La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 411)

L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré – Suite de l'épisode N°406 -

Tandis que l’après-midi s’avançait, et que Walter s’affairait dans toute la grande et somptueuse demeure pour préparer le retour en Son Château ancestral de Monsieur le Marquis d’Evans prévu pour le lendemain après-midi, l’esclave-soumise Thaïs MDE était restée se reposer à l’infirmerie avec l’autorisation du Majordome et sous la surveillance de l’infirmière à demeure du Château, Mûriana MDE, qui fait partie du cheptel comme tous les autres esclaves. Thaïs MDE était si épuisée après tant de sollicitations, de punitions, d’excitations, de jouissance même, qu’elle s’était endormie en moins d’une minute, malgré la gêne de la ceinture de chasteté et la présence des poireaux qu’elle avait toujours bien enfoncés dans le vagin et dans le cul.

C’est une sonnerie du téléphone retentissant au sein de l’infirmerie qui la fait sortir de ses rêves et de son sommeil, mais comme personne ne semble s’occuper d’elle, la soumise reste encore somnolente, profitant de chaque seconde de répit sans avoir la possibilité de savoir si elle s’est assoupie tout au plus 5 minutes ou plusieurs heures durant, car la lumière artificielle du dortoir réservé aux malades est toujours la même. Thaïs MDE se dit que de toute manière son temps ne lui appartient plus désormais et qu’elle apprendra bien assez vite l’heure qu’il est, peut être lorsqu’elle verra le Majordome venir la reprendre en mains. Elle se met à penser à sa condition d’esclave librement asservie et surtout au Maître Vénéré avec l’espoir de pouvoir le revoir bien vite si elle a la chance que le Châtelain exige sa présence réelle à Ses pieds dès son retour au Château. Mais elle sait aussi que Monsieur le Marquis d’Evans est très occupé par sa vie professionnelle et personnelle, et qu’elle n’est, comme tous les autres, qu’une des humbles esclaves soumises du cheptel ne pouvant donc que Lui appartenir avant tout en étant totalement à Sa disposition, mais sans pouvoir espérer mieux que d’avoir une toute petite place à partager à Ses pieds, tant que le Maître voudra bien la garder sous Son joug et poursuivre son éducation d’esclave-soumise.

Mûriana MDE qui a décroché le téléphone est restée silencieuse pendant quelque temps, écoutant visiblement son interlocuteur avec attention et Thaïs MDE qui n’est pas plus que cela curieuse ne cherche même pas à savoir quel est l’objet de l’appel qui ne semble pas la concerner, du moins c’est ce qu’elle croit dans un premier temps. C’est en entendant son nom prononcé par l’infirmière qu’elle se met là du coup à tendre l’oreille discrètement, comprenant aussi sec qu’elle est au centre de cet appel téléphonique. Mûriana MDE répond à Walter le Majordome.

- Oui, Monsieur Walter, j’ai pris bonne note de toutes vos consignes et je vais faire le nécessaire. Dois-je réveiller soumise Thaïs MDE qui semble encore dormir à cet instant ?

- (de l’autre côté de la ligne) Non, tu peux la laisser se reposer encore quelques minutes si besoin, mais ne tarde pas à lui enlever sa garniture de légumes, je tiens à ce que ses orifices aient le temps de se reposer avant demain et que tu les soignes pour les remettre en état le cas échéant, car je ne connais pas du tout les intentions de Monsieur le Marquis d’Evans à son sujet. Je n’ai reçu les instructions que de la part du sous-directeur administratif et juridique de la Holding Financière qui gère l’intégration et la reprise professionnelle de l’ancienne société gérée par celle qui devait se faire appeler « Madame la chef d’entreprise » et qui est devenue depuis peu une simple soumise MDE, du nom de Thaïs MDE, encore bien novice, une vulgaire chienne en chaleur qui n’a plus que le droit de se taire et de se plier aux exigences du Maître.

