Norfolk
Le temps était plutôt gris en ce lundi matin. Le fond de lair était frais, mais la mer était plutôt belle, de petits clapotis venaient sécraser contre la coque du bâtiment qui fendait leau à moins de 10 nuds. Un peu plus loin, les silhouettes des immenses bâtiments de guerre américains se dessinaient dans la brume. Nous avions beau être un très grand navire, nous faisions pâle figure face à ces monstres des mers. Le pilote américain assistait lofficier de quart dans la manuvre daccostage. Et voilà on y était enfin : Norfolk, le plus grand port militaire du monde. La base navale était une ville à elle seule où 60 000 personnes venaient travailler chaque jour.
Notre escale était assez courte, mais très dense au niveau du programme. Comme à chaque arrivée dans un port étranger, une cérémonie aurait lieu en fin de matinée, suivie dun déjeuner officiel au carré du commandant. Ce soir, un cocktail serait donné pour plus de 200 invités dans les hangars hélicoptères. Tout le gratin serait réuni autour de coupes de champagne et de petits fours maisons. Bref, pas le temps de rester rêver, javais du pain sur la planche : prendre contact avec les autorités locales, régler les différents problèmes et aléas de dernière minute afin que tout soit parfait. Voilà, les aussières étaient passées, la coupée mise en place. De laileron près de la passerelle, je devinais plusieurs personnes qui attendaient sur le quai près de voitures officielles, parfait, je pouvais me mettre au boulot. Je traverse le bateau, passe la coupée, descend quelques marches et mets enfin le pied sur le sol américain. Un officier français savance vers moi, nous nous saluons et échangeons quelques banalités puis il me présente au lieutenant James Walter, officier de liaison pour la marine américaine.
Le lieutenant Walter est un jeune officier dune trentaine dannées environ, grand, châtain aux yeux noisette et à la carrure impressionnante.
- « Bonjour lieutenant, merci de nous accueillir à Norfolk, cest un honneur. »
- « Tout le plaisir est pour moi capitaine. » Son regard me transperce de part en part, est-ce moi qui suis en train de rêver ou ce James a-t-il du mal à détourner ses yeux de moi ? Après ces longues semaines passées en mer, je dois être en train de me faire des films.
- « Si vous voulez bien me suivre, je vous montre où va se dérouler la cérémonie tout à lheure et le cocktail de ce soir puis je vous accompagnerai chez le commandant. »
- « Cest parfait, allons-y, je suis impatient de découvrir votre bâtiment ». Une fois encore il me semble déceler dans sa voix et dans le vocabulaire choisi une pointe de je-ne-sais-quoi qui me laisse songeur. Le beau James me suit, je lui montre rapidement les lieux des différents événements de la journée, il rencontre enfin le commandant avec qui il règle les dernières incertitudes du programme des jours à venir puis je le raccompagne à la coupée.
- « Eh bien merci pour tout et je vous dis à tout à lheure pour la cérémonie, le temps daller me changer et je reviens dici une bonne demi-heure. »
- « Ah je ne savais pas que vous participiez à la cérémonie, je serai également présent. A tout à lheure alors. »
Je regarde le lieutenant Walter descendre la coupée puis séloigner sur le quai.
- « Attendez ! »
- « Oui ? » Le lieutenant sest retourné et me regarde, lair interrogateur.
- « Vous participez aussi au déjeuner officiel et au cocktail ce soir ? »
- « Non je ne fais pas partie des invités du déjeuner mais ce soir je serai des vôtres en effet ! »
- « Ça vous fait faire de nombreux aller-retour ! Je vous propose de rester déjeuner au carré ce midi puis de visiter le bâtiment avant le cocktail si votre programme le permet !? » Jai à peine terminé ma phrase que la honte sempare de moi.
- « Cest vraiment très gentil, mais je ne voudrais pas mimposer, surtout comme ça à la dernière minute ! »
- « Il ny a aucun problème je vous assure, si ça vous tente
»
- « Eh bien cest daccord alors ! Merci beaucoup je suis ravi. A tout à lheure alors ! »
Je reste le regarder séloigner de sa démarche élégante. Merde alors, il faut que je me ressaisisse. Je suis quasiment en train de faire du rentre-dedans à un officier de la « Navy » que je connais à peine ! Même si les hormones travaillent, va falloir rester bien sage. Sur ces belles pensées je retourne à mes occupations, supervise la mise en place de la cérémonie, briefe le commandant sur les invités VIP, etc. Je massois à peine à mon bureau que lon me diffuse à la coupée. Cest reparti pour une traversée du bateau. Lorsque jarrive, je vois près du factionnaire qui garde laccès à bord, le lieutenant de Walter, un sac et une housse à vêtements à la main, il se met à sourire lorsque japproche.
