Mes Cousines Et Moi 7

VII – La bite en chocolat

Pour pâques, une bonne partie de la famille se retrouve chez ma grand-mère pour passer une ou deux journées ensemble. Lorsque j’arrive, je me rends compte qu’il manque pas mal de monde. La famille d’Elina n’est pas là. Céline est seulement là avec sa mère. Ma marraine Sophie est là avec son mec mais sans les s. En fait, avec Céline nous sommes les deux plus âgés des cousins qui sont présents. Ainsi, ma grand-mère nous dit de nous mettre tout les deux dans la même chambre. Je prends la même chambre que d’habitude, celle qui est la mienne depuis toujours (l’avantage d’être l’ainé).

Evidemment, j’ai très envie de baiser ma cousine, surtout lorsqu’elle marche devant moi dans le couloir et que je peux voir son magnifique cul rebondir à chacun de ses pas devant moi. Mais malheureusement je ne peux rien faire car mes oncles et tantes installent mes cousins les plus petits. Néanmoins, lorsque nous sommes dans la chambre, Céline se jette dans mes bras et nous nous embrassons tendrement. Mes mains parcourent ses fesses généreuses qui oscillaient devant moi. Nos langues s’entre mêlent et je sens son 90D s’écraser contre mon torse. Nous ne pouvons pas aller plus loin car nous allons bientôt passer à table. En voyant les plus petits se goinfrer d’œufs et de poules en chocolat, elle me dit qu’il est dommage qu’il n’y a pas de bite en chocolat !

Lorsque le repas est terminé, nous remontons assez vite car l’un comme l’autre, nous n’avons qu’une envie : baiser. Quand je sors de la salle de bain, elle entre à son tour pour prendre sa douche. J’ai vu que ma grand-mère a un bol plein de chocolat liquide (je ne sais pas pourquoi, je suis plus fort en sexe qu’en cuisine) je vais donc prendre ce bol et je remonte dans ma chambre. Je trempe ma bite dedans pour qu’elle soir recouverte de chocolat. Quand Céline entre dans la chambre, je suis nu dans le lit. Elle fait tout de suite tomber sa nuisette et je peux voir son corps nu, si frais et appétissant.

Je lui dis que le lapin a exhaussé son vœu et qu’il existe bien des bites en chocolat. Sur le coup elle pense que je vais sortir une bite en chocolat dans un emballage, mais je pousse le drap et elle découvre ma bite toute dure et recouverte de chocolat. Elle se jette dessus et l’insère entre ses lèvres pulpeuses. Elle lèche ma bite sur toute sa longueur. Il faut dire qu’elle est tout aussi gourmande en sexe qu’en friandises.

Pendant qu’elle se régale avec ma bite, je caresse ses fesses et les attirent vers moi. Nous nous plaçons en 69. Je lui bouffe la chatte tandis qu’elle continue de bouffer ma bite. Elle suce vraiment très bien et elle est très excitée par la situation. Du coup, sa chatte coule abondamment. Au bout d’un long moment, elle se redresse et att le bol. Elle s’allonge sur le dos et s’enduit les seins de chocolat. Elle me dit que le lapin a aussi inventé les seins en chocolat. Je lui bouffe donc les seins pendant un long moment.

Après plusieurs minutes, elle me supplie de la prendre. Je me redresse pour me placer entre ses jambes mais je lui dis que je n’ai pas fini mes seins. Par contre je remarque qu’elle a léché tout le chocolat qu’il y avait sur ma bite. Je lui fais remarquer et elle trempe ma bite dans le bol. La tiédeur du chocolat est agréable mais la chaleur de sa chatte est encore meilleure. En effet, j’insère ma bite pleine de chocolat dans sa chatte. Elle est sur le dos, je suis entre ses jambes qu’elle enroule autour de moi. Je badigeonne ses jambes de chocolat puis je les caresses et les lèches. Je la fourre violement, comme elle aime, dans un bruit de visqueux certainement du à sa mouille et au chocolat. Je la saute un long moment, puis je sors d’elle et je viens me placer entre ses gros seins sur lesquels elle a remis du chocolat pour se les lécher. Je me branle dans ses gros seins. Lorsque ma bite dépasse de ses seins, elle en profite pour la lécher. Finalement, j’éjacule sur son visage. Je m’allonge contre elle et lèche le mélange de sperme et de chocolat puis je l’embrasse.