- Monsieur Walter, il sera fait comme vous me l’avez précisé, point par point. Et je vais m’occuper de faire en sorte que la soumise Thaïs MDE soit en pleine forme et prête à l’heure dite pour son départ en vue de son rendez-vous. Je vous souhaite une bonne fin de journée et je reste à votre entière disposition, Monsieur Walter, si besoin.

Thaïs MDE est de plus en plus intriguée et elle songe à ce qu’elle vient d’entendre « en pleine forme » et « prête pour son rendez-vous ». Elle se dit qu’à priori, elle n’avait pas de rendez-vous de prévu, enfin rien dont qui que ce soit lui ait parlé avant. Mais elle se dit aussi que vu sa nouvelle condition d’esclave-soumise, elle n’a qu’à obtempérer à tout ce qui lui est commandé au coup par coup et n’a pas besoin de s’occuper de planifier ses tâches, et à fortiori qu’elle n’a aucune raison d’être préalablement informée de ses éventuels rendez-vous qui lui seraient imposés sans qu’elle puisse s’y soustraire. Elle se met du coup à repenser à la société qu’elle gérait lorsqu’elle vivait encore sur Orléans se rendant compte qu’elle en était presque arrivée entre ces murs légendaires en plein milieu du Beaujolais à oublier en si peu de jours sa vie d’avant, sa vie vanille, sa vie personnelle, sa vie professionnelle, tout ce qui constituait son quotidien d’avant sa rencontre avec Le Maître Vénéré, la mise en place d’une relation D/s librement acceptée tant par le Dominant que par l’esclave lui ayant prêté un serment d’allégeance et lui appartenant depuis corps et âme. Elle songe aussi avec plaisir et gratitude à ce premier jour si symbolique où le Maître Vénéré lui avait posé autour du cou son premier collier de chienne-soumise en cuir, et aussi le jour où il a scellé son collier en métal qu’elle porte en permanence dorénavant. Parallèlement, soumise Mûriana MDE vient de raccrocher le téléphone et elle s’approche de Thaïs MDE qui a depuis ouvert les yeux, sûrement avec un petit brin de curiosité et d’inquiétude, même si elle se refuse à l’admettre au fond d’elle.

- Ah, tu étais déjà réveillée. Et bien, cela tombe bien ! Je vais m’occuper de toi. J’ai d’abord reçu l’autorisation de t’enlever ce que tu as entre les cuisses et de te débarrasser de tous ces légumes qui ont pris ta chatte et tes fesses pour un jardin potager. Je reconnais bien là la patte si spéciale de Madame Marie, la cuisinière du Château, mais il ne m’appartient pas de commenter plus avant la punition qui t’a été imposée et qui devait ment être méritée. Le dressage entre ces murs n’est pas toujours de tout repos surtout au début, mais dis-toi bien qu’il est très formateur et que cela te permet ainsi de progresser, de t’améliorer et de devenir une meilleure esclave-soumise prête à servir de son mieux Le Maître auquel nous appartenons tous et toutes, ce que tu dois désirer au plus profond de toi si tu es vraiment une soumise dans l’âme digne de ce nom.

Thaïs MDE hoche la tête pour confirmer qu’elle adhère entièrement à ces propos se disant qu’elle n’a pas reçu l’autorisation de parler. Même si elle avait entendu un peu plus tôt que les règles étaient assouplies à l’intérieur de l’infirmerie, elle pense que cela s’applique aux esclaves malades qui doivent être soignés et non pas à elle qui avait été juste « déposée » là, comme un vulgaire panier contenant une botte de poireaux, afin de libérer le Majordome pendant quelque temps pour qu’il puisse plus facilement vaquer à ses occupations, et accessoirement pour permettre à la soumise éprouvée de se reposer un tout petit peu. Mûriana MDE compose le code qui lui a été communiqué par le Majordome et qui permet de débloquer le cadenas de la ceinture de chasteté posé sur l’anneau qui passe autour de la taille de l’esclave-soumise. Elle l’ouvre et retire délicatement la ceinture en métal et cuir, ainsi que tous les poireaux trempés de cyprine et d’éjaculat féminin dans lequel Thaïs MDE baigne littéralement.

