L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 34) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : Interrogatoire sadomasochiste dans les faubourgs dOlympie
Enchaînée, offerte, Clytia subissait les assauts quotidiens des Sages qui lui imposaient les situations les plus scabreuses. En cet instant, la belle esclave était sodomisée par l'un des plus vigoureux des organisateurs des Jeux Sacrés, tandis qu'un autre se branlait en dégustant ce spectacle, ses couilles reposant sur le front de lesclave enculée... Ayant pris son parti de combler ses tourmenteurs afin de gagner leur confiance, Clytia avait le regard vitreux et les lèvres humides, gémissant à chacun des coups de boutoir qui poussaient la queue épaisse du vicieux Sage dans ses entrailles... L'homme avait un membre aux dimensions fort respectables et la jeune femme se devait d'avouer que son cul était ainsi fort bien rempli... elle se sentait mouiller de ce plaisir que lui offrait celui qui la tenait si fermement par les hanches et emplissait son cul... Alors qu'elle laissait échapper un râle de plaisir, son visage fut aspergé par la semence de l'autre qui venait de se reculer légèrement pour lui jouir en pleine face, tellement excité par le spectacle de cette si belle jeune femme secouée par les allées et venues entre ses fesses... Presque aussitôt, elle reçut également la jouissance de l'autre dans son cul et se cambra... la queue restait encore dure et l'enculeur accélérait le rythme afin de bien se vider en elle. Puis il se retira, l'air béat et s'éloigna sans un mot, sans un regard pour Clytia. Tandis que l'autre s'agenouillait devant le visage souillé de sperme et saisissait à deux mains la tête rasée de l'esclave afin de la contraindre à lui sucer la queue, ce qu'elle fit naturellement avec application, pour le plus grand bonheur du vieil homme. Un moment plus tard, seule et toujours enchaînée, repue de sperme, Clytia se retrouva seule... épuisée par l'usage intensif que tous les Sages, dont elle ignorait le nombre exact, faisaient du corps de la jeune femme qui, pour eux n'était rien qu'une chienne, et pire encore, juste un corps à 3 orifices à remplir, en guise de réceptacles à spermes et rien de plus.
Deux fois par jour, un des esclaves mâles du temple venait la libérer de ses chaînes et la tenant en laisse, la menait à quatre pattes jusqu'à une petite cour où elle pouvait faire ses besoins, mais aussi pour boire et salimenter dans une large gamelle à même le sol, dune pâtée que lon aurait plutôt destiné aux chiens. Elle avait aussi le droit à se laver dans le proche cours deau. Puis elle était ramenée sur la couche où elle était à nouveau livrée aux plaisirs lubriques des Sages pervers. Chaque jour qui passait, c'était un pas de plus vers une nouvelle captivité, chez le sculpteur Praxitèle et la belle Phryné... Et un nouvel espoir d'évasion pour retrouver sa Divine et Vénérée Maîtresse, La Belle Hélène. C'est en pensant à Elle que Clytia se livra aux assauts conjugués de trois Sages visiblement pris de boisson... Ils libérèrent ses poignets et elle dut en branler deux, tandis que le troisième la baisait. Tous trois pelotaient ses seins et son ventre, l'insultant et lui crachant dans la bouche qu'ils lui avaient ordonné de garder largement ouverte... L'esclave qui avait déjà tant vu, pensait au chemin parcouru depuis sa première rencontre avec Hélène, dans les sinistres geôles de Sparte. Dès le premier regard, Clytia avait été fascinée par la Beauté et le Charisme de Celle qui avait bouleversé toute la géopolitique du Monde Grec
Le troisième Sage venait de se vider en elle... promptement, il céda la place à l'un des deux qu'elle branlait et vint le remplacer entre les doigts de l'esclave... Elle sentit la verge molle et poisseuse durcir à nouveau dans sa main. Elle découvrait dans cette épreuve son pouvoir sur les hommes... le pouvoir de faire renaître leur vigueur virile autant de fois qu'elle s'attardait à s'occuper de leur verge ! Les trois vieux sages qui l'entouraient éjaculèrent tous ensemble...
Mais ils n'en avaient pas fini avec l'esclave... Se munissant de fines badines souples, ils entourèrent la couche où Clytia était contrainte de demeurer, enchaînée par les poignets.
