Une Conversion Impromptue

Il est temps, pour moi, de vous racontez ce que j’ai vécu l’été dernier. Pour la première fois, cette histoire est personnelle et, finalement, aussi marquante que révélatrice.
Je vis, depuis 10 ans avec une femme formidable qui a dix ans de moins que moi. Elle fêtera ses 45 ans en fin d’année. Sophie (prénom changé) est tout simplement superbe. Elle aime le sexe, mais elle a du mal à assumer et jusque là, elle n’aimait pas trop la sodomie et suçait assez moyennement, pour n’avaler que très rarement.
Avec mon important passé de dominant et de « baiseur impénitent », j’avoue qu’elle ne correspondait pas trop à mes goûts. Cependant, comme elle se trouva être présente à mes côtés (elle est aide soignante) lors de ma convalescence d’après accident, qu’elle était divorcée et vraiment ultra bandante, j’ai fini par la sauter avant de m’y attacher. Bref, peu importe, la vie sait nous réserver des surprises déstabilisantes…
Après près de neuf années, en Juillet dernier, je lui proposais trois semaines de rêves, dans l’arrière pays niçois. Je connais, depuis des années, un mec qui y a une résidence secondaire très sympa. Il se trouve qu’il me devait un service et que je me suis dis qu’il ne verrait pas d’inconvénient à nous laisser profiter de ce lieu magnifique. Le premier « grain de sable » fut que mon pote était en vacances sur la même période et que cela nous « obligeait » à partager la villa, qui dispose de 5 chambres sur plus de 250 mètres carrés… Pour moi, c’était sans soucis et Sophie en avait tellement envie qu’elle n’y fit pas objection ! Le second hic, je le gardais pour moi. Christian, mon ami, est au moins aussi dominant que je le fus et je me demandais s’il n’aurait pas l’envie de se faire Sophie ! Qu’elle puisse accepter, je n’y croyais pas, mais qui sait !!!
Christian n’a que 50 ans. Il n’a jamais été en couple mais a toujours beaucoup de femelles à sa disposition. Je savais que lors de ses séjours dans sa villa, il n’emmenait pas de « casse croûte » et restait, souvent, assez sobre sexuellement.

Mais, un prédateur reste dangereux dans tous les cas. N’ayant pas une âme de victime, je me résolu à ce séjour en me préparant à a plus haute vigilance…
On ne se refait pas et parfois, on se découvre des vices secrets. Il faut savoir que les suites de mon accidents ont entraîné une perte de mes performances sexuelles, qui ne gênait pas Sophie, mais qui me limite à une, voir deux fois, par semaine, quand tout va bien et sans que cela ne soit grandiose. Je m’en accommode bien et Sophie ne semble pas en souffrir…
Nous sommes arrivés le premier samedi de Juillet (le trois, il me semble). Christian était là depuis la veille et il nous fit visiter les lieux. Piscine, vaste terrasse, salle de bain indépendante pour chaque chambre et un confort exceptionnel. Il nous attribua la chambre qui côtoyait la sienne. Il était 17 heures et nous étions un peu fatigués du voyage. Il proposa que l’on se repose jusque vers 19 heures et de le rejoindre pour le diner. Au passage, il nous informa que, comme d’habitude, il recevrait des amis le lendemain midi, pour fêter son arrivée. Un couple du coin et deux vieux potes…
Nous prime une douche (commune, mais sage) puis nous nous allongions sur les grands lits, parfaitement nus, mais toujours très sages. Je m’endormis rapidement. Un bruit étrange me réveilla. Cela provenait de la chambre de Christian. Me tournant, je constatais que Sophie n’était pas près de moi. 19h30 à ma montre ! Merde, j’avais trop dormi… Toujours ce bruit. Non, pas un bruits, une voix… Des cris et des soupirs… Un râle et la voix de Christian :
« Voilà, c’est mieux… Tu vois que tu peux te lâcher… Tu es faite pour ça, ma salope !!! »
C’est quoi, ce délire ? Elle est où Sophie ? Merde, faut que je me lève et que je la trouve… Je sors de la chambre. A côté, ça continue…Mais, on dirait la voix de Sophie… Sans déconner, c’est bien elle :
« Allez y doucement, je ne suis pas habituée à me faire sodomiser… Pourvu que Philippe ne se réveille pas… Hummm c’est gros…Ouiiii…. »
Incroyable, elle est dans la piaule de Christian et il l’encule ! Et moi, je suis à poil, dans le couloir et je bande !!! Faut que je voie… La terrasse, elle donne sur les chambres… Vite, je sors et contourne la maison pour arriver sur la terrasse. Ils sont sur le lit. Elle est en levrette, le cul tourné vers la fenêtre et il lui plante son braquemard dans l’oignon… Il y va franco, l’animal. Je sais que sa bite est très grosse et plus longue que la mienne. Mais Sophie le laisse l’enculer et elle aime ça. Un instant, je vois qu’elle a les fesses rougies et même zébrées ! Des traces de coups…Bien le style de Christian, ça ! Il aime fesser ou fouetter la viande, comme il dit !!! J’hallucine, il la tringle et elle aime ça ! Mais, comment en sont ils arrivés là ? J’assiste, pendant plus de 5 minutes à la défonce du cul de ma femme et elle jouit, peu avant qu’il ne lui déverse son foutre dans le cul. Ensuite, ils vont vers la salle de bain et en ressortent après 5 autres minutes, nus et souriants.
