Blanchette Et Les Sept Personnes De Petite Taille.
Je mappelle Blanchette au moment où je commence à vous raconter ce quil mest arrivé, je suis au volant de la voiture du souteneur qui avait décidé de me faire travailler dans les bas-fonds de la ville de Toulon.
À vingt ans, il y avait bien longtemps que je nétais plus vierge ayant vécu dans les quartiers nord de Marseille où la loi du plus fort était souvent la règle même pour une fille.
Pour être tranquille avec les garçons de notre bande, je moccupais de leur verge chacun leur tour et je les tenais par la peau des couilles. Le premier qui me manquait de respect ne pouvait pas venir me retrouver dans mon lit pendant un mois.
Avec cette méthode, je vivais heureuse dans notre cité.
Quand Tonio un bel Italien sest arrêté avec sa Porche et quil ma demandé si je connaissais Djino, le pizzaiolo, jétais incapable de lui dire si celui qui travaillait sur la place sappelait par ce nom.
Ne connaissant pas la cité, il ma demandé de monter avec lui et de me guider jusquà lui
Nous navions pas fait cent mètres sur les cinq cents qui devaient nous conduire à la place quil mavait déjà dit que jétais très belle.
Pourquoi me méfier alors que je suis une bombe depuis que mes seins ont pointé leurs grosses fraises sous mon débardeur ne mettant jamais de soutien lolos ?
Ma chevelure blonde de même couleur que le duvet de ma chatte faisait partie des choses qui faisaient bander mes copains.
Après avoir garé sa voiture, il ma proposé de venir manger une pizza avec lui.
Mes parents nétaient pas riches et leur faire économiser un repas ne les ennuieraient pas.
Je lai vu parler au pizzaiolo et téléphoné en me regardant.
Le repas terminé, il ma proposé avant de me raccompagner devant mon immeuble de me faire un tour avec sa voiture et me faire voir, comment elle filait lorsquil appuyait sur le champignon.
Avec la vieille 4L toute défoncée que je métais acheté lété dernier après avoir vendu des glaces aux touristes.
Cest sûr, elle crachait sa voiture et lorsquil sest arrêté pour faire cracher son sexe en moi, nayant jamais eu dhomme aussi beau que cet Italien. Jai accepté de sortir de la voiture trop exiguë pour une petite baise et le laisser me prendre les bras en croix sur le capot tout chaud de son bolide.
Un bolide va vite mais mon italien encore plus vite, il y avait un homme bien connu qui se vantait de faire cela en cinq minutes douche compris.
Je venais de trouver mieux sauf la douche que nous navions pas.
Jai eu une petite envie et je lui ai demandé de mattendre le temps que je la satisfasse.
Jallais me baiser derrière un arbre lorsquune vipère a filé près de moi.
Je me suis déplacé sans me rendre compte, je me rapprochais de la voiture.
Lhomme était en train de téléphoner avec son portable et la conversation quil tenait avait beaucoup dintérêt pour moi.
Il était ni plus ni moins en train de me vendre au patron dun bordel clandestin Toulonnais. Il a même ajouté que javais un joli coup de rein et que les marins feraient la queue pour se vider en moi.
Alors quil venait de raccrocher et quil sétait un peu éloigné de la voiture pour piser un petit boc, jai fait la seule chose que je devais faire.
Jai sauté au volant et jai démarré pied au plancher.
Je lai vu courir derrière la voiture et avec ses chaussures faites pour frimer, je lai vu sétaler de tout son long.
Dès que je ne lai plus vu, jai levé le pied même si le bolide que je conduisais me chauffait la chatte chaque fois que jappuyais.
Je cherchais à rejoindre Marseille mais un moment jétais dans une forêt complètement perdue.
La nuit tombait et dun seul coup un sanglier est passé devant la voiture.
Jai freiné mais elle est partie en dérapage et puis rideau adieu la vie.
La nuit est tombée sur moi et jai vu un long tunnel blanc venir vers moi.
Lorsque je suis revenu à moi, en ressortant le tunnel blanc, je me suis aperçu que jétais dans un lit nu. Jai voulu bouger mais une douleur est venu de mon épaule.
Jai regardé et elle était bandée.
Jétais dans une chambre dans un grand lit et entouré de meubles en bois fabriqué maison.
Je minterrogeais et dun coup la voiture en dérapage mest revenue en mémoire.
