L'Odyssée De La Belle Hélène (Épisode 36) -
L'Odyssée de La Belle Hélène : La piscine aux bains grecs et l'atelier de Praxitèle
Thaïs s'agrippait au bord de la piscine d'eau chaude, son dos creusé, sa croupe tendue... Hélène se tenait derrière elle, collant sa peau contre la sienne, une main lui pelotant un sein, tandis que l'autre s'immisçait lentement entre ses cuisses. Les deux corps ne faisaient qu'un dans l'eau fumante dune source naturellement chaude, les membres s'emmêlaient, et les fines dents nacrées de Hélène mordillaient le cou, le lobe de l'oreille de la femelle Thaïs à la peau sombre qui s'abandonnait maintenant sans plus de retenue à Ses caresses. Le désir de cette belle putain était venu spontanément à La Belle Hélène qui avait apprécié l'audace doublée d'obéissance dont faisait preuve cette femme qui avait su comprendre si promptement tout l'intérêt qu'il y aurait pour elle à placer ses pas dans ceux de Cette providentielle nouvelle venue. Comme elle s'était montrée un excellent guide dans les méandres de la Cité provisoire installée autour d'Olympie à loccasion des Jeux Sacrés, Thaïs se donnait maintenant avec un bel engagement. Sous ses doigts inquisiteurs, Hélène sentait que la putain ne simulait pas, que ses gémissements n'étaient pas feints. Docile, Thaïs s'abandonnait aux mouvements imprimés par La Volonté dHélène, qui manipulait la femme comme une poupée obéissante... Saisissant à pleine main l'épaisse crinière brune, elle la força à lui faire face et l'attira à Elle, l'embrassant à pleine bouche, mordant ses lèvres charnues. Leurs seins se frôlaient, les tétons dressés de l'Une et de l'autre... Thaïs frémissait de plaisir entre les mains si expertes dHélène. Habituée aux étreintes si succinctes des hommes qui se payaient ses services au bordel (dont elle serait désormais la tenancière) et à leur plaisir aussi brusque que primaire, les caresses expertes de Cette Femme l'inondaient de sensations aussi nouvelles qu'enivrantes
Ainsi, Le dos plaqué contre le pavage, la putain avait relevé ses jambes, enserrant les hanches de Celle qui la maintenait tout contre Elle.
Thaïs râlait maintenant sans retenue, totalement livrée à ce plaisir qu'elle ne donnait pas mais qui lui était pris. Elle ne contrôlait rien, n'avait plus de volonté, sinon celle que ce moment ne cessa jamais ! Lorsqu'Elle se sentit repue, Hélène abandonna Thaïs et replongea dans l'eau tiède, laissant flotter son corps tout en surveillant du coin de l'oeil la femelle alanguie qu'Elle venait de faire jouir abondement.
- Saches, putain, qu'avec moi rien n'est jamais acquis
(elle gifla encore)
Est-ce clair putain ?
Thaïs manquait de souffle pour répondre de façon intelligible. Ce qui lui valut une nouvelle série de claques.
- As-tu compris la leçon ? demanda Hélène sur un ton aussi glacial que l'eau du bassin...
Thaïs secoua maladroitement la tête :
- Ou... oui !" suffoqua-t-elle
Hélène desserra, de son pied, un peu Son emprise et caressa le visage de Thaïs, puis ses seins.
- A toi putain, montre-moi que ta bouche peut me combler ou il t'en cuira !
Déjà, la langue de la putain léchait avidement, docilement lanus jusquà la chatte dHélène et inversement ...
Pendant ce temps, comme la langue de Clytia qui au même instant était allongée les yeux bandés, ligotée et écartelée, et qui sentait un cul de femme se poser sur son visage. Un cul que l'esclave commença à lécher tout naturellement... En effet, un peu plus tôt, tandis qu'elle était en train de satisfaire l'un des vieux Sages qui l'enculait avec ardeur, l'esclave avait soudain été saisie par des mains fermes, libérée de ses chaînes et on lui banda les yeux. Sans un mot, sans explication, elle fut bousculée, attachée les mains dans le dos et poussée... Elle était menée sans ménagement, sans savoir ni par qui, ni vers où. Bien sûr, Clytia avait une petite idée...Certes elle ignorait depuis combien de temps elle était retenue captive des Sages, mais sans doute son temps était-il achevé. Comme cela avait été conclu lors de son achat, elle supposa qu'on la menait maintenant chez le célèbre et riche sculpteur qui avait partagé avec les Sages la somme considérable exigée pour en faire leur propriété. Maintenant que les vieux pervers d'Olympie avaient pu jouir d'elle des plus multiples et avilissantes des façons, sans doute Praxitèle avait-il réclamé sa part de l'esclave, avant que celle-ci ne fut définitivement offerte à l'un des champions des jeux Sacrés d'Olympie.