- Pour commencer, tu vas aller prendre une bonne douche, commence d’abord par te laver les cheveux et te savonner tout le corps, le visage que tu as maculé de sperme séché. Je vais venir m’occuper de ta toilette intime personnellement juste après, car il n’est pas question qu’il reste des petits morceaux de légumes à l’intérieur de tes orifices féminins. La salle de bains est juste à l’entrée sur la gauche. Je t’y rejoindrai dès que j’aurai fini de rédiger ce que je faisais avant le coup de téléphone de Monsieur Walter. Je pense que tu dois te sentir plus à l’aise maintenant sans ta verdure potagère. Et profite-en car l’eau de la douche de l’infirmerie est chaude, cela va t’aider à décontracter tes muscles, mais n’y prends pas trop goût car tu as dû constater que toutes les douches des cachots ne sont alimentées qu’en eau froide, tout comme celle de l’écurie et des chenils, ce qui fait un bon réveil matin pour un dressage sans complaisance, car cette demeure n’est pas un hôtel 4 étoiles qui serait mis à la disposition des dominés par Le Maître des Lieux, sinon il y aurait surpopulation au Château si Le Maître Vénéré offrait le luxe et le confort en plus du gîte et du couvert, sans parler du dressage enseigné et des plaisirs excitants D/s dont les dominé(e)s bénéficient grâce à la si grande bonté et la générosité sans pareille de Monsieur le Marquis d’Evans.

L’infirmière Mûriana MDE retourne s’affairer à son bureau tandis que la chienne-soumise Thaïs MDE se dirige à quatre pattes vers la salle de bains après qu’elle se soit essuyé l’entrejambe avec la serviette de toilette que lui a tendu l’infirmière, afin de ne pas risquer de laisser couler par terre ses liquides corporels féminins qui débordent et s’échappent encore de son entrecuisse trempé. Elle apprécie la sensation du jet du pommeau de douche sous lequel elle se glisse avec ravissement, prenant le temps de bien mouiller son corps qui lui semble si poisseux et si sale, encore couvert en partie des herbes du « bain de légumes » qui lui avait été administré par Marie la cuisinière et à la sortie duquel elle n’avait pas pu se laver, juste s’essuyer sommairement. A cela, s’ajoute les traces du sperme laissé sur son corps par l’esclave e6938 MDE qui avait été autorisé à jouir en profitant de l’esclave Thaïs MDE mis à sa disposition à titre de petite récompense et de réconfort pour son courage exemplaire lorsque le matin même, essai76 lui avait balancé en plein figure un uppercut qui lui avait fracturé l’os nasal. Thaïs MDE se dit cependant qu’elle ne sait pas si elle est vraiment autorisée à rester ainsi longuement sous le jet d’eau bien réconfortant sous lequel elle se sent revivre et reprendre des forces. De fait, elle se décide sans tarder à songer à se laver soigneusement appréciant déjà de pouvoir le faire. Sur ces entrefaites, l’infirmière entre dans la salle de bains.

- Pas encore terminé de te laver, j’ai même le sentiment que tu n’as pas encore commencé à te frotter avec le savon qui est pourtant bien visible dans la douche ! Et bien, tu devais être une sacré vraie bourgeoise qui n’avait pas besoin de compter les mètres cubes d’eau quand elle se lavait se souciant peu du coût de la facture à payer, sans parler même d’économie durable et de sauvegarde de la planète en danger. Si cela se trouve, tu devais même très souvent te prélasser dans des bains relaxants remplis à ras-bord. C’est fini, cette vie-là de petite princesse, et c’est toi qui l’as voulu ainsi après tout. Quant à Monsieur le Marquis d’Evans, c’est bien mal le servir que de lui imposer de devoir payer en cubage onéreux tes goûts de luxe quand tu te prélasses sous l’eau à ne rien faire, et ce juste par plaisir.