« Tu vois, finalement, tu as trompé ton mari et tu as aimé ça ! Dire que tu ne voulais pas il y a seulement deux heures !!! »
« Depuis un mois que tu me harcèles au téléphone pour que je sois ta salope, je me doutais que ça finirait par arriver. Philippe m’a souvent dit que tu étais un dominant très viril et qu’il se méfiait de toi ! Ca n’empêche que tu viens de le faire cocu et qu’il n’en saura rien… »
« Désolé, ma belle, mais il va le savoir ! Maintenant, durant tout votre séjour ici, tu vas être ma chienne soumise ! D’ailleurs, je te présenterais comme telle à nos visiteurs de demain. Karine, l’épouse de notre voisin, est mienne depuis près de 10 ans et j’en profite tous les étés. Cette année, elle aura de la compagnie… »
Rapidement, je regagnais la chambre et m’allongeais, laissant croire que j’émergeais à peine du sommeil. Elle entra dans notre chambre, sur la pointe des pieds et nue ! Voyant que je m’étirais, elle fila dans la salle de bain, croyant que je ne l’avais pas vue entrer…
« Tu es où, ma chérie ? »
« Je fais pipi ! Alors, tu as bien dormi ? »
« Bof, j’ai fais un cauchemar… Je t’avais perdue au profit d’un autre ! C’était affreux !!! »
« Idiot, surtout ! Comment pourrais-je aller voir ailleurs ! Tu es tellement parfait… »
« Ne te fout pas de moi !!! Je fais ce que je peux et je ne pourrais pas t’en vouloir si tu réclamais plus… Imaginons qu’un type comme Christian veuille te séduire, je serais bien obligé de te laisser seule juge ! »
« C’est un coureur ! Il ne veut pas d’une femme à la maison, mais de femmes à baiser…Ce n’est pas pour moi ! »
« C’est un excellent amant, tu sais ! Et ses femelles ne se plaignent jamais ! »
Elle haussa les épaules et enfila un string puis une petite robe courte et moulante.
« Bon, je crois qu’il est temps d’aller diner ! »
« Vas y, j’enfile un truc et j’arrive… »
J’avais remarqué qu’elle s’était dispensée du soutif. Pas si rare que cela, mais curieux, car elle ne le faisait jamais de sa propre initiative et surtout avec une robe aussi moulante.
Je fis en sorte d’arriver dans la cuisine en silence. Glissant un œil, je les vis enlacés et se roulant une pelle, les mains de Christian sur le cul dénudé de ma femme… Quand je fis un peu de bruit, ils se séparèrent brusque ment et la robe fut rabaissée par un Sophie un peu trop rouge !
« Christian, que dirais tu de laisser Sophie préparer le repas pendant que nous allons nous assoir sur la terrasse ? »
« Ca me va ! Tout est dans le réfrigérateur, ma belle…Tu n’as qu’à mettre le tout sur le chariot et l’amener. »
« Prends ton temps, ma chérie. Tu me semble un peu essoufflée ! »
A son regard, je vis qu’elle avait peur que je ne me sois rendu compte de quelque chose.
« Dis moi, Christian, tu semble trouver ma femme très à ton goût, non ? »
« Ce n’est pas un scoop ! Depuis que tu me l’as présentée, je ne t’ai pas caché qu’elle me faisait très envie… »
« C’est vrai ! Tu ne la connais que depuis le début de cette année, vu que nous nous étions un peu perdus de vue durant quelques années et que nous n’étions qu’en contact téléphonique. Je sais que tu n’as pas cessé de la harceler depuis votre première rencontre ! »
Un point pour moi ! Christian sembla stupéfait. Une moue, puis :
« Elle n’est pas facile, ta femme ! Mais je savais que j’arriverais à mes fins ! Je peux te dire que c’est fait !!! Elle a goûté à ma bite, elle adore ça et je compte bien me la taper durant tout votre séjour ici…Mais vu que tu n’es plus que l’ombre de toi-même et que tu ne t’es jamais gêné pour te faire mes salopes, je ne pense pas que tu vas t’y opposer ! »
Un point pour lui ! Non, je ne m’y opposerais pas … Finalement, avoir la preuve que Sophie pouvait être une bonne salope soumise comme tant de mes anciennes femmes, me convenait parfaitement. Mais il me fallait fixer des règles.
« Je ne veux plus de baises dans mon dos ! Elle doit assumer et avouer. Je sais que tu n’auras aucune difficulté pour l’y contraindre. Dans un premier temps, j’accepte que tu la baises à cru. Mais pas les autres ! Car je me doute bien que tu vas la faire sauter par des potes à toi, comme ceux qui viennent demain !!! Capotes pour eux et pas de foutre dans sa bouche… Enfin, j’exige que tu lui inculques les bases du SM. Pas de violences pures, mais de bonnes fessées et des sévices de premier niveau. Bien entendu, après ce séjour, elle ne te reverra plus que très rarement et tu ne la baiseras que si je t’y invite ! Je vais réfléchir à la possibilité d’instaurer trois semaines de vacances, ici, chaque année. Faudra juste que nous établissions un programme ! »
« Ce sont des conditions qui me conviennent parfaitement. Je suppose qu’elle prend la pilule. Parce qu’à son âge, elle reste fertile… Et je ne souhaite pas me retrouver dans la situation de l’an dernier ! J’ai fais un môme à Karine, ma voisine et maîtresse estivale et sa lopette de mari ne l’a pas très bien pris au début…Je ne veux pas prendre ce risque avec toi ! »
« Ben, non, elle ne prend pas la pilule ! Et je doute que tu l’engrosses…Mais je m’en fout pas mal et elle pourra toujours avorter si ça l’emmerde ! »
Son sourire signait son accord ! Sans l’avoir cherché, je venais de conclure un marché aussi inattendu que prometteur, qui allait faire de Sophie, une tout autre femme…