Brèves Images Clitoridiennes
Brèves images clitoridien
Je lui écarte ses jambes, tout doucement, admirant cette offrande. Grande ouverte comme un calice dune fleur exotique, couleur rouge-vif, bordures de lèvres généreuses, assombries, presquébène. Pourtant, elle, la femme est blonde, type caucasienne.
Jhume ce plaisir, enivrant je titille les pétales, humm, délicieux ! Je les étire plus, les petits lèvres se décapuchonnent, replis tirés, faisant place à un développent spectaculaire, glandouillant, la petit excroissance de sa ptite bite femelle. Il grossit sous les caresses buccales, languie davantage, soins prodiges.
Lencerclant avec la point de langue, il se ravi de son existence, en demandant plus encore : «Je suis le roi et las du jeu ! Tu es mon souverain ! Réclame-t-il », puis : « Le jeu commence ! Vive le jeu ! »
Oui cette petite tigette me parle. Il me parle dun langage colorant, il se gorge de sang, il fait chanter la suppliante porteuse, il se présente comme premier atout. Fièrement dressé devant moi, il va se ressourcer dans le bonheur. Mes mains cherchent alors de bouger ses racines jusquau leur naissance, pubis fut massé de main ferme, à atteindre sa racine.
Pas un seul poile qui gène le mouvement pétrifiant son mont de vénus. Juste un petit abandon, linstant de faire parcourir la langue au sanctuaire voisin, festoyant lantre, la paume dune main effleure bourgeon, rotonde dessus, juste ce quil apprécie. Puis les nouvelles succions, salternent aux pressions entre deux doigts, le mordillant délicatement. Je le mouille par la cyprine, sortant comme convulsé, sous pression de son antre.
Quelques instants suivirent dabreuvement de son miel, humm, humm. Jhumidifie une partie son mont de vénus, pour lhuiler son appendice me jetant un regard arrogant, il se pourvoi comme centre de plaisir, commanda lentrain incessant, sons aigues ahurissement audibles, chancelâtes épannent cantates. Le convoi est annoncé
en route
retour plus possible, infaillible.
Son tsunami me pourvoi dune fontaine en plein figure. Une idée me fusse utile pour perdurer son cyclone terrifiant. : Sa rosette. Oui, oui, la corolle, je la joue, son excitation à lextrême me facilite la visite phalanges, son sphincter se montre en harmonie, son clitoris embouché, trois doigts explorent en allant-retour les parois vaginales, lexcitation maintenu, je la guide de sommet en sommet, de nirvana en nirvana, le labeur conjoint fait tourner laiguille de plaisir comme une montre
qui osera à arrêter le temps ??? Dans ce jeu, rien est éphémère, car souvenir omniprésent,
à rejouer
et rejouer
!
Le Gouineur vous-le demande Mesdames.
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!