- « Je suis un petit peu en avance car jai apporté mon uniforme de cérémonie sur cintre afin de pouvoir me changer à bord dans la journée en fonction des activités. Est-ce que je peux déposer mes affaires quelque part ? »
- « Oui bien évidemment ! Vous avez bien fait. Suivez-moi jusquà ma chambre, vos affaires y seront en sécurité et vous pourrez vous changer là-bas si ça vous convient. »
- « Cest parfait merci, je vous suis. »
Excité par la situation, je mengouffre dans les coursives en direction de ma chambre suivi par le lieutenant Walter. Enfin arrivés, je lui montre où il peut poser ses affaires. Il me sourit à nouveau, lendroit semble lui convenir, aussi petit soit-il ! Un coup dil à ma montre, la cérémonie commence dans un petit quart dheure, il est grand temps de se changer.
La mise en place de la cérémonie est terminée, chacun est à sa place. Doù je suis, je vois en face de moi le jeune lieutenant qui regarde à droite et à gauche. Sans sen rendre compte, il se remet en place le paquet dans un geste lent. Il répète lopération dans les minutes qui suivent et, bien que jaie du mal à voir précisément, jai limpression de voir la forme dune queue gonflée sous le tissu de son pantalon. Soudain il lève les yeux dans ma direction. Comme pris en flagrant délit de matage, je ne trouve dautre chose à faire que de lui sourire niaisement. Il me rend mon sourire et se touche à nouveau le paquet, je ne sais comment interpréter ce geste. La cérémonie est longue et un peu ennuyeuse, mais elle est tout de même rythmée par les coups dil réguliers quon se jette. 11h45, fin de la cérémonie. Un rafraîchissement est servi, les gens discutent par petits groupes. Peu attentif à la conversation des gens qui mentourent, je cherche des yeux où est passé mon bel éphèbe lorsque jentends derrière moi :
- « Vous cherchez quelquun capitaine ? »
- « Ah lieutenant, vous voilà, je croyais que vous aviez pris vos jambes à votre coup ! »
- « Certainement pas, jai bien trop faim
Au fait, moi cest James.
- « Excellente idée James, moi cest Mickaël, enfin Mike en général. »
- « Enchanté Mike, trinquons à cette belle journée alors ! »
Effectivement, les nuages gris avaient laissé la place à un magnifique ciel bleu dans lequel brillait un soleil bien rond. Une fois les invités partis, nous nous sommes dirigés vers le carré pour déjeuner. James est assis à ma gauche et semble apprécier lendroit, les discussions avec mes collègues et la gastronomie française. Le déjeuner dure plus dune heure et demie et nous sortons de là repus. Nous faisons quelques pas dehors afin de digérer puis nous regagnons nos quartiers. Sur le chemin James me demande de lui indiquer où se trouvent les toilettes. Je ly accompagne ayant également besoin de me soulager. Il ny a que deux pissotières et un cabinet de toilette séparé. Je minstalle devant un urinoir, attendant de voir la réaction de mon collègue. Immédiatement, il se place à côté de moi. Les fermetures éclair souvrent et nous attrapons nos sexes. Après quelques instants je tente de jeter un il vers mon voisin. Sa bite semble de belle taille. Les dernières gouttes durine sen échappent et il commence à le secouer. Jen fais de même mais je commence à bander de façon incontrôlable. Encore un petit coup dil, sa bite aussi a pris du volume. Mon cur saccélère, je ne sais pas quoi faire. Dans le doute, je range ma queue et me dirige vers le lavabo, me lave les mains puis sort dans la coursive. Il me rejoint et nous regagnons ma chambre. Il est encore tôt, nous avons du temps devant nous, je lui propose de nous poser un peu ce quil accepte volontiers en saffalant dans mon fauteuil.
