Chaleur D'Hiver
Chaleur dhiver
Un dimanche en hiver. La neige tombe à gros flocons. Aucune envie de sortir, plutôt rester bien au chaud à regarder un film. Après un petit déjeuner accompagné dun bon café bien chaud, mon copain, Alain, me dit : « Christophe a téléphoné tout à lheure, il nous invite aux bains thermaux de XXX. Il y aura sa copine, et peut être son cousin David. Ça te dirait ? » Je nétais pas vraiment chaude à lidée de mettre mon nez dehors par ce temps, mais je me laisse convaincre. Il faut dire que je nétais pas allée depuis mon enfance à des bains thermaux.
On se couvre comme des esquimaux, petit trajet en voiture jusquaux bains. Nous sommes en avance, bien sûr, mon copain, ancien militaire a une déformation professionnelle. On se met à la cafétéria, il fait déjà beaucoup plus chaud quà lextérieur. On se prend un gros café.
Une demie heure plus tard, arrivent enfin Christophe, sa copine Françoise et le cousin David. Ils sassoient, se prennent un café. Sensuit une discussion plutôt lourde sur le temps, la neige, le trajet en voiture, etc
Dun coup, Françoise se lève et dit : « Bon, moi je vais déjà me changer, jai hâte de plonger dans cette eau bien chaude ! »
Christophe lui dit : « Tinquiète, on se reprend un café et on te rejoint, on a un ou deux trucs à parler. » Ce qui me surprend, cest que dès que Françoise a disparu dans les vestiaires, Alain dit : « Allez, on y va ! » Ai-je remarqué un sourire malicieux ou est-ce une impression ?
On arrive devant les vestiaires. Une vague dair chaud nous atteint en plein visage, les effluves des eaux thermales, on se croirait sous les tropiques. Je me dirige vers les vestiaires femmes, mais juste à ce moment, Alain me ratt par la main, me fait un bisou et dit à Christophe : « Toi et ta meuf
regardez-vous ! Moi et la mienne, on se change toujours ensemble ! » Un autre bisou, la chaleur aidant, je rigole en disant : « Bien sûr ! On saime, nous !»
Alain nous dit : « Vous voyez bien, il ny a presque pas un chat ! Quest-ce que ça peut faire si une fille vient avec nous ? Vous avez vu la taille des cabines ? » Tiens, tiens.
Il nous dit : « Allez, personne ! On y va ! Objectif : la grosse cabine familiale là-bas ! »
On se rue dans les vestiaires hommes, direction la fameuse cabine. Il fait encore plus chaud ! On se croirait sous les tropiques ! Sans compter lémotion dentrer dans ce lieu interdit au pas de course !
On arrive dans la cabine. Alain se retourne et lance : « Eh Christophe, toujours à la traîne, vite, vite ! » Dès quil est entré, Alain referme la porte et dit « Mission accomplie ! »
Jai compris son jeu, et je décide de jouer aussi
Je dis : « Pas sympa pour David, ça
» Alain, les yeux brillants me regardent avec son petit sourire et dit « Euh
tu as raison. Je vais le chercher. Christophe, veille bien sur ma copine, vu que la tienne nous a lâchés ! »
David est arrivé, la porte refermée. La cabine est grande, mais à 4
On commence à se déshabiller. Il fait tellement chaud quon commence à transpirer. Alain na déjà plus que son caleçon. Il commence à membrasser à pleine bouche. Ses mains caressent déjà mes épaules, mes cuisses. Il maide à retirer ce qui reste de mes vêtements. Je nai plus que ma petite culotte. Ses mains caressent mon ventre, mes fesses.
Je me dis : « Il la voulu, il va lavoir ! », sans trop savoir dailleurs, mais javais décidé de jouer, et quand je joue, jaime prendre les initiatives.
Je me libère de sa bouche gourmande et je dis à Christophe et David : « Vous attendez quoi pour vous déshabiller ? On vous gêne tant que ça ? »
Alain en rajoute : « Ben oui, vous attendez quoi ? » Il se tourne vers Christophe : « Tinquiète pas, ta meuf ne te voit pas ! »
Je caresse le corps musclé dAlain, ses épaules, son dos, ses bras. Il commence à caresser mes seins, mes tetons commencent à se dresser. Ma main glisse sur la bosse de son caleçon. Mes doigts cherchent à travers le tissu
Les deux autres sont bientôt en caleçon. Christophe, le grand timide, est tout rouge ! Alain lui dit : « Tu es tout rouge, mon pote ! »
« Oui, il fait trop chaud ! » dit Christophe
Je dis : « Mais non, il a trop peur de sa meuf, il sinquiète trop, le pauvre ! »
Alain dit : « Mais non, ma Puce ! Cest tes gros seins qui lui font cet effet ! Tu crois quil y a beaucoup de mecs qui peuvent rester calmes devant ta poitrine ? »
Je rigole et dis «Cest vrai que Françoise a une taille de guêpe, mais alors deux petites pommes
toutes petites ! »
Je glisse ma main dans le caleçon dAlain, et la pointe de mes doigts le remercient doucement du compliment
Sa trique prend de belles proportions
Je fais un clin dil à David, qui est de lautre côté, et je dis « Alain, descends-le maintenant, ou tu as peur de te mettre à poil devant deux mecs ? » Il se baisse pour descendre son caleçon.