Thaïs MDE referme sans attendre le robinet d’eau chaude qui coule encore. Elle baisse la tête sachant très bien qu’elle a dû rougir de honte, très gênée et aussi fortement culpabilisée par les propos si justifiés de l’infirmière. Elle s’en veut d’avoir céder à son envie de se délasser au maximum après tant d’épreuves sans songer avant tout à ce qu’elle devait faire en tant que simple esclave au service du Maître Vénéré. Elle se rappelle aussi effectivement les heures passées dans sa salle de bains pour entretenir son corps de femme et les longs moments où elle restait allongée dans sa baignoire pour se relaxer et se déstresser, se plongeant dans des huiles essentielles et des bains soyeux qui lui laissaient la peau toute douce. Elle sait cependant qu’elle a décidé, de son plein gré et sans regrets, de renoncer au confort de sa vie vanille pour découvrir ce monde merveilleux qui l’attirait car elle portait en elle des désirs de soumission depuis sa plus tendre enfance. Elle est consciente que c’est elle qui a choisi librement de pouvoir vivre une relation D/s afin d’avoir la chance de devenir la soumise asservie qu’elle rêvait d’être dans son for intérieur depuis si longtemps. Alors, elle s’empresse de frotter son corps à mains nues avec le savon de Marseille qui est sur le porte-savon, se trouvant déjà bien contente de trouver au moins un produit sain pour se laver.

L’esclave songe à ce qu’avait dit quelques minutes plus tôt Mûriana MDE lui indiquant qu’elle allait se charger elle-même de sa toilette intime. Thaïs MDE n’a pas de pudeur excessive, bien qu’elle ne soit pas non plus de type exhibitionniste. Devant Le Maître Vénéré, elle a pris l’habitude d’accepter son corps, ses formes plantureuses et sa nudité imposée presque en permanence en Sa présence et plus particulièrement depuis son arrivée au Château, mais elle aurait autant aimé pouvoir se laver la chatte et les fesses toute seule, surtout qu’elle sent bien que les poireaux dont elle avait été affublée et qu’elle a porté honteuse et contrite pendant plusieurs heures, dans le cul et le con, ont du laisser de nombreux morceaux collés dans tous les coins. Elle sait aussi qu’il n’est pas question de s’opposer à une exigence de l’infirmière qui en l’espèce ne doit faire qu’appliquer les ordres qu’elle-même a reçus du Majordome, et qu’il s’agit donc avant tout d’obéir au Maître Vénéré et à ceux à qui il a délégué Son autorité de Dominant en Son absence. C’est donc par pure soumission qu’elle laisse Mûriana MDE lui administrer une douche vaginale suivie d’un premier lavement anal qui enlève le plus gros, opérations renouvelées plusieurs fois jusqu’à ce que l’infirmière soit assurée que tout est bien nettoyé à l’intérieur du vagin et du conduit plus étroit qui avait été enculé par un poireau cru qui portait encore ses racines chevelues au bout.

L’infirmière s’occupe ensuite de soigner Thaïs MDE qu’elle a fait s’installer sur un lit propre, lui mettant de la crème protectrice sur les peaux sensibles irritées et aussi sur les traces visibles des coups de cravache qui n’ont pas manqués de tomber sur son postérieur depuis son arrivée au Château. La soumise apprécie ses gestes agréables, sentant bien souvent la main de l’infirmière qui s’égare dans son intimité profondément ce qui ne manque pas de la faire lubrifier à nouveau. Elle voudrait pouvoir parler et remercier Mûriana MDE qui prend soin d’elle avec délicatesse et gourmandise, mais elle n’ose pas enfreindre la loi du silence imposée aux esclaves, se contentant d’afficher un sourire radieux tout en se demandant toujours ce que pouvaient bien vouloir dire ce qu’elle avait entendu un peu plus tôt dans la conversation téléphonique entre le Majordome et l’infirmière qui avait confirmé qu’elle ferait le nécessaire pour que Thaïs MDE soit « en pleine forme » et « prête pour son rendez-vous ».