Un peu agacé dêtre resté sur ma faim, je décide de le provoquer un peu. Je commence à me changer. Quitte chemise et cravate puis enlève mon pantalon duniforme, tout ça face à lui. Ma queue nest pas totalement revenue au repos et ça se voit à travers mon boxer. Un silence, personne ne bouge
Puis son bras de décolle de laccoudoir, sa main se dirige vers moi et vient se poser directement sur mon paquet, ce qui marrache un petit cri de bien-être. Dune main il commence à malaxer ma queue qui gonfle immédiatement. En quelques instants je suis dur comme du bois, bandé au maximum. Dun coup il baisse mon boxer, libère ma queue et la fourre directement dans sa bouche. Whaou, le choc. Il mexcite comme un fou. Pendant quil me suce, je me mets à lui caresser le torse puis je descends vers la grosse bosse qui se dessine sur son pantalon. Je fais coulisser la fermeture éclair, fait sauter le bouton et lui descends le pantalon jusquaux genoux. Son petit slip ne peut contenir toute sa bite bien raide. Le gland séchappe par lélastique, je pose mes doigts dessus et commence à jouer avec. Il est en train de me rendre dingue. Je retire ma teub de sa bouche, nayant pas été « vidangé » depuis plusieurs jours, je sens la sauce monter rapidement ! A la place jy fourre ma langue et nous nous roulons une grosse pelle bien baveuse qui mexcite encore plus. Il se relève alors quon continue à sembrasser, on se débarrasse de nos sous-vêtements et nous branlons mutuellement. Soudain il me pousse sur mon lit, se jette à genoux par terre et recommence à me sucer vigoureusement. Jai envie de rugir de plaisir mais je me retiens car les murs sont très fins sur le bateau !! Il grimpe sur le lit et vient se mettre à quatre patte au-dessus de moi, mais dans lautre sens, me présentant son cul et ses couilles qui pendent au-dessus de mon visage. La vision de son corps parfaitement musclé menivre. Il prend ma queue à pleine main et se remet à me sucer et me branler en même temps. De mon côté, ma langue entre en contact avec ses couilles puis se ballade de sa tige dure à son trou humide et imberbe. Je sens la sève monter rapidement tant il mexcite. Je le préviens mais il ne sarrête pas pour autant, ses lèvres continuent à coulisser autour de ma bite qui commence à tressauter et je lui décharge six ou sept longs jets de sperme au fond de la gorge. Il nen perd pas une goutte. Pour mon cri de jouissance, jenfouis mon visage entres les deux magnifiques lobes musclés de ses fesses et enfonce ma langue dans son anus. Il semble beaucoup aimer vu la façon dont il se tortille. Rassasié par ce dont je lui ai rempli la bouche, il sest redressé et sassois sur ma bouche qui sactive sur sa rondelle. Mes bras lencerclent et ma main droite att sa bite au bord de lexplosion. Je nai pas besoin de le masturber longtemps pour quil se mette à cracher sur son torse. Putain que cétait bon !!!
On reste dans cette position quelques minutes, essoufflés et étourdis par ce qui vient de se passer. Je crois que ni lui ni moi ne réalisons ce qui vient darriver et ne comprenons comment tout a commencé ! La scène sest passée en quelques minutes à peine ! Sans un mot, jatt une serviette, on sessuie et on se rhabille rapidement. Un peu gênés, je lui propose de visiter le bâtiment et daller voir où en est la mise en place pour le cocktail de ce soir. Il me dit que cest parfait alors on quitte ma chambre et partons à lassaut des coursives et des différents ponts du bateau. Nous narrivons pas à nous regarder dans les yeux, comme intimidés suite à cette escapade sexuelle des plus courtes pourtant ! Puis au fur et à mesure de la visite, latmosphère se détend entre nous, tout semble revenir à la normale.
19 heures, les premiers invités arrivent, passent la coupée, saluent le commandant et létat-major avant de se regrouper par affinités, dégustant les toasts, cuillères apéritives, canapés, etc
Très rapidement le hangar hélicoptère se remplit, les invités sont nombreux et la soirée bat son plein. James sest un peu éloigné, retrouvant des collègues à lui de la Navy. De mon côté jen fais de même, je me régale avec le punch maison fait par les cuisiniers et les petits toasts de foie gras. Il est près de minuit lorsque les derniers invités quittent le bateau. James est toujours là lui, je lai vu me jeter quelques coups dil, de plus en plus insistants plus lheure avançait, accompagnés de sourire qui étaient loin de me laisser indifférents. Ce jeune lieutenant était vraiment très beau, svelte et élégant. Il avait de la prestance, du savoir vivre, beaucoup dhumour et un excellent relationnel. Mais il avait aussi un magnifique petit cul musclé qui me faisait bander comme un âne, une magnifique queue et un corps musclé à souhait, juste comme il fallait.
