Une Bonne Leçon, Mais Un Délicieux Supplice.

Après des études en informatiques j'ai rapidement gravi les échelons au sein de cette entreprise. Il faut dire que mon père y est pour beaucoup. J'ai toujours pu réaliser tout ce que je désirais. Quand on fait partie de la haute société et qu'on est plein aux as tout est permis.

Sans le faire exprès, j'ai fait beaucoup de peine à mes amis ou autre gens de mon entourage. Quand on voit comment ses parents traitent les personnes qu'ils pensent inférieurs à eux, on en prend aussi la mauvaise habitude.

Mais alors que je réussis ma vie professionnelle et amoureuse car je suis fiancé à une très belle femme, parfaite, voilà que mon passé me ratt.

Un matin, reçois l’appel d'un homme qui a des choses à me dire. Je décide de le rencontrer. Arrivé au rendez-vous je tombe sur un ancien camarade de classe. Enfin, un camarade de classe, je l'ai bien fait galérer, et aussi sa mère travaillant comme domestique chez mes parents.

Ce soit dit sans copain de classe, est devenu psychiatre très belle réussite ! Mais, aujourd’hui, j’étais son patient.

A l'époque je flambais au casino et pour que mon père ne le sache j'avais monté une petite magouille pour recouvrir un peu d'argent mais ce fut la seule fois que je franchis les limites de la loi. Et il a fallu que ce connard de copain aujourd’hui Psy tombe dessus et qu'il vienne me narguer.

Je lui propose de l'argent pour oublier tout ça mais il ne veut rien entendre. Il n'a pas oublié la façon dont je le traitais lui, et les humiliations de sa mère dans notre grande maison. Il me demande d'aller chez lui le lendemain pour en finir et me dit qu'après, j'entendrais plus parler de lui.

J'essayai de ne plus y penser jusqu'au lendemain et décidai d'aller affronter ce petit con. En y arrivant je tombe sur un grand noir qui discute avec mon copain. Ce dernier me parle de son deal.

« Je fais une fellation au noir, et lui me voyant ainsi humilié pourra assouvir sa vengeance.

»

Je refusai cette ignominie et décidai de m’en aller. Il m’arrêta et me dit être en possession de documents très compromettants. Il me les montra, d’ailleurs. Mon complice d’autrefois lui a remis tous les documents de la transaction.

- Une pipe, juste une pipe, et t’en aura fini pour toujours me dit-il.

Je regardais le grand black et l’idée d’aller le sucer me répugnait, mais si c’était la seule façon de me tirer d’affaire, je devais le faire. Après tous, ça n’allait être qu’un mauvais moment à passer.

- D’accord, dis-je, mais après je veux plus entendre parler de toi.

Il ne perdit pas de temps et me demanda de me mettre à poil, ce que je refusai. La dessus il s’approcha et me mit une belle baffe. J’étais abasourdi.

- Tu crois que tu as le choix petite salope, me balance-t-il, tu crois que ton père va te tirer d’affaire cette fois ? Allez, à poil ! Et fissa !

J’avais perdu tous mes moyens. Le black et lui était tous deux de costauds gaillards et virils de surcroit. Je me souviens que c’est pour cette raison aussi que je détestais ce copain à l’époque.

Lui était très viril alors que moi j’ai un corps et un visage très féminin. Une fois nu, le black semblait apprécier, car il me fit sortir de ma torpeur en disant à mon copain :

- Dis donc, tu me les choisis bien les petites putes ! Regarde-moi ce visage et ce corps de salope. Je vais bien m’amuser. Allez ma cochonne viens me sucer !

Mon copain me donna une claque sur le cul et je me dirigeai fébrilement vers l’énorme pieu qui se dressait devant moi. J’étais captivé. Tous ceci me répugnait mais en même les personnalités de mon copain et du black faisaient naitre chez moi un sentiment trouble que je ne pouvais expliquer.

Je m’approchai de cette énorme queue qui était beaucoup plus grosse que la mienne, et en fermant les yeux tout en pensant à autre chose, j’approchai doucement ma bouche.


- Ouvre bien ta gueule et tu avale et suce comme la vraie salope que tu es, mais attention, s’il te prend l’envie de me mordre, je te fends le crane.

Ces paroles crues augmentaient le désir trouble déjà installé. Je m’appliquais à sucer cette bite qui me distendait les lèvres. Le black, était assis dans le canapé et moi j’étais à 4 pattes entre ses cuisses, essayant de le sucer du mieux que je pouvais.