On l'avait menée, telle la pauvre esclave quelle était et dont l'opinion n'était point requise. Elle avait suivi de longs couloirs, d'abord pavés, puis ses pieds s'étaient blessés sur des cailloux et elle avait senti l'air frais de l'extérieur sur son corps nu. Ainsi, elle était maintenant hors de la Cité... Elle avait été contrainte de suivre un sentier terreux sur plusieurs centaines de mètres, puis de gravir un étroit et interminable escalier... Enfin, elle avait retrouvé un sol pavé et avait été jetée sur le sol, couchée sur le dos sur de froides dalles et attachée en croix, des liens fort serrés la maintenant ainsi par les poignets et les chevilles... Ses yeux bandés, elle ne pouvait que tenter de deviner ce qui l'entourait en guettant le moindre bruit. Mais très rapidement, elle avait senti une présence et, maintenant, une personne (une femme supposait-elle) venait de s'asseoir sur son visage. N'ayant reçu aucun ordre, Clytia entreprit donc de lécher ce cul ferme qui s'était posé sur son visage. Au-dessus d'elle, la femme venait de brusquement se lever, l'abandonnant ainsi, le visage souillé, la langue parfumée du goût âcre de ce cul sincèrement fort délicieux !
- Alors la voici enfin, disait une voix d'homme...
- Je l'ai faite exposer, afin que tu puisses détailler son corps. Il me semble qu'elle peut convenir, répondit une femme, sans doute celle qui venait de marquer de son parfum le plus intime l'esclave exhibée
- Mmhh oui, oui... elle est fort belle, des formes sinueuses, une croupe et des hanches parfaites, la poitrine ferme, lidéal modèle à sculpter ! Telle que je l'avais de suite remarquée lors de la vente
- Eh bien, ne perds donc plus de temps ! Evalue ses mesures, afin de rapidement te mettre au travail !
- Certes... mais tu n'as pas manqué de lui offrir un avant-goût de tes plaisirs, à mon tour maintenant !
- Alors fais vite
, répliqua la femme manifestement irritée,
je sais que tu as besoin aussi de cracher ta gourme ! Mais ne t'attardes pas, jouis de cette superbe femelle et au travail !
Sans doute s'était-elle éloignée, car Clytia sentit une main calleuse d'homme se poser directement à l'intérieur de ses cuisses... remonter sur son ventre, vers ses seins... Les mains semblaient très larges, puissantes, mais leur peau était sèche, marquée de callosités qui griffaient la peau fine et fragile de la jeune aristocrate au crâne rasé et réduite à l'état d'esclave. La main épaisse caressait son visage...
- Oh oui, tu es belle ! Très belle ! (il passait ses doigts sur les lèvres humides de la jeune femme) Hummmm ! Si fine, si délicate ... J'ai rarement pu contempler esclave si parfaite. Ton corps est harmonieux et j'ai très envie de l'immortaliser par mon oeuvre. Ma prochaine statue dominera la Cité, elle incarnera la beauté et la féminité. La Belle Phryné consent à m'offrir son visage, mais nul ne peut contempler son corps, aussi dois-je m'inspirer d'une autre... En l'occurrence, ce sera toi. Bon choix ! Le meilleur, le plus beau !
Mais assez parlé, avant de prendre tes mensurations dans les plus infimes détails, je veux me plonger en toi, te posséder en chair avant de te dépouiller pour faire de toi une chose de marbre ! Ou plutôt Ma chose
Oui, avec ton corps sublime, je vais réaliser ma plus belle statue que je nai encore jamais conçu
Sans ajouter un mot, Praxitèle s'allongea sur le corps écartelé de Clytia et planta sa queue sans préambule, entre les cuisses de l'esclave, la baisant avec une incroyable vigueur. En effet, ses coups de reins étaient puissants, profonds, rythmés, fougueux. Praxitèle ahanait à chaque va-et-vient, mais sans jamais baisser la cadence ... Un peu à l'écart, Phryné ne perdait rien du spectacle de son amant baisant cette délicieuse jeune femme. Elle serrait ses poings de rage, jalousant cette femelle qui n'était rien, et qui était ainsi totalement exposée dans une nudité que Phryné même avait fait le choix de refuser désormais, depuis qu'elle avait été exhibée par son avocat devant les juges athéniens. Depuis, elle ne pouvait plus se montrer nue et Praxitèle devenu son amant contraint à des expédients, tant pour les plaisirs du sexe que pour exprimer son don de sculpteur, son art à travers les plus somptueuses statues de nu... Cette esclave serait utile, certes, mais Phryné avait bien l'intention de lui faire cruellement payer chaque regard du sculpteur dont elle partageait la vie
(A suivre
)
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