- « Je ne vais pas tarder à y aller, le temps passe vite et nous bossons demain ! Dailleurs à ce sujet, je te propose une visite de mon « petit bateau » si tu es libre ! »
- « Je suis partant évidemment ! On parle bien du porte-avions USS W. Bush ?! »
- « Cest bien ça ! Super, je suis ravi que tu puisses venir. La bouffe y est très certainement moins bonne que chez vous, mais je te propose de venir pour 11h30 demain, nous déjeunerons ensemble au carré puis on visitera le bateau. »
- « Cest parfait, merci beaucoup, ça me fait très plaisir ! »
- « Tu fais quelques pas avec moi le long des quais ? Je te montre en même temps où nous sommes amarrés pour demain ! »
Nous franchissons la coupée en même temps, saluant au passage le pavillon français qui flotte à la poupe dans la légère brise de soir. Les quais sont déserts à cette heure-ci. La base navale ressemble à une ville abandonnée : pas de circulation, pas de lumière aux fenêtres, les portes des hangars sont fermées. Tout en marchant, nous plaisantons sur tout et sur rien, parlant de la journée quon vient de passer, des gens quon a rencontrés, etc
Sur notre droite, les bâtiments américains sont amarrés les uns à côté des autres, immenses. Sur notre gauche dimmenses bâtiments, hangars et terrains de sport disparaissent dans la nuit noire. Au bout dune centaine de mètres de marche, James matt le bras et mattire dans le renfoncement de porte de garage. Il sadosse au mur, prend mes mains dans les siennes et me tire contre lui, nos lèvres se rejoignent dans un baiser tendre et langoureux. Mes bras senroulent autour de sa taille tandis que ses mains se posent derrière mon crâne, caressant mes cheveux. Nous prenons à peine le temps de reprendre notre respiration, ne voulant plus décoller nos lèvres. Puis il me murmure à loreille quil a encore très envie de moi. Ici ? Maintenant ? Mais mon excitation lemporte sur la raison. Mes mains pétrissent ses fesses à travers son pantalon duniforme, les siennes sont déjà en train de défaire ma ceinture. Mon pantalon tombe sur mes chevilles, rejoint immédiatement par mon caleçon. Ma bite est déjà bien raide et frémit au contact de ses mains fraîches. A mon tour jouvre son pantalon et y glisse ma main pour attr sa queue. Je sens la mouille qui séchappe de son gland se coller à la paume de ma main. Nous nous branlons ainsi mutuellement de longues minutes sans jamais cesser notre baiser langoureux, jadore sentir sa langue chaude senrouler autour de la mienne. Sans lâcher ma bite, il quitte mes lèvres, ses baisers se posent maintenant sur mon cou, puis mon torse, James saccroupi face à moi et ma queue vient se loger au fond de sa gorge. Ce petit enfoiré suce comme un dieu. Ses lèvres fines coulissent le long de ma tige, ce qui marrache de petits cris de bonheur. Cest à mon tour de lui caresser les cheveux pendant que je regarde mon membre disparaît dans sa bouche. Il sapplique vraiment dans ce quil fait, sa langue senroule autour de mon gland, lèche ma hampe, ses lèvres forment un anneau parfait. De temps en temps sa langue vient se poser sur mes grosses couilles pendantes, je profite de cet instant magique en présence de mon beau militaire américain. James se redresse et me dit quen tant que militaires on est certainement « clean » tous les deux, je lui confirme que oui. Cest alors quil se tourne face au mur et minvite à me coller à lui. Ma queue sest plantée dans la raie de ses fesses, douce et accueillante. Il recule un peu le bassin, cest bien ça, il veut que je le prenne ! Avant, je crache un maximum de salive dans ma main et commence à lui travailler le cul. Mes doigts sinsèrent sans grande difficultés pendant quil commence à gémir de plaisir. Jatt ma bite et présente mon gland à lentrée de sa rosette qui ne demande quà être remplie. Je pousse à peine que ça rentre comme dans du beurre. Un long soupir séchappe de nos deux bouches simultanément. Je me mets à lui embrasser et mordiller la nuque tout en le limant de plus en plus vite. Mon membre est comme aspiré dans ce cul ferme et musclé. Je minsère en lui le plus profond possible, mes burnes claquent contre ses fesses douces. Il se penche bien en avant dans une posture que je qualifierai malgré tout de très sexy et masculine. Mes mains agrippent fermement ses hanches pendant que je lui envoie de bon coups de bite. Je le baise ainsi pendant presque un quart dheure puis, ne tenant plus je ralentis le rythme et lui dit que je vais bientôt jouir. Alors, contre toute attente, il empoigne sa bite, se met à se branler frénétiquement et me demande de continuer à le prendre, plus fort, plus vite. Je ne réfléchis pas et accélère à nouveau le mouvement. La jouissance nest pas loin. Rapidement, tous ses muscles se contractent et il se met à gémir très fort ce qui déclenche chez moi lexpulsion des premiers jets de sperme au fond de ses entrailles, au même moment lui aussi balance la sauce et arrose le mur en face de lui. De longues coulures blanchâtres apparaissent, dégoulinant vers le sol. Mes coups de reins ralentissent et ma queue poisseuse sort de son cul béant et rempli.
