Mes Premiers Pas Dans Le Réseau . Consultation Privée

CONSULTATION PRIVEE
Quelques semaines après notre weekend à Megève je retrouvais une carte de visite dans l’enveloppe remise par Serge. Il s’agissait d’un gynécologue de Lyon, je présumais que c’était mon dernier partenaire lors de cette soirée d’enchères, celui qui m’avait séduite je l’avoue, et qui avait émis le souhait de me revoir. Son cabinet se trouvait dans le centre de Lyon. Il se trouve que j’avais besoin de me faire examiner à ce moment. Je pris rendez vous et me retrouvais quelque jour après dans sa salle d’attente. Il était 18h, j’étais apparemment la dernière patiente. Il me fit entrer dans son cabinet en me disant « Bonjour Virginie comment allez vous depuis que nous nous sommes vus » Je reconnus effectivement celui qui avait été mon dernier partenaire lors de la soirée de Megève. Il était vraiment bel homme. « Déshabillez vous, je vais vous examiner » me dit il de façon très professionnelle. Je me retrouvai bientôt les cuisses écartées sur son fauteuil d’osculation. Le début de l’examen se déroula normalement. Palpation des seins, examen vaginal, prélèvement d’un frottis vaginal, un examen gynécologique normal. A un seul moment, alors qu’il examinait mon vagin après l’avoir écarté avec un spéculum, il émit une réflexion sans équivoque du genre « un bel intérieur » « de beaux festons bien irrigués, de belles lèvres ourlées à souhait ».
J’allais descendre du fauteuil lorsqu’il me dit « attendez Virginie, je voudrai procéder à un examen complémentaire ».
Je remarquais alors qu’il avait enlevé ses gants d’examen. Il se mit à me palper de nouveau les seins, différemment cette fois, s’attardant sur les auréoles, ce qui eu pour effet de faire dresser mes tétons. Puis ses mains descendirent vers mon ventre, qu’il se mit à caresser . Bientôt il se pencha vers moi et pris le bout de mes seins alternant l’un l’autre entre ses lèvres. Une de ses mains était au niveau de mon sexe, caressant mon clitoris .

Je me sentis envahie d’une douce torpeur, je me laissais aller, sachant pertinemment ce qui allait arriver. Au bout de quelques minutes il me dit après avoir introduit ses doigts dans mon sexe « Vous coulez, c’est bien, vous êtes très réceptive, j’avais déjà constaté ça lors de notre dernière rencontre ». Il continua à me caresser ainsi plusieurs minutes, bientôt n’y tenant plus ma respiration se fit plus haletante, une chaleur envahie mon bas ventre, je l’entends me dire « Laissez vous aller , Virginie, c’est bien, respirez doucement vous allez jouir, je vais vous amener au plaisir ». J’ai brusquement éclaté de plaisir entre ses doigts, le mouillant abondamment de jets saccadés de cyprine. « Quelle surprise, une femme fontaine, vous êtes magnifique, un beau cadeau que vous me faîte ». Je connaissais ce terme de femme fontaine sans me douter que j’en étais une. Il remonta alors ses doigts imprégnés de mes odeurs vers ma bouche et mes lèvres, qu’il se mit à caresser, introduisant un puis deux doigts dans ma bouche, bientôt je sentis mes lèvres se gonfler. Je me mis à le mordiller et je l’entends encore me dire à l’oreille « je n’y ai pas encore gouté, j’ai envie de votre bouche ». Il enleva sa blouse, enleva ses sous-vêtements, se mis en appui sur une petite estrade et me présenta sa verge déjà raide de désirs . Je la pris entre mes lèvres et me mis à le sucer. Il n’avait pas mis de préservatif, je lui fis remarquer, à quoi il répondit que je n’avais aucune crainte à avoir, il était sain. Maintenant il me tenait la tête et enfonçais au plus profond de ma gorge sa verge tumescente. Bientôt il éjacula dans un cri qui tenait du râle, je sentis alors couler sa laitance abondante en plusieurs jets au fond de moi. Il se retira et me dis me tutoyant comme il l’avait fait lors de notre rencontre à Megève « tu es parfaite, il faudra bien prendre soin à conserver tous ces orifices en état à l’avenir».
Alors que je rhabillais, il me dit « j’aimerai te revoir dans quinze jours à la même heure, je voudrais faire si tu le permets une expérience avec toi ».
Je lui demandais de quoi s’agissait-il. « Tu verras le moment venu, mais n’aies crainte, tu ne seras pas déçue ». « Tu viendras ? » demanda-t-il . « Oui » fut ma réponse.

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