Quelquun avait dû me trouver et me soigner.
Je devais être mal réveillé ou carrément encore dans les vapes lorsquune tête mest apparue dans le chambranle de ma porte ouverte de la chambre.
Cela ne pouvait pa être une tête car ce que javais vu une fraction de seconde était à la hauteur de la serrure de cette porte.
Je devais devenir folle lorsque jai vu entrer à petits pas, un, deux, trois, quatre, cinq, six et la première tête, sept nains.
Le premier semblait être le chef et est venu me dire quil mavait trouvé la tête dans une bauge de sanglier. Javais la tête presque sous leau stagnante après avoir été éjecté par la portière qui sétait ouverte.
Il sest présenté, je mappelle « Prof » et jessaye de gérer cette bande de bon à rien que sont mes frères.
Moi nos parents mont appelé « Joyeux » car tout le temps de votre séjour je vous ferais rire.
Il faut que je lui dise mon nom Prof ?
Non, « Grincheux » la dame a bien compris qui tu es.
Moi, je suis « Timide ». Jai peur dune belle dame comme vous.
Mes frères ont fait des conquêtes moi jamais.
Prof, vous avez encore laissé la fenêtre ouverte, je vais prendre froid.
« Atchoum », va-la fermer toi-même.
La dame est bien gentille mais quand allons-nous aller au lit, la journée de travail ma épuisé et je manque de sommeil.
Madame, vous comprenez pourquoi mes parents lont appelé « Dormeur, » nous narrivons jamais à le réveiller le matin pour partir au bois.
Je lui demande et toi qui es-tu ?
« Cest moi » a été sa seule réponse.
Une fois de plus Prof est venu au secours de son frère. Il sappelle « Simplet ».
Je demande à Prof qui mavait déshabillé et pourquoi jétais nue ?
Il ma expliqué qualors quil suivait un papillon, Simplet est venu les avertir quune dame gisait dans la boue à quelques kilomètres de chez nous. Ils étaient venus rapidement car leur pauvre frère était incapable dinventer une telle histoire.
Lorsquils mont vu et sorti de mon trou. Grincheux et Joyeux sont retournés à la maison chercher le chariot à roulette que jai fabriqué après en avoir dessiné les plans pour que Simplet samuse lorsque nous travaillons.
Cest toujours moi qui dois me déplacer lorsquil y a un problème.
Moi cela ma amusé de tiré jusquici.
On peut comprendre tout de suite qui vient de sexprimer.
On a eu du mal à te déshabiller pour te mettre dans le bac à douche. Nos parents qui ont construit la maison nétaient pas de petite taille et ne sattendaient pas à avoir sept nabots comme nous.
Nous tavons lavé.
Je tai coiffé me dit Dormeur, jai réussi à bien te brosser sans mendormir tellement, tu es belle.
Pour te monter dans le lit de nos parents, nous nous sommes tous mis et jai pu te soigner.
Simplet a tenu à me faire un compliment en me disant quil avait vu ma chatte comme celle quil voyait sur les sites pornos sur Internet.
Incroyable, javais envie de me pincer si je ne rêvais pas. Ces petits hommes avaient bien su soccuper de moi.
Jai ressenti le besoin daller au petit coin. Prof ma montré la porte de la salle de bains et sur un ordre, les sept frères se sont retournés. Non, six, car Simplet est resté à me regarder allant même jusquà la porte en disant quelle était belle la dame.
Lorsque je suis revenu vers mon lit, je leur dis quils pouvaient mappeler « Blanchette » et que je ferai tout pour les remercier.
Jai demandé à Prof où étaient mes affaires ?
Lui qui depuis que je le connaissais était toujours sûr de, lui avait lair très gêné.
À force de lui demander de sexpliquer, il a fini par me dire quils avaient demandé Simplet de faire tremper mes affaires couvertes de boue. Il avait tellement chargé de bois sous la lessiveuse, que la température avait tout fait rétrécir et quils nétaient pas possibles queux-mêmes les mettent.
Ils ne restaient même pas daffaire de ses parents car ils ont tout donné à un cousin et une cousine.
Jétais coincé. Chez moi, jaimais me promener nue comme je navais pas daffaire, jai pensé prendre un drap. Javais envie de les aider alors, cest à poil que jai commencé à tourner dans la maison.
