La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 414)
La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans Suite de l'épisode précédent N°413 -
Le Châtelain esquisse un léger sourire en apercevant les glaçons en train de fondre et leau qui coule du dos de lesclave prosterné mais surtout de son anus réfrigéré par la même occasion. Il se retourne à nouveau vers le vétéran.
- Très Cher Seignior Dées, je ne connaissais pas encore vos talents de marionnettiste, mais il est vrai que vous avez accumulé au fil des ans tant de savoir-faire dans des pratiques multiples que vous me surprendrez encore. Votre poupée est-elle animée comme celle qui est venue, pendant le banquet juste avant le gâteau, nous divertir sur lair de la poupée « Olympia » dOffenbach interprété si magnifiquement par notre artiste castra. Je ne vois pas de remontoir sur son dos, mais plutôt des fils qui la feraient se mouvoir. Je trouve cela très original, tout comme jai bien apprécié tantôt la prestation de ma soumise Emeline MDE déguisée comme lOlympia de lopéra célèbre.
Le Dominant sans même prendre la peine de se lever tire sur deux fils qui aussi sec font se lever le bras de la soumise Dollydoll qui prend vie, puis il les relâche, la soumise qui semble être passée experte dans lart du mime et de la désarticulation de ses membres laisse son bras retomber nonchalamment, sans avoir bougé le reste de son corps. Seignior Dées samuse à poursuivre sa démonstration levant alternativement un bras puis lautre, ou encore redressant le visage ou une jambe, prenant bien soin cependant à nimposer que des mouvements accessibles à celle qui reste humaine et entière, même si elle donne lapparence dêtre une poupée-marionnette, faite de morceaux juxtaposés et indépendants.
- Très Cher Marquis, je vous présente ma dernière acquisition. Ma Dollydoll qui rêvait de pouvoir se sentir incarnée dans la peau dune marionnette et à qui je permets de temps en temps de vivre ce fantasme un peu particulier dans une vraie complicité avec celle qui mest si dévouée et si reconnaissante de ce que nous partageons.
- Très Cher Seignior Dées, je vous trouve encore très alerte et je suis heureux de savoir que Vous-même et votre Dollydoll pouvait vivre et partager de bons moments ensemble, quelle quen soit la forme, elle en marionnette et vous en marionnettiste pour la soirée. En ce qui me concerne, les poupées nont jamais été Mon fort, mais je reconnais que la vôtre a un certain charme et quelle joue son rôle à la perfection tant elle semble inanimée et désarticulée dès que vous la lâchez. Cependant, je ne suis pas certain que je mimaginerai bien en train de jouer à « manipuler » lune de mes soumises, ne parlant bien entendu que de la manipulation physique des fils de suspente, car un vrai Dominant doit pouvoir affirmer son autorité et son pouvoir par dautres moyens sans avoir recours à ce que je qualifierais de manipulation psychologique qui est contraire à notre éthique et qui peut savérer dommageable pour celui ou celle qui en est victime, si elle était malheureusement tombée entre les griffes dun pseudo-maître bien malveillant.
Le Marquis dEvans aperçoit lesclave-chien N°20MDE, rouge de honte, prostré et presque tremblant, assis en chien de fusil tenant sa nouille entre ses doigts, mais ayant arrêté de chercher à se masturber lorsquil a entendu la voix du Maître qui sapprochait. Le Noble enchaîne aussi sec.
- Mon esclave N°20MDE vous a-t-il donné toute satisfaction pour la soirée, Cher Ami ? Je ne le trouve pas au mieux de sa forme et jai un peu de mal à mexpliquer son attitude, sa posture et le rouge qui empourpre ses joues de honte.
- Je dois Vous avouer, Cher Marquis, que Votre esclave N°20MDE a fait ce quil a pu pour me satisfaire et répondre à mes exigences, mais disons que je nai pas eu de chance de tomber sur celui-là. La nature ne semble pas lavoir pourvu dun organe qui soit capable de réponde dun simple claquement de doigts.
Le Marquis dEvans fronce les sourcils, commençant à bougonner dans Son for intérieur.
