La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 412)
L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré Suite de l'épisode précédent N°411 -
Linfirmière fait le nécessaire pour redonner à lesclave une épilation intégrale correcte, nettoyant par la suite son intervention et recouvrant la peau dune crème onctueuse pour éviter les rougeurs et les irritations sur les peaux sensibles. Elle ordonne alors à Thaïs MDE de se lever et de se tenir prête près de la porte car le chauffeur ne devrait pas tarder, vu lheure. Thaïs MDE commence un peu à sangoisser dans sa tête, car linfirmière lui avait parlé la veille dune réunion professionnelle et elle est pour linstant encore nue, ne portant que son collier en métal permanent dont seul Le Maître Vénéré détient la clé, sa laisse de chienne-esclave et le plug qui lui pourfend le cul et dont elle ne peut ignorer la présence pénétrante. Elle se voit mal arriver dans les bureaux où ne travaillent pas que des soumis et soumises MDE, même si une partie des membres du personnel ont fini par le devenir par choix personnel, car Monsieur le Marquis dEvans a bien tenu à ne forcer aucun de ses employés en ce sens et à veiller à ce quil ny ait aucune discrimination possible à quelque niveau de la hiérarchie que ce soit entre ceux qui sont restés de simples salariés professionnels et ceux qui se sont voués à Lui corps et âme. Mais comme elle a une confiance absolue envers le Maître Vénéré, elle tente de se rassurer en se disant que ce dernier a dû prévoir le nécessaire pour son arrivée et quelle ne va pas surgir nue au milieu du personnel, voire des clients et autres prestataires de service qui déambulent dans les couloirs de limmense bulding, bien quelle pense quà cette heure matinale, les bureaux ne doivent pas encore être vraiment très animés.
Le chauffeur de lentreprise arrive à lheure pile pour prendre en charge celle quil doit conduire dans les bureaux de la Holding Financière. Il tape à la porte de linfirmerie que Mûriana MDE sempresse daller ouvrir.
- Bonjour Mûriana MDE.
- Bonjour Monsieur.
- Non pas « Monsieur » ! Je suis désolé, je nai pas pris le temps de me présenter. Je suis lun des soumis de Monsieur le Marquis dEvans et je réponds au nom donné par Le Maître de « car2MDE » quand je suis à Son service.
- Bonjour quand même, soumis car2MDE. Lesclave Thaïs MDE est là (dit-elle en lui présentant dun geste de la main la soumise qui attend à côté de la porte, debout avec la tête baissée).
- Très bien. Merci et bonne journée, soumise Mûriana MDE
- Bonne journée aussi, soumis car2MDE, et bonne route surtout.
Sans avoir perdu la moindre seconde à bavarder hormis cet échange de politesse, le chauffeur en livrée att la laisse de Thaïs MDE et file jusquau véhicule dun pas leste. Il installe la soumise sur la banquette arrière en cuir de la somptueuse voiture de fonction aux vitres teintées avec une vitre de séparation derrière le chauffeur pouvant coulisser. Thaïs MDE est déjà rassurée de voir quelle ne sera pas visible de lextérieur, car si elle avait pu voyager sans souci ligotée dans les petites routes peu fréquentées du Val de Loire dans la voiture conduite par Walter au retour du Château de M
.., elle se voyait mal arrivée en tenue dEve en centre-ville, en plein trafic urbain, où tout le monde dans les véhicules autour, sans parler des chauffeurs de bus ou de camions qui ont une vue plongeante, aurait pu apercevoir et soffusquer de sa nudité, illégale au demeurant. Le soumis car2MDE lui bande les yeux, ce qui surprend Thaïs MDE car elle connaît déjà, pour sy être rendue plusieurs fois directement, lemplacement des bureaux de Monsieur le Marquis dEvans. Cette privation des sens ajoute à sa confusion en se disant quaprès tout elle na aucune idée de lendroit où elle doit être amenée et quelle a peut-être fait des projections bien inutiles en simaginant quelle devait être conduite dans les bureaux de lentreprise à cette heure matinale. Elle ressent encore plus sa nudité lorsque le chauffeur lui attache les mains aux deux sangles qui se trouvent au-dessus de chaque porte arrière et surtout les pieds de part et dautre la forçant à garder les jambes et les cuisses grandes ouvertes, sans compter quil lui passe en sus la ceinture obligatoire qui se trouve sur le siège central ce qui achève de la plaquer immobile sur son siège.