Les aider, cétait impossible la maison était une vraie bonbonnière et lorsque je suis revenu dans ma chambre, mon lit était fait.
Je suis retourné dans la cuisine et le couvert était mis. Nous venions de manger ma soupe lorsque jai senti que lon me caressait la chatte. Jai cru quils avaient un chat qui me frôlait avec sa queue mais en baisant la tête, jai vu Simplet qui me caressait.
Il savait y faire avec mon clitoris, jétais à deux doigts de la jouissance lorsque Prof voyant que quelque chose marrivait et ne voyant pas son frère lui a demandé de ne pas ennuyer la dame.
Quelque con ce Prof, depuis que lItalien mavait couché sur le capot de sa Porche et ne sachant pas combien de temps jétais resté dans les vapes ma vulve habituée à retrouver les copains commençait à avoir faim.
Aussitôt la cuisine rangée, ils sont allés se coucher. Mes aventures les avaient retardés pour préparer la commande de bois qui leur avait été passée.
Je dormais lorsque dans la nuit, jai eu limpression quune chose se glissait sous mes draps.
Intrigué jai passé ma main et jai saisi un bâton dune taille que je navais jamais vue.
Lun des sept frères avait décidé de venir mhonorer et arrivait avec des arguments plus que convaincants.
Que faire, le repousser ou me laisser faire ?
Très vite ma chatte a choisi pour moi et jai écarté les cuisses pour le diriger en moi ; mon vagin était totalement trempé comme si un torrent en sortait. Dès que ce véritable manche de pioche ma perforé, jétais tellement rempli quun orgasme est arrivé venant le long de ma colonne vertébrale.
Jassure que je me souviens de ce premier orgasme mais tous ceux qui ont suivi mont laissé pantelante. Les cris de plaisir que ce petit homme me procurait ont dû sentendre dans toutes les chambres des autres frères.
Le sperme quil a propulsé en moi conjugué à ma mouille, on fait que jai senti que mon vagin était dans limpossibilité de tout garder.
Je me suis endormi et lorsque je me suis réveillé, javais Simplet dans mes bras, qui dormait satisfait de ce que nous avions fait ensemble.
Je ne croyais pas ce que cétait lui qui possédait une verge de cette envergure et en soulevant le drap force a été de constater que je navais pas rêvé et quil était monté comme un taureau.
Je me suis levé et lorsque jai rejoint la cuisine, ils étaient tous au bois pour travailler.
Sur la table deux petits déjeuners nous attendaient.
Jai beaucoup apprécié les beaux sentiments et la solidarité quils y avaient entre les frères et surtout avec Simplet à qui il manquait quelque chose mais certainement pas dans son pantalon.
Il est venu sur la chaise à côté de moi comme si son cerveau ne se souvenait plus que nous avions baisé ensemble.
Notre café bu, je me suis agenouillée et jai ressorti lobjet de mes envies.
Je lai sucé en ayant du mal à mettre son gland dans ma bouche. Il a bandé rapidement et quelques minutes après javais la même quantité de sperme à avaler que le bol de café qui mavait empli lestomac.
Jai fait notre vaisselle et de nouveau, il était derrière moi à membrasser les fesses sa verge tendue.
Je lai un peu grondé et il a rentré son matériel.
Il ma pris la main et ma entraîné dehors. Il faisait beau et il ma guidé jusquau chantier de ses frères.
Jétais nue mais la chaleur de cette forêt ne mincitait pas à me couvrir.
À quelques mètres de lendroit où ils travaillaient jai entendu le bruit des tronçonneuses et des cognées.
Ils ne chaumaient pas et je comprenais pourquoi Prof les couchait de bonne heure le soir.
Je me suis assise sur une souche et une grande partie du temps, je me suis régalé à les voir travailler comme de vraies fourmis.
La nuit daprès, jespérais que Simplet allait venir me voir.
Il la fait et bien fait me faisant jouir aussi fort, voire plus fort que le premier jour.
Tout se passait bien lorsque jai senti le drap se soulever créant un léger mouvement de vent et que jai clairement entendu éternuer. Dans le même temps le pieu considérable de la veille se retrouvait dans ma main.
Le premier qui devait être Atchoum sest couché sur le dos et ma attiré pour me pénétrer par la chatte pendant que monsieur grosse verge me défonçait littéralement lanus en me sodomisant comme jamais personne ne mavait déchiré.
