La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode N° 415)

Compelled au Château -

"C'est bien ma veine" pensait Compelled alors qu'il était assis sur une vieille souche d'une immense forêt sur les contreforts du Beaujolais au Nord de Lyon.

Détrempé par la pluie, perdu au milieu des bois, seul et surtout avec une cheville endolorie, il s'était retrouvé dans une sacrée posture à cause d'une simple envie soudaine. Appréciant la randonnée pédestre et le grand air, le pauvre avait attendu le week-end pour avoir l'occasion de crapahuter dans la forêt. Habitant à Lyon, Compelled eu l'idée d'aller pas très loin, pour aller respirer à plein poumons la pleine nature. Le plaisir de la liberté, le plaisir de voir les beautés de la nature de près, et de s'écarter, enfin, des bruits de la civilisation qui la harcelaient nuit et jour. Compelled avait besoin de faire un break. Fasciné d'histoire, il avait entendu parler de chemin de traverses parcourant les bois du Beaujolais. Après avoir laissé sa voiture près de la départementale et avoir fait quelques pas dans les bois, il avait l'espoir fou de marcher sur des chemins oubliés découvrir des endroits à peine parcourus par l'homme, suivre les vestiges du passé pour tomber sur un trésor naturel.

Mais mère nature en avait décidé autrement, la météo avait tourné au vinaigre contre toute attente, et les chemins oubliés depuis bien trop longtemps avait sensiblement subit les affres du temps et les avait rendu glissants et boueux. Une glissade, une chute, une entorse au pied et le pauvre Compelled se retrouvait piégé au milieu de nulle part. L'humidité et la température baissant, il prit son courage à deux mains avant de tenter d'avancer mais le rythme était lent et la fatigue se faisait sentir. Marchant, serrant les dents, il tentait d'aller vers le Sud, vers le premier village à proximité, espérant que la chance le fera tomber sur des vignes en contre-bas ou sur une demeure excentrée des habitations. Mais le destin avait décidé de lui faire découvrir bien mieux .

.. en un sens. Suivant les restes du chemin, Compelled tomba sur un épais et très long mur de pierre haut de plus de 3 mètres. La pluie ruisselante et la végétation grimpante avait assailli l'édifice humain, saison après saison, fissurant les pierres, mettant à jours les briques et effaçant sa présence lentement mais surement.

Un simple mur, un espoir de découvrir quelqu'un. L'espoir de pouvoir enfin se reposer, l'espoir de s'en être sorti par sa simple volonté et sa ténacité. Le chemin menait à une vieille grille rouillée de ce mur, une vielle grille en fer forgé, sans fioriture et sans volonté artistique, une vieille grille oubliée depuis très longtemps. Une ancienne entrée dérobée de serviteurs sûrement où la végétation avait à moitié cachée son entrée.... Compelled regarda au travers et il aperçut une petite maison entourée de bois, genre maison de chasseurs, aux tuiles entretenues, aux fenêtres neuves, ce qui bondir le cœur de l'homme. L'endroit était donc habité, il y avait des gens qui vivaient ici. La pluie avait cessé et le soleil apparaissait et déjà son entrain revenait. La chance ne l'avait pas abandonné en fin de compte. Boitant, toujours en train de se retenir avec un morceau de bois, un sourire apparaissait sur son visage quand il aperçut une lumière à l'intérieur, ce qui laissait effectivement présager que quelqu'un habitait là...

Compelled n'hésita pas une seconde, il rassembla toute ses forces afin de pousser la grille aux gonds rouillées. Celle-ci céda sous la pression et laissa un petit passage libre d'accès, ce qui permit à l'homme de passer de l'autre côté de l'enceinte. S'approchant de la fenêtre, il frappa aux carreaux mais personne ne semblait être présent dans cette pièce. Compelled fit alors le tour pour arriver près d'une nouvelle fenêtre où enfin il entendait du bruit. L'espoir naissait. Du bruit, un bruit qu'il n'avait pas même essayé d'identifier. Un bruit qui aurait sûrement évité la surprise de ce que Compelled vit.
Un homme nu était là immobile, à quatre pattes, il portait une cage de chasteté et un collier au cou. Il était tenu en laisse par un homme aux cheveux poivre et sel qui le saillit comme si c'était une chienne. Tirant sur la laisse, il lui faisait lever le visage et rythmait ses coups de butoir puissants et dominants dans un enculage viril, profond et sauvage. Les gémissements de l'homme était bestiaux, animaux alors que son sodomite lui parlait :

"Alors, la chienne ? Tu ne me remercies pas ?"