Après sêtre rhabillés, on sembrasse de nouveau, plus tendrement cette fois-ci. Je nai aucune envie de le laisser partir, mais impossible de faire autrement. Dans un dernier sourire, il me dit de bien me reposer et de reprendre des forces pour demain car il me réserve une petite surprise
Songeur mais heureux de ce moment coquin, je rentre vers mon bateau et file directement sous la douche avant daller me coucher. Je suis en train de penser à lui et rêve de mes lèvres contre les siennes lorsque je tombe dans les bras de Morphée. Jai limpression que je viens à peine de mendormir lorsque jentends retentir le réveil. Oh non pas déjà ! Aucune envie de me lever, le réveil est dur. Dur dans tous les sens du terme dailleurs, jai une gaule denfer. Jatt ma bite pour en vérifier létat : dure comme du bois. Doucement je décalotte puis recalotte mon gland, les images dhier me reviennent dun coup, jai dû en rêver toute la nuit pour me réveiller dans cet état. Puis ses dernières paroles me reviennent en tête «
je te réserve une surprise
» et immédiatement je mets fin à ce début de branlette et essaye de faire retomber tout ça avant de me lever. Douche prise, petit déjeuner avalé, direction mon bureau. Cest une journée libre pour léquipage mais je passe quand même vérifier mes mails pour massurer que le commandant na pas besoin de moi ou quil ny a pas de soucis de dernière minute à régler. Je regarde lheure, jai le temps de régler un ou deux dossiers en souffrance avant de me diriger vers lUSS W. Bush.
11h30 pétantes je suis au pied de la coupée « visiteurs » du porte-avions américain. Le filtreur prend mon badge militaire, passe un coup de fil et me demande de patienter. Quelques minutes plus tard, James apparaît dans le sas dentrée, chemisette blanche, pantalon bleu marine, décorations sur la poitrine. Son sourire dévoile une rangée de dents blanches impeccablement alignées, mon cur chavire, je le trouve de plus en plus beau à chaque fois que je le vois. Je grimpe jusquà lui, poignée de main franche, les yeux dans les yeux, aucun doute, on mourrait denvie de se revoir. Bien que nous devons être entourés de plusieurs centaines dautres marins, je nai quune envie : me jeter sur lui et lembrasser à pleine bouche. Malheureusement il va falloir patienter un peu. Je suis James de prêt dans ce labyrinthe de coursives. Après un très rapide passage par son bureau où il dépose un délicat baiser sur mes lèvres, il ne me laisse même pas le temps de réagir que nous marchons en direction du carré des officiers subalternes. Là-bas nous retrouvons quelques-uns de ses collègues à qui il me présente. Les autres officiers sont très sympathiques mais pas aussi sexy. Après avoir pris un verre au bar nous passons à table et déjeunons ensemble. Les discussions vont bon train et la nourriture est franchement très correcte, bien au-delà de ce que javais imaginé. Après le déjeuner nous prenons un café, bien moins bon celui-ci et chacun regagne ses quartiers. Japprends que plus de la moitié de léquipage est en permissions et que lactivité est très calme. Un sourire ravageur ne quitte plus le visage de James qui a quelque chose en tête mais ne veut rien me dire. Nous entrons dans son bureau, je referme la porte derrière moi, att mon beau blond par les hanches et lattire contre moi. Nous nous embrassons avec beaucoup de douceur et denvie mais au bout de quelques secondes James se détache de moi, part sinstaller derrière son bureau et minvite à masseoir dans un petit fauteuil un peu en retrait, toujours aussi souriant. Sans poser de question je mexécute, doù je suis assis jai une vue sur lensemble du bureau. James décroche son téléphone et demande à son interlocuteur de faire venir ses « jeunes ». Je ne porte pas plus dimportance à ce quil vient de dire, ce que jattends impatiemment cest quon se retrouve tous les deux. Au même moment jentends une diffusion générale dans tout le bord : « Le matelot Adams et le quartier maître Agosto sont demandés dans le bureau du lieutenant Walter ». Quelques minutes plus tard, alors que James ne dit toujours rien, quelquun frappe à la porte.