- Le Maître, Monsieur le Marquis dEvans, qui semble bien connaître Sa chienne en chaleur, te fait dire que tu as intérêt à te débrouiller comme tu veux, mais quil serait préférable pour toi, si tu ne tiens pas à commencer la journée par une sérieuse punition adaptée, de ne pas tremper le siège en cuir de lune de ses prestigieuses voitures de fonction, dautant plus quIL a prévu ce soir de sen servir pour ramener au Château certains de ses Invités professionnels avec lesquels il est en pourparlers daffaires.
Cette remarque glace deffroi Thaïs MDE, qui ressent des choses si contradictoires, mais en tout premier lieu une véritable excitation qui humidifie son bas-ventre allant à lencontre de la « sécheresse » qui lui a été imposée. Elle voudrait serrer ses cuisses et ses lèvres intimes pour tenter de ne pas laisser sa cyprine couler, mais les liens qui la maintiennent les jambes écartées lempêchent de le faire. Le plug enfoncé dans son anus est aussi une gêne pour quelle tente de contracter ses muscles internes et externes. Elle se dit quelle doit absolument penser à autre chose, à quelque chose de neutre pour faire tomber son excitation, dautant plus rene quelle a su que la remarque venait du Maître Vénéré en personne. Elle commence à sinquiéter de ne pas pouvoir arriver à respecter ses exigences, et en même temps elle se sent honteuse et une peu perdue comme si cétait un reproche que le Maître lui avait adressé personnellement, bien que par personne interposée, lui faisant remarquer quelle est une chienne-femelle en chaleur souvent humide et coulante, dès quelle sent lexcitation sexuelle la gagner. Mais, elle ne sait pas contrôler la cyprine qui coule de son corps, pas plus que son eau de fontaine quand elle jouit, en tout cas pas encore
si tant est quelle puisse imaginer que cela soit humainement possible pour une femelle sensuelle.
Le voyage se passe dans la plus grande inconnue pour la soumise attachée et écartelée qui sent juste les mouvements de la voiture qui sest mise en route.
- Allez, la chienne, dépêche-toi ! Tu es attendue au plus tôt ! Tu sors de là immédiatement et tu restes debout car le sol de ce parking est en béton brut et il nest pas question que tu te salisses avant le rendez-vous en marchant à quatre pattes.
Thaïs MDE se rassure en se disant que cest plutôt bon signe pour elle quon veille à lui éviter de se salir avant sa réunion professionnelle, mais il lui semble quil aurait été plus simple de lui permettre de quitter le Château déjà vêtue et prête, ce qui lui aurait dailleurs évité de sinquiéter et de sexciter « inutilement » pendant tout le trajet au risque dauréoler le siège de la somptueuse voiture de fonction. Mais la soumise sait que les ordres du Maître Vénéré sont toujours réfléchis et incontestables au demeurant. car2MDE lui ôte son bandeau et lesclave est un peu étourdie de se retrouver dans la lumière pourtant atténuée de ce sous-sol, quelle identifie en une seule seconde pour sy être déjà garée, comme étant celui des buildings de la Holding de Monsieur le Marquis dEvans. Elle ne comprend donc pas à quoi pouvait bien servir la mise en scène du bandeau mais elle ne tarde pas à en percevoir au moins lune des raisons, ne sachant si cela était volontaire ou non.
- Et bien, la dégoutante, tu as vu dans quel état tu me laisses la voiture ! Tu ne mouilles pas, tu dégoulines carrément ! Tu as fait bien peu cas des mises en garde de Monsieur le Marquis dEvans, je me demande comment il peut tolérer à Ses pieds des chiennes qui bavent den bas sans la moindre gêne quand on ne leur permet pas de mouiller et surtout qui désobéissent à Ses ordres.
