Seconde Rencontre

Pour Mimie! Désolée pour les fautes.

6h.
Je me lève, un grand jour. Besoin d’être au maximum. Je reçois un cadeau ce soir: mon collier.
Je commence à réviser, aller, l'anatomie pour me changer les idées, ne plus y penser, ne plus y penser, faire passer le temps. Le dernier sms de mon Maître hier soir, 21h00: "mets des talons demain".
Je regarde mon téléphone toutes les 10 minutes, à 10h30 aucun sms, il doit être occupé.
J'apprendrais plus tard, qu'il n'aime pas donner trop d’indication à sa petite chose, faire monter la tension en moi, l'inquiétude, je n'en serai que plus docile...
Pour le moment, je me décide à prendre soin de moi, épilation, vernis rouge, je me masse les jambes
avec de la créme parfumée, puisque j'ai le temps ce sera tout mon corps. Je veux être parfaite. 11h30 toujours aucun signe de mon Maître. J’envoie plusieurs messages. Enfin une réponse. Il m'assure que tout est prêt pour ce soir.
12h déjeuner léger, je lui envoie un sms pour lui faire plaisir, et j'avoue, pour le mettre dans de bonnes dispositions pour cette soirée, c'est un lien vers le récit de notre première rencontre.
Je l'avais écrit à sa demande, mais il ne m'avait absolument pas permis de le publier, je me dis que finalement ce n'était pas du tout une bonne idée. Que je vais être sévèrement punie pour ça! J'angoisse, mon ventre est noué, j'attends sa réponse tremblante, mais... mais.. ça m'excite!! L'idée d'être punie, de me faire frapper, humilier ou que sais je..
Mais il est content, finalement, je suis soulagée. L'excitation, elle, ne me quittera plus.
19h00 :Mercedes classe E vitre teinté, avec un chauffeur de 2 mètres au moins. Voilà ce qui se présente à moi dans la rue adjacente à celle ou j'habite.Une minute plus tôt je me trouvais super prévoyante de ne pas avoir donnée mon adresse, je comprends en regardant ce gars qu'il pourrait me avec son petit doigt, pour la prévoyance on repassera.

..
Il me dépose à un café, il que dit que Monsieur m'attends à l'intérieur. J'ai soudain l'envie folle de demander à Hercule, si il est le chauffeur perso du dit Monsieur, si il fait ça souvent le dit Monsieur, combien il y a eu de filles sur cette banquette arrière, tremblantes, hésitantes, la culotte mouillée. Il me jette un regard froid, je pense que c'est une invitation à bouger mon petit cul de là, je crois que ce soit le genre à donner des infos de toute manière. Je sors.
Je pousse la porte, dans ma robe noire je me sens bien, belle, j'attire quelques regards, j'espère que je ne suis pas trop vulgaire, c'est vrai qu'il fait un peu froid, que le tissus est assez fin, si ça se trouve j'ai l'air d'une quiche vulgaire.
Ouf, je l’aperçois enfin. Il se lève, vient à ma rencontre, je ne sais pas du tout ce que je dois faire, lui faire la bise? Lui serrer la main? Je baisse les yeux, j'attends que ça passe. Il me sert gentiment dans ses bras et embrasse ma joue. Ouf ça c'est fait. Début de la conversation, il m'annonce que le véhicule est mis à ma disposition. Il me tends une enveloppes, c'est les informations que je lui ai demandé, une photocopie de sa carte d'identité. Je veux être sur de à qui j'ai à faire. Arrêter de penser à mon corps en morceaux dans la seine. Au moins la, si c'est un dingue, si il me tue, la police aura une piste. J'envoie la photo de la photocopie à mon safe call. I
l sort, il passe un appel. Il m'envoie un smms pour me dire de le rejoindre. On monte en voiture avec Hulk, mon Maître le tutoie, Hulk est tout mièvre avec lui, et vas y qu'il envoie du "oui Monsieur", "bien sûr Monsieur" en hochant la tête. Je souris à l'idée qu'Hulk puisse être lui aussi un gentil soumis, bien sage, et bien obéissant.
Ballade dans paris, des lieux importants, il n’en dit pas trop, passage devant l’appartement de ses parents, plus loin de sa sœur. Il me met à l'aise. Nous avons fait une halte au panthéon il me prépare doucement à me mettre en condition, me rappelle que ce soir est important.