Cette coquine est tellement excitée qu’elle att tout de suite ma bite pour me branler. Comme je n’ai quasiment pas débandé, je suis rapidement opérationnel pour la rebaiser. Comme je m’y attends, elle veut que je l’encule. Elle fait couler du chocolat sur ces fesses. Je me régale en léchant ce fameux cul chocolaté (même si la couleur et la texture du chocolat à cet endroit du corps pourrait faire douter des gens !). Lorsqu’elle est suffisamment ouverte, je la saute d’un coup sec. Je bourre son cul sans retenu. Elle est à quatre pates, je m’agrippe à ses hanches pour la prendre bien fort. De son coté, elle place le bol devant elle et mange du chocolat en même temps qu’elle se fait déboiter. Elle commence a couiné assez fort et pour l’empêcher de crier, j’appui sur sa tête et je lui enfonce cette dernière dans le chocolat.

Je maintiens la pression un moment puis avant qu’elle ne s’étouffe, je lui tire les cheveux pour la faire remonter et qu’elle cambre bien son cul de salope. Ma cousine est terriblement excitée. Je lui replonge donc la tête dans le bol. Je refais cela plusieurs fois puis lorsque je sens que je vais jouir, je me retire d’elle et j’éjacule dans le bol. Céline me regarde d’un air complice et mange ce sperme au chocolat (d’ailleurs il parait que c’est très bon).

Nous nous allongeons l’un contre l’autre. C’est la que l’on se rend compte du carnage ! Nous sommes plein de chocolat et les draps aussi. De plus une étrange odeur a envahi la chambre. A moitié une odeur de sexe et à moitié une odeur de chocolat. Pour ne pas nous faire griller, nous changeons les draps et nous allons prendre une douche l’un après l’autre.

Le lendemain, nous profitons que tout le monde soit dehors pour nettoyer les draps en cachette. Céline descend au sous sol avec les draps pendant que je monte la garde. Quand je suis sur que tout le monde est dehors pour chercher des œufs dans le jardin avec les petits, je descends rejoindre ma cousine. Lorsque j’arrive, elle est appuyée sur la machine. Je m’approche d’elle et lui dis de ne pas bouger. Elle me dit que l’endroit est mal choisi. Je réponds qu’il faut qu’on attende devant la machine et que nous n’avons rien à faire. C’est surtout que je ne résiste pas à la vision de son cul bien moulée dans sa petite jupe. Je soulève sa jupe, j’écarte son string, je sors ma bite et je rentre en elle. J’att ses hanches et je la fourre. Elle se cambre et s’appui d’avantage sur la machine à laver. Comme nous n’avons pas beaucoup de temps, je la baise très fort. Ses gros seins finissent par s’écraser contre la machine et alors que je la baise violement, nous jouissons ensemble. Mon sperme inonde sa chatte. Nous restons un peu l’un dans l’autre mais nous entendons des pas qui se rapprochent. Je remonte mon pantalon et baisse sa jupe. C’est alors que Sophie entre dans la pièce. Elle nous dit que tout le monde nous cherche et elle nous demande ce que nous faisons. Céline lui répond qu’on lave le linge !

Notre tante nous dit qu’elle y croit dur comme fer, surtout qu’elle ne nous a jamais vu baiser ensemble, que nous n’avons jamais rien fait tous ensemble et que je ne l’ai jamais baisé sur le congélateur qui est dans cette cave. Céline lui dit que l’on peut le faire. Sophie répond que non car tout le monde nous cherche et qu’elle a son mec, même si ce n’est pas l’envie qui lui manque. Nous rejoignons donc les autres. Un peu avant le repas, ma grand-mère nous demande si nous n’avons pas vu un bol, comme celui qu’elle nous montre, plein de chocolat car elle ne le trouve pas. Nous nous regardons avec Céline et nous lui répondons que si c’est nous qui l’avions mangé, nous serions malade vu la quantité qu’il devait y avoir dans un si grand bol.

Céline repart le soir même avec sa mère. Après un dernier câlin, elle me glisse à l’oreille qu’elle est contente d’avoir gouté à une bite en chocolat. Pour ma part, je passe encore une nuit chez ma grand-mère mais vu les personnes qu’il reste, je ne suis pas sur de m’éclater mais la vie nous réserve parfois des surprises !

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