La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 413)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode N°409 -
Monsieur le Marquis dEvans vient de quitter Maître Steel qui est en compagnie de sa soumise reica, engoncée dans une tenue originale faite de tubulures contraignantes en acier qui lui servent de cage, en ayant aussi à ses pieds lesclave N°14MDE, enfermée quant à elle dans une cage en forme de chien. En séloignant, le Châtelain ne peut que repenser au petit défi avec 30 coups de cravache à la clef que le Dominant avait lancé aux deux femelles en leur insérant un uf vibrant dans la chatte pour savoir laquelle des deux faillirait la première, laissant échapper quelques cris et soupirs orgasmiques évidents. Quelque soit le respect et lamitié quil ressent pour Son cher invité, le Noble ne peut que se réjouir de voir que ce nest pas Son esclave qui a perdu le pari, ce qui naurait pu que courroucer le Maître des Lieux qui se serait senti offensé en Sa propre demeure de sapercevoir que le dressage quIl impose à ses esclaves nest pas à la hauteur de ce quIL attend et même exige de chacun et chacune de ceux qui désirent Le servir et Lui faire honneur. Cette défaillance inacceptable aurait dailleurs valu à lesclave perdante dès le lendemain une punition supplémentaire largement supérieure aux quelques modérés coups de cravache que Maître Steel sapprête à dispenser sur la croupe de la perdante, et ce afin de permettre à la chienne-femelle de rentrer en grâce aux yeux du Maître Vénéré. Et cest donc avec aux coins des lèvres une bonne part de fierté de Dominant, reconnu par ses pairs pour Son savoir-faire et la qualité des exigences et du dressage imposé aux esclaves de Son cheptel, que le Châtelain séloigne pour se diriger vers un groupe qui attire Son attention.
Les discussions vont bon train entre un Dominant et deux Dominas qui un peu las de la nuitée qui sest bien avancée et des plaisirs érotiques ou D/s quils ont pu savourer jusque-là, ont fini par sasseoir sur des canapés et fauteuils bien moelleux pour un petit moment de calme, ce qui leur permet de prendre le temps déchanger leurs points de vue sur les pratiques D/s dont les uns et les autres raffolent.
Le sujet de la conversation tourne autour de la restriction des plaisirs de toutes sortes que lon peut ou que lon doit imposer à lesclave, et si lon doit penser que le manque créant le besoin, cela permet daugmenter la puissance du plaisir lorsquil est accordé et de fait la reconnaissance du dominé, ou si à défaut cela ne risque pas dentraîner une certaine démotivation dans la soumission, avec pour conséquence, presque comme un cercle vicieux, un engrenage dans la punition vis à vis de défaillances de plus en plus fréquentes si le/la dominé(e) ne trouve pas les récompenses quil/elle pourrait espérer, car il est bien connu que la carotte fait avancer lâne plus vite que le bâton. Aux pieds de ces 3 Maître et Maîtresses, les 3 soumis(e)s ne perdent pas une miette de la conversation, chacun essayant de simprégner de lavis de celui ou celle qui les Domine, et pourtant tous les 3 restent immobiles, nosant pas bouger sans ordre. Les trois autres esclaves du cheptel se contentent quant à eux de répondre aux ordres qui leurs seront donnés pour satisfaire avant tout le Maître Vénéré qui les a confié à lun de Ses invités pendant toute la soirée anniversaire.
Köttur (chat en islandais) est une « pet-kitty » qui ronronne aux pieds de Dame Macska (chat en hongrois) qui est venue à la soirée vêtue dune combinaison noire de latex très ajustée, « zippable » de manière presque invisible au niveau du dos et surtout de lentrejambe qui est amovible.