- « Entrez !»
- « Bonjour lieutenant. » deux jeunes marins en tenue de camouflage pénètrent dans la pièce en refermant la porte derrière eux puis se mettent au garde à vous devant le bureau de leur supérieur. Le premier doit être le quartier maître Agosto, entre 20 et 25 ans je pense, brun et un peu typé hispanique, probablement dorigine mexicaine. Sans être réellement un canon de beauté il a beaucoup de charme. Le second, le matelot Adams semble bien plus jeune, je ne sais pas sil a 20 ans ! Peut-être 18 ou 19
mais à la musculature déjà bien développée. Son treillis lui moule les biceps et lui fait un ptit cul denfer.
- « Agosto, ferme le verrou de la porte sil te plaît. » Le jeune soldat sexécute. « Très bien, merci. Maintenant les gars, à poil ! »
Je manque de faire un bon sur mon siège. Mais quest ce qui se passe ?! Les deux jeunes garçons font glisser la fermeture éclair qui ferme leurs treillis, ôtent leurs t-shirts dévoilant ainsi deux torses bien dessinés et totalement imberbes. Les uniformes tombent aux chevilles, alors ils enlèvent leurs chaussures coquées et quittent enfin leurs tenues. Debout au milieu du bureau, vêtus dun simple caleçon, Agosto et Adams échangent un regard complice avant de faire descendre lentement leurs sous-vêtements le long de leurs jambes musclées. Mon cur bat à tout rompre, cétait donc ça la surprise dont James mavait parlé ! Je ne contrôle rien et sens ma bite gonfler sous mon uniforme. De mon angle de vue je vois leurs fesses bien rebondies et appétissantes. Au signe de la main de leur chef, ils pivotent sur eux-mêmes me permettant ainsi de détailler leur anatomie. Agosto possède un beau membre, lourd et massif qui pend entre ses cuisses musclées, Adams lui a un sexe plus petit et plus fin également au repos. Après leur tour ils se placent face à face et chacun att la bite de lautre quil commence à branler. Leurs sexes grossissent rapidement, derrière le bureau je vois James sortir sa bite bien dure par sa braguette et commencer à se branler doucement en regardant ses deux subordonnés en train de se faire du bien. Ny tenant plus jimite mon amant et sors mon sexe dur. Adams contourne alors le bureau et commence à sucer son chef goulument. Agosto sapproche de moi et prend ma bite dans sa main, il commence à me branler et me sucer. La scène est incroyable, James se fait toujours sucer mais ne perd pas une miette dAgosto qui saffaire sur ma teub. Jaimerais que ce moment ne sarrête jamais tellement je me sens bien. Je ne sais pas si jai déjà été aussi excité de toute ma vie.