Me parle collier, études, d'avenir. Il m'envoie un sms dans la voiture: "ca va". Je réponds "oui Maître", envie de lui dire à quel point je suis excitée par la situation, Il m'envoie "excitée? Inutile de nier,inutile de répondre même, c'est évident"
Je prends une teinte cramoisie, ça le fait rire.. Et en même temps je sens en lui monter des envies, je sens son regard sur mes jambes. J'ai tellement envie qu'il me touche, on est a 10 cm l'un de l'autre, mais non, il se contente de me sourire. Le chauffeur dépose mon Maître au lieu de notre rendez vous,hors de Paris, je vais pour sortir il me retiens.
"Non, toi tu restes" Il m'annonce que j'ai deux heures de libre. Que je dois bien réfléchir à ce qu'il va se passer, il m'accorde ainsi le droit de ne pas revenir, je ne sais pas quoi faire! Je rentre chez moi. Au moins je pourrais uriner tranquille, appeler ma meilleure amie pour lui
dire que tout vas bien.
21h30 j'ai fait mon choix. Je le rejoins.
Il me guide le long des couloirs, je me demande bien ce que c'est que ce bâtiment. On dépasse un open space,encore un couloir, un ascenseur, on descend au sous sol. Je commence à flipper, tout est vide, tout est mort, il n'y a personne ici, enfin j'espère.. On arrive dans une salle. Juste une grande table, un immense tapis beige, un fauteuil, une gamelle. Et dans un coin un robinet et un miroir.
Aucune fenêtre.

"Mets toi nue!" L'ordre fait vibrer toutes les cellules de mon corps.
Il résonne. Je suis pétrifiée. Il s'approche de moi, me susurre "n'est pas peur", fait glisser ma bretelle le long de mon épaule. S'éloigne..
"C’est la règle Emma" dit-il le dos tournée.
"En séance la soumise est nue"
Il diminue l'intensité de la lumière. Je me sens déjà mieux, il revient vers moi.
"Aller" dit-il avec un sourire joueur. Je fais glisser ma robe, la laisse à mes pieds, je retire mon collant.
"Bien, très bien, continue" me dit-il. Il se met derrière moi.