Juste en face, en contraste total question de gabarit et dattitude, se trouve un esclave de forte musculature qui doit dailleurs à ses moments perdus se rendre souvent dans des salles de sport, car ses tablettes de chocolat sont bien marquées sur tout son thorax et sa carrure imposante pourrait lui permettre den soulever plus dun. Malgré cette allure très masculine, « esclave » car cest le seul nom dont il a été « paré » par Maîtresse Césaria à qui il a fait don total de sa vie et de son asservissement D/s, lesclave en question a vraiment lallure de sa basse condition avec un petit côté antique et mythologique certain. Il porte un morceau de tissu comme un pagne symbolique ceint autour de la taille qui ne dissimule presque rien de son anatomie virile. Mais ce qui le caractérise surtout cest un gros collier de fer autour du cou, ainsi que quatre plus petits autour des poignets et des chevilles. Ces ferrures faites de métal vieilli semblent avoir été ajustées et martelées directement sur lui comme le faisait les forgerons chez les Romains, mais aussi comme cela se pratiquait encore au début du Moyen-âge du temps du servage et bien longtemps après encore en Russie. En réalité, les ferrures internes de ces parures modernes qui ne sont que des imitations de fers desclaves antiques sont si bien dissimulées quelles sont presque invisibles, tandis que les fermetures apparentes faites sur les petits morceaux qui dépassent des cerclages de métal pour pouvoir les relier entre eux et desquels partent dans un trou de lourdes chaînes à gros maillons ne sont que des leurres destinées à renforcer lallure servile de celui qui ne rêvait que dêtre, de temps en temps et de temps en temps seulement, pour le plaisir de jeux D/s partagés un de ces anciens esclaves romains dont la vue le fascinait depuis son enfance.
Maîtresse Césaria porte une grande toge de voile translucide, fermée à la taille mais dont les pans souvrent très facilement dès quelle bouge, exhibant de longues jambes nues particulièrement gracieuses. Elle sest affalée dans le fond de son fauteuil relevant les pieds sans la moindre impudeur laissant parfois même apparaître son entrecuisse luisant qui nest pas recouvert dautre chose que du voile de sa tenue très excitante qui laisse entrevoir par transparence ses courbes parfaites. Elle se sert de lesclave-mâle N°11MDE quelle a tiré au sort comme dun vrai repose-pied, ayant exigé quil reste presque aussi immobile quune statue ne pouvant que respirer en silence, mais sans bouger le dos sous peine de sanction. Dun autre côté, elle a imposé à « esclave » de se prosterner juste à côté de son fauteuil, en gardant la face contre terre en veillant toutefois à garder le dos bien à plat pour quelle puisse poser dessus ce « meuble-humain » dappoint son verre. Le dos et les fesses de lesclave sont remplis de traces de fouet données en début de soirée par Master DD, cet autre invité du Marquis dEvans, qui na pas cessé depuis le début de la soirée de montrer son Art dans le maniement de cet instrument cinglant et qui en a fait bénéficier tant son propre soumis masochiste qui laccompagnait que tous ceux et celles qui sont passés entre ses mains expertes. Maîtresse Césaria a déposé plusieurs glaçons qui accompagnaient sa boisson rafraichissante sur le dos de « esclave » qui fondent peu à peu, ce qui contraste avec la chaleur irradiante de son corps qui a été fessé et fouetté largement. Elle a même poussé le raffinement jusquà insérer plusieurs glaçons dans lanus de lesclave pour le remplir, et sétant essuyé la chatte avec le dernier pour limprégner de son odeur et de ses sucs féminins, elle la glissé dans la bouche de « esclave » qui avait interdiction de desserrer les lèvres et de bouger langue et mâchoires tant que ledit glaçon ne serait pas entièrement fondu et leau mêlée de son onctueuse cyprine avalée avec plaisir et reconnaissance pour ce cadeau offert, presque comme un sucre que lon donne à un chien.
Entre les deux Dominas, se trouve un vieil ami du Marquis dEvans, presque un Sage parmi les Sages de la communauté D/s vu son grand âge, que le monde vanille pourrait reléguer vite fait dans la catégorie des retraités du 3ème âge inactifs devenus presque inutiles à la société, mais que ses pairs eux-mêmes on fini par qualifier très respectueusement du titre de « Seignior Dées » (lire D/s bien évidemment), un vrai jeu de mots entre le sénior quil est devenu et le Seigneur D/s quil a été pendant de longues années, se faisant nommé à lépoque « Seigneur Dey » en souvenir de ses jeunes années passées en Alger. Son âge avancé ne lui permet plus de pouvoir profiter autant quil le voudrait des plaisirs de la chair autrement quintellectuellement, et ce malgré les interventions et succions pulpeuses de sa dévouée soumise qui essaye autant quelle le peut de redonner le maximum de vigueur à sa queue pas toujours aussi verte et drue que les deux le voudraient. Mais Il na rien perdu de son élégance naturelle presque dun autre temps et de sa Dominance avec un charisme et un savoir-faire hors pair. Ayant dressé et fait évoluer de nombreuses soumises au cours de sa longue vie de Maître, il na pas décidé de raccrocher les wagons pensant quil pouvait encore permettre à certaines de trouver leur bonheur dans la soumission à ses pieds et la manière de pouvoir vivre leurs fantasmes les plus secrets, sans risque de tomber entre les mains de plus jeunes pseudo-maîtres qui ne sont à la recherche souvent que de chair fraiche à senfiler.