Alain sest mis à genoux, il a accepté que David prenne sa place un moment
mais il me fait glisser ma petite culotte jusquen bas. David continue de membrasser et de caresser mon sein. Il le fait bien : je mempare de sa bosse que je malaxe à travers le tissu ! Il est déjà tout gonflé, le célibataire !
Alain, à genoux, caresse mes cuisses, mes fesses et me fait de petits bisous sur le ventre et le bas-ventre. Il faut que je moccupe de Christophe ! Je me dégage de la chaude bouche de David, je lui prends la tête et la dirige sur mes seins, il commence à les embrasser, à lécher mes tetons. De ma main libre, je saisis Christophe par la nuque, je lui dis « Vas-y, embrasse-moi dans le cou comme tu fais à Françoise ! » Christophe membrasse dans le cou, sa main commence à descendre dans mon dos, sur mes fesses
Je lâche sa nuque et je commence à malaxer la longue bosse de son caleçon.
Je dis « Eh dis donc les timides, on est les deux à poil et pas vous ! Virez-moi ces caleçons, allez ! »
Enfin on va pouvoir passer à la vitesse supérieure. Je massois sur la banquette, jécarte les jambes. Je fais un clin dil à Alain, toujours à genoux devant moi : « Honneur aux invités ! » Je dirige mon pied vers son visage, il commence à me sucer les orteils. Il se met un peu de côté pour que mon autre pied parvienne à caresser sa grosse trique. De ma main gauche, jamène David vers mes lèvres, il recommence à membrasser, sa langue et la mienne se marient comme des folles. Je guide sa main vers mon bas-ventre. Il comprend vite, le célibataire ! Linfluence du porno ? Il commence à me doigter, à jouer avec mon petit bouton
Ma main na plus besoin de le guider, elle peut soccuper de sa trique, de ses boules que je tripote.
Je mouille de plus en plus sous les doigts de David
lexcitation monte
Je me mets à astiquer de plus en plus fort, de plus en plus vite les deux triques que jai en main. Je caresse toujours celle dAlain de mon pied, il aime ça
ça lexcite trop, mon homme.
Dun coup, Alain se lève. Il dit « attendez ! Viens, ma puce, on va faire connaitre quelque chose à Christophe
, mets-toi à genoux au milieu ! Christophe, mets-toi face à elle ! Et baisse-toi un peu, du haut de ta longueur inutile ! » Il faut dire que Christophe est du type grand maigre, tandis que David et Alain du genre petites boules de muscles.
Javais compris. Je mempare de la longue trique de Christophe. Longue trique ou baguette ? Les grands ont en général de longues bites plutôt minces, à ce que jai constaté ! Et les petits de moins longues mais plus grosses. Les hommes comparent toujours nos seins, nos culs, pourquoi ne pourrait-on pas comparer leurs queues ?
Je mempare donc de sa longue queue, je la tapote sur mes seins
Alain dit « Vas-y, ma puce, tu es la meilleure, il va voir ce quil va voir. Christophe, fléchis tes genoux ! » Je place la longue queue entre mes seins. Avec mes mains je commence à les serrer. Elle a disparu ! Je commence des mouvements de vas et viens, on voit son gland apparaître et disparaître.
Alain fait un signe à David. Ils se mettent les deux à genoux. Alain sur mon côtés, il me caresse mon petit bouton. David sur un signe dAlain sest mis derrière moi, il caresse mes fesses. Mais il est trop excité, alors dune main, il caresse ma hanche, de lautre il tapote sa trique contre mes fesses. De sa bouche il embrasse ma nuque. Jaimerais faire plus pour lui, mais là je suis concentrée avec la queue de Christophe entre mes seins.
Alain dit : « Allez, Christophe, force à travers ces seins ! Ah oui, avec les petites pommes de ta meuf, ça, tu nen as pas lhabitude ! »
Je rigole, jaccélère le vas et vient de mes seins.