Mon copain, trouvait que je me foutais d’eux. Il s’approcha, me tira les mains en arrière, et de l’autre main m’agrippa les cheveux.

- Baise lui la bouche à cette pute, dit-il au black.

Celui-ci ne se fit pas prier, il m’enfonça sa bite dans la bouche, et commença un va et viens violent. Il la retirait de temps en temps et me claquait les joues avec.

Sous les encouragements de mon copain, il continuait son viol de ma bouche. J’ai même eu la nausée lorsqu’il essaya de s’enfoncer le plus loin possible dans ma gorge. J’étais essoufflé. Soudain, sa bite tressauta, il se retira et jouit sur mon visage et mes cheveux. C’était incroyable la quantité de sperme qu’il me balança.

C’est dans la même position inconfortable, à 4 pattes, mains et tête tirées en arrière et le visage plein de foutre que mon copain demanda au black de me prendre en photo. J’étais trop faible pour résister. Après avoir pris plusieurs clichés, ils me laissèrent reprendre mon souffle.

Mais pas pour longtemps, car mon copain, s’approcha de moi, et me mit quelques baffes alors que j’étais allongé par terre. J’avais soif et le lui dis. Il éclata de rire, et alors que j’étais toujours par terre il souleva ma tête, m’enfonça lui aussi sa bite, et me baisa la bouche encore plus violemment que le black.

- Regarde-moi quand tu me suces petite vicieuse !

Il trouvait que je ne salivais pas assez, alors il me cracha dans la bouche et il me força à le remercier de me faciliter la tâche. Il était en extase de me voir ainsi humilié.


Pendant ce temps, le black s’approcha de mon cul et commença à jouer avec mon petit trou. J’étais paniqué. J’espérais qu’il n’allait pas en plus me sodomiser, ce serait la honte totale. Heureusement, il s’arrêta et se rassit dans le canapé. Mon copain aussi me lâcha. Il prit un verre, déchargea tout son foutre dedans, et me le tendit.

- T’avais soif, et bien bois !

Comme, je refusai. Il s’énerva et me fessa violemment avec une chaussure.

Je t’ai dit de boire, connasse, alors bois !

Devant tant de puissance, je me soumis et j’avalai rapidement ce breuvage. Ouf c’est passé ! Mais j’avais vraiment soif et le suppliai de me laisser me désaltérer. Là, ils s’éclaffèrent tous les deux et mon copain me dit :

- Ce n’est pas possible ! Tu nous cherche, ou quoi ? Attend ! Voilà que tu nous as donné une super idée.

Je redoutais ce qui allait se passer. Mon copain me prit par les cheveux, et me traîna à la salle de bains. Là je compris ce qu’il allait faire, et essayai de me débattre, mais il m’immobilise facilement et tous les deux, m’attachèrent vite fait au lavabo. Ils se moquèrent encore de ma faiblesse physique.

- Avec l’argent de son papa on peut jouer au puissant, mais là on voit quelle mauviette tu fais, me dit mon copain.

Ils commencèrent à me pisser dessus en riant. Je voyais le sourire vainqueur de mon copain qui heureusement se contenta de me pisser sur le corps et le visage, mais ne me força pas à en boire.

- Regarde comme t’es sale petite pute, allez va te laver.

Le black visiblement très excite par ma personne et mon petit cul décida qu’il allait m’enculer. Mon copain bien sûr approuva. Il enleva le pommeau de la douche, prit le tuyau et me remplit le cul d’eau chaude. Après quelques instants, comme un lavement, je déféquai et il répéta l’opération. Puis il m’enfonça deux doigts dans le cul, ce qui m’arracha un petit râle de douleur, car c'était la première fois qu’on touchait à mon petit trou.
Il les retira et me les donna à sucer.

Je refusai. Encore une fois après quelque baffe je cédai, et il me demanda si j’étais bien propre et en effet je l’étais. Je le suppliai une dernière fois de ne pas le faire, mais ne tint aucun compte de mes protestations, et dit au black, de me lécher le petit trou. Avec ses grosses lèvres chaudes et charnues, le black me lécha goulûment, et à cet instant une vague de chaleur se rependit dans tout mon corps. Ce qu’il me faisait était trop bon. Il alternait en me léchant et me doigté, ce qui me fit bander comme un taureau.