Sa dernière soumise en date, Dollydoll, ne ressemble en rien à une de ces soumises qui se déguise en petite fille ou en écolière infantilisée pour vivre un fantasme fétichiste de socquettes blanches et jupe plissée marine ou par nostalgie des fessées souvenirs dantan lorsque ces pratiques se faisaient encore dans un contexte non D/s, non consensuel, et dont laspect éducatif et formateur sur les jeunes esprits reste plus que discutable quand il est imposé par simple pouvoir hiérarchique. Dollydoll nest pas non plus une « poupée gonflable » utilisable à volonté comme sex-toy avec trois trous bien placés. Cest beaucoup plus subtil, cest une « poupée-humaine D/s », presque une marionnette D/s, et tel était son désir, presque son obsession enfouie, sans quelle ait cherché vraiment à savoir si lorigine de ce fantasme remontait à son enfance. Mais cest autre chose qui lattire dans cette mise en scène, les liens tenus par le Dominant qui lui permettent de bouger et de sanimer, qui sont un symbole très fort et à double sens de la relation D/s, quelle ne ressent pas de la même manière dans le cas dune laisse de chienne-soumise qui ne la tente pas du tout et quelle refuse catégoriquement ne voulant pas être animalisée comme le sont par exemple tant de chiennes ou de pet-kitty tout autour, alors quelle se plait à être presque déshumanisée, en apparence tout du moins en sachant très bien que la relation D/s entre Seigneur Dey et Dollydoll est basée sur le respect réciproque des deux êtres humains quils restent avant tout.
Pour accen la ressemblance, elle est totalement nue et sur son corps sont dessinées avec une peinture au chocolat comme des traits sombres représentants les jointures des différents morceaux assemblés du corps dune marionnette. Au bout de ses bras, de ses avant-bras, de ses pouces, de ses genoux, de ses chevilles mais aussi autour de son ventre et de son cou de petits fils sont attachés par de simples nuds et partent pour rejoindre un support en bois que Seignior Dées peut manipuler comme il lentend pour tirer sur lun ou lautre des cordons afin de faire changer de position sa soumise-poupée, inanimée en apparence mais animée en réalité. Pour linstant, il la laissé se reposer un peu à terre, presque désarticulée avec les jambes repliées à lenvers de part et dautre du corps, la tête qui tombe sur le corps comme si elle navait plus de colonne vertébrale et si son cou était devenu tout mou, et ce en attendant que le Maître daigne lui insuffler un peu de vie.
Le Dominant avait tiré volontairement au sort une boule argentée se disant quil pourrait peut-être profiter dun mâle à sa disposition pour la soirée et de fait dune queue plus agile pour faire jouir sa soumise, sans recourir pour une fois à lutilisation de palliatifs, quil sagisse de godes vibrants ou même de gode-ceinture creux dans lequel il glisse son sexe lorsque ce dernier ne veut pas remonter et se durcir, artifices qui à défaut de lui permettre datteindre la jouissance physique et déjaculer lui permettent non sans un certain bonheur dun autre ordre de donner du plaisir jouissif à sa belle Dollydoll, qui bien que marionnette D/s nen est pas moins sensuelle et humide, avec des désirs femelles dêtre aussi possédée et enflammée. Le hasard a voulu quil tombe sur le chien-mâle N°20MDE qui est une petite nature efféminée et passive, dont la queue même sortie de sa cage sest bien peu envolée à la vue de la poupée-femme que le Dominant lui avait demandé de pénétrer avec son autorisation et sous son ordre. Narrivant pas cependant à faire durcir son membre quil secouait pourtant comme un prunier suffisamment pour pouvoir arriver dans un premier temps à le couvrir dun préservatif, lesclave N°20MDE sactivait toujours pour se masturber espérant pouvoir enfin donner satisfaction au Dominant, mais lexcitation ne venait toujours pas et plus il essayait, plus lappendice soi-disant viril lui échappait des mains en se recroquevillant. Il faisait pourtant défiler des images de ses fantasmes les plus habituels pour faire monter la « bébête » récalcitrante, mais rien ny faisait pas plus que la peur de savoir ce quil adviendrait de lui Lorsque Le Maître Vénéré aurait connaissance de sa défaillance quil ne pourrait dailleurs pas dissimuler, même sil avait ressenti chez Seignior Dées beaucoup dindulgence et magnanimité face à son inaptitude à être un mâle phallique tel que la nature lavait fait naître et son incapacité à bander sur ordre, tout bon esclave servile quil pouvait être.
