Descente Aux Enfers 2

Carole ne m’a pas pardonné cette branlette avec l’un de ses bas.. Elle m’a insulté, traité de tous les noms et notre relation s’est brutalement interrompue ce jour-la. Jeté à la porte, je noyai mon amertume dans l’alcool en ressassant cette malheureuse aventure ; A Chaque fois que l’image de ce bas nylon me venait en tête, ma verge palpitait. Je finis saoul, effondré sur mon canapé en cuir, pleurant une femme perdue à cause d’une tentation fétichiste mal placée…

Un mois passa où mes collègues supportèrent mes sauts d’humeur et mes voisins, les décibels d’une musique enragée jusqu’au soir où je découvris une paire de collants dans la buanderie commune ; D’abord interloqué, je fus ensuite pris d’une érection violente en réalisant l’impact de cet objet ! Il y en avait 3 paires et sans hésiter j’en volai une, la noire. Mon cœur battait la chamade quand mes mains tremblantes subtilisèrent ce matériau exquis. Je l’enfouis sous mon pull-over et déguerpis, tout honteux et terriblement excité. Je me précipitai chez moi et, la porte à peine fermée derrière moi, je baissai mon pantalon et me frottai le nylon sur mon membre déjà mouillé de plaisir. Ce fût un choc aphrodisiaque si intense entre ma chaire turgescente et le nylon noir que je joui quasi directement. Le spasme éjaculatoire fût douloureux, intense, profond et totalement incontrôlable.

Très vite, je compris que ne pourrais plus me passer de cet ustensile. Le nylon me procurait un tel plaisir que j’en venais à oublier et même renier la délicieuse chatte de Carole et nos aventures torrides. Mon sexe et maintenant mon esprit s’orientaient instinctivement vers cette matière divine. Dans les transports en commun j’enviais ces femmes qui portaient des collants, je les méprisais même, elles qui s’exhibaient ainsi aux yeux de tous, dans la rue, au bureau, innocentes et parfois frivoles, choisissant des motifs colorés ou hyper provocant, telle ces fameux bas où une ligne remonte l’arrière de leurs jambes épilées, musclées, perchées sur leurs hauts talons.

. La haine commença à poindre en moi. Je la sentais à chaque fois que je me branlais dans le collant de ma voisine. La haine de la femme et de ses atours.
Puis je passai naturellement à l’étape suivante. Celle de porter ce collant, de le sentir protéger ma verge, frotter mes parties quand je croise les jambes, titiller mon glan circoncis.. Au début je fus un peu mal a l’aise, scrutant les gens autour de moi pour essayer de lire dans leur regards si ils savaient ou devinaient que j étais affligé de cette délicieuse déviance.. Je prenais soin de bien m’en cacher et portais des chaussettes hautes ainsi qu’un boxer pour minimiser les risques. J’allais toujours m’enfermer dans les toilettes même pour uriner.. Et la plupart du temps un résidu de mouillette tachait l’entrejambe du collant. Celui-ci faisait son travail sans même que je m’en rende compte et lors de mes besoins j’en profitais pour me branler un petit coup et, une fois ma semence répandue dans la cuvette, je prenais encore plus de plaisir à emprisonner ma verge encore dur dans le nylon d’amour, le regardant palpité et tendre les mailles fines de ce voile translucide.

Mais le jour arriva où mon fétichisme fût découvert par un inconnu…
A suivre

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!