- Quà cela ne tienne, Cher Seignior Dées, je vous le change immédiatement. Dites-moi celui ou celle qui pourrait satisfaire tous vos désirs pour la soirée ou vous apporter quelques plaisirs supplémentaires. Quant à ce minable cabot qui na pas eu le plaisir de vous plaire, il va savoir ce quil en coûte de ne pas être à la hauteur des exigences de Mes Invités de marque.
- Si ce ne serait trop Vous demander, cher Marquis, je souhaiterais un mâle bien membré sans cage de chasteté, car je désire voir ma soumise livrée à un autre homme sous mes yeux, ce quelle a accepté également après bien des tergiversations et des doutes, ayant eu peur dans un premier temps que je ne la vois plus que comme une vulgaire putain, alors quil ma bien fallu lui expliquer que je navais jamais eu lâme dun maquereau et quaffirmer mon autorité sur son corps et ses plaisirs dont je pouvais disposer avec son accord consensuel, tout en lui permettant aussi dévoluer navait rien de dégradant bien au contraire.
- Alors japerçois ce quil vous faut, là contre le mur.
Le Châtelain fait signe à un autre esclave mâle qui immédiatement savance, se prosterne aux pieds du Maître.
- Debout, Mon chien-mâle N°23MDE, tu navais pas eu la chance dêtre tiré au sort en début de soirée. Et bien, je pense que tu ne vas pas regretter de pouvoir remplacer au pied levé ce misérable cabot qui ne mérite que dêtre puni pour son inaptitude. Je te laisse entre les mains de Seignior Dées, et tâche de le satisfaire au mieux. Ah, oui, petite formalité préalable
.
Le Noble actionne le mécanisme qui permet douvrir la cage de chasteté car pour la soirée, tous les esclaves encagés ne portent que des cages qui peuvent librement être ouvertes sur simple exigence de lun quelconque des invités, alors que le reste du temps leurs cages sont cadenassées. Même sil semble évident que la plupart des soumis-mâles obéissants ne chercheraient pas à profiter de laubaine pour de temps en temps louvrir en cachette et se vider les couilles sans autorisation, il est plus sage de « ne pas tenter le diable » et de maintenir également une pression suffisante sur les mâles du cheptel dont laccès au plaisir est sous le seul contrôle du Maître Vénéré ou de ses ayants-droits par substitution.
- Et maintenant que ta queue de mâle fasse son office. Profites-en bien, car dès demain elle retournera dans son petit panier de métal.
Lesclave N°23MDE qui attendait sagement à genoux depuis le début de la soirée se demandant sil ne passerait pas cette nuitée ainsi sans pouvoir profiter de quelques plaisirs D/s plus ou moins pervers, est aux anges de voir sa cage ôtée par le Maître en personne.
- Cher ami, voilà une verge qui répondra mieux à votre attente, espérant quelle sera aussi au goût de votre Dollydoll qui va découvrir les joies de se faire mettre sous le regard Dominant mais bienveillant du Maître à qui elle a décidé de se soumettre.
Pendant ce laps de temps, le Sage Dominant a pris soin de détacher tous les fils de sa Dollydoll dont il caresse tendrement le visage tout en lembrassant voluptueusement, voulant lui faire comprendre quil ne va pas être seulement là pour la regarder jouir en simple voyeur extérieur, mais quil sera également participant même si cest par le biais dune queue demprunt, tout en continuant à la « baiser » mais de vrais baisers tendres sur la bouche. Le Châtelain ayant remis Son nouvel esclave entre les mains du Seignior Dées qui vient de se lever pour se retirer à lécart avec sa Dollydoll et N°23MDE, salue à Son tour les deux dominas en leur disant quil est temps pour lui de les laisser reprendre leur conversation entre femmes maintenant et quil doit soccuper de Son esclave à la queue récalcitrant.
- Mesdames, permettez-moi de vous quitter bien que je vous sais lune et lautre en bonne compagnie et bien servies. Mes obligations de Maître mobligent à châtier sans tarder celui qui na pas su remplir son rôle et me satisfaire pleinement en se pliant à toutes les exigences de Seigneur Dées. Quand à ce petit rikiki qui a perdu sa cage mais qui na pas su en profiter, je pense que jai une bonne idée pour le faire se lever.