L'homme enculé jusqu'à la garde se mit alors à hurler au rythme de sa saillie. Il hurlait comme une folle.

"Aahhhh ! Aaaaaaaaaah ... ! Oui Maitre ! ... Merci Maitre ! Merci Maitre ! .... Merci merci merci !... Aaaaaaaaaah ... !"

Sa voix montait au rythme du plaisir qui prenait possession de son corps. Il suppliait le Maitre de le laisser jouir du cul, mais celui-ci restait intraitable et il le fessait tout en le besognant, attirant l'attention de Compelled sur une marque en tatouage noir et épais écrite sur la croupe du sodomisé. "esclave e6934 MDE" étaient les mots ou le matricule qu'il découvrait et pouvait lire. Compelled n'était pas un puceau innocent, mais il n'avait jamais vu, autre part que dans l'imagination de certains pornographes, un homme ainsi attaché, soumis, extatique, sodomisé aussi sauvagement. La scène était envoûtante, hypnotisant, mais bien trop surprenante. Agissant presque de manière animale, guidé par une morale trop longtemps incrusté en lui, Compelled recula pensant que s'écarter de la scène allait la rendre fausse ou simplement irréelle. Des pas dans une campagne détrempée et avec une cheville encore douloureuse. Le sol se déroba sous ses pieds. Glissant, il tomba lourdement sur le sol. Troublé, il ne pouvait plus effacer ce qu'il venait de voir, l'image de cette pervers saillie passait en boucle dans son esprit et ... il se surprit de bander ... En effet Compelled présentait une forte érection, il ne pouvait que se rendre à l'évidence, ce qu'il venait de voir l'avait terriblement troublé certes ! Mais surtout excité, terriblement excité .
... Figé dans ses pensées bandantes, il ne bougeait plus quand son visage disparaissant dans l'herbe et la boue. La fatigue reprit son du, la douleur aussi. Epuisé, il laissa les ténèbres prendre possession de son esprit....

Pourquoi ces chiens aboyaient-ils, tout près, sans cesse, alors que Compelled souffrait d’un terrible mal de tête ? Il lui était impossible d’ouvrir un œil tant cette douleur l’irradiait. Et puis, il y avait cette contracture au niveau des épaules et omoplates qui l’empêchait de se mouvoir un tant soit peu. Pourtant il aurait bien voulu dégager ses deux bras coincés sous son dos, mais impossible ! Et toujours ces jappements au plus près, qui résonnaient dans sa boîte crânienne prête à exploser. Il fallait au plus vite que compelled fasse l’effort d’ouvrir les yeux pour comprendre pourquoi une telle meute s’excitait près de lui.

Le droit d’abord puis le gauche ensuite, avec grande difficulté, compelled arrivait enfin à écarquiller les yeux. Où était-il ? Son regard se figeait sur cette ampoule, fixée au plafond, poussiéreuse et vacillante. Elle éclairait faiblement les lieux, une lumière blafarde, terne, sans éclat. Le réflexe de Compelled fut de se redresser et de s’assoir. Dans un effort surhumain, sans l’aide de ses bras et mains toujours ankylosés et comme maintenus dans le dos, il parvenait enfin à se hisser. Ce qu’il vit alors le terrorisa. Il était là, enfermé dans une cage basse et rectangulaire, de belle dimension, trois mètres par cinq environ et d’un mètre de hauteur seulement, avec de lourds et épais barreaux d’acier. De part et d’autre, d’autres cages identiques, dans lesquelles étaient enfermés des chiens, trois par cage, des molosses baveux, laissant passer à travers les barreaux, leurs museaux et babines aux mâchoires bien peu engageantes. Pire encore, compelled s’aperçut qu’il était nu, totalement nu, hormis un lourd collier en acier posé autour de son cou. Une chaine rivée au sol de la cage, mais tout près d’un couloir, longue de deux mètres environ, était cadenassée à ce collier.
Pire toujours, ses membres supérieurs étaient maintenus attachés dans le dos. Où était-il ? Comment était-il arrivé ici ? Pourquoi était-il séquestré et nu ? Et pourquoi… Tant de questions auxquelles il était incapable de répondre !

