Bon ça y est, t'as vu, je peux y aller maintenant. Ça presse tu sais !! »
« Baisse ta culotte, je n'ai pas vu ton cul nu, les toilettes peuvent bien attendre encore un peu »
« Tu es pénible quand t'as une idée dans la tête, toi. Et quand je dis en tête, je me comprends » me répondit elle en se contorsionnant pour me laisser descendre son mini slip....Elle ne me mentait pas, je la connais bien, son derrière était couvert de chair de poule, pas la chair de poule quand on a froid mais quand une envie de chier vous tarabuste. Elle a une particularité dans ce cas là, la surface de ses fesses est couverte de minuscules boutons sauf une plaque de la dimension d'une carte de crédit sur la fesse gauche qui reste lisse.
« Bon, monsieur est satisfait, monsieur c'est bien rincé l’œil ; monsieur me laisse partir »
Elle avait toujours les fesses bien en arrière, j’attrapais celles ci et les écartais pour bien voir son petit trou. Son anus était déjà bien contracté mais instinctivement celui ci se resserra sur lui même.
« Fais pas ça, va y avoir une catastrophe, je ne réponds plus de rien ».
Elle aurait très bien pu se sauver vers les toilettes à cet instant mais elle restait là son popotin nu tendu vers moi. Elle était en sueur, dans un état second.
Alors que je ne m'y attendais pas elle me lâcha en pleine figure (je ne sais pas si c'est exprès ou si ça lui a échappé) un pet (psssfff) furtif et odorant annonciateur de beaucoup plus consistant.
« C'est pas ce que tu voulais, mon salaud, maintenant il va falloir assumer »
« Tu vas pas faire là » je lui dis mi heureux, mi affolé.
« Trop tard, j'ai trop envie et ça ne peux plus attendre »
Je la vis alors pousser pour évacuer ce qui la faisait souffrir depuis tout l'après midi.

Son trou du cul se gonfla sous la pression. Heureusement un bouchon empêchait la sortie immédiate, ce qui me permit, sans trop réfléchir, d'avoir le temps d’attr l'assiette des coquilles de pistaches sur la table basse et de la positionner sous elle. Il était temps son anus s'ouvrait maintenant pour laisser passer un énorme étron moulé à souhait, anus qui se déformait et prenait la forme du cylindre merdeux qui descendait jusqu'à l'assiette. Le bouchon fut suivi par un quantité impressionnante de matière molle ressemblant à de la mousse au chocolat. Cette grande saucisse du calibre de l'ouverture de son trou de balle s'enroulait sur elle même au milieu des bogues de pistache avec un bruit sourd d’où semblait éclater de petites bulles. Je baissais l'assiette au fur à à mesure de la sortie du boudin afin qu'il ne salisse pas ses fesses. Le spectacle était grandiose. Le tout se termina en pointe suivi d'un gaz qui n'attendait que sa libération.
« Ouf !! ça fait du bien. Toute la soirée à retenir ça, c'est pas croyable Tu la voulus, tu l'as eu. C'est qu'elle ne se dégonfle pas ta Dominique. Je me sens beaucoup mieux et plus légère ».
Reprenant ses esprits elle me dit :
« Je file à la salle de bain me rafraîchir un peu, j'en ai bien besoin. Prépare toi, je reviens. Il va falloir être à la hauteur ».
Moi, j'étais là comme un con une assiette de matières chaudes noirâtres, puantes à la main.
« Attends, Tu vas pas me laisser tes déjections, je fais quoi avec ça moi, maintenant ? »
« Alors, là, mon bonhomme, tu te démerdes, ce n'est plus mon problème » me lança -t-elle en filant vers les toilettes, s 'entravant dans sa petite culotte qu'elle n'avait pas posée mais seulement descendue.
Je la rejoignis donc dans la salle de bain (chez nous les toilettes sont dans la salle de bain, voir : les autres histoires)avec son cadeau empoisonné.
Debout devant le lavabo un gant de toilette à la main, cuisses écartées, elle s'appliquait à nettoyer toutes traces de son exploit de tout à l'heure.
Moi, je tentais de faire disparaître à grand renfort de chasse d'eau le magma bouseux qui garnissait l'assiette. Une telle quantité, c'était impensable. Finalement ce sont les coques de pistaches qui restèrent flotter à la surface.
« T'es vraiment pas dégoutté, on dirait même que tu aimes ça à voir la bosse dans ton futal. Tu bandes, hein, mon cochon !! »
« Nettoie consciencieusement l'assiette, elle peut resservir et nous rappellera des souvenirs. Et puis les amis qui viendront prendre l'apéro se douteront jamais de l'usage de cette assiette Vas m'attendre sur la canapé prêt à faire feu, j'ai envie de toi. Si tu bandes, moi je baille ».

Je l'attendais, assis sur le canapé, pantalon baissé, bite au garde à vous. Elle vint jusqu'à moi, jupe retroussée très haut. Ses chaussures de ville lui faisaient ressortir les mollets, j'admirais ses cuisses, son petit ventre rond et dur que la quarantaine avait embelli, et par dessus tout sa touffe bien fournie et entretenue avec soin. Elle m'aurait fait bandé si mon érection n'était déjà à son comble.