Le Marquis dEvans att plusieurs des fils qui se trouvent à terre et qui servait à animer la poupée-humaine Dollydoll. IL en attache deux autour de chaque testicule et trois sur la longueur du sexe de lesclave quIL a à se relever, et qui est de plus en plus honteux et inquiet de la punition qui lattend. Il att ensuite le morceau de bois doù pendent les fils et samusant à le gesticuler dans tous les sens pour étirer et relever la queue de lesclave-mâle, il salue les deux dominas et se retire accompagné de Son « sexe-marionnette » qui ne se redresse que par les étirements des fils, tout en ajoutant :
- Très chères amies, me voilà devenu marionnettiste à Mon tour finalement. Mais je pense que ce ver de terre animé a besoin dun petit traitement plus adapté. Mesdames, au plaisir, et vous souhaitant une bonne fin de nuitée avec tous les plaisirs possibles.
Le Châtelain tire un grand coup sur les fils pour donner le signal de départ en précisant :
- Quant à toi, minable cabot, les mains sur la nuque et baisse la tête
.. plus que cela
courbe toi encore plus, pour regarder avec la honte que tu devrais ressentir ton appendice si inutile quil faut des fils pour le faire se lever.
Le Noble entraîne à sa suite le chien-mâle N°20MDE qui est partagé entre des sentiments de honte de voir sa virilité défaillante mise en exergue et de tristesse de ressentir le courroux du Maître Vénéré à son égard, mais aussi une part de plaisir à se voir ainsi humilié et maltraité au vu de tous, ce qui ne fait quajouter à sa honte et à son malaise. Le Marquis dEvans, fait entrer Son esclave dans un genre de grand baquet rectangle en cuivre qui a été installé dans un des quatre coins du Grand Hall qui pourrait ressembler à une de ces première baignoires sur pieds du temps où leau courante nexistait pas encore. Il lui intime lordre de se mettre à genoux tout en gardant les mains sur la nuque. Il installe le morceau de bois qui permet de commander les fils en le calant derrière la tête du chien-mâle en tendant les cordelettes au maximum de manière à ce que la verge soit maintenue en lair à lhorizontale. Le Marquis dEvans ouvre la braguette de Son pantalon, et se met à uriner sur le sexe et le visage de lesclave-soumis N°20MDE.
- Qui sait ! Ta queue manquait peut-être dêtre arrosée comme les plantes qui ont en besoin pour pouvoir pousser. Et bien, voila cest chose faite, une bonne « douche dorée », non je devrais plutôt dire un arrosage « en or » en bonne et due forme ! Cela tombe bien, javais besoin de pisser.
Le Châtelain force la bouche de lesclave pour y glisser sa queue qui laisse encore couler de petits jets durine, afin de pouvoir vider les dernières gouttes et de la ressortir nettoyée au passage après ce petit temps uro.
- Tu vas passer le reste de la nuitée ici dans cette latrine. Tu ne mérites pas mieux, et jespère que tu viendras me remercier dès que jy consentirai pour cette punition amplement méritée. Nous verrons si ta nouille a su bénéficier de puissants arrosages et si ton asperge est prête à sortir de terre.
Le Marquis dEvans ayant donné lexemple, plusieurs Maîtres qui avaient également besoin de se soulager sempressent de sapprocher et de venir à leur tour se vider sur le corps, le sexe ou dans la bouche de lesclave qui est obligé de redresser la tête ce qui fait se lever sa queue en tirant sur les fils de Son « sexe-marionnette », ce qui ne manque pas de lui valoir les plus désagréables quolibets à chaque fois, dautant plus que le fond du baquet se rempli dun liquide à lodeur forte si caractéristique qui rend la situation encore plus pénible pour le chien-mâle N°20MDE qui sait cependant quil doit accepter son sort sans rien dire pour pouvoir venir implorer le pardon du Maître Vénéré.
(A suivre
)
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