Thaïs MDE se demande si « en pleine forme » voulait dire « déjà chaude et excitée » tant elle sent la main de l’infirmière qui s’active maintenant autour de son clitoris et entre ses lèvres vaginales, faisant s’imprégner la crème de soins en la massant de plus en plus profondément à l’intérieur de son vagin humide et aussi s’enfonçant d’un doigt dans son anus pour masser la corolle et le rectum un peu irrité par le passage du poireau bien peu adapté dans sa texture pour tenir lieu de gode. La petite douleur des doigts qui passent sur une peau devenue sensible par les pénétrations es est largement compensée par une excitation croissante que l’esclave a du mal à contenir. Pour être autant choyée avec délicatesse par Mûriana MDE, l’esclave docile s’attend donc à devoir servir sous peu de simple objet sexuel pour une Queue de renom, peut-être un ami personnel du Maître Vénéré entre les mains de qui elle sera remise, car elle se doute bien que jamais le Majordome n’aurait pris autant de précautions pour la sauter lui-même ou la goder sans ménagement, d’autant plus que jusque-là il lui avait plutôt seulement caressé la couenne de ses instruments cinglants et baisé la bouche en se faisant sucer sur ordre. L’infirmière reste toujours silencieuse et Thaïs MDE se dit que visiblement cette dernière n’a pas reçu l’autorisation d’informer l’esclave de la suite des événements, alors tel un pantin qui se laisse manipuler sans réagir, Thaïs MDE se plie non sans y trouver un certain plaisir sensuel et une excitation charnelle à tous les « soins » qui lui sont prodigués, soins sensuels autant que soins corporels. La soumise aimerait bien pouvoir jouir après tant de caresses sulfureuses mais elle constate que Mûriana MDE retire ses doigts sans lui porter la moindre attention, file se nettoyer les mains dans la salle de bains et s’approche à nouveau.

- Voilà, j’ai terminé. Il fallait que je remette un peu d’ordre et de propreté dans toute ton intimité. Ce soir, tu vas rester à l’infirmerie pour te reposer. Tu auras même le droit de manger normalement à mes côtés, car on nous servira deux repas exceptionnellement directement ici.

Thaïs MDE écoute avec attention craignant d’oublier une des consignes qui lui serait indiquée, ce qui lui vaudrait une punition supplémentaire et surtout le courroux du Maître Vénéré si tel était le cas. L’infirmière reprend.

- Demain matin, un des chauffeurs de l’entreprise viendra te chercher pour une réunion professionnelle qui vient de s’organiser concernant la petite société que tu avais créé et qui a été reprise par la Holding de Monsieur le Marquis d’Evans. Tu dois être en pleine forme pour demain et avoir retrouver toutes tes capacités intellectuelles, c’est pour cela que tu viens d’être autorisée à pouvoir te reposer ce soir dans ce dortoir sans devoir être contrainte de retourner dans ton cachot habituel. Monsieur Walter pense que tu as eu deux journées de dressage déjà assez éprouvantes. Profite-en donc pour bien te reposer ce soir et réveil demain à 6H du matin.

La soirée et la nuit se passent sans faits notables. Et c’est donc vers 6h du matin que l’esclave Thaïs MDE se lève pour prendre un petit déjeuner simple et frugal, mais suffisamment consistant et équilibré pour qu’elle n’ait pas faim de toute la matinée. Elle est autorisée à passer par la salle de bains pour se laver le corps, le visage, les dents, appréciant une fois de plus l’eau chaude de la douche, mais ayant bien enregistré la réflexion de la veille, elle ne fait couler le robinet que le temps de se mouiller pour pouvoir se savonner et plus tard le temps de se rincer. L’infirmière lui ordonne ensuite de se faire trois lavements successifs pour pouvoir être propre de l’intérieur côté pile, et juste après l’ayant à se courber en deux pour lui entrouvrir largement la raie des fesses de haut en bas et vérifier l’état de propreté de son anus, Mûriana MDE lui pose (et lui impose) un long plug en métal constitué de trois boules successives de taille croissante, portant à l’extérieur un cabochon en émail avec les Armoiries de la Noble Famille des Evans. Thaïs MDE se sent pénétrée profondément entre les fesses et elle se demande comment elle va tenir toute la matinée, voire toute la journée, en devant rester assise avec cet engin qui lui rentre dans le cul. A la demande du Maître Vénéré, elle avait souvent dû porter un plug, le plus souvent un simple petit rosebud en tant que bijou anal, et ce pendant de longues heures durant, mais jamais dans un contexte professionnel et dans le cadre d’une réunion de travail assise autour d’une table, se doutant qu’elle va sûrement devoir rester concentrée et parler de son activité en lien avec la société qu’elle a créé et qu’elle vient de céder en quasi-totalité. Mais elle se dit qu’elle doit accepter cette épreuve comme une marque supplémentaire de la présence en son fondement du Maître Vénéré et de l’emprise qu’IL entend exercer à tout moment sur le corps dont IL a pris possession. Thaïs MDE se doute qu’il doit s’agir en la matière d’une directive du Maître en personne, dont elle ne sait d’ailleurs pas le moins du monde s’il est prévu qu’il assiste à cette réunion, ou s’il s’agit d’un simple rendez-vous auquel elle a été convoquée pour répondre à diverses questions d’un simple collaborateur et lui donner plus de précisions sur son activité qu’elle a quitté presque à la va-vite pour rejoindre le Château du Marquis d’Evans pour un dressage intensif, répondant aux exigences du Maître en tous points.