Thaïs MDE est honteuse de navoir pu empêcher sa nature de femelle et son corps de laisser transparaître son excitation. Et dun autre côté, elle a presque limpression quil naurait pas pu en être autrement et que Monsieur le Marquis dEvans savait très bien ce quil faisait lorsquIL a donné ses ordres et lui a imposé ce trajet en voiture, nue, pluguée et écartelée. Mais cest surtout la peur qui la prend lorsquelle commence à entendre des bruits de voiture lointain dans le parking, sûrement à dautres étages, mais elle prend conscience quelle est toujours nue et que le chauffeur qui a pris la laisse en mains la conduit vers lascenseur qui doit déboucher directement dans le grand hall du prestigieux building, comme cétait le cas lorsquelle-même avait dû se rendre dans ces lieux pour y rencontrer le Maître Vénéré. Son inquiétude va grandissante, malgré la grande confiance qui lhabite, ce qui peut paraître contradictoire et révélateur de lexcitation qui la gagne encore plus face à linconnu quelle ne « maîtrise » plus du tout, et pour cause puisquelle est devenue soumise et que la Maîtrise de sa vie revient au Maître Vénéré. Le chauffeur entre dans lascenseur et appuie sur le bouton « haut » de la cabine qui ne comprend que deux boutons « Haut » et « Bas » (ce que ne sait pas lesclave, cest quil sagit de lascenseur personnel du PDG, Monsieur le Marquis dEvans, qui dessert directement « lantichambre » de Ses bureaux de prestige avec son étage réservé dans les sous-sols, utilisé pour ses rendez-vous daffaires avec des businessman de haute importance qui peuvent ainsi le rejoindre directement sans avoir à passer comme le commun des mortels et le personnel par laccueil central du grand building.
Pendant que la cabine grimpe les étages, le chauffeur pose sur la tête de Thaïs MDE un masque, muni dun ball-gag, qui lui couvre à nouveau les yeux et quil sangle très serré derrière la tête de lesclave, ce qui accentue limpression de malaise mélangé avec un degré dexcitation qui va saccentuant. Il la fait sortir de lascenseur, fait quelques pas, franchi au moins deux portes quelle reconnait au bruit et oblige lesclave à se mettre à quatre pattes en levrette, ajustant lui-même la position pour quelle garde bien la tête penchée vers le sol et les jambes écartées. Thaïs MDE apprécie la douceur et lépaisseur de la moquette des lieux, mais elle se demande de plus en plus à quel type de réunion daffaires elle a été conviée sur ordre du Maître Vénéré. La chienne-esclave a limpression dentendre les bruits des pas du chauffeur qui séloigne, mais il ne lui a pas dit un mot de plus en partant. Le silence devient lourd et pesant, il semble à Thaïs MDE qui a perdu à nouveau la notion du temps, quil séternise au-delà du possible car elle commence à avoir les jambes engourdies, les genoux douloureux et les paumes des mains qui lui font mal à force dappuyer dessus. Elle se demande bien pourquoi le chauffeur lui avait dit en la faisant sortir de la voiture quelle était attendue au plus tôt, car visiblement personne ne lattendait et personne ne soccupe de sa présence. Elle se demande même si on ne la pas oublié dans un quelconque bureau. Et toujours ce silence assourdissant qui langoisse autant quil lexcite, car elle nose pas bouger dun millimètre, tout au plus respirer fortement car son cur bat à toute vitesse, se disant que les locaux sont munis de nombreuses caméras de surveillance et que le moindre de ses gestes doit être épié. Elle sait quelle devra déjà implorer Le Maître Vénéré pour avoir osé tâcher le siège en cuir de son véhicule de fonction espérant quil daignera la punir et lui pardonner, elle ne tient donc pas à accumuler les erreurs et préfère attendre encore et encore.