Alain rajoute « Attention, ma puce ! Si on compare la taille de tes seins avec sa queue !! Attention à ne pas la broyer ! Quest-ce quon va dire à Françoise après ? »
On rigole comme des pervers, je me prends au jeu. Je dis à Christophe « Tu es mon prisonnier, je ne vais plus te lâcher ! Je vais te lécraser ! Je vais te la broyer ! Tu as vus ces gros seins ? Je vais réduire ta bite en bouillie ! »
Derrière moi, David est tellement excité quil tapote sa trique comme un fou sur mes fesses. Il me mord quasiment lépaule. Et, le petit cochon, je sens un de ses doigts qui saventure vers lentrée de mon petit anus
Christophe semble lutter désespérement entre mes seins, il sue comme une fontaine ! David, lui, a commencé à me doigter mon petit anus ! Son doigt entre un centimètre, ressort, deux centimètre ressort
Alain semble jubiler
Sa copine en train de broyer la bite de son pote, et de se faire doigter lanus par un autre pote. Lui, pour le moment se contente de me titiller le clitoris.
Alain dit « libérons notre prisonnier
» Christophe a lair soulagé
sa queue existe toujours
Alain me relève, il membrasse langoureusement
petite pause
de deux minutes.
Il me dit « Vas-y, ma puce, appuie toi les bras sur la banquettes et mets toi à quatre pattes. »
Christophe sassieds à côté de moi, jarrive donc à prendre sa queue en main. Je suis rassurée, elle est toujours dure, je lastique doucement. Alain vient de lautre côté, un genoux sur la banquette, sa grosse trique tendue vers mon visage. Jarrive à prendre sa trique en main, je donne quelque coups de langue
David sest mis derrière moi. Il prend mes hanches dans ses mains puissantes, je sens sa trique toute gonflée glisser entre mes cuisses. Dun coup, Alain sécrie « Non, David, ça cest à moi ! » David sest arrêté. Mais sur un signe dAlain je comprends ! Il y a des choses quAlain partage et dautres pas ! Je sens alors David me reprendre avec force mes hanches
et je sens son gland qui commence à pousser entre mes fesses, à lentrée de mon petit anus
Et il entre ! Je dis « Doucement, David !!! » Il ralentit, mais cest trop tard, son gland a déjà passé la porte. Jai plutôt mal, mais cest bon aussi. Je me venge sur les deux bites que jai en main. Je les astique, je les serre bien fort, juste sous leur gland !
David rentre et ressort de mon anus, lentement maintenant. Mais peu à peu il recommence à accélérer, il lâche mes hanches, prends mes seins à pleines mains. Voilà quil me secoue comme un prunier ! Ses coups de boutoir me font presque défaillir !
Alain sécrie « Attends, David, retiens-toi, avec tout ce quelle nous a fait, elle mérite une surprise finale, ma puce ! »
David était sur le point de jouir, en effet. Il se retire. Alain me fait me relever. Il membrasse langoureusement
petite pause dune minute
Les trois gars sont rouges comme je ne sais pas quoi, ils dégoulinent de sueur, leurs triques sont gonflées à bloc
Alain me fait me placer à genoux, au milieu de ces trois hampes dressées. Je prends une trique dans chaque main, je les astique vite et fort ! Je prends celle dAlain dans ma bouche, ma langue tourne autour de son gland le plus vite quelle peut.
Mais Alain retire sa trique de ma bouche. Il prend ma main droite et dit « Prends les boules de David ! Et de ton autre main, prends celle de Christophe ! »
Je malaxe les deux paires de boules que je tiens dans mes mains. Les trois se mettent à astiquer leurs triques face à mon visage ! Mais Alain dit « Sur ses seins, bande de cons ! »
David, tellement excité, rouge comme une forge, tous ses muscles dacier tendus, devenu presque fou en taraudant comme une bête mon anus, explose et envoie tout sur mes seins en hurlant. Une immense giclée de jouissance !
Christophe explose à son tour ! A-t-il vaincu la peur de sa copine ou celle que jai failli lui broyer sa bite ? Mais il jouit bien fort lui aussi.
Il me reste mon chéri, Alain. Jouvre grand la bouche, je lui masse les boules. Je glisse un doigt sur son anus. Il sastique comme un malade en me regardant. Ses yeux semblent sortir de leurs orbites. La sueur dégouline de partout. Ses gros muscles sont devenus tellement rouges quon dirait un mutant ! Il hurle et explose !!! Sa jouissance jaillit sur mes seins, ma langue, mes lèvres mes bras
.
Il se pose sur le banc. Il souffle et dit « Je tadore, ma puce » Il membrasse tendrement, malgré le sperme que jai partout.
Nous finissons quand même par mettre nos maillots. Nous rejoignons Françoise qui nous dit « Ce que vous avez été long !!! De quoi avez-vous bien pu discuter pendant tout ce temps ? » Et comme elle commence à engueuler Christophe, Alain lui dit
« Mais arrête de lengueuler !! Tu crois quon a baisé tous les quatre dans les vestiaires ou quoi ? »
A ces mots, David et moi, on se met à rire comme des baleines, mais Christophe a un peu plus de peine à nous imiter
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