La soumise, qui n’a pas perdu de temps à rêvasser ou à se préoccuper de ce qui va l’attendre, est prête, lavée, essuyée, mais toujours nue, pas maquillée, ni habillée, n’ayant reçu aucun ordre précis en ce sens, autre que celui de se presser et de sortir de la salle de bains dès qu’elle aurait terminé sans se remettre à quatre pattes pour ne pas se salir. Elle s’approche de l’infirmière qui a commencé par faire le tour des trois malades qui ont également passé la nuit dans le dortoir de l’infirmerie, dont deux sont grippés et fiévreux et le troisième est l’esclave e6938MDE plâtré au niveau du nez. Thaïs MDE n’ose pas interrompre Mûriana MDE qui est en train de prendre la température du premier chien-soumis alité et elle ne sait pas non plus ce qu’elle doit faire et comment elle doit se comporter devant l’infirmière à l’instant présent qui est aussi une esclave et si elle aurait dû songer à venir s’incliner, voire s’agenouiller, ou pas en sa présence. Elle opte pour une position d’attente plus traditionnelle, restant debout le dos bien droit et les jambes semi-écartées, baissant juste la tête respectueusement en mettant les mains dans le dos. L’infirmière termine d’inspecter le premier malade se souciant fort peu de la présence de Thaïs MDE comme si elle ne l’avait pas vu arriver ou plus simplement comme si elle ne voulait pas être dérangée dans sa tâche. Ce n’est donc que plusieurs minutes plus tard après en avoir terminé avec le premier malade alité qu’elle se retourne vers l’esclave.

- Laisse-moi t’inspecter pour que je vérifie si tu es prête et totalement propre et convenable pour ta sortie.

L’infirmière se nettoie les mains et se passe du produit antibactérien avant de tirer sur les lèvres de Thaïs MDE pour lui regarder les dents et les gencives, comme on l’aurait fait d’un cheval à la vente. L’esclave se sent humiliée d’être ainsi inspectée avec des gestes brusques déshumanisants, qui sont en contradiction avec ceux de la veille lorsque Mûriana MDE s’occupait de soigner ses parties intimes avec tant de délicatesse et de doigté. Puis l’infirmière force l’esclave à se tourner sur elle-même pour la regarder sous chaque couture, n’hésitant pas à lui attr une jambe pour la lever et vérifier l’état de sa chatte.

- Non, cela ne va pas ! Tu n’es pas fraîchement épilée. Ce n’est pas ta faute, car je ne t’ai pas donné ce qu’il fallait et j’aurai dû y songer plus tôt. Alors allonge-toi sur le lit vite fait, je vais remédier à ce petit défaut, car jamais Monsieur le Marquis d’Evans n’acceptera de te voir arriver dans cet état avec de petits pics de poils de repousse qui dépassent et qui te font ressembler à une brosse à récurer au lieu de laisser ta chatte et ton pubis glabre et soyeux au toucher…

(A suivre…)