Le Marin
Ma crevaison
Contrairement à lhabitude, ce nest pas Christian le marin qui va rapporter ce quil nous est arrivé mais moi Véronique femme mariée vertueuse depuis plus de vingt ans date de mon mariage avec Paul, officier supérieur sur un sous-marin atomique basé à lîle longue à quelques kilomètres de Brest.
Pour des facilités de vie familiale et je nai pas peur de le dire et surtout de confort familial, jai souhaité et même imposé de vivre dans les meilleurs quartiers de Brest.
Nous avons loué un appartement de cinq pièces dans lun des plus beaux immeubles de la ville dans le quartier résidentiel de la ville à quelques pas de la mairie de la ville.
Mon mari comme souvent est parti pour soixante dix jours en mer avec son sous-marin sans que moi sa femme sache où il se trouve.
Jai lhabitude de cette situation depuis que je lai épousé, les trois quarts de ces dix dernières années, je ne lai pas vu.
Comme toutes les femmes, jaurais tendance à être jalouse mais depuis quil a postulé pour les atomiques, je sais que sauf panne, il ne touche jamais terre.
Pourquoi, pour la première fois à quelques jours de mes trente ans, cette séparation pour la première fois depuis quelques jours jai des chaleurs qui montent de mon intimité au point de me caresser jusquà me faire jouir alors que jai arrêté ces pratiques depuis que Paul ma pris mon hymen ?
Mes deux grossesses mayant donné un garçon et une fille choix du roi ont été une accélération de mon bonheur et je les ai élevé depuis dans le respect de leur père qui par son travail et hélas son absence nous donne une vie suave.
Est-ce que mes s partis pendant ses vacances dété à Bordeaux chez mes parents et mes beaux-parents étant originaire comme Paul de cette ville ont commencé à me peser ?
Où nest-ce pas les confidences de Sylvie, mon amie rencontrée lors dune soirée de lamirauté un soir de gala organisé pour le changement de commandement des amiraux responsables de la place maritime de Brest qui ont entraîné ce qui va marriver.
Jai dîné chez Sylvie qui comme moi est célibataire pour deux mois son commandant de mari étant parti pour deux mois avec son aviso pour Rio et New York.
Elle a mis une bouteille de vin de Provence sur la table et comme je conduis, je nai bu quun demi-verre car nous avions pris un whisky en apéritif.
Un pour moi, deux pour elle.
À la fin du repas Sylvie ayant la descente facile a vidé la bouteille et me propose de prendre un verre de Marie Brizard.
Nous passons sur le canapé. Sylvie a du mal à passer de la table à la banquette.
Elle perd léquilibre et matterrit dans les bras. Cest la première fois que je sens des seins de femmes sur les miens et un grand trouble monte en moi.
La bouche de mon amie est à deux doigts de la mienne mais un moment de lucidité me fait reculer me voyant mal me gouiner avec ma copine.
Pourtant si je mets la main sur ma chatte, je suis sûr que je ruisselle denvie.
Éducation quand tu nous tiens, au couvant des oiseaux ou jai été élevé, il nous fallait dormir les bras hors des draps à la mode ancienne.
Avec une certaine difficulté, elle me fait une confidence de pocharde qui me laisse pantoise.
Véronique, tu sais que je trompe mon mari ?
Je ne sais que répondre ne souhaitant pas quelle continue ses confidences.
Tu mécoutes, il est cocu et jaime cela.
Sylvie, tu as trop bu, tu ne sais plus ce que tu dis.
Non, je sais très bien, cest mon voisin et si tu veux, je te le prête.
Arrête, je vais partir si tu continues.
Et comment je vais continuer, mon voisin est un grand noir qui a un sexe aussi gros que celui dun taureau ?
Il me défonce littéralement, Julien ne fera jamais le poids et jenvisage de vivre avec lui et de devenir sa belle chienne comme il me dit.
Sylvie, tu es ma chienne et jaime te mettre en levrette, tu es dans la même position que la leur.
En ayant assez entendu, je profite de ce que ses yeux se ferment tous seuls pour lallonger, mettre un cousin sous sa tête et un plaid sur elle.
Sans faire de bruit, je quitte son appartement pour descendre par lascenseur.
Il est en train de monter et sarrête sur le palier de mon amie.
Un grand noir en sort et se dirige vers la porte opposée à celle de Sylvie.
Jai une envie qui monte de mon bas-ventre chamboulé par ce quelle ma dit.
Jai, une fraction de seconde envie de lui dire, « cest vrai que vous avez une queue énorme »
Mais là encore mon éducation mimpose de me taire.
Je retrouve ma voiture, la nuit est tombée lorsque je quitte la rue Anatole France, pour mengager sur le pont de recouvrance afin de rejoindre mon domicile.