Pendant ce temps-là, dans les faubourgs de la Cité, à quelques plusieurs dizaines de rues qui les séparaient, et plus précisément dans le temple en ruines réaménagé en bordel provisoire, Hélène avait réduit le maquereau à l'impuissance. Seule avec lui, La Belle avait ôté les vêtements à l'homme inconscient, endormi par le soporifique... Peinant face au poids de cet homme à la forte carrure, Elle était tout de même parvenue à le hisser sur un siège afin quil soit mieux à sa hauteur, puis l'avait entravé solidement à ce siège ainsi que ses chevilles de façon à garder son entrejambe largement ouvert et son sexe parfaitement accessible et totalement vulnérable. L'homme était donc maintenant assis, nu, l'intérieur de ses cuisses et son bas ventre exposés et accessible à tous les sévices qu'Elle pourrait décider.
- Je n'entends pas, mais je suis sûre que tu me manques de respect, cela mérite punition, dit-Elle en redoublant de force cette fois dans les gifles...
La trace de ses doigts marquait maintenant les joues grasses de l'homme.
- Tu as décidément bien besoin d'être éduqué, dit Hélène et lui infligeant à nouveau une série de claques appuyées...
Sentant sa main faiblir, La Belle Hélène arrêta de frapper. Elle alla chercher une fine cordelette, qu'elle passa autour de la base des couilles de son prisonnier et qu'elle serra comme un collet, gardant en main le reste de ce solide fil... Elle s'assit face au maquereau prisonnier et tira lentement sur le fil qui se tendit, serrant plus encore la base des couilles. L'homme demeura stoïque un moment, mais il se crispait progressivement, en harmonie avec la façon dont la cordelette tirait sur son intimité... jusqu'à ce quHélène obtienne un cri qui resta silencieux à cause du bâillon enserrant fortement sa bouche. Elle s'approcha de son prisonnier...
- Je vais être claire. Je puis m'amuser ainsi durant des heures, t'infliger n'importe quels tourments. Tu n'as aucun secours à espérer, aucune pitié à attendre de moi.
L'homme eut un mouvement brusque vers elle, rendu ridicule et inutile par les liens qui l'enserraient... Ce qui lui valut une nouvelle série de claques, puis Hélène recula en tirant sur la ficelle, jusqu'à la tendre au maximum afin de l'attacher aussi loin que possible de l'homme, maintenant ainsi de façon permanente la pression étirée sur la base des couilles... Hélène fouilla la pièce, découvrant divers objets dont l'homme devait user sur les femmes qui avaient la malchance de tomber en son pouvoir. Elle apprécia une série de petits objets en métal, que l'on pouvait faire jouer, comme de petites mâchoires articulées. Il y en avait une dizaine qui tintait dans la main de La Belle Hélène qui ne tarda pas à imaginer l'usage qu'elle pourrait en avoir. De retour auprès de l'homme qui grimaçait sous son bâillon, elle commença à lui pincer durement les tétons... jusqu'à ce qu'il tente de cambrer son corps entravé et que les tétons deviennent des boutons durs et érigés. Elle plaça alors sur chacun d'eux une de ces pinces de métal... Puis, en souriant à l'homme, elle en plaça plusieurs sur la peau des couilles, et utilisa la dernière pour fermer le prépuce. Puis Elle décida d'explorer un peu plus les lieux et laissa l'homme seul avec ses tourments :
- Réfléchis bien, lui glissa-t-Elle avant de l'abandonner...
Hélène s'absenta longuement... explorant les lieux, repérant, par un trou borgne dissimulé dans le mur, les personnes susceptibles de lui être de quelque secours par la suite et qui évoluaient de lautre côté de la paroi dans le bordel. Puis elle revint voir son prisonnier qui se tortillait faiblement, compte tenu du peu de liberté que lui laissaient ses liens. Il transpirait à grosses gouttes... Manifestement les petites pinces n'étaient pas sans effets, Hélène se dit qu'elle venait de découvrir un nouvel accessoire fort intéressant ! Elle retira brusquement les pinces des tétons et l'homme se cambra, tétanisé de douleurs... La Belle comprit que l'enlèvement de ces petites choses causaient une morsure plus forte encore... Elle sourit... et replaça les pinces ! Puis joua un long moment à enlever, déplacer, replacer les petits objets de métal sur les couilles vulnérables de l'homme qui se tortillait en vain et tentait inutilement de parler malgré le bâillon :
- Tu parleras quand je le jugerai utile. Pour le moment je m'amuse beaucoup ! lui asséna Hélène en continuant de déplacer les pinces ici et là...