Mon copain, lui me suçait les tétons en me mettant des petites baffes, et me traitant de tous les noms. Mon corps était bouillant, j’étais au bord d’exploser de jouissance. Mon anus acceptait volontiers les faveurs du black et je n’avais même pas remarqué qu’il m’avait mis plus de doigt dans le cul. Je n’avais qu’une envie, malgré moi, c’est qu’il me défonce le cul.

Soudain, mon copain me lâcha et ordonna au black de faire de même. Ironiquement, il dit :

- Je crois qu’on t’a assez humilié pour aujourd'hui, ça va, on en a fini.

Sur ce, le black et lui allèrent à la cuisine. Il s’avait très bien que je ne voulais qu’une seule chose c’est qu’ils continuent. Il voulait sûrement que je le lui demande. Moi étant trop orgueilleux et fier, je n’osais leur montrer qu’après tout, j’y prenais du plaisir, donc je me tus.

Ils me laissèrent ainsi très excité. Je sentais mon anus s’ouvrir et se refermer et n’attendais que l’arrivée d’une queue. Mon copain me demanda de les rejoindre et m’offrit à boire. Le black était assis sur le tabouret derrière moi et recommença à jouer avec mon anus. Je fermai les yeux en poussant des halètements brefs. Je sentais son souffle chaud sur ma nuque ce qui me fit perdre la tête. Mon copain lui, me pinça les tétons et me dit :

- Allez demande-le moi ! Demande le moi sinon on arrête tout.

Moi qui depuis le début priait pour que cela s’arrête, je me retrouvais dans une situation paradoxale. Le black me labourait le cul avec deux doigts. Il s’arrêta net, me laissant sur ma faim. Je n'en pouvais plus, au diable l’amour propre, je balbutiai un :

- Oui ! Allez-y.

- Non ! Rétorqua mon copain, demande mieux que ça ! Demande-nous de baiser ton petit cul de salope.

- Oui ! Baise mon cul de Salope s’il te plait! J’en peux plus !

Satisfait de la demande, il me prit les cheveux, et me fit me mettre à 4 pattes la tête dans les cuisses du black qui m’offrit sa bite à sucer. Mon copain, lui, mit du gel sur ma raie, et me pénétrant d'un coup sec, m’arracha un cri de douleur.

Après quelque va et viens, la douleur disparut, et c’est moi qui donnait des coups de basin pour qu’il m’encule à fond.

- Regarde comment elle prend bien la bite cette salope ! Lança mon copain au black.

Il commença à me fesser en même temps en continuant de m’insulter. C’était trop bon, je déchargeai de longues giclées de sperme, mais je ne débandais pas. J’en voulais encore, et lorsque mon copain se retira, mon trou dilaté resta ouvert et il cracha dedans. Ce vide me procura une sensation qui décupla encore plus mon plaisir. Le black vint se placer derrière moi. Rien qu’à l’idée de recevoir cette grosse queue dans le cul faillit me faire jouir. Alors, c’est moi qui l’encourageais :

- Vas- y, met la moi, je ne peux plus attendre.

Je remarquai que mon copain filmait la scène. Il devait être content, puisque c’est moi qui demandais maintenant, sans aucune contrainte. Mais je n’ai pas le temps de dire quoique ce soit. Le black me met de grands coups de bite qui me font des râler et crier de plaisirs.

Il me mit sur le dos. Il voulait que je le regarde dans les yeux pendant qu’il m’enculait. Il continua de me labourer en me mettant des petites baffes et en me traitant de pute, salope, cochonne, et autres, et moi je disais de plus en plus fort :

- Oouiii, ouiii, encore, encore !

Il se retira et toujours couché sur le dos je le vis s’approcher avec mon copain. Ils vinrent sur mon visage et se masturbèrent pour décharger dans ma bouche. Cette fois, point de répugnance au contraire. D’une bouche gourmande j’avalai ce foutre et m’en délectai. Mon copain, avait bien sur tout filmé. Voyant que je bandais encore il prit un concombre dans la cuisine et me l’enfonça dans le cul. Tout en me baisant avec, il me demanda de regarder l’objectif du caméscope et de me masturber en même temps. Je fis ce qu’il me dit et jouis comme jamais je n’ai joui avant.
Je rentrai chez moi et repensai à tout cela. Je ne savais plus quoi penser. Je sais que mon copain n’en n’a pas encore fini avec moi.

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