Jarrive à la moitié du pont quand je sens des vibrations dans ma direction.
Je marrête et lorsque je descends, je constate que mon pneu arrière droit est à plat.
Catastrophe, je ne sais même pas où est ma roue de secours et surtout comment défaire ma roue.
Je peux vous aider madame ?
Un sauveur, je ne lai pas entendu arriver, il est arrivé dans mon dos.
Jai crevé et je ne sais pas comment faire.
La nuit de ce mois de juillet est très chaude après la belle journée que nous avons eue.
Mettez-vous au volant, je vais pousser la voiture jusquà la sortie du pont pour éviter que vous ayez un accident.
Mon moteur tourne, je peux avancer.
Non, avec le moteur vous risqué de couper votre pneu et il serait fichu.
Je minstalle et il pousse la voiture qui pèse son poids. Dès quil se sent en sécurité, il me demande de descendre pour ne pas déséquilibrer la voiture lorsquil la lèvera avec le cric.
La roue crevée est enlevée lorsquil fait un faux mouvement et que son bachi tombe au sol. Je vois fréquemment des pompons en ville mais comme mon mari est officier, je nai jamais eu envie de la poser sur ma tête.
Un pompon, cest différent et je le pose sur ma tête. Dommage que je ne peux pas faire de photo cela maurait fait un souvenir.
La roue crevée dans le coffre avec les outils, le jeune marin veut me quitter alors quil a, les mains salent et pire, sa tenue blanche est maculé de particule des freins de ma voiture.
Comment vous appelez-vous ?
Christian madame.
Appelez-moi Véronique, Vous lavez bien mérité, vous mavez sorti dune situation difficile. Monter, je vais vous amener chez moi pour vous remettre en tenue correcte et réglementaire comme dit mon mari.
Il est marin.
Oui officier sur un sous-marin nucléaire et en mer jusquen septembre.
La solitude ne vous paise pas ?
Jai lhabitude depuis dix ans que je suis mariée.
Pendant que jarrive chez moi, je constate que jai toujours le bachi sur ma tête.
Je ne vous ai pas rendu votre bachi.
Cest bien, vous marquez un point, vous connaissez le nom de mon couvre-chef.
Cest Paul, mon mari qui ma dit son nom dans les premiers jours où je suis arrivé à Brest.
Vous veniez doù.
De Bordeaux, jai eu du mal à madapter surtout lhiver avec le froid et mon mari absent pour me réchauffer.
En même temps que, je dis ces derniers mots, je voie la portée de ce que je dis et comment Christian va linterpréter ?
Cest un gars bien car il na aucune réponse grivoise qui maurait fortement dessus.
Arrivé à la maison, je prends conscience que si des gens nous voient entrés avec ce jeune marin, ils vont me prendre pour une salope qui se tape des gamins alors que ma pensée était entièrement pure lorsque je lui ai proposé de venir se remettre en tenue normale à la maison.
Assez, contente de ne rencontrer personne. Il est vrai quil est vingt trois heures lorsque nous fermons la porte derrière nous.
Venez-vous laver les mains dans la salle de bains.
Il me suit et en quelques minutes ses mains sont propres.
Je vais nettoyer votre tenue.
Je prends un gant de toilette que je mouille et rapidement la tunique blanche est plus noire quavant.
Christian un peu gêné semble mal à laise.
Moi une fraction de seconde mes démons sont revenu lorsque jai passé la patte mouillée sur son torse.
Je nai jamais senti une poitrine si musclée. Il est vrai quà part celle de Paul, cest seulement la deuxième que je tâte un homme.
Enlevez votre tunique que je la lave ainsi que votre pantalon qui est aussi sale surtout que vous avez mis les genoux au sol.
Il enlève sa tunique quil me donne et je vois quil a un léger mouvement darrêt au moment denlever son pantalon.
Mouvement de courte durée car il ouvre son pont avant des pantalons de marin et le fait glisser au sol.
Je comprends son mouvement de recul car il na ni slip ni boxer et il présente à mes yeux une virilité presque deux fois plus grosse que celle de Paul.
Dommage que je nai pas suivi lamant de Sylvie chez lui, jaurais pu comparer, laquelle des deux en avait vu une la plus grosse.
Juste voir, car si la tension dans mon sexe, commence à me faire envie de me jeter sur mon sauveur, une fois encore mon éducation me fait reculer de le prendre en bouche pour quil me défonce la chatte et plus si affinités.
Je lui passe une serviette quil noue autour de sa virilité et je peux démarrer la machine pour quil soit tout propre.
Voulez-vous boire une bière ?
Je ne bois jamais dalcool.