Prostré, terrorisé, recroquevillé sur lui-même, n’osant plus bouger compelled, attendait. Il n’avait rien d’autre chose à faire que ça, attendre et angoisser ! Les chiens s’étaient enfin calmés et son mal de tête avait maintenant disparu, en revanche, son pied était toujours douloureux, sa cheville avait enflé. Lui revenait alors à l’esprit, ce qu’il avait vu dans cette maison, juste avant qu’il ne perde l’esprit : Cet homme nu, enchainé se faisant fesser et sodomiser brutalement ! Cette vision, sur le moment, avait bien entrainé chez compelled, de l’excitation, mais pour l’heure, ses sens n’étaient plus en ébullition, au contraire même, le fait de se remémorer la scène générait un bien désagréable frisson. Compelled tremblait de tout son corps, impossible pour lui de le maitriser et de se calmer. C’est alors que les chiens se remirent à japper, tous au même moment et peu après la porte au fond du couloir s’ouvrit. Un homme de forte corpulence entrait. Vêtu seulement d’un pantalon de treillis et des rangers aux pieds, torse nu, il s’approchait d’un pas rapide vers les cages en hurlant et vociférant :

- Vos gueules les clébards !

Et les chiens se turent aussitôt…

- S’il vous plait Monsieur, aidez-moi, lançait compelled lorsque l’homme passait devant sa cage.

Mais l’homme avançait sans même le regarder, d’un pas pressé, il regagnait le fond du couloir, attrapait un sceau puis fit demi-tour.

- Monsieur, je vous en prie, dites-moi ce que je fais là ?, suppliait encore compelled.

L’homme cette fois-ci s’arrêtait devant la cage de celui qui l’interpellait. D’un geste rapide, il s’accroupit, attrapa et tira avec force sur la chaine fixée au collier de compelled, obligeant ce dernier à avancer tant bien que mal, jusqu’à ce que son visage s’écrase entre deux barreaux de la cage.

- Un conseil, la salope, un simple conseil, évite ici de parler lorsque tu n’y es pas autorisé, sinon il pourrait t’en cuire !

Le regard d’acier et déterminé du geôlier croisa quelques secondes seulement le regard de compelled apeuré. Celui-ci fermait les yeux instinctivement. Le garde relâchait alors son détenu, se redressa et repartit. Des larmes se mirent alors à couler sur les joues de compelled, impossible pour lui de les retenir. Il venait d’avoir la confirmation qu’il était bien tombé entre les mains d’un sadique pervers…
Compelled sursauta de nouveau, la porte du chenil venait de se ré-ouvrir. Le geôlier réapparut tirant derrière lui enchainés, un homme et une femme entièrement nus. Arrivés devant la cage où était détenu compelled, tous trois s’arrêtèrent. Sans attendre un quelconque ordre, l’homme et la femme nus, attrapèrent les barreaux supérieurs de la cage, écartèrent largement les cuisses, cambrèrent leur dos en offrant leur intimité à celui qui les avait conduit jusqu’ici. Les doigts du geôlier glissaient sur le sexe glabre de cette jeune femme et s’introduisirent en elle sans le moindre ménagement.

- Tu mouilles encore salope, pourtant des queues tu en as pris toute cette matinée, écarte-toi un peu plus encore, laisse-moi m’introduire

Sans mot dire, la jeune femme écarta un peu plus les jambes, cambra plus encore ses reins, faisant ressortir sa belle et généreuse poitrine. Placée juste au-dessus de compelled, cramponnant des deux mains les barreaux horizontaux de la cage dans laquelle le miséreux était enfermé, la jeune femme se laissait fouiller sans broncher, juste parfois un râle sortait de ses lèvres pincées.

- Approche salope ! ordonna le geôlier à l’attention de compelled, tout en attrapant la chaine fixée à son collier. Une nouvelle fois le visage de compelled se retrouva bloqué entre deux barreaux de la cage.

- ouvre la bouche bâtard et délecte toi des secrétions intimes de cette chienne en chaleur !

Sans crier gare, le geôlier avait retiré ses doigts de ce sexe maintenant béant et les avait inséré en fond de gorge, dans la bouche de compelled. Impossible pour lui de réprimer un haut le cœur !

- Avale, t’ai-je commandé ! reprit-il froidement.