Cest Seignior Dées qui aperçoit le premier Monsieur le Marquis dEvans, comme quoi la vieillesse navait pas encore altérée sa vue et qui linterpelle.
- Très Cher Marquis dEvans, ne pourriez-Vous nous rejoindre quelques instants, si ce nest pas trop r de Votre précieux temps car je suppose sans difficulté que Vous devez être très sollicité en cette merveilleuse soirée que Vous nous avez offerte.
Le Châtelain, qui na dailleurs pas envie de passer sans saluer le groupe de Ses amis intimes et en particulier celui qui doit être le doyen respectable de toute la communauté D/s rassemblée en cette soirée, sapproche.
- Très Cher Seignior Dées, nayez aucune crainte, vous nz pas le moins du monde de Mon temps. Au contraire, je suis particulièrement ravi de pouvoir venir vous saluer, même si le faisant je risque davoir mis un terme à votre conversation. Mais pardonnez-moi, je manque à mes devoirs de courtoisie élémentaire envers ces deux charmantes Dominas qui vous entourent.
En sinclinant légèrement vers chacune des deux Maîtresses, le Noble, qui reste en tout temps un parfait galant homme, ajoute :
- Dame Macska, tous mes respects. Heureux de voir si bien entourée de votre petite chatte de compagnie et de ma chienne esclave N°5MDE, je devrais dire ma chatte-esclave N°5MDE qui semble avoir changé de race et de comportement assez facilement, surtout avec ces petites oreilles que vous lui avez fait pousser sur la tête
.. Maîtresse Césaria, tous mes respects également. Le sort vous a doté dun esclave mâle robuste ce qui ne doit pas être pour vous déplaire connaissant vos goûts en la matière. Jespère que N°11MDE vous donne totalement satisfaction et que vos pieds ont trouvé sur son dos tout le confort quils pouvaient en espérer, sans parler des plaisirs D/s dont japerçois les marques et les traces si caractéristiques des coups de fouet qui chauffent la peau sans la blesser lorsquils sont donnés de mains de Maître.
Cest Maîtresse Césaria qui prend la parole à son tour.
- Très Cher Marquis, Vous ne croyez pas si bien dire en parlant de « main de Maître ». Jai confié « esclave » et aussi par la même occasion Votre esclave N°11MDE pendant quelques minutes à Master DD dont la renommée en matière de maniement du fouet nest plus à faire. Je dois avouer que cest un spectacle ravissant que de le voir uvrer avec une telle dextérité dans les soirées D/s où jai le plaisir de le croiser. Je ne men lasserais jamais sachant à quel point cela mhumidifie de voir les corps tressaillir et se tordre sous les coups mais aussi bander dun plaisir masochiste que je peux me permettre doffrir à « esclave » pour cette occasion festive. Pour ma part, je ne me hasarderai sûrement pas à manier un tel instrument, sachant très bien, lorsquon nest pas expert et que lon manque de pratique, les blessures que lon peut infliger avec un objet qui reste dangereux entre des mains inexpérimentées, et il nest pas mon intention de blesser qui que ce soit et également de détériorer « ce » qui mappartient. Je préfère me contenter dobjets plus basiques pour asservir celui qui rampe à mes pieds dès que je ly autorise et qui doit apprendre à mériter les autres divins plaisirs charnels que je lui octroie lorsque je lui permets de rejoindre ma couche pour me faire jouir et encore mieux de venir sabreuver à ma source profonde
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(A suivre
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