Je retire mon soutien gorge. Il att mes cheveux, les tirent lentement en arrière pour faire basculer ma tête, je me sens tellement vulnérable, la, seule, à moitié nue.
"Enlève TOUT" siffle t'il. Je retire ma culotte. Il passe ses mains sur mon dos, me réchauffe, puis un doigt qu'il fait courir sur mes flancs, remonter sur ma nuque.
"Écarte tes jambes!" Je m'exécute mécaniquement, je me rends compte à quel point elles tremblent.
Il passe un doigts sur ma vulve, sans me pénétrer, étale ma mouille jusqu'à mon clitoris.
"Tu est trempée comme ça depuis quand?" demande t(il.
"Je ne sais pas Maître, je n'y pensai pas Maître"
"Fait voir ta culotte!" Je me baisse, gênée d'offrir ainsi mes fessesa sa vue, la culotte noire est trempée, une grosse tache humide en son centre. Il la plis, me fait ouvrir la bouche. Et il la met toute entière dedans, mon odeur intime m'envahit. J'ai peur qu'il m’étouffe avec. Une fois que tout est bien rentré il me jette un regard froid et lance "Et la tu y penses?"
Je me contente d'hocher la tête honteuse d'être aussi excité par ce geste violent.
Il me demande la position 1, celle que j'ai du apprendre chez moi. A genoux, les jambes serrées, les paumes de mains vers le ciel.
Il me corrige pour que je sois bien droite. J'aime le sentir touchée mon corps ainsi, il saisit mes épaules fermement pour les placer dans l'axe.
"Voila, la tes seins sont bien mis en valeurs, regarde comme ils sont beaux".Je comprends qu'il ne veut pas m'humilier, j'essaie de lui plaire.
Même si je suis très stressé je suis bien à présent.Puis la position deux, a genoux, dos cambré,visage au sol, bras tendu et posée au sol.
Du pied il me corrige, sentir ses chaussure sur mes cuisses m'excite au plus au point, il me pousse jusqu’à ce qu'elle soit suffisamment écartées.
Il me donne une légère fessé, je couine de stupeur. Ça le fait rire, je ne le vois pas. Je ne le sens plus derrière moi, il me regarde? Que fait il? Je commence à avoir peur.
Soudain il pose une main sur mon sexe, et masse lentement mon clitoris du bout des doigts.
"Détends toi" me lance t-il. J'étais tellement excitée que je pourrais jouir en 2 minutes, j'essaie de profiter au maximum, je ferme les yeux, je sens les vagues de plaisir prendre possession de mon corps. Quand j'approche de l'orgasme il s'arrête.
"Prête pour ton collier"
Je soupire un "Oui.." dans mon état de frustration j'aurais pu dire oui a tout, mon corps et en coton, et mon cerveau n'en peut plus de toute cette peur mêlée d'excitation.J'entends la boucle de sa ceinture, je ne m’inquiète pas plus que ça. Il veut être à l'aise pour me passer ce collier sans doute. Le bruit caractéristique quand il l'extirpe de son pantalon réussi tout de même à provoquer un frisson le long de mon dos.
"Oui qui?" demande t-il calmement.
Je panique, j'ai oublié de dire "Maître" je vais être punie..
Je réponds "Oui Maître, veuillez m'excuser Maître, mais je.."avant que je finisse ma phrase il m'att violemment les cheveux, me retourne sur le dos, me regarde droit dans les yeux et me dit
"ce sera trois coups de ceinture."
"Merci Maître" c'est la seule réponse que j'ai trouvé pour ne pas aggraver mon cas.
Il me fait me relever, et sans lâcher mes cheveux me positionne sur le fauteuil. Fesses offertes, dos cambrés, visage dans le siège. Le premier coups je sers les dents, je ne m'attendais pas à ce qu'il frappe si fort, je lève une jambe par réflexe.
Il gronde "encore un mouvement non autorisé et tu le regretteras".
Je n'ose presque plus respirer.
Le second coup je mors le fauteuil pour ne pas hurler, j'imagine la couleur de mes fesses après ça.
J'ai peur que le troisième soit plus fort.
J'entends sa chemise quand il lève le bras, l'air se fendre puis la ceinture atteint mon postérieur. Je pleure de douleur.
Il me prends dans ses bras, embrasse mes cheveux, sèche mes larmes et me félicite, je suis heureuse d'avoir tenue le coup, fière de moi.
Il pose son front contre le mien et l'on reste là,debout, un moment, à respirer le même air. Mes lèvres envieuses attendent un signe, un tout petit signe, pour me laisser aller à l'embrasser. Mais non, rien. Peut être qu'il n'en a pas envie? peut être que j'ai été ridicule. Peut être qu'il me trouve laide, grosse? Maigre? Peut être que je fais plus pitié qu'envie..
Il s'assoit sur le fauteuil, je m'agenouille a ses pieds, pose ma tête sur sa cuisse, je me sens bien. Il ramasse le collier. Me le pose. Il est beau.
Je me prends à rêver de son sexe en moi. Au minimum dans ma bouche. La tête posée sur ses genoux, ses doigts dans mes cheveux, ma bouche est si près de son sexe que s'en est rageant!
Il se lève. Me promène comme une chienne dans la pièce, me demande "tu veux aller faire un pissou dans la rue ma chienne?" Je suis tétanisée, il éclate de rire.
"Tu as soif", j'oche la tête. Il va vers le robinet, va savoir pourquoi j'ai espérer un verre d'eau.. C'est bien la gamelle qu'il ramène.
"Et bien tu as soif ou non? Aller bois! Voila comme ça, sort ta langue de chienne, lape, encore.. c'est bien mieux, à ta place maintenant!"