A plusieurs reprises, le geôlier fouilla la chatte de la jeune femme puis inséra ses doigts dans la bouche de compelled, cette main passant d’un orifice à l’autre, sans la moindre complaisante ni attention. L’infamie cessa enfin, compelled recula rapidement dès que la main du geôlier lâcha la traction sur la chaine. La jeune femme resta, elle, parfaitement immobile, dans la même posture. Le geôlier s’intéressa désormais au postérieur de l’homme nu. Il lui claqua le cul avec dextérité. La main droite s’abattit sur ces fesses tendues avec rudesse et brutalité. A deux reprises, l’homme souleva un pied de terre en laissant échapper un râle douloureux et puissant.

- Si tu te permets de bouger une seule fois encore, je te promets une très sévère punition ce soir

Et la main frappa toujours, cherchant visiblement la défaillance du fessé ! Mais l’homme résista, serra la mâchoire, ferma les yeux, cramponnant fermement les barreaux de la cage, ainsi de longues minutes s’égrainèrent.

- Tu vois quand tu veux, salope ! Tels furent les simples mots d’encouragement lancés à l’encontre du malheureux.

Mais le geôlier n’en resta pas là, il attrapa, d’une poigne de fer, la soumise par son collier, la fit se mettre à genoux devant les fesses meurtries du soumis et lui ordonna de lécher l’anus se présentant devant elle.

- Lubrifie bien son anneau chienne ! Passe bien ta petite langue avide sur et dans son trou ! Monsieur le Marquis m’a demandé de tester l’élasticité des sphincters de cette salope après huit jours de dilatation intensive !

La jeune femme soumise s’activa sans perdre une seconde, pendant ce temps, le geôlier avait dégrafé son pantalon, dégageant sans précipitation son sexe déjà érigé, d’une belle dimension, repoussa violemment la soumise et planta son dard épais et raide entre les fesses du malheureux. Un cri insoutenable s’échappait de la bouche du soumis, à tel point que les chiens tout autour se redressèrent et se mirent à japper tous au même moment.

- Te voilà heureux d’avoir réveillé la meute petite salope, à cause de toi, on ne s’entend plus ici

Le geôlier s’activa, faisant aller et venir son bassin en donnant de grands coups de butoir sans se préoccuper de la douleur infligée. Tout en besognant sauvagement le soumis, le geôlier l’interpella de nouveau:

- Est-ce à dire que ton cul n’est pas encore suffisamment ouvert et que tout le travail exigé n’a pas été réalisé comme tu aurais du le faire, ou est-ce cette petite chienne qui n’a pas su te lubrifier correctement le cul ?

Le soumis fut dans l’incapacité de parler, juste des gémissements et des halètements sortirent de sa bouche,

- Réponds lorsque je te questionne salope !
- Je ne sais pas Monsieur, je ne sais pas… je…

Compelled était terrorisé, immobile, le regard fixé sur le visage cramoisi et en pleurs de celui qui se faisait sauvagement enculer.

- Tu ne sais pas si tu t’es travaillé correctement le cul, salope, comme ordonné, c’est bien ça que tu me dis ? Reprit le geôlier en fourrant plus encore sa queue dans les entrailles, jusqu’à en faire claquer ses couilles contre ce fessier offert.
- Si Monsieur, je me suis travaillé comme Monsieur le Marquis me l’a imposé, je vous le promets, Monsieur
- Alors si tu t’es bien travaillé, c’est cette pute qui n’a pas su te lubrifier, elle sera donc punie !

La sentence venait de tomber… Le garde comblé était parvenu à ses fins, l’un des deux soumis serait puni, tôt ou tard. Il se retira aussitôt de ce cul martyrisé attrapa les deux soumis par les colliers, les faisant s’accroupir et entrer dans la cage où se trouvait compelled.

- Soyez sages les chiennes, interdiction formelle de parler, sinon je vous enferme dans les cages d’à-côté avec vos congénères affamés !

Compelled avait bien reçu le message, il s’abstiendrait de toute conversation avec ses deux compagnons d’infortune, par peur bien sûr d’être livré et dévoré par ces molosses. Pourtant tant de questions le hantaient. Où était-il arrivé ? Comment était-il arrivé ici ? Qui était ce rustre et sauvage geôlier ? Qui était ce Monsieur le Marquis qui avait été évoqué ? …

(A suivre ...)

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