A un moment donné, très longtemps après (ce qui était calculé), Thaïs MDE sort de sa torpeur, elle croit entendre des bruits. Il lui semble que quelquun marche et respire autour delle. Elle finit par en être certaine lorsquelle sent une main qui se pose sur sa nuque et loblige à se courber pour mettre la tête au sol. Elle a sursauté de surprise mais par chance elle a su retenir les sons qui nauraient pas manqué de lui valoir une punition supplémentaire. Mais aucun mot nest prononcé et elle ne sait pas qui est entré dans la pièce. Elle voudrait au plus profond de son cur que ce soit Le Maître Vénéré, mais rien ne lui permet de pouvoir Lidentifier. Et dun autre côté, elle pense que si cétait Lui, il naurait pas tardé à lui faire des remontrances pour sa mouille laissée dans la somptueuse voiture, dautant plus quelle limagine plutôt occupé dans le cadre de ses pourparlers daffaires. Thaïs MDE sen veut de ne pouvoir sarrêter de réfléchir, de penser, dimaginer, de subodorer, de lancer plein de suppositions, au lieu de tout simplement lâcher prise et laisser faire, se laisser faire, juste obéir sans réfléchir à tous les ordres quelle recevra, ce à quoi de toute manière elle ne pourra sopposer. Deux fessées lourdement appuyées la sorte de ses pensées. La peau des fesses lui chauffe rapidement et vu la force avec laquelle la main sest abattue sur elle, elle reste persuadée quelle a gardé lempreinte rouge des deux mains avec la marque des dix doigts. La main se glisse dans la raie des fesses et vient se frayer un chemin dans sa caverne humide qui est remplie de cyprine. Il en récupère au passage comme lubrifiant naturel et la ramène tout autour de la petite rondelle qui frémit au contact des doigts inquisiteurs et au passage des boules du plug qui est retiré.
Toujours pas un seul mot de prononcé, lesclave ne peut donc songer à identifier la voix de celui quelle imagine comme étant un Homme vu la puissance des deux fessées quelle a reçu demblée comme « mise en bouche » pour la prévenir de son arrivée. Sans attendre, le Mâle phallique qui vient de sortir sa queue déjà bien gonflée et dure à souhait se glisse derrière la chienne-femelle en levrette, présente son gland contre son petit trou et force le passage, obligeant Thaïs MDE à serrer les dents le temps de la pénétration rendue moins douloureuse par le port du plug en métal et lexcitation qui a été savamment entretenue pendant de longues minutes dattente. Par de longs va et vient bestiaux, « lHomme » la laboure puissamment, pouvant maintenant senfoncer profondément dans le conduit étroit qui sest dilaté à souhait. Le Maître (car cest bien de Lui dont il sagit, même sIL a décidé de ne pas se laisser identifier) la possède pendant de longues minutes, prenant à pleine mains les deux hanches de la femelle pour accen encore plus ses coups de butoir saccadés. La chienne-femelle Thaïs MDE, de plus en plus en chaleur, a beaucoup de mal à retenir la montée du plaisir qui la submerge et elle craint datteindre un orgasme qui ne lui a pas été autorisée et que pourtant elle désire plus que tout avec cette sodomie qui la transporte dans un état dextase avancée. Au bout de longues minutes de ce traitement, « lHomme » (Monsieur Le Marquis dEvans pour les lecteurs qui peuvent être quant à eux dans la confidence) éjacule dans son fondement avec plusieurs grands « ahhhhhh » de jouissance phallique. Lesclave Thaïs MDE à qui il lui semblait avoir reconnu à plusieurs reprises les gestes et attitudes du Maître Vénéré lorsquIL décidait de la baiser en levrette est étonnée de ne pas reconnaître la voix (volontairement transformée) de Celui qui lencule, ce qui ajoute à sa confusion davoir pris autant de plaisirs charnels même si elle a dû retenir sa jouissance grâce à la subtile Queue dun inconnu.
Lesclave à lhabitude de devoir nettoyer la Queue du Maître maculé de Sa sublime semence, mélangée avec la cyprine de la chienne-femelle et elle sattend donc à ce que Celui qui vient de la sodomiser loblige à devoir le sucer avant de pouvoir se rhabiller en refermant son pantalon, ayant pu glisser dans le boxer un sexe propre
Mais rien ne se passe
. Et le silence sinstalle, comme si « Linconnu » après sêtre vidé sétait éclipsé. Thaïs MDE est dans un état de confusion totale, ayant perdu tous ses repères, nayant plus quà attendre la suite des événements
(A suivre
..)
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