James se lève, quitte lensemble de ses vêtements et sapproche de nous. Il me tend la main minvitant à me relever également. Jatt sa main et me met debout. Il sapproche de moi et commence à membrasser sauvagement. Nos deux sexes réunis sont parcourus par la langue dAgosto. Adams lui sest mis à terre et gobe la bite de son jeune ami qui semble apprécier. Dune main je caresse le torse de James et de lautre je lui caresse les fesses, insistant de plus en plus sur sa raie. Je vais même jusquà lui introduire mon index qui pénètre sans aucune difficulté. Au bout dun moment, le lieutenant interpelle le plus jeune des deux marins qui se relève. Ensemble ils se dirigent vers le bureau où, côte à côte, ils se penchent nous offrant la vision de leurs culs prêts pour nous. Il nen faut pas plus pour quAgosto et moi bondissions les rejoindre. Le quartier-maître att sur le bureau un petit flacon de gel lubrifiant, men met une bonne dose au creux des mains et se sert ensuite. Les membres lubrifiés à souhait on se met à travailler les anus devant nous. Les gémissements ne sont pas feints et nous excitent de plus belle. Ça y est nous sommes prêts à combler les intimités qui souvrent sous nos yeux ébahis. En même temps nous présentons nos glands à lentrée des anus ouverts. Premier coup de hanche, nos bites disparaissent à lintérieur de nos amants dont les gémissements redoublent dintensité. James et son jeune Adams commencent à semballer tout en subissant nos assauts. Nous, on continue à les limer sans retenue, faisant claquer nos couilles pleines contre leurs culs. Je sens une main se poser sur mon épaule, cest Agosto qui me regarde avec un sourire timide. Je le laisse commencer à me caresser, sa main parcours mon torse puis le dos de James avant de remonter vers mon visage quil attire vers lui et me dépose un baiser qui me surprend un peu. Comprenant ma surprise il allait se reculer quand je lui rend son baiser, glissant ma langue à lintérieur de sa bouche à la recherche de la sienne. Alors que nos bites et nos langues sont occupées, Agosto prend mes mains quil vient déposer sur son torse, je comprends quil veut que je titille ses tétons, ce qui semble lenvoyer au septième ciel ou encore plus haut sil y était déjà ! Dans une symphonie de gémissements de bien-être et dexcitation, moi et mon jeune compère continuons à démonter les deux magnifiques petits culs qui soffraient à nous. Lexcitation est à son maximum, Agosto prévient quil ne va pas tarder à cracher, jindique quil en est de même pour moi. Je mattendais à devoir accélérer le rythme comme hier soir mais à ma grand surprise, les deux passifs se dégagent de notre assaut, se tournent face à nous et se laissent tomber à terre. Agosto att sa queue et commence à sastiquer, je limite immédiatement tandis que James et Adams, à genoux par terre nous caressent les cuisses et les boules, le bouches ouvertes et les langues tirées. Le quartier-maître se met à rugir et décharge sa semence sur la langue et le visage de Adams puis frotte son gland encore gluant sur les joues du plus jeune qui semble sen délecter. James semble ne plus tenir suite à cette vision, il repousse ma main et att mon sexe qui tressaute dexcitation. Il se met à me branler frénétiquement, je me mets à crier quand je sens mon jus remonter le long de ma grosse tige et sexpulser en de gros et puissants jets directement sur le visage de James et dans sa bouche, il nen perd pas une goutte. Vidé, je me laisse tomber dans le fauteuil. Adams et James séchangent nos jus dans une grosse pelle baveuse toujours à genoux mais face à face maintenant. Ils sattnt mutuellement la bite, continuent à se branler, lautre main vient cherche le cul de lautre. Ils se doigtent et se branlent en râlant comme des bêtes. Lexplosion ne tarde pas à venir. Les jets de sperme se croisent et sécrasent sur les torses et sur le sol du bureau.
Satisfaits de cette délicieuse petite partouze, tout le monde embrasse tout le monde en toute simplicité. Rien dexceptionnel après ce quon vient de partager ! Chacun sessuie et se rhabille, les deux jeunes quittent le bureau le sourire jusquaux oreilles. James referme à clé derrière eux et vient sasseoir sur mes genoux sur le fauteuil, il passe ses bras autour de mon cou et membrasse langoureusement. Nous restons pas loin dune heure ainsi à nous embrasser et nous caresser avec beaucoup de tendresse. Finalement, mon beau lieutenant me demande si je souhaite toujours visiter son bâtiment. Je lui réponde qui oui évidemment et après un ultime baiser dune infinie douceur nous nous levons et quittons le lieu du crime.
Ce sera la dernière fois que je toucherai les lèvres du lieutenant James Walter. Après une visite fort intéressante il me raccompagne à la coupée. Je quitte le porte-avions heureux de ces deux superbes journées très pimentées, mais il est maintenant lheure de retourner à bord. Ce soir nous reprenons la mer, vers dautres ports, et dautres aventures.
FIN
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