Immobilisé, l'homme lançait des regards maintenant clairement désespérés à Cette Femme dont il avait cru faire une proie et qui l'avait réduit à n'être qu'une chose suppliante...
- Si je te retire le bâillon, tu seras discret et sage ? demanda-t-Elle en lui mettant le stylet à la lame effilée sous les couilles prête à les lui trancher au moindre cri.
Terrorisé, l'homme secoua fébrilement la tête, lui lançant le plus éperdu des regards... Hélène lui tapota la joue, puis retira le bâillon tout en lui faisant signe de garder le silence... Vaincu, il approuva à nouveau en secouant la tête.
- Je vais te poser des questions... Si ta réponse me convient, j'enlève une pince, sinon j'en ajoute une en faisant pression dessus pour accen la douleur... Commençons ! Je suis à la recherche d'une jeune femme au crâne rasée et à la beauté rare et qui a dû être vendue comme esclave... Peux-tu m'aider à retrouver sa trace ?
- Oui, oui... s'empressa l'homme qui dans l'instant se raidit de tout son corps entravé lorsque Hélène enleva une pince de ses couilles...
- Tu me désigneras ta pensionnaire la plus subtile, la plus digne de confiance afin de m'accompagner dans mes recherches ?
- Oui ! cria presque l'homme en anticipant la morsure cruelle qui allait accompagner l'enlèvement d'une autre pince...
- Moins fort, ne crie pas, ou je remets une pince en place, lui dit Hélène en souriant dun air sadique
- Pitié... oui je ferai attention, implora-t-il en chuchotant cette fois.
- Bien, je vois que nous commençons à nous comprendre... Où caches-tu ton or ?, demanda Hélène en lui plaçant une pince devant les yeux ...
Et ainsi, Hélène interrogea le maquereau très longuement, n'ayant que fort rarement besoin de reposer des pinces. Quand Elle avait retiré toutes les pinces car les questions étaient plus nombreuses que le nombre de pinces, La Belle Hélène passait le stylet de nouveau sous les couilles tout en continuant à lui poser des questions et afin dobtenir des réponses rapidement, Elle samusait ainsi à déplacer la lame tout au tout de lappareil génital, prête à trancher de la lame, des couilles ficelées. Terrorisé, le maquereau répondit avec docilité. Et lorsqu'Elle jugea qu'Elle avait rassemblé assez de renseignements, l'homme épuisé pu souffler quelques instants, mais il restait entravé. Elle défit aussi le lien qui serrait durement la base des couilles devenues mauves. L'homme haletait et il se mordait les lèvres pour ne pas hurler au secours ! étant toujours menacé par le stylet... Il était tellement vaincu que des larmes coulaient le long de ses joues... Hélène lui tapota la nuque :
- Allons... tu vois, il suffit d'être bien obéissant... Lorsqu'on a compris qui commande, tout devient si facile ! (L'homme approuva en sanglotant) - Vous êtes si prévisibles ! Tu vivais dans une sorte d'illusion, mais c'est fini. Désormais, tu seras mis à ta place et tu y resteras... Je vais y veiller
Il regarda Hélène sans bien comprendre de quoi Elle parlait. Celle-ci le bâillonna de nouveau et s'éloigna et gagna la salle de lautre côté de la paroi où Elle se fit désigner la putain que le maquereau avait défini comme la plus intelligente de toutes. Elles eurent une discussion qui fit naître un large sourire sur le visage de la pornaï aux longs cheveux réunis en un épais chignon... La femme répondant au nom de Thaïs était en effet fort éveillée et elle comprenait vite. Dès qu'elle eut saisi le sens des propositions dHélène, elle mesura la formidable opportunité qui lui était offerte de devenir libre... et riche ! Elle accompagna donc Hélène auprès du maquereau toujours attaché et bâillonné sur la chaise. En peu de temps, tout était réglé... Thaïs devenait ainsi la nouvelle propriétaire du bordel et le maquereau était réduit à l'état de putain mâle, enfermé dans une des cellules où il emprisonnait ses pensionnaires récalcitrantes afin de les dresser. Son tour était venu. Un bâillon de cuir fermé sur sa bouche, enchaîné, il resterait là jusqu'à ce qu'il ait définitivement accepté son nouveau statut... confié à la garde des autres filles du lieu, qui se chargeraient de tout pendant que Thaïs aiderait Hélène à retrouver Clytia dans le grouillement de cette immense et éphémère Cité des faubourgs d'Olympie...
(A suivre
)
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