« Tourne toi que je te bouffe le cul » lui dis je.
« Tu sais, je crois que ce n'est pas nécessaire, je suis déjà dans un tel état, je mouille, tu peux pas savoir »me répondit-elle en se retournant et me tendant ses fesses comme tout à l'heure.
Son derrière était maintenant lisse, sans chair de poule, un beau cul comme on en rêve tous. J'enfouis alors mon nez au plus profond de sa raie des fesses, ça sentait bon, ça sentait l'amande du lait pour bébé, ça sentait le propre. Je fis tourner ma langue autour de son petit troufignon, j'en explorais tous les petits plis. Son anus était détendu et elle me dit :
« Pas ce soir, pas par là. J'ai serré des fesses tout l'après midi à m'en faire mal et j'ai peur de ne pas apprécier. Allonge toi, mets ta tête sur les coussins ».
Je m'exécutais, m'enjambant elle vint se mettre à genoux au dessus de mon ventre. Elle prit alors mon membre, le pointa vers son sexe béant et s'affala d'un coup engloutissant ma queue au plus profond d'elle même.
Je restais passif, elle se donnait du plaisir toute seule, montant, descendant, resserrant mon vit avec les muscles de son vagin. Jusque là elle était restée droite, elle se pencha vers moi pour manœuvrer d'avant en arrière. Son corps ne faisait plus obstacle vers l'écran de mon ordinateur sur la table près du canapé et je pouvais contempler sur l'écran le spectacle de nos ébats. Comment la webcam s'était-elle mis en route, sans doute, par inadvertance, tout à l'heure dans ma précipitation pour attr l'assiette afin d' éviter un désastre avais je déclenché certaines fonctions. Toujours est-il que la caméra tournait et sur l'écran, tel un effet miroir je visionnais l'envers du décor, à savoir le cul de ma femme qui se démenait sur ma queue tel un beau diable. Elle dû s'apercevoir de quelque chose car elle arrêta soudain son manège et dans un souffle elle me dit :
« Je te sens distant, il y a quelque chose qui ne va pas »
Se retournant alors elle aperçu stupéfaite l'écran du micro :
« Ben ça alors, tu regardes un film porno pendant qu'on baise, il te faut ça maintenant, je ne te suffis plus »
S'apercevant alors que c'était nous qui en étions les acteurs :
« Mais c'est mon cul là sur l'écran, tu nous filmes en train de baiser, on aura tout vu »
« Je t'assure, je n'y suis pour rien, le bazar s'est mis en route tout seul. Et puis c'est pas désagréable de voir ton gros cul aller et venir sur ma queue, ne t'arrêtes pas en si bon chemin » ;
« T'as de la veine que je sois prêt à partir, je ne peux pas m'arrêter maintenant, on réglera ça tout à l'heure » me dit elle en reprenant sa gymnastique amoureuse.
C'est qu'elle y mettait de l'ardeur, et moi de voir et l'avant et l'arrière je n'allais pas tenir bien longtemps.
Dans un grand cri elle s'écrasa sur moi en tremblant de tout son corps, elle jouissait et moi je l'inondait intérieurement de longs jets de liqueur. Oh que c'était bon.
Nous sommes resté coucher l'un sur l'autre un long moment, elle reprenait ses esprits, moi je débandait doucement en elle.
« C'était bon, hein, surtout que j'avais envie de toi depuis le début de l'après midi, ma petite culotte en est témoin. Dis moi, c'est bien vrai, je n'ai pas rêvé, la webcam a bien filmé toute la scène. Tu n'as pas l'intention de te branler en nous regardant baiser. Tu me tromperais avec ma propre image ?
T'es bien sûr que le PC n'était pas en communication avec quelqu'un, tu parles d'une honte.Tu ne vas pas mettre ça sur un site porno amateur quand même ? »
« Je te l'ai dit, c'était à l'insu de mon plein gré et puis me branler en nous regardant baiser, ce serait complètement idiot quand on a l'original à domicile. Et puis soit tranquille le câble internet n'est pas brancher. Par contre envoyer la vidéo à un site amateur je n'y avais pas pensé. Elle est complètement anonyme cette séquence, on ne voit que ma bite et ton cul, jamais nos visages, qui pourrait nous reconnaître ? »
« On ne sais jamais, il, vaut mieux effacer tout ça »
« On ne sais jamais, on ne sais jamais, tu connais tant de monde que ça qui pourrait reconnaître ton cul sur une vidéo. J'espère qu'il n'y a que moi qui ai ce privilège ? »

Sans répondre à ma question, elle me dit tout en se relevant :
« Là il faut comme d'habitude après une bonne baise que j'aille faire pipi, ça devient urgent et ne me retiens pas cette fois »
Je la regardais s'enfuir se soulager, jupe toujours relevée, dandinant du popotin. Elle courait en serrant les cuisses pour retenir un pipi près à partir et aussi pour contenir mon foutre qui commençait à s'échapper le long de ses cuisses.
A peine était-elle entrée dans les toilettes que le bruit d'une véritable cataracte me parvint aux oreilles, je pense qu'il était temps et qu'elle n'a pas eu le loisir de s'asseoir, c'était clair, elle pissait debout et ça n'en finissait pas. J'étais presque frustré de ne pas assister au spectacle. Je dis presque car avec la dose que je lui avais administrée, je n'étais pas en mesure de remettre le couvert tout de suite. Je rangeais donc mon instrument luisant de mouille dans mon slip, (le nettoyage se fera avec la douche tout à l'heure) tandis qu'elle me criait de la salle de bain :
« Ben mon salaud qu'est que tu m'as mis, ça dégouline partout, c'est dégueulasse. Et dire qu'on est prête à faire des folies pour ça ».

Elle réapparut toute pimpante, elle avait remis de l'ordre dans sa tenue, son petit tailleur lui allait à merveille ; qu'elle est belle ma femme dans sa quarantaine épanouie, je la sauterai bien si ce n'était déjà fait.

« Tu me le sers ce verre que je t'ai demandé en arrivant du boulot tout à l'heure »

« Tout de suite mon amour. Par contre je crains qu'il n'y ai pas d'amuse-gueules, il n'y a plus de pistaches ».

NB : pistaches, fruit du pistachier. Quel beau nom d'arbuste pour les amateurs de jeux érotiques disons un peu spéciaux.

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