Ce nest pas possible, moi qui ai toujours entendu dire par mon mari que la moitié des marins étaient des alcooliques, je suis tombé sur la deuxième moitié avec Christian.
Je le fais entrer dans notre salle à manger et il sapproche de la console de disque futuriste que mon cher et tendre ma offert pour mon vingt cinquième anniversaires.
Vous pouvez la démarrer, jaimerais écouter ce disque.
Je démarre la console et place le disque. Au moment de le poser, je voie la folie davoir accepté. Pascal Danel, celui qui à chaque fois que mon mari est seul avec moi et quil souhaite me faire sentir quil a envie de moi, met ce disque.
Jai tous ses disques. Pourvu que ce ne soit pas
Trop tard « la plage aux romantiques » le slow qui ne me fait pas mouiller mais tremper ma petite culotte.
Vous dansez ?
Situation incroyable, je viens me lover contre le torse de ce garçon qui nait protégé que par une serviette de bain.
Ce qui me fait craquer, cest quil danse divinement, il me serre sans me serrer, ses pieds pourtant nus vous juste là où il faut pour que je sente sa virilité sans pour autant me sentir agresser.
Trois minutes de charme. Trois minutes et je ne sais plus que je suis chez moi dans ma salle, que la bouche qui prend la mienne au moment de larrêt du morceau hélas remplacé par un autre slow nest pas celle de mon mari mais celle de ce demi-inconnu que jai fait la bêtise damener chez moi.
Dautres voyants leur erreur ne prendrait pas cet homme par le cou comme je le fais.
Dautres ne se frotteraient pas sur la virilité qui est maintenant bien dure et que je ne peux ignorer quelle me désire.
Dautres ne laisseraient pas descendre leur main pour arracher la serviette et empoigner la verge qui se tend vers moi.
Dautres ne sagenouilleraient pas devant lui pour admirer de plus près ce que je désire de plus en plus et que, pourtant je devrais rejeter.
Dautres ne la dirigeraient pas dans sa bouche pour la faire durcir encore plus.
Déshabille-moi et prends-moi. Je ne peux plus de tattendre.
Tu ne regretteras pas.
Cette phrase alors que jaurais pu encore me reprendre me fait craquer définitivement. Quatre vingt dix pourcents des hommes auraient foncé au fond de mon corps, lui me demandent encore si je suis daccord de le recevoir.
Je le sors de ma bouche et jarrache carrément mes vêtements. Je les arrache car jentends le tissu se fendre et dès que mon slip a quitté mon intimité, je le reprends par le cou lui jettent mes jambes autour de ses reins et sans effort apparent il me fait retomber sur son pieu.
Il est entré si fortement et si loin en moi que jai une fraction de seconde limpression de subir une deuxième défloraison mais contrairement à la première fois, mon sexe réagit immédiatement et aussitôt le plaisir monte en moi.
Je dois reconnaître avec une grande honte que les frissons qui partent de mon intimité pour remonter tout le long de ma colonne vertébrale se terminant par un orgasme jamais ressenti à ce jour me font tellement perdre les pédales que je ne me rends même pas compte que je viens de passer dans le camp des putes qui trompent leur mari absent.
Lorsquil me pose les fesses sur ma table de salle à manger, je commence à prendre conscience de ce fait mais pour montrer que je men fiche, je le laisse continuer à me labourer donnant même de grands coups de reins en avant pour quil me pénètre plus loin.
Et que dire lorsque ensemble nous jouissons dans une apothéose que je nai jamais atteinte avant.
Ce quil y a de bizarre, cest davoir des pensés entre avant après.
Avant avec mes seules connaissances de mes rapports très simples, voire simplistes avec Paul et après où je peux comparer avec Christian qui je le sens na pas fini de métonner.
Il me libère en prenant ma bouche et cest nue que nous partons dans la cuisine pour que nous prenions un grand verre deau.
Je lentraîne dans la chambre damie où encore une fois gentleman, il se couche me prends dans ses bras et cest comme cela que nous finissons la nuit.
Au matin, je ne le sens pas ce lever et quitter mon appartement.
Je suis malheureuse dun côté quil soit parti comme un voleur mais soulagé darrêter là une aventure qui aurait pu mamener bien des soucis.
Je dors jusquà onze heures lorsque lon sonne à ma porte, dun coup mon sang est en ébullition, il a compris que je ne souhaitais pas le quitter si vite nayant pas encore exploré avec lui tous les jeux de lamour.
Je passe un peignoir et je vais ouvrir prête à lui sauter au cou.
Salut, je venais mexcuser davoir pris une biture hier, jespère que je nai pas dit trop de conneries.
Non, tu mas parlé de ton amant un grand noir.
