La Descente Aux Enfers
Carole.. Ce prénom me hantera à tout jamais !
Nous nous étions rencontrés entre deux rayons de livres à la bibliothèque de la ville de N. Elle sintéressais aux tatouages et moi à la Thaïlande, mon prochain voyage que je ne connaiterai jamais, mais cela je ne le savais pas encore
Je reluquai son cul moulé dans une jupe mi-cuisse, ses jambes gainées de collants épais noirs tout en feuilletant le guide asiatique. Nos regards se sont croisés et instinctivement le contact se fit sans attendre. Je linvitai à boire un verre, échangeâmes quelques banalités tandis que je sentais le désir monter en moi et
dans mon pantalon.. La surprise vint delle, glissant sa main sous la table pour venir me malaxer mon service trois pièces
je rougis, elle non et nous nous sommes vite retrouvés aux toilettes pour tirer un coup rapidement, à la sauvage ; cette coquine ne portait pas de culotte et ses bas autofixants me facilitèrent la tâche en la renversant sur la cuvette des chiottes en la pénétrant par derrière.. Tout en la limant elle fit jaillir ses seins de sa chemise et m encouragea à la défoncer plus violemment. Nous jouîmes ensemble après de trop courtes minutes, transpirant sous nos habits dhiver
Nous nous sommes revus, encore et encore et cela durant une année où lon passaient tous les week-end ensemble, tout en ayant gardé nos indépendances respectives la semaines. Carole aimait évoluer nue chez elle ou seulement parée dune paire de bas et de mules à talons qui rendait sa croupe forte attirante ; Sa chatte était épilée et gardait juste le fameux ticket de métro comme toison et me laissait admirer ses grandes lèvres dont elle avait un peu honte
Je me rasais également le pubis, comme elle et nous prenions beaucoup de plaisir à nous frotter lun à lautre pour commencer nos ébats
Jaimais lui lécher la vulve en titillant sa rosette toute lisse ; Elle aimait prendre mon phallus en bouche et samuser avec le gland avant de lavaler goulûment
Nous aimions faire lamour avec les rideaux ouverts en souriant quand certains voisins nous reluquaient de jalousie, de honte et dexcitation.
Nous nous nourissions de nos sexes, de notre sueur et de nos corps. Jadorais caresser ses jambes gainées de fin nylon que je finissais par déchirer ou abîmer avec mes ongles. Cela la faisait rager et me griffait à chaque fois pour me punir et à chaque fois que lon se revoyait je lui en offrait une nouvelle paire quelle sempressait denfiler. Jusquau jour où
Lors dune de ses rares absences, je découvris par hasard tous ces bas réunis dans un panier à linge à côté des toilettes ; Métant assis pour faire mes besoins je poussai par inadvertance le couvercle en osier tressé où tout ce nylon résidait. Je pris un bas au hasard, je mamusai à létendre et le détendre, à passer une main dedans, appréciant les motifs floraux qui ornent la partie fixante et me surpris moi-même à me caresser puis me masturber avec cet obscur objet qui suscite tant démotions chez les hommes. Le frottis que provoqua le nylon sur mon gland fût terriblement jouissif et jéjaculai dans la douleur en un jet de sperme violent qui aspergea mon visage de ma propre semence
Quand je voulus me relever du siège, je remarquai Carole sur le pas de la porte, les bras croisés, me fusillant du regard ; Visiblement, elle avait assisté à toute la scène
.A suivre
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