Je vois à travers son pantalon à quel point cela peut le faire bander.Je vais me coucher sur le tapis en espérant me faire prendre. Il me rejoins, m'allonge sur le dos. Commence à jouer avec mes seins.
Il les malaxe, les tire, les mords, les tires à nouveaux. Il les claques, en me regardant droit dans les yeux, pince fort mes tétons, me demande de le regarder, il sait que j'aime ça! Je commence à mouiller comme jamais. Il me fouille son sexe et me fait lécher ses doigts ensuite. Puis reprends de plus bel le travail de mes seins.
Ça l'excite lui aussi, il se met à m'insulter et plus c'est vulgaire, plus ça m'excite: "Tu aimes ça, hein, sale chienne", "Tu n'as que ce que tu mérites petite trainée" "regarde moi ça comme tu mouilles, t'aime ça être traitée comme une pute hein?"
A chaque fois j’acquiesce, et il mords, pince, et tire plus fort sur mes seins.
Puis il sort son sexe. Je n'ose pas la regarder, il passe par dessus de moi, tiens mes mains serrées au dessus de ma tête, et m'enfourne sa bite dans la bouche. Je ne peux pas bouger, il est assis sur ma bouche et la baise comme jamais. Il s'enfonce en moi
d'abord lentement, puis plus rapidement. Avec un rythme immuable, je bave, il bouche mes narines, et continue à m'insulter. Je n'avais jamais pris autant de plaisir à sucer. Je vois à quel point mes haut le cœur l’excite. Il aime m' avec son sexe, sa respiration s’accélère quand il est profondément dans ma bouche.
Puis soudain il se retire, approche son visage du mien, me demande: "tu aimes ça hein?"
"Oui, Maître" et je ne mentais pas, j'avais adoré, je voulais encore senti le gout salé de son sexe, je voulais encore le sentir a fond de ma gorge, je voulais juste qu'il repose ses couilles sur mon visage que je puisse les lécher avidement.
"Je savais que sous tes airs timide tu serais la pire des salopes, un peu de dressage, un peu d'entrainement et tu sera une vraie chienne"
Sur ces mots il me fait ouvrir la bouche, me fait sucer ses doigts, me demande de garder la bouche ouverte et crache dedans.
"Avale!" m'ordonne t-il.
"Bien, bonne salope. Tu vois, ce n'était pas si dur, bientôt tu seras un vrai sac à foutre je te le dis, aller position 2"
Me voila à genoux et cambrée, offerte, j'ai peur qu'il me prenne violemment mais j'en ai tellement envie à la fois, il caresse mon dos, mes cheveux, prends mes mains et me les fait mettre dans le dos. Puis il passe un doigts sur mon sexe, enfin il me doigte.
"Ce que tu est serrée petite pute, huum ça va être bon de te prendre, je vais t'élargir tout ça, ensuite il faudra bien utiliser les boules de geisha pour rester aussi serrée pour ton Maître, tu comprends sale truie?"
"Oui Maître" cette fois si, même avec deux doigts dans la chatte je n'oublie pas le "Maître", la leçon a été efficace.
"Puis je vais m'occuper de ton joli petit cul aussi, c'est bien d'avoir pensé à t'épiler l'anus, mais je sens qu'il manque d'entrainement lui aussi, on va remédier à ça ne t'inquiète pas.
Il bande toujours, mais ne me prends pas, l'attente est si frustrante, je me faire baiser maintenant, je veux sa grosse bite bien au fond de ma chatte. Mais non, au lieu de ça il me remet sur le dos. Se branle entre mes seins, me gifle, m'insulte, me crache dessus, j'accepte sans broncher en attendant qu'il se décide à me baiser, mes il préfère éjaculer sur mon visage rougi.
"Tu as envie d'une bite pas vrai?" Me susurre t-il en nettoyant mon visage.
"Oui Maître, j'en meurs d'envie Maître" lui dis je avec un regard suppliant.
"C'est bien Emma, j'aime te garder dans un état constant d'excitation, habilles toi" Il retire mon collier et me tends mes vêtements, il garde ma culotte, et me dis que je n'en aurais pas besoin.
Une fois sur la banquette arrière, j'ai peur de la tachée avec toute cette mouille, mon Maître me regarde une dernière fois. Passe sa main dans mes cheveux et me dis "C'est très satisfaisant Emma pour une première". Je rougis, honteuse, et encore excitée. La portière se referme sur moi et Hulk, je me prends à rêver que Hulk finisse le travail. Il doit avoir une sacrée bite vue sa carrure. Je l'imagine me défoncer sur sa banquette arrière, j'en brûle d'envie. Mais je n'ose pas demandé.
"On est arrivé" dit-il sèchement. "Bonne nuit Mademoiselle"
Je sors, je me précipite chez moi, je veux me faire jouir, je suis tend excitée, je me repasse le fil de la soirée , je repense à toute ces insultes, je me dis à moi même quelle pute je suis, j'essaie de me rappeler de sa voix quand il me le dit, de son regard. Soudain un sms, je me dis que je regarderais plus tard, mais je me reprends, si c'est lui et que c'est urgent??
Je fouille mon sac, oui c'est bien un sms de mon Maître, "Ne jouis pas salope! Tu jouiras quand tu y sera autorisé".
Je réponds "oui Maître", mais en fait j'ai en rien à foutre, j'étais au bord de l'orgasme et je compte bien jouir maintenant. Je me jette sur mon lit, glisse deux doigts en moi, me pine les seins pour raviver la douleur, et me laisse aller à un long et puissant orgasme.
Je m'endors immédiatement après.
Le lendemain matin j'ai deux sms, un de ma mère qui me souhaite une bonne journée, un de mon Maître "Tu seras punie petite chiene, sévèrement..."

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