Je sais, je sors de son lit et il ma dit quil tavait croisé sur le palier. Il ta trouvé très bandante comme il ma dit.
Ce nest pas parce que je ne suis plus vierge comme femme mariée que je dois sauter sur toutes les bites fussent-elles grosses. Autant allé directement dans les bars louches de la ville où les marins trouvent des filles qui sont tombées si basses quelles nont plus le respect de leur corps.
Viens prendre un café, tu mas réveillé.
Tu as fait des folies de ton corps pour avoir les yeux au milieu de la figure.
Je ne lui réponds pas et je me dirige directement vers ma cafetière ou jappuie sur le bouton de mise en marche.
Sophie sassoit sur une chaise et lorsque je me retourne, elle lit un papier déchiré de mon bloc pour les courses.
Eh bien, ma salope, tu caches bien ton jeu.
Pourquoi me traite elle de salope ?
Qui y a-t-il sur ce papier.
Je lui arrache presque des mains.
« Véronique, tu dormais trop bien, je nai pas voulu, te réveiller. Je dois être à bord pour lappel de huit heures, merci pour la soirée de rêve que tu mas faite passé.
Jai récupéré mes affaires encore mouillées, nous avons tellement joui ensemble et nous avons oublié de les mettre dans le sèche-linge.
Si tu le désir, je serais chez toi vers dix-huit heures. Tu es marié et je comprendrai que tu ne souhaites pas me recevoir.
Ce serait dommage, je nai pas encore exploré tout ton corps qui sent le plaisir à des kilomètres à la ronde. Jespère que tu ouvriras ta porte. Christian »
Le ciel me tombe sur la tête obligée de mexpliquer.
Je lui raconte mon départ de chez elle, ma crevaison et ma recontre avec Christian, ce jeune marin qui ma aidé et que jai conduit ici sans penser à mal, je lui parle du Bachi sur ma tête. Elle minterrompt.
Malheur à toi, tu ne connais pas la légende. Pompon rouge obligation de pompon noir, roux blond, voire auburn.
Non.
En mettant son bachi, une femme en touchant le pompon rouge sera baisée dans les heures qui suivent par ce marin. Tu nas pas échappé à la règle.
Je vais te faire une confidence, je ne regrette pas de lavoir fait.
Je peux venir ce soir, je le mettrai sur la tête, je sens quil ta éclaté.
Non, il est sûr que je vais lattendre avec impatience, il a raison, je nai pas encore goutté à tous.
Il ta sodomisée ?
Tu crois que je devrais, tu sais, il est comme ton voisin, il est bien monté.
Demande-lui deux trois jours en marchant un peu bizarrement mais après tu en redemanderas.
Elle est parti et jai attendu avec impatience son coup de sonnette.
Dans les jours qui ont suivi, il ma tout fait et jai été enchanté, mon corps lattendait surtout le lendemain de son jour de service.
Pour être plus libre, les week-ends, nous prenions la voiture et allions vers Saint gille croix de vie à lhôtel et jouer dans les vagues comme des s que nous étions.
Hélas, tout à une fin, Christian est partie le quinze août muté sur un bateau à Toulon.
Mes s sont rentrés et mon mari est revenu avant de repartir me laissant insatisfaite car la comparaison avec mon amant tourne toujours en sa défaveur.
Il a essayé au début à lutter avec mon matelot sans le savoir. Il ne fera jamais le poids
Comme elle lavait dit Sophie est allé habiter au début avec son sexe noir pour le quitter et sinstaller près de chez moi.
Depuis le mois de novembre où mon mari est reparti, une ou deux fois par mois une baby-sitter vient chez moi.
Si vous entrez dans certains bars à marins, vous rencontrerez peut-être deux femmes avec perruques lunettes et robes suggestives qui passeront un moment avec vous si vous avez un pompon sur la tête.
Chaque fois elles ne sont pas déçues, leurs amants dun moment apportent à leur corps que ceux quelles ont où avaient épousés ne save pas leur procurer.
La perruque brune avec des lunettes décaille que je suppute être moi, accepte même demmener dans la chambre du petit hôtel discret où nous nous préparons deux pompons en même temps.
Je vais faire un aveu, faire lamour avec deux hommes surtout au moment où les deux me prennent par la chatte et par lanus mapportent des moments fantastiques.
Sentir ces deux verges en moi qui se touchent à travers mes chaires intimes mapporte la plénitude que toute femme est en droit despérer.
Souvent laprès-midi si vous allez chez moi ou chez Sylvie avant que mes s ne reviennent, vous nous trouverez en train de nous lécher les chattes et même nous faire des feuilles de rose et atteindre la plénitude de nos corps comme deux belles gouines que nous sommes fiers dêtre devenus.
Tout cela à cause dune crevaison
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