Êtres pris par deux bites gros format étaient formidables et je ne regrettais pas mon accident surtout que mon épaule me faisait de moins en moins mal. Je jouissais de plus en plus et de plus en plus fort et toute douleur devenait un plaisir.
Ce qui était divin, cétait de sentir ses deux bites se frotter sur ma paroi intime entre mon vagin et mon anus. Rapidement jai senti les petites terminaisons nerveuses de cette paroi séchauffer et maidais à avoir une jouissance extrême.
Jespérais bien recommencer une double pénétration le plus rapidement possible.
Mon corps était trempé et naspirait quà jouir et à avoir des orgasmes.
Lorsque je me suis réveillé comme hier seul Simplet dormait dans mes bras. Je lai laissé dormir et jai rejoint ses frères sur leur lieu de travail.
À partir de ce moment, trouvant certainement quil leur fallait attendre trop longtemps pour pouvoir me pénétrer. Que leur sexe hyper tendu les gênait dans leur pantalon pour travailler. Chaque fois que lun deux en sentait lenvie, me prenait sur une couverture quils apportaient pour déjeuner le midi et où je me prélassais en les attendant.
Jamais mon corps ne mavait plus appartenu car les coups de boutoir que je prenais dans la journée navaient dégale que ceux que mon bel amant de la nuit venait me donner.
Après Simplet, le dernier des sept frères le mieux monté cétait Prof qui pour autant ne me donnait pas autant de plaisir que son petit frère.
Un après-midi où mon corps avait été dévasté toute la nuit par mon amant préféré. Atchoum, Dormeur et Joyeux ont commencé à soccuper de moi. Atchoum ma pris lanus en me plaçant sur lui, Dormeur est venu investir ma chatte et Joyeux me la mise dans la bouche.
Voyant cela, Prof ma placé la sienne dans une main. Grincheux maugréait car on ne lui avait pas laissé ma chatte alors je lai empoigné avec lautre main.
Seul Timide, qui était assis sur une souche, regardait nosant approcher.
Même là moccupant et réussissant à satisfaire cinq verges en même temps, je nai pas aussi bien joui quavec celle de Simplet qui nétait pas là certainement en train de courir après un papillon.
Jétais contente car il rechargeait, ses batteries pour mieux venir me prendre toujours la nuit dune façon ingénieuse toujours différente qui me transportait plus loin sur le chemin de nos plaisirs réciproques.
Lorsque je redescendrai vers Marseille, il faudra que je trouve un producteur de films X et que nous fassions tous les deux la série de films pornos. « Blanchette se fait prendre par son nain préféré. » « Blanchette se fait sodomiser par son amant Simplet ».
Pendant trois semaines mon corps, plus ils lui en donnaient et plus ils en demandaient. Ils lui ont fait passer des moments inoubliables pour le restant de ma vie.
Dun coup, une tache blanche est apparue et une jeune femme avec une blouse blanche sest mise à me demander si jétais là. Elle recommençait toujours la même phrase à men donner mal à la tête
Quelle idiote, je ne peux pas être là car je suis avec les sept frères dans la forêt.
Lorsque je suis sortie trois semaines après laccident que javais eu avec la Porche en percutant un sanglier. La police la retrouvé mort dans le fossé.
Je suis allé prendre ma 4L, Jai recherché lendroit où le maquereau Italien ma prise sur le capot pour repartir de ce point et pour rechercher la route que javais suivie.
Javais envie de retrouver la maison où jai été heureuse et surtout retrouver le petit Simplet.
Dix ans plus tard, je nai pas retrouvé Simplet mais Adrien qui est devenu mon mari.
Il habitait comme moi les quartiers nord de Marseille et à comme particularité en plus dêtre ingénieur dans une usine de raffinage de Fos-sur-mer de mesurer 1 m 20 et être monté comme mon amant perdu dun sexe qui me comble chaque fois quil me prend.
Son pieu ma fait deux s un garçon qui a 10 ans mesure déjà 1 m 71. Et une fille véritable petite poupée aussi blonde que sa maman qui mesure 60 cm.
Jy fais très attention de peur quon ne me la casse.
Peut-être que ce sera elle qui retrouvera les frères que je ne regrette plus depuis mon mariage avec Adrien, lhomme que jaime.
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